Aujourd’hui, j’ai envie de vous partager les films qui m’ont mis  »une claque visuelle ». Bien sûr en terme de  »claque visuelle », je comprend: la qualité des effets spéciaux, la photographie, les décors, les jeux de lumières et de couleurs. Ne voyez aucun classement dans cet article, car selon moi tous les films que je vais citer sont tous en 1ere position. Commençons si vous le voulait bien.

 

j’ai trouvé cet image au hasard sur Internet, oui je l’avoue ^^

 

Jurassic Park de Steven Spielberg (1993)

Aujourd’hui, j’ai envie de vous partager les films qui m’ont mis  »une claque visuelle ». Bien sûr, en termes de  »claque visuelle », je comprends la qualité des effets-spéciaux, la photographie, les décors, les jeux de lumières et de couleurs. Ne voyez aucun classement dans cet article, car selon moi tous les films que je vais citer sont tous en 1ere position. Commençons si vous le voulez bien.

 

Sucker Punch de Zack Snyder (2011)

Gros fan de Zack Snyder que je suis, je ne pouvais pas ne pas mettre Sucker Punch dans ce classement. Synder est un réalisateur très visuel, qui n’hésite pas à remplir ses films d’effets-spéciaux pour retranscrire ce qu’il a dans la tête. Et son Sucker Punch ne déroge pas à la règle. C’est pour moi le film le plus esthétiquement réussi (avec 300) de sa filmographie. L’esthétique fait très jeu-vidéo, ainsi que la narration du film. La première scène dans les tranchées, la scène du train en plan-séquence, etc… Bref, pour ma part, j’adore ce film, et à chaque fois que je le revois, je prends toujours la même claque visuelle. Et en plus, le film à plutôt bien vieilli.

 

la trilogie Pirates des Caraibes de Gore Verbinski (2003,2006,2007)

Alors mettons tout de suite les choses au clair, je suis un énorme fan des 3 premiers films (oui il y a eu 2 autres films, mais qui pour moi ne comptent pas vu leur piètre qualité). C’est une saga qui a façonné mon enfance. Dès le premier film, la saga a repoussé les limites des effets spéciaux, en nous montrant à l’écran des personnages entièrement en images de synthèses : les pirates maudits dans le premier film, Davy Jones et son équipage dans le 2. Mais il n’y a pas que dans ses personnages en synthèse que la saga m’a subjuguée. La saga est d’une beauté visuelle grâce à ses décors : l’île des cannibales, la fameuse bataille dans le Maelstrom entre le Black Pearl et le Hollandais Volant.

 

Speed Racer des soeurs Wachwoski (2008)

Et non, les soeurs Wachwoski n’ont pas réalisé que les Matrix. Speed Racer a malheureusement été boudé par le public (je me demande encore pourquoi d’ailleurs). C’est un long-métrage que je n’ai découvert que très récemment en blu-ray. Je l’ai commandé par hasard sur Amazon, pour équilibrer ma commande et bénéficier d’une réduction. Certains de mes amis m’avaient dit « fonce, tu vas adorer ». Et bien sûr, j’ai adoré. J’ai eu l’impression de voir l’adaptation de  »Hot Weels » sur grand écran. Bien sûr, le film a été fait presque intégralement sur fond vert, mais cela lui donne son charme. Et quand on voit qu’une partie du casting était dans des sièges de simulation de conduite, cela ajoute au film une touche de  »réalisme ». Mais là où le film est complètement dingue visuellement, c’est dans ses décors. Ils font presque dessin-animés, et cela confère au film un certain cachet.

 

la trilogie du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson (2001,2002,2003)

Que dire de cette trilogie, à part que c’est juste l’un des piliers du cinéma moderne du début des années 2000, oui rien que ça. Cette saga, tout comme Pirates des Caraïbes, fait partie des sagas qui m’ont vraiment marqué étant enfant. Et comme les Pirates des Caraïbes, les 3 longs-métrages qui composent la saga du Seigneur des Anneaux m’ont marqué par la somptuosité de leurs décors : le grouffre de Helm, le Rohan, Minas Tirith, la montagne du Destin et j’en passe. La qualité des effets visuels est aussi à souligner, car pour des films qui ont bientôt 15 ans, ces-dits effets étaient précurseurs. Et il y a bien sûr le fameux Golhum interprété avec brio par Mr Motion Capture, je veux bien sûr parler de Monsieur Andy Serkis. En 2002, voir ce personnage aussi bien détaillé était nouveau, car à l’époque on commençait à peine à faire des films avec des effets spéciaux par ordinateur. Il est  assez marrant de constater qu’à chaque fois qu’Andy Serkis joue un personnage en image de synthèse, je trouve le film tout simplement sublime visuellement (Cesar pour la nouvelle trilogie des planètes des singes, Le Capitaine Haddock dans le Tintin de Spielberg, King Kong dans le remake de Peter Jackson).

 

Mad Max Fury Road de George Miller (2015)

Même si le film est très récent, il a peine 2 ans, cela n’a pas empêché Papy Miller de nous assener une claque monumentale avec son Fury Road. A presque 72 ans, George Miller nous a juste pondu un film tout simplement ouf visuellement. On pense bien-sûr aux décors, pour la plupart naturels, dans le désert, la Citadelle et j’en passe. Mais là où le film m’a vraiment marqué visuellement, c’est dans son esthétique qui pue le Punk à plein nez. Cela se ressent même dans l’esthétique des personnages qui semblent tous avoir le cancer, et qui ont l’air de crever dans très peu de temps. Et oui, avec Mad Max Fury Road, on ne rigole pas.

 

La nouvelle trilogie: La Planète des Singes réalisé par Rupert Wyatt et Matt Reeves (2010,2014,2017)

Quand en 2009, la FOX annonçait qu’elle voulait faire une nouvelle trilogie sur la Planète des Singes, cela avait fait grincer beaucoup de dents à l’époque. Car on se souvient tous de la très faible qualité du film de Burton. Mais avec les  »Origines »,  »L’affrontement et  »Suprématie » la semaine dernière, cette saga met tout le monde d’accord (allez, on va dire presque tout le monde). Ici, l’élément qui met une claque visuelle est bien sûr la performance capture. Au fur et à mesure des 3 films, cette technologie a gagné en réalisme. Plus les films avançaient, plus les singes devenaient réalistes. Cette progression se fait remarquer par le personnage de Cesar, interprété par, je vous le donne en mille : Andy Serkis. Jamais un personnage fait entièrement en synthèse n’avait atteint un tel niveau de réalisme. Tout ceci mélangé à des décors réels dans le 2ème et le 3ème film en font l’une des sagas qui m’a impressionnée sur le plan technique (bien sûr, cette trilogie n’est pas impressionnante que pour sa qualité technique).

 

Sin City de Quentin Tarantino, Frank Miller et Robert Rodriguez (2005)

Sin City est un film que j’ai pris beaucoup de plaisir à regarder. Moi qui adore ce genre d’univers sale, rongé par la corruption, Sin City ne pouvait que me plaire. Le long-métrage est, comme l’affiche le montre, un film en noir et blanc. Moi qui suis assez réfractaire de ce genre de film, je fus totalement surpris et conquis par le film. Ce que l’on constate avec ce film, c’est que l’image est nette, aucun plan n’est flou. Là où le film est intéressant visuellement, c’est quand il y a des tâches de sang, Le rouge du sang est la seule couleur que vous verrez dans ce film.

 

Prisoners de Denis Villeneuve (2013)

Denis Villeneuve est un jeune réalisateur qui vient d’émerger. Mais la plupart de ses films ont beaucoup marqué le grand public. Même si  »Premier Contact » est pour moi son meilleur film, Prisoners m’a plus marqué visuellement. Et tout particulièrement la photographie du film, par Roger Deakins. Je n’avais pas eu la chance de l’avoir découvert la semaine de sa sortie en 2013, mais j’ai pu rattraper mon retard grâce au blu-ray du film. Et bon Dieu, que le film est net ! Cela doit être l’un des films où l’image est la plus nette (comme pour Sin City au passage).

 

The Neon Demon de Nicolas Winding Refn (2016)

S’il y a bien une chose que l’on ne peut pas reprocher aux films de Refn, c’est leur esthétique. Encore une fois, ce Neon Demon ne fait pas exception dans la filmographie du réalisateur. Ce film est tout simplement somptueux visuellement. La photographie de la chef-op Natasha Braier est de toute beauté, elle est parfaitement en accord avec l’univers de la mode. Car dans le monde de la mode, tout doit être parfait, et cet univers ne pouvait que convenir au réalisateur qui travaille à l’extrême l’esthétique de ses films. Le film dispose d’un jeu de lumières et de couleurs tout simplement bluffant, je n’ai pas de mots pour décrire cette esthétique. Le plus évident de tous étant peut-être l’utilisation spécifique des couleurs, en particulier le rouge qui intervient dans toutes les scènes où Ruby est présente. Cette dernière constitue d’ailleurs un personnage clé du film, puisque, de par son métier, elle a une relation particulière avec la mort, autre thématique du long-métrage. Par opposition, la couleur bleue renvoie quant à elle à des instants narcissiques où Jesse se contemple (la scène du miroir où elle s’embrasse elle-même signifie qu’elle tombe amoureuse de ce qu’elle devient). Dans cet esprit, la scène centrale de défilé qui voit la couleur virer du bleu au rouge à mesure que Jesse s’abandonne à son apparence physique prend subitement toute sa signification.

 

Avatar de James Cameron (2009)

Avatar est un long-métrage tout simplement dingue visuellement. On comprend pourquoi Cameron a attendu très longtemps pour concrétiser ce projet qui lui tenait à cœur. La faune et la flore de Pandora, le bestiaire de la planète, la photographie de Mauro Fiore, la performance capture, la richesse de ses décors, tous ces détails contribuent au fait que le film m’a procuré une claque visuelle. Vivement la suite prévue pour 2020.

 

 

 

 


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Bonjour je me présente, je m'appelle Valentin, je suis co-rédacteur en chef sur ce site. Je suis un fan de cinéma de SF et de films de super héros. Ces deux genres ont bercé mon enfance. Avec des longs-métrages tels que les Spiderman de Sam Raimi, les X-Men de Bryan Singer, les Matrix des Wachowski et les Retour vers le futur de Zemeciks. Avant, je ne prenais le cinéma que pour me divertir, mais depuis quelques années, je me rend compte qu'il peut nous divertir autant qu'il peut nous faire réfléchir. C'est pour cela, peu importe le type de film que je regarde, j'essaye de voir si le rélisateur veut nous dire quelque chose à nous spectateur.

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