retour vers le futur afficheRésumé du film

Nous sommes à Hill Valley, le 25 Octobre 1985. Marty McFly est un adolescent de 17 ans, lycéen, fan de skate board et de guitare rock souhaitant en faire son métier plus tard. Avec un proviseur qui serait ravi de le renvoyer, une famille en crise avec un père lâche aux ordres d’un patron qui abuse de lui, une mère alcoolique et possessive, un frère et une sœur bien mal partis dans la vie, Marty ne peut que se consoler avec sa petite amie Jennifer et son ami excentrique Doc Brown. Un soir, Marty accompagne Doc pour tester sa nouvelle expérience : voyager à travers le temps dans une Delorean modifiée. Après un essai concluant et laissant bouche bée Marty, Doc s’apprête à voyager pour la première fois dans le futur mais est retrouvé et assassiné par un groupe de trafiquants d’armes Libyens que Doc avait soudoyé pour qu’ils lui volent du plutonium « carburant nécessaire pour faire fonctionner la machine ». Marty tente de s’enfuir avec la Delorean et se retrouve transporté en 1955. Dans son voyage il rencontrera par mégarde son père et sa mère qu’il empêchera malencontreusement de se rencontrer. Il doit au plus vite réparer cette erreur sinon, lui, son frère et sa sœur, n’existeront jamais.

Infos sur le film

Réalisé par Robert Zemeckis

Avec Michael J.Fox dans le rôle de Marty McFly
Christopher Lloyd dans le rôle du Dr Emmett L. « Doc »Brown
Lea Thompson dans le rôle de Lorraine Banes-McFly
Crispin Glover dans le rôle de George McFly
Thomas F.Wilson dans le rôle de Biff Tannen

Genre : Science fiction, Comédie, Aventure
Film Américain
Durée du film : 1h55 environ

Le saviez-vous ?

-Lorsque Martyy débarquera en 1955, il sera amené par mégarde à rencontrer sa future mère qui ignorera son identité. En voyant ses sous vêtements portant la marque de Calvin Klein « Pierre Cardin dans la version française », la jeune femme pensera qu’il s’agira de son nom.

-Au départ, il était question de faire voyager Marty dans un réfrigérateur. Ayant peur que les enfants tentent de s’enfermer à leur tour dans leur frigo, l’idée fut abandonnée.

-Et si Marty McFly était l’inventeur du rock’n’roll ? Lors de la scène du bal de promo, Marty joue et interprète un tube Johnny B.Goode à la guitare. Morceau qui fera un tabac auprès des lycéens mais qui sera aussi vu par un des musiciens, Marvin Berry, cousin de Chuck Berry « le véritable compositeur de Johnny B. Goode ». Marvin fera écouter le morceau à Chuck et lui donnera le conseil d’utiliser ce nouveau genre.

-Marty présentera aussi « involontairement encore » le skateboard aux enfants des années 50 en retirant le guidon d’une trottinette lors d’une poursuite le confrontant à Biff Tannen.

-Dans la première version du script, il était question que Doc est un singe en guise d’animal de compagnie.

-C’est l’acteur Eric Stolz qui devait au départ interpréter le personnage de Marty. Un très bon acteur qui hélas sera renvoyé au bout d’un mois de tournage, apportant une touche trop dramatique, n’arrivant pas à donner une facette comique voulue pour le personnage. Pour ceux qui veulent voir quelques scènes incluant l’acteur, l’édition bluray vous propose de les regarder. Voici un petit extrait :

-La trilogie ayant connue un immense succès, elle fut déclinée en attraction « Back to the future : The ride » dans le parc d’attractions Universal Studio, emmenant les visiteurs à vivre dans une vraie Delorean qui bouge, dans un voyage à travers le temps à la poursuite de Biff Tannen. Les acteurs Christopher Lloyd et Thomas F.Wilson »Biff » tiennent une place importante dans l’attraction très impressionnante et donnant l’occasion de voir les vrais décors de la saga, dont l’horloge , visible dans une autre attraction permettant de visiter les studios.
-Le premier plan du film est inspiré de La machine à explorer le temps de George Pal.

-Retour vers le futur c’est aussi sa musique et son thème grandiose et symphonique, composé par Alan Silvestri. Pour ses divers morceaux instrumentaux, l’orchestre était composé de 80 à 85 instruments.

-Huey Lewis, le chanteur de Power of love et Back in time a un petit rôle dans notre film. Il joue le rôle d’un des juges dans la séquence où Marty passe une audition avec son groupe de rock.

-Au départ, il n’était pas question de faire deux suites mais le film ayant bien marché, elles furent tournées rapidement. Le « to be continued » visible dans le premier Retour vers le futur fut donc rajouté par la suite.

Mieux vaut tard que jamais, voici enfin une critique sur trois films grandioses, véritables monuments du cinéma de Science fiction, phénomène de la culture pop, l’un des films marquants des années 80. Efficace, cette série de trois films aura dans chacun d’eux, un thème simple mais tout bonnement génial. Dans le premier Retour vers le futur, il s’agira d’imaginer à quoi ressemblaient nos parents quand ils étaient jeunes. Comment vivaient-ils ? Comment étaient-ils ? Comment notre père a rencontré notre mère ? Quel a été l’élément qui a fait qu’ils étaient destinés à vivre ensemble ? Avaient-ils un comportement aussi exemplaire qu’aujourd’hui ? A toutes ses diverses questions, le réalisateur Robert Zemeckis tentera d’y répondre de façon aussi comique qu’émouvante et à travers notre héros principal : Marty McFly.

Le début de l’intrigue

La scène d’ouverture, tout simplement parfaite, nous balade dans la petite maison de Doc et affiche via un objet important le thème principal qui sera dans le film : les horloges « au divers looks provenant d’époques différentes », le temps qui coule ou c’est écoulé. Nous assistons par la suite aux démonstrations des nombreuses machines de Doc censées facilité la vie du vieil homme, nous faisons la connaissance de Marty, ami de Doc et lycéen. Après avoir reçu un appel de Doc lui demandant de le rejoindre sur le parking d’un centre commercial, Marty part en classe, le tout accompagné sur son chemin en skateboard par une musique, Power of love du groupe Huey Lewis ans the News . Nous ferons la connaissance de sa petite amie, Jennifer, son proviseur, le principal Strickland. En rentrant chez lui, d’autres personnages nous sont présentés : la famille de Marty. Composée de son père George, sa mère Lorraine, son frère Dave et sa sœur Linda. Par la même occasion nous fera connaissance de Biff Tannen, patron de George. Biff, vous le verrez sera le futur Némésis de Marty. Le soir venu, Marty se rend sur le parking emmenant avec lui un caméscope censé immortaliser le projet que son ami Doc veut lui montrer. Doc montre à Marty sa dernière invention : une machine à voyager dans le temps conçue à partir d’une Delorean.

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Pour effectuer un voyage dans le temps, il suffit de régler la date de destination et de pousser le véhicule à plus de 88miles à l’heure. La machine fonctionne grâce au convecteur temporel ayant la puissance électrique nécessaire pour voyager dans le temps. Du coté du carburant, la voiture fonctionne au plutonium. Pas facile de trouver du plutonium qui ne se vend pas en magasin. Doc a donc contacté un groupe de trafiquants d’armes, des Libyens, afin qu’ils lui en volent. Il est temps pour Marty d’assister à la démonstration. Sous ses yeux, le chien de Doc, Einstein, est envoyé dans le temps, une minute en avant. Le chien fait son retour, absolument pas conscient de ce qu’il a vécut. Il est temps pour Doc de partir à son tour dans le futur mais, soudainement, les Libyens arrivent en camionnette et assassinent Doc sous les yeux de Marty tentant de fuir dans la Delorean.

 3retour 4retour

Involontairement, le jeune homme met en marche les circuits temporels et se retrouve projeté en Novembre 1955, dernière date inscrite sur le cadran par Doc. Novembre 1955 est la date à laquelle Doc a eu la révélation de créer le convecteur temporel. Marty veut rentrer chez lui seulement à la place de son lotissement, il n’y a qu’un chantier. Le jeune homme part alors pour la ville et découvre l’époque dans laquelle il a attérit. Au passage il rencontrera son père qu’il sauvera d’un accident en étant renversé par son grand père. Marty se réveille le soir par sa future mère qui tombant amoureuse de lui. Sans y avoir pensé, en sauver son père, Marty a pris sa place par accident.

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Il faut qu’il rentre à son époque. Il parvient à retrouver Doc afin de le convaincre de l’aider à retourner en 1985. Seulement il est impossible de retrouver du plutonium. Il faut trouver une autre source d’énergie afin de renvoyer Marty dans son époque. Marty se souviendra alors que la foudre avait frappée cette même année l’horloge d’Hill Valley. Pourrait-il se servir de la foudre pour faire fonctionner le convecteur temporel de la Delorean ? Un évènement vient chambouler le projet : son frère, sa sœur et lui sont en train de disparaitre d’une de ses photos. Il ne reste au jeune homme qu’une semaine afin de faire en sorte que ses parents tombent amoureux et se préparer pour son retour en 1985. Il fait équipe avec son futur père, George, afin de conquérir le cœur de Lorraine. Mais dans cette quête, il y aura un hic, Marty, sans s’en apercevoir c’est réapproprié le Némésis de George, Biff Tannen .

 

« Faut voir grand dans la vie, quitte à voyager à travers le temps au volant d’une voiture, autant en choisir une qui ait d’la gueule ! »

Voyagez dans le temps en compagnie de Marty McFly

Dans votre enfance, il y a des films qui vous marquent à jamais et qui tiennent une place importante dans votre vie. Pour ma part, il y en a eu plusieurs. Ici, la trilogie Retour vers le futur en tient une place très importante. Vu des centaines de fois, en VHS, puis en DVD et à la télévision, on peut dire que cette trilogie, je la connais comme ma poche. Mais quand un cinéma « Le cinéma Les fauvettes » vous donne la possibilité de le voir pour la première fois sur grand écran avec en plus une version qui a été restaurée, on ne réfléchit pas, on saisit cette chance.

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J’attendais depuis quelques années de vous parler de cette trilogie, le moment est donc enfin venu. Retour vers le futur c’est cette ingéniosité et ce pouvoir de mélanger à la fois humour, tension et suspense tout en vous tenant en haleine jusqu’au bout. Comment Marty va parvenir à rapprocher ses parents ? Comment va-t-il réussir à retourner en 1985 sans Plutonium ? Des rebondissements, des chamboulements, des révélations, le tout accompagné d’une véritable course contre la montre. Ajoutons à cela des personnages principaux attachants, drôles, un héros envers qui on s’identifie très vite.

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Notre protagoniste principal, c’est Marty, jeune lycéen plutôt frêle, peu séduisant, dont le proviseur autoritaire a dans le collimateur et ne cesse de lui répéter qu’il n’arrivera jamais à rien dans sa vie. Il a beau avoir une petite amie, Marty, tout comme le reste de sa famille et surtout de son père, est l’image même du loser « un peu moins que son paternel ». Heureusement, il a malgré tout cette force de caractère et l’espoir que sa vie s’arrangera un jour ou l’autre. Collaborer avec son père, lier une véritable amitié avec lui, permettra à Marty de voir qu’ils partagent aussi un point commun : la passion pour l’artistique. A cette époque, George était passionné par la science fiction et avait des ambitions littéraires.

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Le jeu incroyablement exceptionnel de Crispin Glover dans le rôle de George est la perfection incarnée. Un personnage maladroit, timide maladif, introverti, mal à l’aise, véritable victime, on sera prit d’une véritable affection pour lui. Heureusement, il sera conseillé et encourage par Marty qui deviendra le propre mentor de son propre père. Il sera touchant de voir comment George parviendra à gagner le cœur de Lorraine qui n’a d’yeux que pour Marty « qui se fera appeler Pierre Cardin afin de ne pas donner sa vraie identité et de causer un nouveau paradoxe temporel ».

 

« Encore ! Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire de pieds ? Les pieds seraient le point sensible des hommes du futur ? C’est peut-être dû à un accroissement de la pesanteur. »

Débarquez en 1955

Les années 50 étant les années où la culture adolescente commençait à se développer, le tout accompagné par les prémices de la naissance du Rock’n’roll, il sera terriblement intéressant de voir un adolescent des années 80 découvrir les jeunes années de ses parents. Dans le film, un seul décor : Hill Valley. Petite ville qui sera travaillée à la perfection puisqu’elle aura son look de 1985 mais aussi le look qu’elle avait en 1955. Entre 1955 et 1985, il y a beaucoup de différences. La scène qui voit Marty faire son entrée dans cette époque et découvrir cette autre facette de sa ville natale est merveilleusement construite. A travers les yeux de Marty, nous découvrons la ville et son look années 50. Ses deux cinémas, son square couvert de gazon, ses voitures d’époques « dont des Cabriolet », ses petites boutiques, sa station essence avec ses pompistes très serviables, cette culture, son disquaire, ses gens souriants et paisibles, le tout accompagné par la célèbre chanson d’époque Mister Sandman du groupe The Four Aces. On peut aussi penser aux inversement de rôle avec son maire qui deviendra par la suite clochard en 1985 et le garçon de café afro-américain qui verra son rêve de devenir maire s’exaucer en 1985 grâce à Marty qui lui donnera l’idée. Notre film ne s’arrêtera pas là et nous montrera à quoi s’occupaient les jeunes de cette époque. N’oublions pas non plus le bal de promo accompagné par un des plus beaux tubes des années 50, Heart angel du groupe The Penguins, l’un des moments phare et presque féérique de notre film.

 

« Emmett Brown de 1955 : 2,21 gigowatts !!! 2,21 gigowatts !!! Mon Dieu !!! Marty McFly : Mais enfin c’est quoi un gigowatt ? »

Faites face à une brute de la pire espèce

Une mise en scène détaillée au millimètre près, un rythme soutenu permettant de ne jamais lasser le spectateur, des idées terriblement originales tout comme son inventivité, des dialogues et répliques percutantes et cultes, des costumes d’époque cohérents, un film maitrisé sur le bout des doigts. Rien n’est inutile que ce soit les scènes, dialogues. Le sujet : un fils tentant de rapprocher ses parents pourrait avoir un aspect quelque peu malsain, surtout lorsque l’on verra dès le début que sa mère jettera son dévolu sur lui-même et non sur son père. Heureusement, rien ne dérapera.

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Retour vers le futur marque aussi par son personnage secondaire, LE personnage de la trilogie : Doc Brown, interprété par l’excellent Christopher Lloyd « La famille Adams, Qui veut la peau de Roger Rabbit ». Un vrai savant fou. Cheveux blancs, longs hirsutes, une gestuelle énergique et presque cartoonesque, des expressions et répliques hilarantes « dont son célèbre Nom de Zeus », un personnage presque hystérique et complètement barré. L’image même du scientifique complètement dément mais frôlant le génie.

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Un film de cette trempe doit avoir un personnage de méchant qui mettra des bâtons dans les roues de notre héros. Ici, nous avons Biff Tannen, grand costaud sans cervelle, véritable brute de la pire espèce qui deviendra le Némésis de Marty qui se mettra même à dos les arrières grands parents de Biff dans les autres films. Interprété par Thomas F. Wilson, l’acteur est lui aussi la perfection incarné. Aussi horrible qu’il soit physiquement et du coté de son comportement odieux vis-à-vis de tous, on aime ce personnage. Passant son temps à humilier George McFly qui est son souffre douleur, il aura comme ennemi Marty qui tentera de s’interposer à plusieurs reprises. Tout comme Doc Brown, Biff ne lésinera pas sur les nombreuses répliques cultes à mourir de rire.

 

« Allo Allo ! Y a personne au bout du fil ! Faut réfléchir Mc fly ! Faut réfléchir. »

Rempli de références à la culture pop

On ne compte même plus les références de cette trilogie dans les séries et les films. Mais ce qui fait aussi le charme de cette trilogie c’est quelle aussi fait références à des grands de la culture pop comme ce passage cultissime où Marty se présente une nuit devant son père en combinaison de radiation afin de l’effrayer et dit s’appeler Dark Vador et provenir de la planète Vulcain. En seulement une scène, les références aux films Star Wars et Star Trek sont faites de manière comique et intelligente. Le film n’en restera pas là en faisant d’autres nombreuses références sur l’univers de la musique.

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Du coté du scénario, pas un seul défaut, pas un seul élément peu exploité. Les trois films sont liés et se placent en continuité se qui permet de n’avoir aucunes incohérences. Un exploit pour un film traitant quand même du voyage dans le temps. Vous pensez vous emmêler les pinceaux avec ses histoires de paradoxes temporels ? Pas de problème, le film est conçut de sorte à ce que tout soit expliqué de manière claire et simpliste. Le scénario est d’une richesse impressionnante et parvient en même temps à éviter de se perdre à travers passé et présent. Il en sera de même par la suite dans les deux autres films.

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Dans ce premier film, comme dans les autres, il y a un coté moralisateur au regard très adulte sur notre histoire. Ici, Marty ne va pas seulement faire en sorte que ces parents se retrouvent mais va aussi tenter de corriger leurs erreurs, notamment de faire de son père, un homme courageux qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Il sera bien aussi question de cela dans notre film. La volonté de changer sa vie, trouver le courage et faire face à ses peurs. Ce qu’il y a de plus touchant dans ce film c’est que Marty assistera à la première rencontre entre son père et sa mère et verra leur premier baisé lors d’un bal de promo d’une poésie et d’une douceur sans nom.

 

“Hier soir, Dark Vador est venu sur Terre de la planète Vulcain, et il m’a dit que si je n’invitais pas Lorraine, il ferait fondre ma cervelle”

Pour conclure

On pourrait en parler des jours et des jours dans ce premier film est d’une richesse incroyable sur tous les plans. Retour vers le futur c’est le film qui vous fait passer un moment de divertissement inoubliable en compagnie de personnages plus attachants les uns que les autres. Une bande originale légendaire, symphonique, marquante, aussi envoutante que celle de Star Wars ou Indiana Jones, l’aventure est visuelle mais aussi auditive. Parfois très humoristiques, parfois sérieux, plein de suspense et de tension, un voyage dans le temps que l’on fait et refait avec grand plaisir. Un scénario diablement bien ficelé et exploité jusqu’au bout, des références de la culture pop nombreuses, un jeu d’acteurs très juste, des phrases mythiques, une bande son dynamique et rock. En bref, ce premier Retour vers le futur est juste LA merveille du cinéma de science fiction. Maintenant que vous avez compris qu’il faut voir ce film, vous allez faire comme dans l’infanterie et vous allez vous tirer ailleurs bande de bananes !

TO BE CONTINUED…

https://www.youtube.com/watch?v=8gwpdm_AqDY


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Jérémie Ziza (Rédacteur le coin des critiques ciné) Salut à tous, moi c’est Jérémie. Ayant terminé récemment mes études de littérature, je suis actuellement en recherche d’emploi. Je vais innover moi aussi : je suis passionné par le cinéma. Et cette passion, je l’a doit aussi à mon père qui m’a fait découvrir beaucoup de petits bijoux à l’âge d’à peine 7 ans. J’ai commencé par les films avec Arnold Schwarzenegger , Jackie Chan, Sylvester Stallone et puis ca c’est étendu en allant en direction des films du genre fantastique et de science fiction. Tout y est passé : E.T, Jurassic Park, Indiana Jones et aussi mais surtout Star Wars. Les années ont passées, j’ai étendu mon registre en regardant des films de tout genre « films indépendant, comédie, horreur, romance, thriller, biopic, animation » . Tout y est passé. On peut dire que j’ai des gouts diverses et variés, du moment que ca m’émeut. Quand je suis face à un film où les personnages sont attachants, où l’histoire est bien travaillée et aussi mais surtout que la musique me fait vibrer, le film a déjà gagné mon cœur. Du Coté des réalisateurs que j’aime le plus, je citerais déjà trois réalisateurs qui ont enchantés mon enfance : Steven Spielberg, James Cameron et George Lucas. Coté Français, Luc Besson a lui aussi réussi à me faire ressentir des tonnes d’émotions, que ce soit avec « Léon ou bien Le cinquième élément » . Du coté des mes acteurs préférés, j’en ai beaucoup mais celui qui est plus ou moins la pièce maitresse de ma pyramide des acteurs que j’affectionne, c’est Arnold Schwarzenegger. J’ai grandi avec ses films, je continue encore à les regarder même si en toute objectivité et en ayant l’œil critique, certains ne volent pas haut du coté scénario. Pour les autres, je suis un très grand fan de Sylvester Stallone, Jackie Chan, Tom Cruise, Jean Reno, Mel Gibson, Harrison Ford, Johnny Depp, Jim Carrey, Ben Stiller, Robert Downey Jr et bien d’autres. Du coté actrice, j’ai un très grand penchant pour Sandra Bullock, Charlize Theron, Nathalie Portman, Shailene Woodley, Keira Knightley, Ellen Page. Pour terminer j’ai aussi des films que j’appelle « mes films de chevets et dont je ne pourrai jamais me séparer » : Terminator 2, Les Indiana Jones, Les Star Wars, la trilogie de Retour vers le futur, Gremlins, Edward aux mains d’argent, Forrest Gump, Dark Knight « j’ai oublié de vous dire, j’adore les films de super héros », The Crow, Hook, la saga des Rocky. Je préfère m’arrêter là, on y passerait la journée. En attendant de peut être un jour devenir critique de films, je me joins à l’équipe de Le Coin des Critiques Ciné et en vous donnant une analyse des films que j’ai pu voir, mais aussi mon témoignage, mon ressentit et en parsemant tout cela de photos. Salut à tous et n’oubliez pas d’aller au ciné !

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