Les Gardiens de la galaxie Volume 2 de James Gunn

Fiche Technique:

Réalisateur: James Gunn

Casting: Chris Pratt, Zoe Saldana, Dave Bautista, Bradley Cooper, Vin Diesel, Michael Rooker, Karen Gillan, Kurt Russel, Pom Klementieff, Elizabeth Debicki et Sylvester Stallone

Budget: environ 200 000 000$

Date de sortie cinéma: 26 avril 2017

Genre: Action, Aventure, Science-Fiction

Nationalité: Américain

Durée: 2h13 min

Synopsis: Les Gardiens de la galaxie 2 poursuit les aventures de l’équipe alors qu’elle traverse les confins du cosmos. Les gardiens doivent combattre pour rester unis alors qu’ils découvrent les mystères de la filiation de Peter Quill. Les vieux ennemis vont devenir de nouveaux alliés et des personnages bien connus des fans de comics vont venir aider nos héros et continuer à étendre l’univers Marvel.

 

 

Mon avis point par point (Nicolas City Zen)

_ Le côté cool qui ne se prend pas au sérieux du 1 est présent ici… pour le meilleur (ça crée une identité propre à cette saga, c’est fun) comme pour le pire (ça fait forcé, usé et ça empêche d’être vraiment ému sur les passages adéquats).

_ 2h16, c’est long, surtout la première partie qui manque clairement d’enjeux et qui n’est qu’une succession de punchlines et de scènes sans intérêt pour l’intrigue du film.

_ Les nouveaux personnages (Mantis et Ego) sont réussis, avec (et c’est rare) un méchant qui a de l’envergure et (un peu) d’épaisseur.

_ Au niveau de l’équipe de départ, Star Lord est bien développé au niveau de ses origines, Gamora aussi dans sa relation à sa sœur et à son père (Thanos est prêt dans l’ombre…). Drax reste dans la caricature, Rocket Racoon est bien exploité niveau gadgets mais moins dans la consistance, Baby Groot reste LE produit business commercial.

_ Les effets spéciaux sont très bien faits, donnant un univers de space opéra dense, varié et esthétiquement réussi.

_ Le MCU devient vraiment une série à part entière, avec beaucoup de films pour une intrigue générale qui avance vraiment lentement et qui s’adresse de plus en plus aux fans.

Note attribuée:

 

 

 »Enfin un film du MCU où il n’y a pas de l’action non-stop » 

Après avoir surpris tout le monde en 2014 avec le premier film, Marvel nous ressert le couvert avec l’équipe de super héros la plus attachante de la galaxie. Quand le premier film était sorti en août 2014, il rencontra un énorme succès et ce positionna sans problème dans le top 3 des meilleurs films du MCU. Le long-métrage réalisé par James Gun, sans être le film de super héros ultime, il apportait un véritable vent de fraîcheur dans l’univers cinématographique Marvel. Le film de James Gun avait su habilement jouer entre l’humour, les scènes d’action, le développement de ses personnages. Le second volet est enfin de sortie dans nos salles. Et donc au final, bonne suite ? ou redite du premier film ?

S’il y a bien quelque chose aux films Marvel/Disney c’est la qualité de leurs effets spéciaux (sauf pour Civil War). Avec ce Gardiens de la galaxie Volume 2, Marvel repousse les limites des FX. Doctor Strange était en fait un simple avant-goût. Le film dispose d’un budget d’environ 200 millions de dollars, et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’on comprend pourquoi le film a coûté aussi chère. Le long-métrage fut principalement tourné sur fonds-verts et cela se sent, mais dans le bon sens du terme. Cela faisait longtemps que je n’avais pas littéralement pris une claque visuelle. James Gun gère vraiment bien ses effets spéciaux, qui sont pétant de couleur et qui sont dans la droite lignée du film précédent. Contrairement à son aîné, les fonds-verts ne se voient presque pas (à quelques exceptions près). En bref un très grand bravo aux équipes techniques qui nous ont livré un film visuellement dingue.

On a beaucoup reproché à Marvel de ne miser que sur l’action (à juste titre) au détriment de ses personnages. Avec ce film, Marvel corrige enfin le tire. Nos Gardiens de la Galaxie sont bien plus étoffés que dans le précédent volet, les origines de Star-Lord sont ici enfin dévoilées et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles sont très surprenantes. En ce qui concerne Rocket Racoon, le film en profite pour approfondir sa psychologie, car sous cette carapace de brute se cache quelqu’un de sensible, Drax est à la fois drôle et touchant, Gamora est elle aussi très approfondie, sa relation avec sa sœur Nebula (elles sont toutes les deux les filles du Titan fou Thanos). Yondu (le chef de ravageurs du premier film) est lui aussi très intéressant, car il est très proche du personnage de Rocket et une scène le mettant en valeur nous permet de véritablement s’attacher à lui. En ce qui concerne les nouveaux personnages, c’est un quasi sans-faute. Le personnage joué par Kurt Russel, qui s’avère être le père de Star-Lord est quant à lui très intéressant à suivre. En ce qui concerne le personnage de Mantis interprété par la petite frenchie: Pom Klementieff est vraiment très touchante à suivre mais son développement est vraiment très minime par rapport aux autres personnages du film.

Le film est aussi très surprenant, car il possède une thématique assez forte et que l’on retrouve tout le long du film et au centre de l’intrigue et qui est  »la famille ». Dans le premier film, on sentait que tous nos personnages qui forment l’équipe des Gardiens sont une bande de potes qui se sont formés sur un concours de circonstances. Dans ce second volet de leurs aventures, on a plus à faire à une bande de potes, mais belle et bien une famille. Chaque personnages tient à l’autre, Star-Lord tient beaucoup à Gamora, malgré que leur  »relation » reste très ambiguë. Rocket et Baby Grott sont toujours inséparables et Drax quant à lui tient à toute l’équipe, qu’il considère comme sa 2ème famille, car la sienne fut tuer par Ronan (l’antagoniste du premier film).

Le scénario du film part sur de bonnes idées en voulant explorer les origines de Star-Lord en nous montrant qui est véritablement son père. Car à la fin du premier volet, on apprend que Peter Quill est le fruit de l’union d’une terrienne et d’un être extraterrestre, ce qui explique pourquoi il a pu tenir l’Orbe sans être désintégré par cette dernière. Comme il est dit plus haut, le scénario repose sur de bonnes idées, mais reste quand même très prévisible. On devine aisément qui est le véritable antagoniste du film, les retournements sont assez faciles à deviner. En clair le scénario est clairement le gros point faible du film. Mais cela n’empêche en rien le film de fonctionner.

En termes de réalisation, James Gun s’est littéralement lâché. On retiendra surtout le plan-séquence en début de film qui se place selon le point de vue de Baby-Groot. Le metteur en scène arrive aussi très bien à capter le surnombre, on pense notamment aux scènes mettant en valeur le peuple doré qui conduit ses vaisseaux à l’aide de bornes d’arcades (non je ne déconne pas ^^). Il arrive aussi très bien à capter les interactions de nos personnages quand ils interagissent entre eux.

Le casting est un des gros points positifs du film. Le Quatuor: Chris Pratt, Zoe Saldana, Dave Bautiste et Bradley Cooper et Vin Diesel qui interprètent respectivement: Star-Lord, Gamora, Drax, Rocket et Baby Groot sont toujours aussi excellents. Au niveau du casting secondaire on retiendra surtout Michael Rooker (Merle dans la série The Walking Dead) qui joue Yondu, Karen Gillian en Nebula et Sean Gunn en Kraglin: le second de Yondu.

Les nouveaux venus comme Kurt Russel qui joue le personnage d’Ego (le père de Peter Quill) est vraiment touchant, on reconnait les mimiques de l’acteur. Notre petite française Pom Klementieff qui hérite du rôle de Mantis se débrouille très bien et arrive vraiment à nous faire ressentir la maladresse, l’émotion et la tendresse de son personnage. On retrouve aussi la voluptueuse Elizabeth Debicki qui joue ici la Pretresse Ayesha.

En conclusion je dirais que ce second volet des Gardiens de la Galaxie est une réussite qui selon moi surpasse son aîné, le film arrive à mixer parfaitement entre le spectaculaire, l’émotion et le développement de ses héros. Et sur ce coup on peut applaudir Marvel qui arrive enfin à nous faire un film qui ne mise pas que sur ses scènes d’action.

Note attribuée:

 

 

 

Le deuxième volet de cette histoire fabuleuse est… Juste génial !
Je ne vais pas vous décrire l’histoire trop en détail, mais c’est, encore une fois, les 5 gardiens qui doivent sauver la galaxie.

Le scénario est encore mieux écrit pour l’humour. La salle entière rigolait à certains passages. Dès les premières minutes, nous avions le sourire qui montait ou le rire (pour certaines personnes). L’histoire est banale et on découvre un peu plus l’histoire de Star Lord (Peter Quill). On découvre un peu plus son passé. Le scénario est écrit par le réalisateur : James Gunn (II). Il a déjà travaillé pour le premier film et a réussi à peaufiner son travail en améliorant l’humour et les émotions de ce film-ci.
Les scènes, les effets spéciaux, le graphisme… Le film était en 3D et rien n’était dérangeant en deux heures de film ! Rocket ressort encore mieux en 3D, Groot est encore plus mignon et les effets encore plus impressionnants. Les décors sont juste magnifiques et on rentre dedans avec ce réalisme à couper le souffle. On ne pense pas une seconde qu’on est dans un film à effet 3D ! C’est juste fabuleux.

Les acteurs ne sont plus à décrire ! Ils se sont améliorés et ont mieux joué leur personnage en leur donnant plus de personnalité, d’humour, d’émotions… Ils commencent à avoir le rôle dans la peau !
Rocket reste très drôle ainsi que Peter. Gamora reste la guerrière qui n’a besoin de personne pour se défendre. Sa sœur Nebula est plus présente dans le deuxième film. Elle aussi joue bien et on découvre son histoire un peu plus en détail.
Groot… Je s’appelle groot.
Drax, quant à lui, nous montre son côté émotionnel et intelligent qui… en fait nous fait rire ! Il apporte de l’humour un peu bête. Il ne mâche pas ses mots et ne se rend pas compte de ce qu’il dit. Mais on peut découvrir un cœur à l’intérieur de cette montagne de muscle.
Un nouveau personnage fait son apparition : Mantis jouée par : POM KLEMENTIEFF. Elle n’avait jamais eu de rôle similaire et son jeu de bête fille naïve est un peu perturbant. Ça donne l’impression qu’elle joue mal, mais en fait, ce n’est que son personnage et le caractère qu’elle devait lui donner.
Le super méchant, que je ne détaillerai pas, car ça vous spoilerait, est vraiment bien !
On peut aussi être surpris de certaines apparitions ! Mais là aussi, vaut mieux le découvrir par soi-même !

Un conseil resté jusqu’à la fin du générique !! Des scènes y sont intégrées et il ne faudrait pas les manquer ! Car, ce film est vraiment bien, drôle, on passe un bon moment d’émotion garantie !! À voir sans modération.

Note attribuée:

 

Été 2014. Marvel sort son projet le plus risqué jusqu’alors : Les gardiens De La Galaxie, adapté d’un comic peu connu en dehors des fans. Alors que certains s’attendaient au premier véritable revers financier pour la firme, il s’avère que ce film est devenu un succès énorme, grâce à son charme rétro pulp et à l’écriture affinée de ses héros. Trois ans plus tard, que vaut la suite ?

Star-Lord, Gamora, Drax, Rocket et Groot continuent à accomplir des missions aux quatre coins de la galaxie. Mais alors qu’ils se retrouvent poursuivis par leurs derniers commanditaires suite à un vol de batteries, ils vont faire la rencontre d’Ego, qui déclare être le père de Star-Lord…

Dès le début du film, on se retrouve à nouveau dans l’univers rétro pop de nos héros. Ainsi, l’une des premières séquences est un plan séquence jouant son humour par un décalage entre ce qui est représenté au premier et à l’arrière-plan, sur fond d’Electric Light orchestra. La bande originale dispose encore d’un délicieux charme décalé servant d’excellent vecteur émotionnel, tout comme de nombreuses références culturelles (le lecteur cassette, une courte apparition d’un chanteur/acteur). Ici, on n’utilise pas seulement la pop culture pour cligner de l’œil à ses spectateurs (les bornes d’arcades) mais également pour faire passer les émotions, preuve que nos influences artistiques nous façonnent dans notre existence.

Difficile également de passer sur l’aspect parental mis en avant par James Gunn. Le film traite de la structure familiale de nombreuses manières : un déchirant trio paternel, l’éducation que tente de prodiguer Rocket à Groot ou encore les disputes entre Gamora et Nebula. Il devient ainsi intéressant d’analyser les schémas sociaux se dissimulant dans une intrigue à l’aspect visuel pulp et coloré, touchant autant à du Flash Gordon qu’à du H2G2 (les météorites quantiques, les déformations physiques lors du transport). James Gunn prouve ainsi que l’on peut aussi bien atteindre un statut de pur divertissement sans négliger les rapports humains de ses protagonistes et n’hésite pas à mélanger grandiose et intimisme, surtout dans sa fin (un adieu dans le vide spatial, une déclaration devant un feu d’artifice funèbre).

Ce deuxième volume des Gardiens de la Galaxie atteint ainsi un statut d’émotions et de spectaculaire élevé, avec une forme de sincérité attachante. Nos héros ressemblent ainsi à une bande d’amis que l’on adore retrouver, que ce soit dans leurs moments de joie ou de tristesse. C’est un véritable feu d’artifice émotionnel et divertissant à voir absolument en salles afin de se laisser emporter dans son univers spatial coloré.

Note attribuée:

 

 

Après la belle surprise du premier épisode, James Gunn offre un deuxième volet plus convenu à la saga Marvel-Disney.

Musicalement accompagné de la « Awesome Mixtape n°2 » (la musique qu’écoute Star-Lord dans le film), Les Gardiens de la galaxie 2 poursuit les aventures de l’équipe alors qu’elle traverse les confins du cosmos. Les gardiens doivent combattre pour rester unis alors qu’ils découvrent les mystères de la filiation de Peter Quill. Les vieux ennemis vont devenir de nouveaux alliés et des personnages bien connus des fans de comics vont venir aider nos héros et continuer à étendre l’univers Marvel. L’avènement de Baby Groot est donc enfin arrivé !
Fort du succès considérable de son volume 1, assez iconoclaste parmi les productions Disney/Marvel, et d’une promotion d’une longue année, Les Gardiens de la galaxie reviennent bien dans leurs pompes, pour un numéro puissant qui éclate les budgets et les impressions de gigantisme.

Exit l’effet de surprise du premier film, cool et débridé, l’humour se débride toujours autant dans ce divertissement PG-13, qui assume à fond son exubérance, sa décontraction non-feinte, pour devenir l’ultime cool movie de l’année. Ce que le médiocre Suicide Squad n’était pas parvenu à faire en 2017, nos Gardiens, eux, s’y appliquent sans jamais se forcer. Ils ont l’attitude dans les veines et la team fonctionne à merveille, à l’instar de celles des grandes sagas du genre que le public aime retrouver à intervalles réguliers (Fast & Furious joue sur cette construction-là également). Avec Chris Pratt, aminci, mais pas trop, car désormais assez musclé pour coller à l’image étincelante du star-system, le film se la joue forcément, brailleur dans la tonitruance d’une action continue qui en met plein les mirettes : le spectacle pop est un space-opéra glorieux qui abonde dans les toiles intergalactiques fabuleuses.

Riche en créatures extra-terrestres démentes, en guerres des étoiles agitées, et en décors fabuleux, cet épisode nous épate toutefois moins par son script qui pèche par son manque d’originalité. Son obsession pour la filiation, la paternité de Star Lord (Chris Pratt) et les liens haineux qu’entretiennent les deux sœurs, Gamora (Zoe Saldana, vraiment excellente) et la rageuse Nebula, l’ambiguïté des liens du sang par opposition aux liens d’amitié (la famille d’adoption, par extension), sont autant de clichés qui habillent la plupart des sagas du genre (Star Wars, of course, mais encore Tron…).

Toutefois, nous reconnaîtrons que les rebondissements sont bien agencés, et permettent à une pléthore de personnages de s’exciter sur plusieurs espaces en même temps, avec quelques scènes d’anthologies et de tueries au sens propre (si, si) qui laissent des traces. Les troupes sont nombreuses pour nourrir l’intérêt autour des anciens et des nouveaux protagonistes (l’arrivée de vieux routiers de l’action comme Kurt Russell et Stallone). Avec une volonté sans équivoque de jouer la carte de l’humour vachard, mais souvent mignon (les ratés de l’équipier en brindille, Baby Groot le trognon, toujours au centre de moments jubilatoires), Les Gardiens explore l’univers politiquement incorrecte et sexué qu’il avait ébauché dans un premier volet de haute tenue, avec une force picturale exponentielle. C’est puissant, exaltant et hilarant, sans trop de complexes malgré l’estampille familiale Disney. A peine peut-on lui reprocher un script en mode bis-repetita après celui de Star Trek Sans Limites, avec lequel il correspond sur bien des points, ou bien son utilisation de plans catastrophes sur Terre plus dans l’annonce de prochains numéros terrestres, ou dans le gimmick du trailer qui veut survendre un programme pourtant haut-en-couleur. Le mot-clé est ici « recette », dans ses deux acceptions. Il y a bientôt trois ans, Les Gardiens de la galaxie, première incursion de James Gunn, jeune cinéaste venu des marges d’Hollywood, dans l’univers des films à plus de 150 millions de dollars (138 millions d’euros), proposait une recette inédite de blockbuster.

Sortis d’un obscur comic Marvel, les gardiens tournaient le dos au genre super-héros pour mêler le space opera et la parodie potache, propulsant dans l’espace un gang de sympathiques hors-la-loi, aussi irresponsables qu’enthousiastes. Après avoir rapporté 770 millions de dollars de recettes de par le monde, Les Gardiens de la galaxie étaient assurés d’une descendance, dont Disney – la maison mère de Marvel – propose aujourd’hui le premier rejeton. Ce serait méconnaître les lois les plus élémentaires de l’économie de marché que d’attendre du studio qu’il prenne à nouveau le risque d’offrir aux consommateurs un produit nouveau. Après avoir risqué autant d’argent sur un prototype, Disney-Marvel ne pouvait que mettre en vente un produit de série, ce qu’est exactement Les Gardiens de la galaxie 2.
On retrouvera donc Peter Quill (Chris Pratt), le chasseur de primes intersidéral, et ses comparses au grand complet, y compris Groot, le chêne pensant réduit depuis la fin de l’épisode à l’état d’arbrisseau, une bande originale puisée dans les sommets de hit-parades américains des années 1980, et les chamailleries un peu cruelles qui égaient les longs trajets entre deux sauts dans l’espace-temps.

L’Univers à sauver et intrigues familiales. Mais quelle mission leur assigner ? Bien sûr, il leur faudra sauver l’Univers. Pour ajouter une dimension plus intime à cet enjeu cosmique, notre héros devra accomplir cette tâche tout en résolvant une situation œdipienne : Quill découvre qu’il est le fils d’une Terrienne (ce qu’il savait déjà) et d’un extraterrestre de stature divine (Kurt Russell). Baptisé Ego par James Gunn (qui a écrit le scénario avec un peu de paresse), on se doute bien qu’il ne pense qu’à sa pomme et que l’Eden qu’il habite cache de sombres desseins. Pour renforcer ce fil familial du récit, Gunn en ajoute d’autres, tout aussi domestiques. Gamora (Zoe Saldana), la mercenaire verte, doit résoudre un vieux conflit avec sa sœur Nebula (Karen Gillan), qui a préféré une carrière de tueuse à gages, pendant que Drax (Dave Bautista), le catcheur pourpre, doit terminer le deuil de sa famille exterminée lors d’une guerre interplanétaire. L’accumulation de ces situations finirait par faire ressembler Les Gardiens de la galaxie 2 à un après-midi passé à regarder alternativement Les Feux de l’amour et Santa Barbara, si James Gunn ne s’était pas aussi – et heureusement – préoccupé de l’emballage. Son évidente érudition en matière de culture pop et son accès à toute la bibliothèque et aux coffres-forts de Marvel lui permettent aussi bien de raviver le souvenir du Starman de John Carpenter (les amours de Jeff Bridges l’extraterrestre et de Karen Allen la Terrienne ressemblent furieusement à ceux des parents de Quill) que de ressusciter à nouveau Howard le canard (autre marginal spatial de l’éditeur), tout en convoquant pour une panouille Sylvester Stallone. Ces épices masqueraient presque la texture sirupeuse du reste.

En résumé : Comme le premier épisode, Les Gardiens de la galaxie 2 est signé James Gunn, cinéaste qui vient de la comédie de genre déjantée. Chris Pratt (Peter Quill), Zoe Saldana et Dave Bautista sont de retour, accompagnés cette fois des vétérans Kurt Russell et Sylvester Stallone.
Le genre. Space opera. L’histoire: Après avoir sauvé l’univers dans le premier épisode, les Gardiens de la galaxie tentent de cohabiter sur leur vaisseau, le Milano. Au cours d’une mission compliquée, ils croisent la route d’Ego, le père de Peter Quill, que ce dernier n’a jamais rencontré. Le petit groupe s’apprête à vivre sa plus difficile épreuve.

On aime:

Le premier Gardiens de la galaxie était prévu comme une respiration au sein des gigantesques productions Marvel. Le succès surprise du film a changé la donne. James Gunn semble avoir entendu les critiques : cette fois, les personnages gagnent en profondeur – moins binaires, plus humains – et font face à un méchant très réussi. Cette aventure cosmico-flashy gère son casting à la perfection et n’a pas peur de s’aventurer sur des terres dramatiques jusqu’ici inexplorées. Avec, en point d’orgue, une conclusion touchante.

On aime moins:

Passé la scène d’introduction, le film patine un peu. Après, plus aucune baisse de rythme à l’horizon, même si le scénario cède parfois à des facilités difficilement pardonnables et à un humour douteux. Les Gardiens de la galaxie 2 suit le cahier des charges mis en place par son prédécesseur, tuant dans l’œuf tout effet de surprise. On touche à la limite de la formule Marvel, certainement trop rigide pour que Gunn puisse réellement y exprimer toute sa folie.

Note attribuée:

 

 

Toujours aussi Fun, on retrouve les gardiens de la galaxie, dans une nouvelle aventure haute en couleur ou cette fois-ci Star Lord fais la rencontre de son père. James Gunn, nous reviens pour un nouvel épisode de l’univers du MCU. Plein d’humour, qui reste dans la veine de la saga. Un nouvel épisode du MCU, qui se démarque un peu des autres en gardant la recette tout de même, parce que oui c’est Disney qui est derrière tout ça. Donc bien entendu ça reste soft, mais ont a le droit au mot « pénis » quand même ce qui est assez étonnant dans un film du MCU.

La mise en scène est sympa, est très colorée dans cet univers très fun. Un méchant crédible, ce qui change des autres méchants du MCU hormis Loki qui s’en sors plutôt pas mal. Le scénario est également de James Gunn, qui garde l’esprit fun du premier en abordant très bien le thème de la famille il y décrit très bien relation père/fils entre Peter et Ego. Le casting est toujours le même, en ajoutant des nouveaux comme Kurt Russell jouant le père de Peter. Puis Chris Pratt reprend son rôle de Peter Quill, Zoe Saldana en Gamora, puis Dave Bautista en Drax. Tandis que Bradley et Cooper et Vin Diesel prête leur voix a Racoon et Baby Groot. Ce deuxième volet, des gardiens de la galaxie est fun et divertissant et ça reste au dessus de ce que nous propose d’habitude le MCU.

Note attribuée :

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valentin pejoux
Bonjour je me présente, je m'appelle Valentin, je suis co-rédacteur en chef sur ce site. Je suis un fan de cinéma de SF et de films de super héros. Ces deux genres ont bercé mon enfance. Avec des longs-métrages tels que les Spiderman de Sam Raimi, les X-Men de Bryan Singer, les Matrix des Wachowski et les Retour vers le futur de Zemeciks. Avant, je ne prenais le cinéma que pour me divertir, mais depuis quelques années, je me rend compte qu'il peut nous divertir autant qu'il peut nous faire réfléchir. C'est pour cela, peu importe le type de film que je regarde, j'essaye de voir si le rélisateur veut nous dire quelque chose à nous spectateur.

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