Sortie 16 octobre 2020 en VOD
Durée 1h 49min
Genre Science fiction, Aventure, Comédie
De Michael Matthews
Avec Dylan O’Brien, Jessica Henwick, Michael Rooker, Dan Ewing, Ariana Greenblatt, Ellen Hollman, Pacharo Mzembe…
Musique Marco Beltrami et Marcus Trumpp
Des humains et des monstres
Synopsis
Un jeune homme tente de survivre dans un monde post-apocalyptique envahi par des monstres. Un expert lui enseigne comment les combattre…
Le réalisateur sud-africain Michael Matthews, n’en est pas à son premier film alors que Love and monsters aurait du avoir le droit a une sortie cinéma finalement, c’est Netflix qui distribue le film. Ceux qui diront encore que c’est encore une production Netflix ratée, la plate-forme de streaming n’en sera pas en cause de plus c’est la Paramount qui produit le film. C’est quand même dommage, car il aurait été intéressant de découvrir ce film en salles, Dylan O’Brien, révélé avec la trilogie le labyrinthe s’en tire très bien dans ce film de monstres. C’est un long-métrage qui cherche avant tout à divertir, mais arrive a apporter sa touche d’humour avec quelques séquences émouvante. Un film post-apocalyptique, qui avec son propre style arrive à divertir et c’est l’essentiel, car c’est ce qu’on recherche avant tout.
Il y a sept ans de ça alors qu’une météorite, menacer de s’écraser sur la terre les humains ont envoyé des explosifs pour la détruire. Cette dernière s’est détruite, mais des retombées chimiques ont contaminé la terre, car en effet les animaux et insectes on mutait de façon monstrueuse. Car en effet, cette retombée aux conséquences dramatique a plongé la planète, dans un monde post-apocalyptique ou les animaux et insectes sont devenus des monstres et tuent les humains. La population de la race humaine, a radicalement baissé et les survivants tentent de survivre comme ils peuvent en vivant dans des bunkers pour la majorité. Joël fait parti de ces survivants qui vit dans les bunkers, depuis déjà sept ans qu’il vit avec un groupe qu’ils l’ont recueilli, qui sont devenu ses amis et sa famille. C’est un jeune homme effrayé, qui a peur de l’affrontement en ce monde hostile. Il rêve de revoir Aimée, sa petite amie à qui il avait promis de la revoir il y a sept ans, il arrive à communiquer avec elle grâce à une radio. C’est alors qu’il décide de partir, a la rencontre de la jeune femme, il rassemble son courage et quitte le bunker et dit au revoir à ses amis. Le voilà seul, désormais dans ce monde hostile face à ce monde rempli de monstres horrible. Lors de son périple, il affronte les pires créatures, puis il fait la rencontre d’un chien qui deviendra son compagnon de route. Il fera également la rencontre d’un homme et d’une petite fille, qui arrive à temps avant que Joël ne se fasse dévorer. Puis le jeune homme poursuivra sa route, ou il devra encore affronter des monstres. En terme de mise en scène Love and monsters, ce n’est pas extraordinaire, mais ça reste honnorable, car le film livre des séquences vraiment joli parfois. Michael Matthews gère très bien sa réalisation, c’est captivant puis l’humour fonctionne très bien et apporte beaucoup au long-métrage. Les effets-spéciaux sont franchement appréciable, car le design des monstres est vraiment réussi.
À l’écriture du scénario, c’est Matthew Roninson et Brian Duffield,ils écrivent un récit purement jouissif ou le monde post-apocalyptique est très bien décrit et convaincant. Dans le traitement des personnages, on est vraiment dans une écriture appréciable ou le personnage de Joël est vraiment intéressant. Les blessures du passé, sont encore en lui comme beaucoup de survivants et il n’oublie pas cette jeune femme, qu’il avait rencontré il y a sept ans et dont il était tombé follement amoureux. Ce n’est certes pas un scénario incroyable, mais ça reste franchement correct et pour ce type de film, c’est suffisant. On regrettera seulement que les scénaristes ne se soient pas plus attardées, sur les personnages de Clyde et Minnow, car ils sont expédiés trop rapidement, ils méritaient plus de développement. Pour ce qui est des monstres, ils rendent très bien, puis visuellement, il faut dire que ça reste impressionnant. Dylan O’Brien est vraiment convaincant dans le rôle, de ce jeune homme peu sûr de lui et peureux. MIchael Rooker en Clyde est hélas peu trop présent et c’est bien dommage. Jessica Henwick en Aimée, apporte une touche féminine, importante au récit. Love and Monsters est un divertissement honnête, qui tient ses promesses.
Bande annonce