Date de sortie 17 octobre 2018 (1h 47min)
De Shane Black
Avec Boyd Holbrook, Trevante Rhodes, Olivia Munn, Jacob Tremblay, Sterling.K.Brown, Thomas Jane…
Genres Action, Science fiction
Nationalité Américain
Musique Henry Jackman
Une chasse a l’homme, pour finir en navet…
Synopsis
Les pires prédateurs de l’univers sont maintenant plus forts et plus intelligents que jamais, ils se sont génétiquement perfectionnés grâce à l’ADN d’autres espèces. Alors qu’un jeune garçon devient accidentellement leur cible, seul un équipage hétéroclite d’anciens soldats et un professeur de science contestataire peuvent empêcher l’extinction de la race humaine.
L’année dernière Alien Covenant, cette année c’est au tour de Predator de faire son retour. Après l’échec du film de Robert Rodriguez, qu’est qui faisait croire à Shane Black qu’il allait réussir? Son nom? Shane Black a un style, mais on ne pas peut tout pardonner, quand c’est mauvais et ça l’est vraiment… Alors que le bonhomme avait signé, le long-métrage The Nice Guys excellent film au passage on croyait un minimum au projet enfin certain y croyait pas tout le monde. Il faut savoir que le réalisateur, dans sa jeunesse était l’un des acteurs du film, et il crut bon qu’en réaliser un opus serait une bonne idée mais pas tant que ça finalement. Le film aurait pu être, au moins bon mais ce n’est pas le cas car la FOX a cru bon comme bon nombre de studios de couper énormément de scènes au montage. Un come-back de Prédator raté, qui aurait mieux fait de rester sur sa planète.
Un petit garçon Rory, trouve un casque étrange qui vient d’une autre planète. Sans le savoir le jeune garçon, appel les Prédators qui veulent récupérer leur casque. Son père Quinn, est un mercenaire qui doit être transféré dans une prison alors que les médecins et chercheurs étudient un prédator ce dernier se réveille et attaque l’équipe. Quinn avec d’autres prisonniers dans le bus, est témoins de la fuite de la créature qui devient rapidement une menace pour le monde. Quinn et les autres, arrive à s’échapper du bus de prisonniers et il doit tout faire pour sauver son fils et vaincre ces créatures qu’il avait déjà rencontrées lors d’une mission, et qui l’ont conduit là où il est à présent. Quinn et les autres, sont aussi les proies des Prédators qui veulent ce que détient son fils. Mais Treager, une connaissance de Quinn, désire son gagne-pain et désire ce qu’a le petit garçon. Ce Prédator 2018, aurait pu être tellement plus jouissif, mais il reste un film trop simple et puis on voit que le charcutage dont a été victime le film a bousillé une bonne partie. On se régalera avec quelques scènes gores, mais c’est tout car ça ne fait pas la qualité d’un film. Quelques scènes fonctionnent, mais sinon c’est globalement c’est un ratage et c’est dommage car avec Shane Black il y avait un potentiel. La mise en scène se retrouve gâchée, par des créatures body-buildées, qui n’ont plus rien de prédator elles sont d’une laideur et ce ne sont pas les chiens qui donneront du crédit au film. La réalisation est gâchée, par tellement de choses, le trop-plein de blague ce n’est pas un film comique pourtant… Quelques blagues, de temps en temps encore, mais là c’est limite. Alors oui, cette version 2018 de Predator est un ratage certainement.
Fred Dekker et Shane Black, signe le scénario du film. Shane Black devait y avoir introduit de bonnes idées, qui on était coupé au montage et au final il ne reste que très peu de bonnes choses. Il reste que des mecs poursuivi par une créature, qui tient des chiens en laisse, et qui sont d’une laideur. Un jeune garçon autiste, qui possède ce qui leur appartient. S’il y a des thématiques dans le film? Ou sont-elles? En tout cas, dans l’écriture aussi il n’y a pas grand-chose a retenir, et le final du film se ridiculise encore plus avec une fainéantise affligeante. Le casting n’est pas si mauvais, on y retrouve Boyd Holbrook ou le jeune Jacob Tremblay, ou encore Olivia Munn et Thomas Jane qui livre des répliques plutôt drôles. Ce qui est sur, c’est que cette version de Predator reste l’un des flops de l’année, et pas grand monde ne dira le contraire.
Bande annonce