De ma génération on a été bercé de dessins animés Disney nous offrait des coups de crayons impressionnant pour des personnages touchants ou terrifiants mais toujours extrêmement bien fait et avec par dessus une belle histoire. De nos dessins il n’en reste rien car on peut le dire maintenant tout est fait en animation et le rendu et pour ma génération souvent pas aussi bons que ce que l’on nous offraient on est très nostalgiques de cette époque là qu’évidement la jeune génération n’a pas. De nos jours un film d’animation essaie d’avoir des noms pour donner la voix à un personnage, ce qui n’était pas tant le cas de la notre, cela commençait tout juste, j’imagine que cela a des conséquences directes sur les ventes mais bon tant que l’on me fait rêver peu importe et avec Vice versa j’ai été réellement transporté.
Au casting de cette pépite Gilles Lellouche est Colère, Pierre Niney est Peur, Charlotte le bon est Joie, Mélanie Laurent est dégout. Voilà un casting détonnant pour film d’animation.
Vice versa est une petite pépite vraiment, absolument pas attendue pour ma part mais aux vus des nombreuses critiques unanimes, la curiosité n’était que trop grande et en effet Pixar a encore fait très fort entre Toy Story, Le monde de Némo, La Haut, Ratatouille en passant par les Indestructibles pour ne citer qu’eux Pixar est devenu une source de film de bonne qualité. Pour un film destiné aux enfants en priorité la grande surprise est d’avoir la un scénario d’une originalité débordante bien pensée et qui marche de bout en bout.
Ces petites voix intérieures, nos sentiments deviennent là des personnages qui nous dirigent Joie, Colère, Tristesse et Peur se partage le travail. Nous sommes dans le cerveau d’une petite fille mais selon sa réaction face à un événement nous verrons Joie, Colère, Tristesse, Peur du cerveau du père par exemple réagir à tout cela et c’est wahou.. Bien trouvé. De ses moments amènent des souvenirs pour représenter aux enfants que nos souvenirs restent en notre mémoire et que nous les conservons le film représente une sphère et cette sphère conserverait notre souvenir et certaines personnes, des agents de notre cerveau on pourrait les appeler se chargerait de décider ce qui est bon de conserver au fur et à mesure que l’enfant grandit et mûrit. Chaque souvenir à son monde le monde de la famille, le monde de l’amitié, le monde du hockey (sa passion) ce qui l’a représente et l’a caractérise. Joie peur colère et tristesse doivent ainsi veiller à l’harmonie de la petite et que ces mondes ou lui sont entreposés ses souvenirs ne se brisent pas.
En allant d’embûches en embûches à des rencontres innatendues comme des personnages imaginaires nous passons la totalité du film à être impressionné de l’ampleur du projet et de son résultat on a plus qu’à applaudir avec grand respect et surtout leur dire un grand MERCI un film qui comblera les enfants comme les parents.
XDC