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Inspiré d’une histoire vraie, JOY décrit le fascinant et émouvant parcours, sur 40 ans, d’une femme farouchement déterminée à réussir, en dépit de son excentrique et dysfonctionnelle famille, et à fonder un empire d’un milliard de dollars. Au-delà de la femme d’exception, Joy incarne le rêve américain dans cette comédie dramatique, mêlant portrait de famille, trahisons, déraison et sentiments. De: David O Russel avec: Jennifer Lawrence, Bradley Cooper, Robert De Niro, Edgar Ramirez, Dascha Polanco.. Genre: Comédie dramatique durée: 2h03 minutes.

Quelle satisfaction d’avoir terminer l’année avec ce si bon film et pourtant au tout départ quand il avait parlé de ce projet juste d’une histoire vraie sur une femme réussissant un gros coup avec une histoire de balai j’avoue avoir été sur mes gardes et au final c’est bien plus que tout cela. Une formidable façon de l’a conclure, David O Russel réussit à me combler pour la troisième fois après Happiness Therapy et American Bluff tous deux, de très bons films dans leurs domaines. On reprend les mêmes et on frappe fort le trio de choc composé de Jennifer Lawrence (Xmen, Hunger games) Bradley Cooper (Very Bad Trip, American Sniper) Robert De Niro (Les affranchis, Every body’s fine) est une nouvelle fois réunit pour notre plus grand plaisir. (Tous 3 y apparaissent dans Hapiness Therapy et American Bluff) Bien qu’un seul personnage soit au centre de nos attentions Joy incarnée par l’oscarisée à deux reprises Jennifer Lawrence pour les films de ce réalisateur.

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520806.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxxQuel merveilleux rôle il lui offre là, celui d’une femme forte qui ne lâche rien pour accomplir ses rêves. Jennifer Lawrence y est une fois de plus bluffante. Elle occupe la caméra, y est radieuse, lumineuse, elle n’a jamais été aussi mise en valeur que dans ce film. Je lui voue une admiration sans fin. Evidement Robert de Niro y est impeccable avec sa prestance habituelle, lui qui n’a plus rien à prouver d’ailleurs une scène ou des effets ont du jouer pour montrer un De Niro plus jeune sont bluffant et m’ont rappelés ceux fait avec Michael Douglas sur Ant man, rien à en redire. Bradley Cooper y est un second rôle de poids mais je voulais aussi saluer Edgar Ramirez ( prochainement dans Libertador ou Point break, déja vu dans Cartel..) espoir du meilleur acteur en 2011 un vrai charisme et un duo avec notre héroine qui fonctionnait parfaitement à l’écran et que j’aimerai particulièrement revoir par la suite et qui aurait mérité dans ce film être encore un peu plus mit dans la lumière. Les femmes ne sont pas à plaindre ici elles y sont en force je parle de Virginia Madsen (Crazy kind of love, All the willderness), Isabella Rosselini (Black list, Enemy), Diane Ladd (Burnt Munro, 3 soeurs dans le Montana) et  Dascha Polanco (Orange is the new black, Protège moi)..

La bande annonce m’annonçait une petite pépite et a aucun moment ne m’a déçu. Certains m’avait averti de quelques longueurs, je n’en ai vu aucune j’ai vraiment été hypnotisé par tout ce que ce film généreux m’offrait. Alors oui c’était prévisible, l’histoire l’est, mais le but du film n’était pas de surprendre par son scénario mais de captiver par son histoire et son message d’espoir qui y est la force du film. Un message d’amour, de passion et une détermination à aller au bout de ses convictions. L’humour de ces 2 précédents films avec ce trio s’y retrouve bien, fidèle à lui même. On se demande jusqu’ou cet homme nous bluffera. J’en reste impressionné. Il se construit une sacré belle filmographie, on sent l’amour du jeu chez les acteurs, le plaisir de se retrouver et d’être du projet.  La caméra embrasse chacune de leurs scènes. Jennifer Lawrence est de la trempe des plus grandes. J’ai hâte de l’a voir dans le projet de science fiction au côté de Chris Pratt (Les gardiens de la galaxie, Jurassic World) porté par le réalisateur de Imitation Game, Morten Tyldum et qui s’intitulera Passengers. On a également envie que ce trio soit ses coqueluches, que cela soit un rendez vous quotidien avec le public qu’on a envie de retrouver à l’écran encore pour très longtemps.

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De ses 3 films avec ce trio je classerai Joy en tête de liste son plus beau projet pour moi, puis American Bluff et Happiness Therapy en dernier les trois étant très bons. Pour Joy la musique y est belle, comme le sont le décor, la réalisation ou son histoire qui nous porte, son actrice nous fait rêver et mériterait une nouvelle fois sans mal de décrocher un nouvel oscar. Monsieur David O Russel réussit son meilleur coup. Joy est un film qui redonne gout à la vie et qui se croque à pleines dents. Un film qui j’espère sera à l’image de l’année 2016. Courrez y.

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Une passion depuis tout petit, qui a grandi avec les films de De Funès et Bourvil que ma grand-mère me faisait découvrir. J’ai toujours aimé cet univers... Leonardo Dicaprio ou Tom Hanks ont contribué à me faire rêver année après année. J’ai écrit au lycée un court-métrage dans le cadre de l'option "audio-visuel", puis on s’est attelé à le réaliser. Je suis passé par la caméra - devant ou derrière, du casque-son à la perche. Toutes les étapes étaient plaisantes à faire et cela a confirmé que je voulais continuer dans cet univers car c’est le mien tout simplement, c’est la ou je me sens bien. Le futur je ne le vois que dans le cinéma. J’ai toujours voulu être acteur, quand je vois un film, il y a toujours un rôle ou je me dis : "tiens, j’aurais aimé être ce personnage !" Ce sont bizarrement rarement les 1er rôles que je trouve les plus intéressants. J’ai écris un scénario pour un jour, si je perce, pouvoir le réaliser... après avoir passé quelques années à apprendre avant bien évidement ! J'ai tourné dans un court métrage du réalisateur Florian Hessique qui avait pour titre "je ne dirai plus jamais je t'aime" dont la photo est d'ailleurs tirée. J'ai figuré dans la web série"Germains germaines" dont les réalisateurs sont maintenant des amis... Et je suis preneur de tous projets ! Le cinéma, il n’y a pas une journée sans que j’en parle ; ça fait tout simplement partie de moi ! une citation de Marin Scorcese m'aide à avancer chaque jour "Je faisais mon chemin mais le cinéma était une obsession".

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