Cet article était à la base prévu pour figurer sur la Chronique Disney de L’Écureuil Noir, dans le cadre des apparitions d’Aladdin et du Roi Lion dans d’autres jeux vidéo. La place ayant manqué pour l’intégrer compte tenu de son exhaustivité, le voici directement en ligne pour accompagner le magazine.

 

Aladdin dans Kingdom Hearts

Date de sortie : 28 mars 2002 (Japon),
16 septembre 2002 (États-Unis),
15 novembre 2002 (Europe)

Développeur : Squaresoft
Concepteur : Tetsuya Nomura
Genre : Action RPG

Nationalité : Japonais
Compositrice : Yoko Shimomura
Console d’origine : PlayStation 2

Agrabah est un univers clé de la série Kingdom Hearts. Essentiellement présent dans les deux premiers épisodes principaux, le monde d’Aladdin fait partie des plus travaillés et adapte son scénario pour les enjeux de la saga en utilisant efficacement ses personnages.

 

Kingdom Hearts

Aladdin est le quatrième univers Disney que le joueur traverse, précédé par Alice au pays des Merveilles, Hercule et Tarzan, mais il est surtout le premier monde dans lequel Sora et ses amis affrontent un des lieutenants de Maléfique, en la personne de Jafar. La sorcière est ainsi présente aux côtés du grand vizir, chargé de répandre les Sans-Cœur pour prendre le contrôle de la ville. Jasmine faisant partie des sept Princesses de Cœur nécessaires à l’ouverture de la dernière porte de l’univers du jeu, il se lance également à sa recherche. Dès lors que l’on délivre Aladdin des sables mouvants menant à la Caverne aux Merveilles, il peut combattre aux côtés de l’équipe à l’aide d’un cimeterre.

La ville d’Agrabah se compose d’une entrée qui mène vers le désert, une rue principale, une ruelle, un souk et les portes du palais. La maison d’Aladdin est reconnaissable avec sa vue sur le palais, en plus de constituer la principale zone contenant une sauvegarde. La Caverne aux Merveilles est quant à elle composée d’une longue pièce principale, d’une « salle des Ombres » et d’une « salle du Silence » entretenant le mystère, d’une pièce secrète et de la salle du trésor où se trouve la Serrure.  Les graphismes font honneur aux premières années de la PlayStation 2 et la musique des lieux rend bien compte de l’atmosphère arabique du dessin animé. Celle des combats en reprend les notes, en bien plus rythmée et entraînante.

Le jeu comporte trois ennemis emblématiques : des araignées cachées dans des pots qui sortent leurs pattes dès qu’on s’en approche, des bandits masqués pouvant se déplacer sous le sable armés d’un sabre, et des gros bandits assez coriaces car ils peuvent parer les attaques, cracher du feu et ne sont attaquables que dans le dos. Les boss sont nombreux avec un mille-pattes géant camouflé dans plusieurs cruches, la Tête de Tigre de la caverne ainsi que Jafar sous sa forme classique puis en Génie, son point faible étant sa lampe noire détenue par Iago. Une fois vaincu, une séquence de fuite à bord du tapis volant rappelle un passage savoureux du dessin animé, et la keyblade gagnée par Sora se voit nommée Lampe Magique.

Toujours aussi déjanté, le Génie apporte des jeux de mots inédits pour introduire le concept des trois vœux (« Et un, et deux, et trois vœux. Ensuite je file à l’anglaise, comme la crème ! »), qui sont en partie différents de ceux du dessin animé. Si Aladdin pense dans un premier temps le solliciter pour qu’il le change en princeTu n’as qu’un mot à dire et je te livre en moins de trente minutes ! Sinon la commande est gratuite. Et j’y ajouterai même un capuccino. »), il se voir obligé de lui demander qu’il se débarrasse de Sans-Cœur dans le désert, puis qu’il aide Jasmine lorsqu’elle est à la merci du vizir. Point de sultan ni de sorcier, Jafar demande d’abord au Génie de lui montrer la serrure, puis d’attaquer Sora pendant un combat de boss, seul les troisièmes vœux des deux personnages restant identiques à ceux du dessin animé. En devenant une invocation, l’attaque Pitreries du Génie lui permet de frapper plusieurs ennemis à la fois.

Le doublage français de Jafar est étrangement assuré par Michel Élias, connu pour plusieurs doublages chez Disney (Donald Duck dans les années 80, la Tête de Tigre de la Caverne aux Merveilles, Gazim et le prince Achmed dans Aladdin, Pumbaa dans Le Roi Lion) et chez Nintendo (les voix de Mario et de Wario dans les publicités des jeux Wario Land). Sa voix ne rend pas vraiment honneur au personnage, le machiavélisme de Féodor Atkine manquant cruellement à l’appel.

 

Kingdom Hearts Chain of Memories

L’épisode Chain of Memories étant basé sur les souvenirs des héros de la série, les événements d’Agrabah se déroulent d’une manière similaire à celle du premier jeu, avec des jolis sprites dans des décors en 3D isométrique. La différence réside essentiellement dans le gameplay à base de cartes, certaines arborant des personnages d’Agrabah. Par exemple, Aladdin peut-être invoqué pour attaquer sans relâche pendant quelques secondes, tandis que le Génie peut envoyer plusieurs magies. Côté ennemis, l’Arachnobaril permet de charger des cartes dans sa main, le Gros Bandit renforce l’attaque quand on frappe par derrière et Jafar empêche l’adversaire de briser les cartes attaque que Sora utilise. Élément de scénario intéressant : l’apparition de Jafar est présentée comme preuve que les ténèbres n’ont pas disparu du cœur de Riku.

 

Kingdom Hearts II

Le scénario de Kingdom Hearts II a la particularité de faire venir les héros deux fois dans chaque univers Disney. À la recherche de Riku et du roi Mickey, le trio se retrouve d’abord face à Pat Hibulaire, qui cherche à s’emparer de la lampe pour faire de Jafar un Sans-Cœur, puis de nouveau face à ce dernier. Le level design d’Agrabah a évolué pour diversifier l’expérience : on y trouve désormais un large marché et ses étalages, une grande place avec vue sur le palais, les portes extérieures de la ville, une Caverne aux Merveilles largement réduite et des ruines ensevelies par le sable à traverser à bord du tapis.

Le scénario rappelle largement celui du Retour de Jafar, à commencer par Iago qui passe du côté des héros mais tout en faisant diversion au profit de son ancien maître. Les héros ont cette fois-ci à faire au marchand du début du dessin animé afin de récupérer la lampe noire de laquelle le vizir est prisonnier, avant qu’il ne se libère en appâtant le commerçant avec des richesses. Le Génie est également de retour de voyage (et, pour la parodie, serre Pat dans ses bras au lieu d’Aladdin), tandis qu’Iago est blessé par Jafar en s’interposant pour protéger ses nouveaux amis.

Le bestiaire se voit enrichi de cartomanciens voilés et de créatures maniant deux cimeterres, tandis qu’un combat de boss oppose les héros à un Jafar Génie géant au-dessus de la ville, et cette fois-ci c’est bien à la tête qu’il faut le frapper. Côté gameplay, de nombreuses attaques permettent à Sora et Aladdin d’attaquer en duo pour infliger davantage de dégâts. Une fois l’invocation du Génie obtenue, ce dernier peut soigner les points de vie de Sora puis attaquer sous différentes formes telles qu’une main géante et un missile, ou encore provoquer des rafales, des tournoiements et une explosion.

Outre des graphismes améliorés et des musiques aux mélodies rallongées et aux timbres légèrement différents, Aladdin et Jafar retrouvent leurs doubleurs d’origine : Paolo Domingo et Féodor Atkine. Agrabah propose également deux mini-jeux inédits. Le skate des sables consiste à activer des cristaux en réalisant diverses figures pour se déplacer en hauteur. Le tapis volant ramène quant à lui dans la salle dévastée des ruines et propose de marquer un maximum de points en terrassant des Sans-Cœurs.

 

Kingdom Hearts 358/2 days

Kingdom Hearts 358/2 days nous fait parcourir avec Roxas une Abragah et une Caverne au level design simplifié par rapport à celles du premier jeu. Le joueur y effectue des missions simples comme explorer les environs et éliminer des Sans-Cœur pour alimenter les ambitions de l’Organisation XIII. Aladdin et Jasmine n’apparaissent que peu et y ont un rôle très secondaire autour de prévisions de tempêtes de sable.

 

Kingdom Hearts Coded

Dans Kingdom Hearts Coded, une version digitale d’Aladdin est créée par le journal de Jiminy Cricket, Agrabah se retrouvant vide et recouverte de bugs à éliminer. Le scénario tente encore de se renouveler avec Pat qui permet à Jafar de se procurer une réplique de la lampe, que ce dernier utilise pour arrêter le temps et enlever Jasmine, qui se retrouve victime d’un sort dans la Caverne aux Merveilles. Le plus intéressant reste le fait que cette fois-ci, le Génie accorde des vœux à Sora.

 

Kingdom Hearts Union χ

Cet épisode permet de parcourir l’univers d’Aladdin avec un moteur de jeu flash qui lui donne un cachet particulier grâce à sa très jolie 2D. Le joueur y effectue plusieurs petits scénarios et y rencontre Aladdin ainsi que Razoul et d’autres gardes du palais. Si le scénario n’a rien de bien palpitant, Kingdom Hearts Union χ a l’avantage de résumer le dessin animé en montrant des lieux inédits dans les autres jeux, comme le cachot avec Jafar déguisé en vieil homme, le tapis rouge et le trône à l’intérieur du palais avec Aladdin vêtu en prince, la chambre et le balcon de Jasmine suivis d’une petite balade au-dessus des nuages, Aladdin prisonnier au fond de l’eau et Jafar changé en serpent.

 

 

Le Roi Lion dans Kingdom Hearts

 

Date de sortie : 22 décembre 2005 (Japon), 28 mars 2006 (États-Unis), 29 septembre 2006 (Europe)
Développeur : Square-Enix
Concepteur : Tetsuya Nomura
Genre : Action RPG

Nationalité : Japonais
Compositrice : Yoko Shimomura
Console d’origine : PlayStation 2

Essentiellement exploité dans Kingdom Hearts II, l’univers du Roi Lion est magnifiquement bien représenté avec de larges zones parcourables et une personnalisation des capacités des héros. Également représenté dans Kingdom Hearts, Kingdom Hearts Chain of Memories et Kingdom Hearts III, il tient beaucoup à cœur à Tetsuya Nomura car il s’agit de son dessin animé préféré !

 

Kingdom Hearts

La Terre des Lions devait apparaître dans le premier Kingdom Hearts, mais le jeu ayant eu des difficultés à gérer plusieurs personnages à quatre pattes en même temps, l’univers a été retiré. Simba est cependant conservé et constitue une des premières invocations du jeu. Son rugissement lui permet de lancer une attaque plus ou moins puissante selon le temps pendant lequel il se concentre. À noter que Simba est la seule invocation de Kingdom Hearts à être devenu un allié dans Kingdom Hearts II.

Le journal de Kingdom Hearts rentre en contradiction avec celui de sa suite. En effet, dans le premier, Simba est déclaré comme roi de la Terre des Lions, alors que dans Kingdom Hearts II, il ne l’est pas encore. Incohérence qui s’explique sans doute par le fait que son histoire du deuxième opus n’était pas encore décidée à l’époque du premier, le projet de faire une suite n’ayant été décidé qu’après la surprise de son grand succès.

Le lien entre Kingdom Hearts I et II reste cependant correctement réalisé quand Simba ne reconnaît pas Sora dans un premier temps étant donné qu’il est transformé en lion. Lorsque la mémoire lui revient, l’image de Sora, Donald et Dingo sous leur forme normale ressurgit en lui. Dans Kingdom Hearts II, alors que Nala croit que Simba est mort, Sora fait référence à leurs combats à ses côtés dans le premier jeu, prouvant ainsi qu’il est bel et bien vivant.

 

Kingdom Hearts Chain of Memories

Dans Kingdom Hearts Chain of Memories, Sora peut utiliser une carte Simba pour le faire rugir afin qu’il endommage et assomme les ennemis en face de lui, l’étendue des dégâts variant selon le niveau de puissance de la carte.

 

Kingdom Hearts II

La Terre des Lions est un des derniers univers Disney que le joueur est amené à traverser dans Kingdom Hearts II. Plus étrange encore, il est possible de terminer le jeu sans jamais s’y arrêter, ce qui est fort dommage tant ce niveau fait honneur à l’univers du Roi Lion. Les héros arrivent durant l’âge adulte de Simba, alors que Scar a déjà pris le pouvoir et ainsi dévasté le royaume. Simba est cependant montré dans son enfance lors de la scène introductive, qui reprend brièvement le passage pendant lequel son père périt des mains de son frère en voulant sauver son fils emporté par le troupeau de gnous. On ne voit d’ailleurs ni les hyènes effrayer le troupeau, ni Scar projeter Mufasa étant donné que la séquence est montrée du point de vue de Simba, qui n’avait pas connaissance de ses éléments.

La Terre des Lions fait partie de ces niveaux qui modifient l’apparence des héros pour mieux les immerger dans son univers. Ainsi, Sora devient un lionceau ressemblant fortement à Simba enfant, transformation qui le rend bien plus rapide mais qui supprime le recours aux fusions et aux invocations. Donald se retrouve quant à lui avec de longues ailes blanches, Dingo devient une tortue avec une grosse carapace jaune, et même Pat Hibulaire se transforme en lion noir aux côtés de Scar. La zone de jeu est vaste à parcourir entre le cimetière des éléphants, le Rocher du Lion, la vallée des gnous, les terres arides, la jungle où vivent Timon et Pumbaa ainsi que l’oasis. Les références au dessin animé fusent dès l’apparition des héros dans le repaire de Scar, entre Shenzi, Banzaï et Ed qui leur proposent de rester pour déjeuner, et les nombreuses autres hyènes qui les regardent depuis les rochers en hauteur, rappelant fortement la terrifiante chanson « Soyez prêtes ».

Les passages repris du dessin animé profitent efficacement du moteur amélioré de Kingdom Hearts II pour être bien mieux mis en scène. Cela se vérifie par exemple avec Simba qui s’affale au bord d’une falaise avant que Rafiki ne reçoive ses poils, le flashback montrant Mufasa et Simba qui regardent les étoiles, le zoom sur le visage de Simba quand il réapparaît face à Scar, et quand Nala plaque Simba au sol avant qu’ils se reconnaissent mutuellement. Certains dialogues sont même repris tels quels, notamment lorsque Scar fait culpabiliser Simba (« Mais aujourd’hui, papa n’est pas là pour te sauver. Et maintenant, tout le monde sait pourquoi. »). Malgré les musiques de fond qui offrent une belle ambiance exotique qui respire l’aventure dans la savane, ces séquences manquent pas mal de punch dans le sens où la magnificence des compositions d’Hans Zimmer ne sont pas présentes, en plus des doublages moins convaincants que dans le dessin animé.

Kingdom Hearts II s’amuse surtout à détourner des passages cultes pour mieux faire écho aux connaisseurs. Lorsque Pumbaa se demande si Sora va le manger comme s’il était une sorte de porc, il affirme bien sa condition en précisant qu’on l’appelle Monsieur Porc ! Quand Simba demande à Timon s’ils peuvent le laisser un moment avec Nala, ce dernier lui répond qu’il était sûr qu’il allait dire ça, comme s’il avait regardé le dessin animé avant de venir rejouer le scénario dans le jeu. Sora évoque même l’occasion pour lui de devenir roi s’il sauvait la Terre des Lions : Dingo lui demande alors s’il voudrait vraiment être roi, en référence directe à la chanson de Simba enfant. Sora est également amené à combattre les hyènes pour protéger Timon et Pumbaa, là où ces derniers s’en sortent toujours seuls dans le dessin animé grâce à des subterfuges comiques qui ne cherchent pas à être réalistes.

Lors du combat entre Simba et Scar, ce dernier est projeté dans le vide mais il remonte cette fois-ci de la falaise, mise en scène créée du fait qu’il constitue logiquement le boss du niveau. Lors des combats, la coopération « Sang royal » peut être utilisée entre Sora et Simba, afin qu’il monte sur son dos pour foncer sur les ennemis en duo, utilisant leurs crocs et leurs griffes pour terminer en beauté avec un rugissement royal (et non pas « bestial » comme dans la chanson de Simba). Une fois l’aventure de la Terre des Lions terminée, on peut apercevoir un dessin de Sora, Donald et Dingo à côté de celui de Simba dans l’arbre de Rafiki.

Durant le deuxième passage dans l’univers du Roi Lion, les clins d’œil continuent avec les hyènes qui se moquent de Simba en prononçant son nom plusieurs fois, procédé qu’elles utilisent pour frissonner en entendant le simple nom de Mufasa dans le dessin animé. Contrairement à Aladdin, le scénario ne reprend pas les événements du Roi Lion II mais exploite le manque de confiance en soi de Simba avec l’ombre de Scar qui sévit sur le royaume, décrit par Rafiki comme « un esprit désincarné né de la rencontre entre le cœur maléfique de Scar et celui hésitant de Simba ». Une lionne dévalorise même Simba en parlant de lui comme un incapable comparé à son père. Le thème de l’amitié refait également surface lorsque Simba continue à garder contact avec Timon et Pumbaa même en devenant roi (« On n’oublie jamais ses véritables amis. »).

Quelques éléments lancent néanmoins un clin d’œil à la suite du Roi Lion. La cauchemar de Simba lui rappelant la mort de son père apparaît en effet dans L’honneur de la tribu lorsqu’il craint que Kovu, le fils de Scar, ne se retourne contre lui. Nala fait écho à leur future fille Kiara quand elle parle d’un bébé qu’elle porte, tandis que Timon et Pumbaa parlent déjà de jouer les baby-sitters. Si la plupart des personnages ont conservé leurs doubleurs d’origine, Timon n’est plus doublé par Jean-Philippe Puymartin mais par Mark Lesser, qui assurait déjà de sa voix dans la série animée Timon & Pumbaa. Concernant Scar, le magistral Jean Piat laisse malheureusement sa place à Guy Chapellier, qui doublait notamment Hadès dans Hercule, sa prestation manquant encore de piquant. Rafiki, quant à lui, ne parle presque pas.

 

Kingdom Hearts III

Dans Kingdom Hearts III, Sora peut faire appel à ses alliés dans n’importe quel monde et Simba ne manque pas à l’appel ! Sora monte alors sur son dos pour une attaque « Lueur du Roi » à base de feu leur permettant d’étourdir les ennemis, de les projeter dans les airs et de finir en beauté par une puissante déflagration sur toute la zone.


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Emmanuel Delextrat
Salut à tous ! Fasciné par le monde du cinéma depuis toujours, j’ai fait mes débuts avec Mary Poppins et La Soupe aux Choux, mais avec aussi de nombreux dessins animés comme les courts métrages Disney avec Mickey, Donald et Dingo, les longs métrages Disney avec Alice au Pays des Merveilles en tête, les animés japonais comme Sailor Moon et Dragon Ball Z ainsi que d’autres séries comme Batman et Tintin. Mes années 90 ont été bercées par les comédies avec Jim Carrey (Dumb & Dumber en tête) ou d’autres films que j’adore comme Les Valeurs de la Famille Addams, Street Fighter, Mortal Kombat, Casper et Mary à Tout Prix. C’est pourtant bel et bien Batman Returns qui figure en haut de mon classement, suivi de près par Casino Royale, Et Pour Quelques Dollars de Plus, Kill Bill ou encore Rambo. Collectionneur, j’attache de l’importance au matériel et j’ai réuni trois étagères pleines de films classés par ordre chronologique. Et plus on découvre de nouveaux films, plus on se rend compte qu’il nous en reste en fait énormément à voir…

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