Godzilla de Gareth Edwards avec Aaron-Taylor Johnson , Bryan Cranston , Ken Watanbe , Elizabeth Olsen et Juliette Binoche
Une remise au gout du jour du monstre japonais extrêmement bien mit en scène , porteur de messages mais qui aurai du voir son scénario plus approfondi et des personnages un peu plus travaillés.
Synopsis: Godzilla : le roi des monstres doit sauver l’humanité de la destruction aux prises contre d’autres monstres crées par l’arrogance de l’être humain.
Souhaitant relancé le monstre Japonais au cinéma le studio Warner décide de confier la réalisation du film à un réalisateur peu connu du nom de Gareth Edwards qui avant Godzilla avait réaliser qu’un seul film a petit budget mais néanmoins très bien mit en scène : Monsters. Ce qui etait un pari très osé de la part de Warner de confier la réalisation d’un Blockbuster d’une telle démesure tant la démesure du projet fais écho à Godzilla.
La pari de Warner en confiant ce film a Gareth Edwards est-il réussi ?
En terme de réalisation c’est un pari réussi a 200% , c’est aussi réussi en terme d’effets spéciaux qui sont tout simplement fou , tout aussi impressionnant que le » Pacific Rim » de Guillermo Del Toro qui était lui aussi un film de de monstre.
le film prend place dans un monde proche du notre qui est en proie à une nature de plus en plus violente ( explosion du réacteur de la centrale de Fukushima au Japon , tremblements de terre , typhons etc…) du au mauvais traitement de l’être humain envers la nature. Dans ce film Godzilla est extrêmement bien représenté en temps que représentation de cette nature destructrice ainsi que les autres monstres du films.
Godzilla n’est pas le seul personnage heureusement car chaque films de monstres doit être vu aussi d’un point de vue humain. C’est pour sa que nous suivons aussi l’aventure de la famille Brody ainsi que d’un scientifique :
Au casting de cette famille nous retrouvons Bryan Cranston dans le rôle de Joe Brody alias le père , Aaron-Taylor Johnson dans le rôle de Ford Brody ainsi qu’Elizabeth Olsen dans le rôle de Ellie Brody la femme de Ford.
Nous retrouvons aussi Ken Watanabe dans le rôle du scientifique Daizuke Serizawa
Le film débute sur une reconstitution d’images d’archives datant d’après la seconde guerre mondiale où on nous montre plusieurs pays en train de larguer des bombes nucléaires dans le pacifique mais cette fois pas pour les tester mais pour détruire une chose sortie des profondeurs de l’océan.
Ce 1er plan du film est très réussi car ils fais écho à des vrai événements survenus dans le passé et nous montres déjà la peur de l’être humain sur quelque chose qu’il ne peut pas contrôler.
Parlons des personnages , sont-ils réussi ?
Dans l’ensemble les personnages sont plutôt réussi et mais ils n’arrivent pas à éviter une bardé de clichés vu et revu dans le cinéma Hollywoodien.
Le personnage de Ford est très bien interprété par Aaron-Taylor Johnson mais son personnage est une caricature du militaire qui veut sauver sa famille.
Le personnage de Ellie est par contre raté malgré qu’elle soit très bien interpréter par Elizabeth Olsen car son personnage est encore plus cliché que celui de Ford en gentille petite femme qui attend son mari et qui aime son fils mais qui ne part pas de la la ville quand celle-ci est en proie aux destructions perpétrées par les montres.
Le personnage de Joe quand à lui est réussi car au début du film on le vois travailler dans une centrale nucléaire avec sa femme mais à la suite d’un mystérieux tremblement de terre il y perd sa femme. Son personnage nous montre qu’il est déterminé a faire éclater la vérité sur la mort de sa femme et tout particulièrement de la destruction de la centrale qu’il ne juge pas accidentelle. Grâce à la détermination qui anime le personnage de Joe on s’attache très vite a lui .
Dommage qu’il n’occupe que la 1ere partie du film car il meurt devant les yeux de son fils
Fin du spoil
Parlons mise en scène cette fois :
Dans ce film Garteh Edwards impressionne car on aurai put croire que ce jeune metteur en scène serai dépassé par l’envergure du projet car il ne s’agit que de son deuxième film et que son premier film n’avait couté que 800000 dollars alors que Godzilla a couté 200 fois plus.
La mise en scène de Gareth Edwards est aidée par les sublimes effets spéciaux que profite le film. Elle est très bien faite car Gareth Edwards préfère teaser la créature au maximum à la manière d’un Steven Spielberg avec son » Dents de la Mer » et d’un Peter Jackson avec son remake très réussi de » King Kong » ce qui prouve que le bonhomme à de la suite dans les idées en s’inspirant de se ses ainés.
Sa mise en scène est aussi très spectaculaire car quand l’on voit Godzilla détruire la ville en se battant contre d’autres monstres est tout bonnement incroyable , les voix de personnes qui crient , les bâtiments détruits , les cris de Godzilla et des monstres sont tout simplement un plaisir auditif.
Le scénario est-il réussi ?
le scénario qui repose sur de bonne idées est malheureusement mal traité notamment a cause des codes actuels des blockbusters Hollywoodiens modernes. Nous avons encore le droit à la ville en proie à une menace nucléaire , le gentil militaire qui cherche à sauver la ville tout en essayant de sauver la femme qui l’aime.
Mais tout dans le scénario n’est pas a jeter car le film est porteur de messages car cette fois si Godzilla n’est pas là pour dénoncer le fléau nucléaire contrairement au 1er film qui le mettait en scène en 1954. Dans cette version de 2014 Godzilla est la pour dénoncer l’avarice de l’homme a vouloir tout contrôler , dans le cas de ce film c’est la nature et Godzilla incarne cette nature destructrice.
Voila qui conclue cette critique de Godzilla de Gareth Edwards qui est un excellent blockbuster de divertissement , avec une superbe mise en scène , des effets spéciaux a couper le souffle mais qui pèche notamment dans la construction de son scénario certes appuyé par des messages fort mais qui reste cliché à cause des codes des blockbusters modernes et qui pèchent aussi par des personnages clichés qui aurai être du plus travailler dommage car nous ne sommes pas passé loin de l’excellent film.
Conclusion : La nature gagne toujours