Sortie 1 décembre 2025 sur Netflix
Durée 1h 42min
Genre Action, Aventure, Fantastique
De Roar Uthaug
Avec Ine Marie Wilmann, Mads Sjogard Pettersen, Kim S. Falck-Jørgensen
Titre original Troll...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Sortie 1 décembre 2025 sur Netflix
Durée 1h 42min
Genre Action, Aventure, Fantastique
De Roar Uthaug
Avec Ine Marie Wilmann, Mads Sjogard Pettersen, Kim S. Falck-Jørgensen
Titre original Troll...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Sortie 1 décembre 2025 sur Netflix
Durée 1h 42min
Genre Action, Aventure, Fantastique
De Roar Uthaug
Avec Ine Marie Wilmann, Mads Sjogard Pettersen, Kim S. Falck-Jørgensen
Titre original Troll...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Sortie 1 décembre 2025 sur Netflix
Durée 1h 42min
Genre Action, Aventure, Fantastique
De Roar Uthaug
Avec Ine Marie Wilmann, Mads Sjogard Pettersen, Kim S. Falck-Jørgensen
Titre original Troll...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef)
Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori
Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré
Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films
comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky
sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les
oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .
La sortie de Venom est prévue pour le 10 octobre 2018, à l’affiche du film Tom Hardy dans le rôle de Eddie Brock. Un spin-off sans Spider-Man, et il va falloir nous donner une bonne raison de son absence du long-métrage. Cependant il y aura beaucoup de choses a dire, sur le personnage de Venom comme le symbiote et les origines de ce dernier. Soyons clair Marvel à racheté les droits concernant Spidey jusque en 2019, mais Sony garde quelqueS droits dont celui du personnage de Venom, c’est d’ailleurs pour cette raison, qu’ils produisent le film. Désormais tout va très vite, et les premières images du tournage sont là!
Des photos qui ne disent rien, du moins pas grand chose sur le film. Donc l’effet de surprise fonctionne, pour l’instant Tom Hardy dans le rôle de Eddie Brock, mais aussi Michelle Williams et Riz Ahmed, dont ont n’ignorent des rôles qu’il tiendront. On sais à peu près, qui sera au côté de Venom. Mais il est bien possible, que Carnage soit de la partie, et pas seulement lui. Le film nous montrera les origines du symbiote, et ses effets sur Eddie et le danger qu’il représente. Pas de Spider-Man, un film exclusivement sur le méchant, mais possible que ce film prépare le terrain pour le prochain Spider-Man ou l’homme-araignée l’affrontera. Le film est sous la direction de Ruben Fleischer , réalisateur de Bienvenue a Zombieland, Gangster Squad et des séries comme Santa Clarita Diet par exemple. Espérons que la qualité soit au rendez-vous, réponse le 10 octobre 2018.
Date de sortie 25 février 2009 (1h 51min) De Clint Eastwood Avec Clint Eastwood, Bee Vang, Ahney Her, Geraldine Hughes, John Carroll Lynch, Cory Hardrict… Genres Drame, Thriller Nationalité Américain Musique Kyle Eastwood
Eastwood en vieux grincheux et raciste
Synopsis
Walt Kowalski est un ancien de la guerre de Corée, un homme inflexible, amer et pétri de préjugés surannés. Après des années de travail à la chaîne, il vit replié sur lui-même, occupant ses journées à bricoler, traînasser et siroter des bières. Avant de mourir, sa femme exprima le voeu qu’il aille à confesse, mais Walt n’a rien à avouer, ni personne à qui parler. Hormis sa chienne Daisy, il ne fait confiance qu’à son M-1, toujours propre, toujours prêt à l’usage…
Ses anciens voisins ont déménagé ou sont morts depuis longtemps. Son quartier est aujourd’hui peuplé d’immigrants asiatiques qu’il méprise, et Walt ressasse ses haines, innombrables – à l’encontre de ses voisins, des ados Hmong, latinos et afro-américains « qui croient faire la loi », de ses propres enfants, devenus pour lui des étrangers. Walt tue le temps comme il peut, en attendant le grand départ, jusqu’au jour où un ado Hmong du quartier tente de lui voler sa précieuse Ford Gran Torino… Walt tient comme à la prunelle de ses yeux à cette voiture fétiche, aussi belle que le jour où il la vit sortir de la chaîne.
Lorsque le jeune et timide Thao tente de la lui voler sous la pression d’un gang, Walt fait face à la bande, et devient malgré lui le héros du quartier. Sue, la soeur aînée de Thao, insiste pour que ce dernier se rachète en travaillant pour Walt. Surmontant ses réticences, ce dernier confie au garçon des « travaux d’intérêt général » au profit du voisinage. C’est le début d’une amitié inattendue, qui changera le cours de leur vie.
Grâce à Thao et sa gentille famille, Walt va découvrir le vrai visage de ses voisins et comprendre ce qui le lie à ces exilés, contraints de fuir la violence… comme lui, qui croyait fermer la porte sur ses souvenirs aussi aisément qu’il enfermait au garage sa précieuse Gran Torino…
Quand Clint Eastwood passe derrière et devant la caméra c’est rarement mauvais il conte toujours des histoires passionantes. Certes je n’ai pas vu toute ses réalisations, j’ai un certain rattrapage a faire, ayant déjà vu Invictus, Mystic River ou encore Au-delà qui reste à ce jour son pire film. Car avec ce film, ce cher Clint avait voulu se lancer dans le fantastique, mais ce n’est pas forcément un domaine qu’il maîtrise. Dans Gran Torino il tient le rôle principal, celui d’un vieux raciste aigri, devenu veuf depuis peu de temps. Il à comme voisins des Asiatiques, ce qui ne lui plaît pas vraiment raciste comme il est. Le film ne se contente pas, de nous montrer qu’un vieux raciste aigri, car au dessus de tout ça il y’a une histoire d’amitié mais aussi on y voit une Amérique, toujours en proie a cette violence. Clint Eastwood film, la vie d’un homme face à une violence omniprésente.
Walt est un ancien vétéran de la guerre, qui vient juste de perdre sa femme. Il a deux fils, dont il n’est pas très proche et qui ne cherchent qu’à le mettre en maison de retraite mais ce dernier refuse. Dans son garage, il possède une magnifique Ford Gran Torino dont il ne se sert quasiment jamais. Le jeune Thao son voisin, tente de voler la voiture de Walt sous la pression d’un gang. Thao réussi a fuir, avant que Walt n’est pu voir quoi que ce soit. La soeur aînée demande a ce dernier, de se racheté auprès de Walt en faisait des petit travaux chez lui. Walt accepte et au fil des jours, ils deviennent amis une chose inattendue surtout venant de Walt qui n’est pas très sociable. Cependant le gang ne lâchera pas Thao, et iront jusqu’à l’agressé c’est alors que Walt décide de prendre les choses en main, et protéger Thao de ses agresseurs et en finir avec le gang. A travers sa caméra Eastwood livre une Amérique souillée par la violence, dans ces quartiers chaud des Etats-Unis. Le personnage de Walt vit, dans ce quartier depuis de nombreuses années et l’a vu évoluer, au fil des années les immigrants se sont installés. Il ne supporte pas ces voisins Asiatiques, pourtant le comportement de Walt va changer, et son amitié avec Thao est très bien abordé si bien qu’il devient proche de cette famille Asiatiques. Dans sa mise en scène Clint Eastwood gère humour, mais aussi le côté plus sérieux du film. Le film est très touchant, dans sa façon d’aborder l’amitié entre Walter et Thao, puis il touche aussi dans sa façon de reprendre goût à la vie lui qui n’avait plus envie de rien. Cette famille Asiatique lui aura fait sortir, le meilleur de lui-même. Clint Eastwood gère, très bien sa vision de l’Amérique, en ciblant ces quartiers particulièrement bien évidemment. Des quartiers rongé, par la violence des gangs qu’il soit Latinos ou Asiatique, un quartier que ne supporte plus Walt. On remarquera d’ailleurs, que même si la ford Torino, est un bien précieux pour Walt, cette dernière ne prend pas tout le récit du film mais reste surtout un prétexte, mais utiliser avec intelligence. Le final peut nous attrister, car malgré ce qu’est au début Walter on s’attache à ce personnage qui a finalement une bien plus grande personnalité qu’ont ne le pensait au début du long-métrage. Gran Torino reste une oeuvre de Clint Eastwood, qui aborde ces sujets avec subtilité.
A l’écriture du film Nick Schenk et Dave Johannson, qui décrivent très bien cette histoire d’amitié qui pourtant n’avait aucune chance de naître au début. Les scénaristes arrivent, également à nous décrire cette Amérique dans une vision plutôt réelle, qui est sans cesse en proie a la violence. Dans tout ça, même l’humour prend un peu de place, notamment avec Walter, et son comportement de grincheux. C’est d’ailleurs aussi dans l’écriture, de son personnage qu’il y a un très bon développement. Walter est un ancien vétéran, de la guerre qui à vécu des choses pas facile sa femme vient de mourir et c’est à l’enterrement de cette dernière, que film débutera. C’est dans l’évolution de son personnage, qu’on sera le plus surpris car partant d’un vieux grincheux raciste, il se liera d’amitié avec cette famille jusqu’à les protégés. Il deviendra pour cette famille, un héros. Le casting n’a que très peu de visage connus, hormis Clint Eastwood qui livre une prestation magistrale. Et même si les autres comédiens ne sont pas forcément connu, on doit reconnaître leur talent, comme Been Vang dans le rôle de Thao, Ahney Her jouant Sue la soeur aînée de Thao. Parmi une filmographie, qui ne cesse de s’agrandir malgré son âge, Eastwood garde la forme et Gran Torino est une oeuvre plutôt majeur à découvrir ou re-découvrir.
Après la trilogie de Peter Jackson qui fut un véritable succès dans les années 2000, l’aventure est sur le point de revenir sous un format différent. La question à savoir est donc, est-ce que la saga à t’elle besoin d’une nouvelle version? Apparemment des personnes pensent, qu’il est utile de faire une nouvelle version, de la saga de Tolkien, a savoir exactement dans quel but?
Il est clair que la saga de Peter Jackson, aura apportée grand bien au cinéma et la carrière de Peter Jackson prendra encore plus d’importance, après ce succès. Des Oscar bien mérité, pour un spectacle inoubliable, le final nous aura offert le plus grand des spectacles. Il eut ensuite la trilogie du Hobbit, se déroulant juste avant les évènements du Seigneur des Anneaux. Un succès moins grand, mais qui ne fut pas inintéressant. Puis on vient d’apprendre que Warner Télévision, veut en faire une série télé, pour la plate-forme Amazon Studios. Il est évident qu’avec un projet pareil, Amazon ne cherche qu’à concurrencer Netflix. Reste à savoir, si Amazon à raison de se lancer sur ce terrain vu les succès des films il sera difficile de faire mieux. Pour l’instant ça reste en discussion, entre Warner, Amazon et les héritiers Tolkien. Affaire à suivre…
Alors qu’il rentre retrouver sa famille, un homme est accidentellement enseveli sous un tunnel, au volant de sa voiture. Pendant qu’une opération de sauvetage d’envergure nationale se met en place pour l’en sortir, scrutée et commentée par les médias, les politiques et les citoyens, l’homme joue sa survie avec les maigres moyens à sa disposition. Combien de temps tiendra-t-il ?
Détails du Blu-Ray
Acteurs : Ha Jung-woo, Doona Bae, Oh Dal-su
Réalisateurs : Kim Seong-hun
Audio : Français (DTS-HD 5.1), Coréen (DTS-HD 5.1)
Sous-titres : Français
Région : Région B/2 (Plus d’informations sur les formats DVD/Blu-ray.)
Rapport de forme : 2.35:1
Nombre de disques : 1
Studio : Condor Entertainment
Date de sortie du DVD : 7 novembre 2017
Durée : 126 minutes
Bonus: Making of : dans les coulisses de Tunnel
Les personnages de Tunnel
Tapis rouge : avant-première mondiale en présence de l’équipe du film
On aurait pu craindre, un remake mais apparemment ça ne sera pas le cas. La série télé cartonne, c’est une sorte de nouvelle version mais l’annonce la semaine dernière d’un cinquième opus, fait plaisir. Pourquoi ça fait plaisir? Tout simplement parce que, si ce projet ce concrétise on retrouvera la même équipe c’est a dire Mel Gibson, Danny Glover et même Richard Donner à la réalisation. Actuellement pour pourparler, ce nouveau volet a toutes les chances de voir le jour, a savoir si Gibson et Glover seront toujours en forme pour tenir a nouveau ces deux rôles emblématiques.
On ne sais pas encore si c’est une bonne nouvelle, mais qui sais une bonne surprise peut nous être réservé. En tout cas L’arme Fatale pourrait revenir, la franchise policière fête ses 30 ans cette année oui déjà mais ça n’a pas pris une ride. A l’heure des reboot, remake ou des suites la franchise de Richard Donner pourrait bien faire son retour. On est donc en droit, de redouter, ce que cette suite apportera à la franchise un top ou un bien un beau flop… La question d’un cinquième film, avait été envisagée il y a quelques années puis abandonné car la série faisait sa venue. Mais la série c’est pas Mel Gibson et Danny Glover, aujourd’hui il semblerait que les acteurs ai vraiment envie de revenir reprendre leur rôle sous la direction de Richard Donner. Le dernier film remonte a 1998, le moins bon de la franchise mais pas mauvais pour autant, c’est d’ailleurs le scénariste du quatrième qui écrirait le cinquième. Tandis que la série est reconduite, pour une deuxième saison, car ça fonctionne plutôt bien nous attendons l’annonce officiel avec une certaine peur et joie.
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer (2016) sur Netflix Avec Winona Ryder, David Harbour, Finn Wolfhard… Nationalité Américaine Genre Fantastique, Thriller Statut En cours Format 55 minutes
Synopsis
A Hawkins, en 1983 dans l’Indiana. Lorsque Will Byers disparaît de son domicile, ses amis se lancent dans une recherche semée d’embûches pour le retrouver. Dans leur quête de réponses, les garçons rencontrent une étrange jeune fille en fuite. Les garçons se lient d’amitié avec la demoiselle tatouée du chiffre « 11 » sur son poignet et au crâne rasé et découvrent petit à petit les détails sur son inquiétante situation. Elle est peut-être la clé de tous les mystères qui se cachent dans cette petite ville en apparence tranquille…
Les nouveaux personnages
Quatre nouveaux personnages rejoignent l’équipe de la saison 2 de Stranger Things. Sean Astin (Les Goonies) et Sam dans Le Seigneur des Anneaux, fais partie des nouveaux il interprète Bob le petit ami de Joyce la mère de Will. Paul Reiser joue le Dr Owens qui s’occupe du cas de Will. Nous avons aussi Max une jeune fille et son demi-frère Billy, ont ignorent qui elle est vraiment au début, mais elle rejoindra rapidement l’équipe. Des nouveaux personnages, formidablement bien écrit on à la joie de retrouvé Sean Astin, qui livre un personnage attachant qui s »impliquera avec Joyce pour sauver Will.
Paul Reiser de retour sur les écrans dans le rôle du Dr OwensLe gentil Bob Newby petit ami de JoyceBilly demi-frère de Max une véritable raclureNouvelle venue du nom de Max
Une saison horrifique
Dans cette nouvelle saison, l’horreur est bien présente mais on n’étaient prévenus. Car la série surf toujours sur l’ambiance Amblin, mais on à le droit à quelques scènes gores. Puis comme l’histoire, se déroule en pleine festivité d’halloween, il fallait faire hommage aux films d’épouvante. Une saison qui compte, plus de monstres et qui ne sont pas tout doux et qui vont faire un joli massacre. De ce côté là, ont est donc bien loin de la première saison qui nous faisait découvrir une série pleines de référénces. Même si les référénces sont encore bien présentes, les Duffer Brothers ont préférés, se concentrer sur l’horreur et la recette fonctionne. Ont retrouvent cette ambiance qu’on aime tant, mais aussi de la nouveauté ce qui n’est pas pour déplaire et tout les réalisateurs jouent le jeu, et c’est ça qui est bon. Les scènes gores seront présente surtout, dans les deux derniers. Une saison pleine de nouveautés et de surprises, ou les Duffer Brothers n’ont pas fini de nous surprendre.
La saison 2 et le reste
Dans cette nouvelle saison, le jeune Will est loin d’être guéri le mal est en lui il est connecté à une force qui le dépasse. Au début tout se passe, au mieux pour la petite bande, Mike à du mal à se remettre de la disparition de Eleven. La jeune fille, est toujours en vie elle se trouve dans une maison dans les bois, ou Hooper la protège comme il peut mais ce n’est pas chose facile. Cependant l’état de Will s’aggrave, il fait de plus en plus de crises avec ses visions, qui se rapproche de la réalité. Le monde à l’envers, est toujours là et il est plein de dangers. Eleven dans la maison, au fin fond de la forêt ne cherche, qu’à partir mais Hooper refuse. Pendant ce temps, une nouvelle jeune fille arrive au collège de Hawkins elle s’appelle Max, et les garçons tombe sous le charme de la jeune fille, qui n’a pas la vie facile auprès de son demi-frère, un frimeur à la grande gueule. Le mal de Will, ne cesse d’empirer, et Joyce doit le conduire dans ce labo mystérieux pour qu’il passe des tests qui se révèle inquiétants. Depuis son séjour dans le monde à l’envers Will, à gardé une connexion avec ce monde et avec une créature qui y vit et Will est un espion, qui peut-être un danger pour sa famille et ses amis. Pour cette nouvelle saison, comportant 9 épisodes un de plus que l’an dernier la série évolue très bien. Les moyens sont mis en oeuvre, pour cette nouvelle saison avec des effets-spéciaux, très réussi. En ce qui concerne la mise en scène, la qualité est encore au rendez-vous, la recette est la même avec des nouveautés les nouveaux personnages qui sont très bien écrit. Une joie de revoir Sean Astin ou encore Paul Reiser, qui excellent dans leurs rôles.
L’équipe des scénaristes et à la réalisation est de retour, avec des nouveaux pour certains. Les créateurs de la série, réalisent le premier et les derniers épisodes. Mais on retrouve aussi, dans ces réalisations Shawn Levy qui est aussi producteur de la série, mais également Andrew Stanton ou Rebecca Thomas. L’écriture comme la réalisation, sont de qualités et cette ambiance propre à la série, est toujours présente. Les épisodes sont captivants, et tout évolue très vite, on notera que l’épisode 7 n’a pas une très grande utilité il se focalise sur Eleven et seulement elle qui se rend en ville a la rencontre de sa soeur. Hélas cet épisode, est assez inutile et apporte peu d’inrérêt à la série, puis la série reprendra son cours normal pour les deux derniers. Ce qui est sûr c’est que cette deuxième saison, nous conduit à une troisième saison. Même si une suite est à prévoir cette fin de saison dispose d’une jolie fin pleine de romantisme, ou la paix semble être revenue pour le moment. Une nouvelle saison qui nous, aura permis de revoir notre bande de gamins favorites, toujours aussi bien interprété, sans oublier Winona Ryder toujours aussi brillante Une saison niveau qualité qui reste, en dessous de la première mais qui reste une excellente série tout de même et c’est toujours un régal, de revoir cette ambiance et cette adorable équipe de gamins. Ont espèrent à très vite pour, la saison 3.
Séries, films ou documentaires comme tous les mois nous faisons le point sur ce qui arrive sur la plate forme Netflix. Nous rappelons aussi à nos lecteurs, que à partir du 1er novembre le géant du streaming gonfle légèrement ses prix. Ce mois-ci en tout cas pas grand chose arrive, a part la série The Punisher qui est sans doute la chose la plus intéressante du mois. Un film original 6 Days arrivera avec Jamie Bell, dans le rôle principal. A vous de voir désormais.
Séries TV
Alias Grace, saison 1 : 3 Novembre
Fate/Apocrypha : 7 novembre
The Many Faces of Ito : 8 novembre Lady Dynamite, saison 1 : 10 novembre
Marvel’s The Punisher, saison 1 : 17 novembre
Shot in the dark, saison 1 : 17 novembre She’s gotta have it, saison 1 : 23 novembre
Godless, saison 1 : 24 novembre
Trailer Park Boys: Out of the Park: USA : 24 novembre
Nouvelles séries :
The Sinner, saison 1 : 7 novembre
Nouvelles Saisons
Green Leaf, saison 2 : 1er novembre
Reign, saison 3 : 1er novembre
Chesa Peake Shores, saison 2 : 3 novembre
Rick and Morty, saison 3 : 5 novembre
Project Mc2, saison 6 : 7 novembre
Teen Wolf, saison 6 : 18 novembre
Frontier, saison 2 : 24 novembre
Good Morning Call, saison 2 : 28 novembre
Glitch, saison 2 : 28 novembre
Nouveaux films Netflix :
6 Days : 3 novembre
The Killer : 10 novembre
Mudbound : 17 novembre
A christmas prince : 17 novembre
Nouveaux documentaires :
Saving capitalism, partie 6 : 21 novembre
Cuba and the cameraman : 24 novembre
Jim and Andy : The Great Beyond : 10 novembre
Chasing Trane, the John Coltrane Documentary : 13 novembre
Michael Jackson’s This is it : 15 novembre
Steak revolution, collection 1 : 1er novembre
Lockup, State Prison : 15 novembre
Nouveautés Jeunesse :
Projet MC2, partie 6 : 7 Novembre
Spirit, riding free, saison 3 : 7 novembre
Dinotrux Supercharged, saison 1 : 10 novembre
Glitter Force Doki Doki, saison 2 : 10 novembre
Stretch Armstrong and the Flex Fighters, saison 1 : 17novembre
Luna petunia, saison 3 : 17 novembre
Beat Bugs: All Together Now : 21 novembre
Date de sortie 27 février 2008 (2h 00min) De Frank Darabont Avec Thomas Jane, Marcia Gay Harden, Laurie Holden, Andre Braugher, Toby Jones, Amin Joseph, Alexa Davalos, William Sadler… Genre Epouvante-horreur Nationalité Américain Musique Mark Isham
Thomas Jane dans le brouillard
Synopsis
Tandis qu’une brume étrange semble envelopper une petite ville du Maine, David Drayton et son jeune fils Billy se retrouvent pris au piège dans un supermarché, en compagnie d’autres habitants terrorisés. David ne tarde pas à s’apercevoir que le brouillard est peuplé d’inquiétantes créatures…
Leur seule chance à tous de s’en sortir consiste à s’unir. Mais est-ce possible quand on connaît la nature humaine ? Alors que certains cèdent à la panique, David se demande ce qui est le plus effrayant : les monstres qui rôdent dans la brume ou ses semblables réfugiés dans le supermarché ?
Le réalisateur Frank Darabont, n’est pas un débutant et en ce qui concerne les adaptations de Stephen King ce n’est donc pas une première. Il y a eu Les Evadés et La ligne verte, deux adaptations réussies ce qui n’est pas donné à tout les réalisateurs. En effet les adaptations de Stephen King, sont souvent des foirades et c’est dommage vu les potentiels de ces derniers. Ce sont dans les téléfilms, qu’on remarquera les plus gros ratages dernièrement avec The Cell, adaptation de l’excellent Cellulaire, le livre est violé bien comme il faut. Cette année on aura eu le trés bon « ça » ayant connu une adaptation en téléfilm, dans les années 90, le long-métrage donne un coup de jeune et c’est une vraie réussite. The Mist fait partie, de ces adaptations réussies la télévison en a fait un reboot l’été dernier et ce fut un ratage annuation définitive de la série après la fin de la saison 1. Le film réussi là, où la série échoue et nous avons un film où la maîtrise se fait ressentir.
David et son fils Billy, vont en ville sa femme reste à la maison. Lors de leur ballade, un épais brouillard les surprends. David et Billy se réfugie alors, dans un supermarché avec d’autres personnes. Dans la brume, il y a quelque chose, et ce supermarché, et le seul endroit qui les garderas en vie. Car dehors, le danger ce sont les créatures, des insectes géant comme une araignée qui crache de la toile acide. Mais l’araignée n’est pas la seule chose horrible, il y’a toutes sortes de créatures. Pour David il doit tout faire, pour sauvé son fils et retourner chez lui pour voir si sa femme se porte bien. Même si les créatures s’avèrent dangereuses, et imprévisibles les hommes le sont tout autant. L’instinct de survie pousse souvent l’homme, à faire des choses, qu’il ne se serait jamais cru capable. David découvrira alors jusque où la folie, des hommes peut conduire quand ils sont face à la panique, et puis cela n’arrange pas les choses quand une folle qui se prend pour une grande pêtresse, sème encore plus la panique. Comment s’en sortir face a ça? Est-ce l’homme qui mettra fin à l’humanité? Ou ces créatures sortie de nulle part? Le final aura en rebuté beaucoup , il est clair que ça peut-être frustrant pour ceux qui aiment les happy-end. Dans son film Frank Darabont se concentre beaucoup, sur l’ambiance dans sa mise en scène. Une fois que la brume tombe, le film devient terriblement oppressant, et quand les créatures débarquent un sentiment de terreur s’installe. Darabont instaure tout cela, parfaitement mais il s’intéresse aussi de prêt à l’être humain, et a ses instincts les plus primitifs et ce qu’il est capable de faire pour survivre. La mise en scène, en devient donc plus terrifiante encore car même si ces créatures reste très effrayantes, l’être humain l’est encore plus. On remarquera par la suite, que Darabont s’intéresse de prêt au comportement humain, dans The Walking Dead, dont il a était éjecté comme un mal propre par la production. Visuellement le film, reste extrêmement impressionnant, les créatures sont plutôt bien fichues et Darabont sais y faire avec les adapatations de King.
Frank Darabont, écrit lui-même le scénario du film adaptation du livre de Stephen King. Même n’ayant pas lu le livre, le film reste a ce jour un très bon film adapté du roman. Dans son écriture, Frank Darabont arrive à instaurer une tension, et une ambiance parfaite et il nous dévoile aussi ce dont l’être humain est capable. Car au delà de ces créatures cauchemardesques, venues d’une autre dimension l’être humain est devenue une menace aussi pour les autres. Frank Darabont se focalise beaucoup sur cette ambiance et la menace, mais un peu moins sur le protagoniste principal mais le traitement reste suffisant. Thomas Jane interprète David, le père de famille, faisant face à une menace, et il est enfermé dans un supermarché avec son fils, avec à l’extérieur une menace qu’il n’avait jamais vu avant, mais à l’intérieur la menace n’est jamais bien loin aussi. Avec une filmographie assez courte, et des films qui sont des adaptations de Stephen King, le réalisateur signe une oeuvre terrifiante. Avec The Mist, il réussit aussi bien dans la réalisation que dans l’écriture, et il réalise avec The Mist un de ses meilleurs films.
Date de sortie 22 novembre 2006 (1h 59min) De Joon-Ho Bong Avec Song Kang-Ho, Hie-bong Byeon, Hae-il Park, Doona Bae, Ko Asung, Kim Roi-ha, Pil-Sung Yim… Genres Fantastique, Action Nationalité Sud-Coréen Musique Byung-Woo-Lee
Un monstre a Séoul
Synopsis
A Séoul, Park Hee-bong tient un petit snack au bord de la rivière Han où il vit avec les siens. Il y a son fils aîné, l’immature Gang-du, sa fille Nam-joo, une championne malchanceuse de tir à l’arc, et Nam-il, son fils cadet éternellement au chômage. Tous idolâtrent la petite Hyun-seo, la fille unique de Gang-du.
Un jour, un monstre géant et inconnu jusqu’à présent, surgit des profondeurs de la rivière. Quand la créature atteint les berges, elle se met à piétiner et attaquer la foule sauvagement, détruisant tout sur son passage.
Le snack démoli, Gang-du tente de s’enfuir avec sa fille, mais il la perd dans la foule paniquée. Quand il l’aperçoit enfin, Hyun-seo est en train de se faire enlever par le monstre qui disparaît, en emportant la fillette au fond de la rivière.
La famille Park décide alors de partir en croisade contre le monstre, pour retrouver Hyun-seo…
Avant Okja le film Netflix, sortie cette année Joon-ho Bong réalise en 2006 le film The Host un film de monstre très bien réalisé qui prouve une fois de plus que les films Coréen peuvent aussi bien faire que les Américains dans le genre. Sept long-métrage a son actif, ou il met en scène un père de famille un peu paumé et irresponsable qui part à la recherche de sa fille, enlevé par un monstre. Le film ne se contente pas, de nous livrer un simple film de monstre, car il aborde des thèmes intelligemment, et c’est avec intérêt que nous suivons une famille prête a tout pour retrouver la petite fille disparue. Joon-Ho Bong est un des meilleurs réalisateur Coréen et ce dernier, la prouver encore une fois avec Okja cette année. Avec The Host maîtrise t’il le film du genre?
Jeter du formol dans un lac ne fais pas forcément de bonnes choses, surtout quand cela créer un monstre. Car c’est à ce moment que tout débute, un homme demande à son collègue de balancer tout les restes de formol dans l’évier où tout se déversera par la suite dans un lac. Ce geste entraînera la création d’un monstre, et qui aura des conséquences des années plus tard. Gan-du tiens un petit snack, un jour un monstre surgit de la rivière et atteint la berge, et attaque tout le monde sur son passage. Gang-du et sa fille tente de fuir, mais le monstre enlève la filette et l’entraîne dans le fond de la rivière. Gang-du et sa famille, la pense morte. Pourtant celle-ci est vivante, dans les bas-fonds de la rivière, où le monstre a entraîné d’autres victimes certains sont morts d’autre non. La jeune fille, tentera de fuir, mais ce n’est pas chose facile la créature séme toujours la terreur en ville, quand son père apprend qu’elle est en vie lui et sa famille, s’en vont combattre la créature bravant les interdits. Les autorités font croire qu’un virus décime la ville, mais Gang-du apprendra qu’il n’en est rien et qu’on lui cache des choses. Voici un film de monstre traité avec intelligence, qui n’en fais pas des tonnes en faisant passer des messages. Les passages avec le monstre, passent mal à certains moments notamment quand ce dernier est sur la berge a attaqué les habitants, mais cela reste impressionnant quand même. Pour ce qui est de la mort de la petite fille, du moins quand le père et sa famille la pense morte le deuil est traité d’une étrange façon, quand ces derniers se roulent au sol en hurlant. On pourrait presque trouver cela comique, tellement que c’est exagéré mais peut-être est-ce fait exprès après tout. Le film livre à sa façon, un message écologique, comme ici la pollution peut faire beaucoup de mal, ici l’idée est la création d’un monstre. Un film Coréen efficace, qui prouve que le réalisateur Joon-Ho-Bongmaîtrise très bien le genre. La mise en scène propose vraiment, des thèmes intéressants et bien abordé, et on s’attache a ces personnages particulièrement à ce père maladroit et fainéant prêt à tout pour sauver sa fille. Avec The Host, Joon-Ho Bong donne un nouveau souffle aux films de monstres.
C’est dans son écriture fabuleuse que le film tient aussi toute sa force. Joon-Ho Bong est à l’écriture, il est accompagné de Won-Jun Ha et Chul-Hyun Baek. Une écriture qui fait passer, discrètement un message écologique, et puis le deuil traité d’une façon assez étrange. Tout est maîtrisé, mais au niveau des personnages on retiendra un traitement intéressant. Le père est celui qui est d’ailleurs le mieux écrit, un peu normal, ont le découvrent au début du film comme un fainéant, qui dort en travaillant. Puis quand sa fille est enlevée, par le monstre ont le voit évoluer et devenir quelqu’un de plus responsable. Même si sa famille, le tiens responsable il est prêt à tout pour la récupérer. Joon-Ho Bong prend quelques risques dans sa réalisation, ce qui est assez rare dans les productions américaines. The Host, n’est pas qu’une simple histoire de monstre, c’est aussi une histoire de famille poignante et un film Coréen monstrueux.
Date de sortie 21 juin 2017 (1h 55min) De Fabrice Gobert Avec Laurent Lafitte, Chiara Mastroianni, Pio Marmai, Clotilde Hesme, Zita Hanrot, Jean-Charles Clichet, Sylvain Dieuaide, Jean-François Sivadier… Genres Thriller, Drame Nationalité Français Musique Jean-Benoît Dunckel
A l’occasion de la sortie Blu-Ray et DVD de K.O de Fabrice Gobert, Liam et moi nous vous parlons de ce film et vous donnons notre avis.
CRITIQUE D’OREL
Synopsis
Antoine Leconte est un homme de pouvoir arrogant et dominateur, tant dans son milieu professionnel que dans sa vie privée.
Au terme d’une journée particulière oppressante, il est plongé dans le coma.
À son réveil, plus rien n’est comme avant : Rêve ou réalité ? Complot ? Cauchemar ?…Il est K.O.
Fabrice Gobert est surtout connu comme créateur et réalisateur de la série Les Revenants. Il revient avec un long-métrage, un thriller dans lequel Laurent Lafitte abandonne la comédie, comme pour Elle. Certains auront pu voir ce que donne Fabrice Gobert à la réalisation avec K.O, il signe son deuxième long-métrage. Son talent est vraiment reconnu avec la série Les Revenants pour Canal+, il donne à cette série une atmosphère qui met presque mal à l’aise, c’est assez spécial. La série est un succès, du moins la première saison. La deuxième fut trop longue à venir, et le succès fut donc moins grand, mais les qualités de sa réalisation et de son écriture sont toujours là. Mais comme il faut passer à autre chose, la réalisation d’un long-métrage peut-être une bonne chose. Dans ce film, Fabrice Gobert met en scène un type, un patron d’une entreprise, avec la tête haute, qui se retrouve du jour au lendemain dans le coma. A son réveil, il a une toute autre vie. Est-il au cœur d’une machination? Rêve-t-il? Cette sortie du coma est peut-être une façon de le faire réfléchir. Film intéressant sur de nombreux points, K.Oest-il un bon film?
Antoine Leconte est patron d’une entreprise. Divorcé, il a une fille, et est arrogant et peu agréable. Un jour, à la fin d’une journée de travail difficile, il se fait tirer dessus, et tombe dans le coma. A son réveil, tout semble normal mais, quand il sort de l’hôpital, rien n’est pareil : sa vie d’avant n’est plus. A présent, il est présentateur météo sur une chaîne de télévision, sa maison n’est plus la sienne et des gens semblent lui vouloir du mal. Il participe même à des combats clandestins, dans les bas-fonds de Paris. On lui dit même qu’il ne s’est pas fait tirer dessus, mais qu’il a été victime d’une crise cardiaque. La cicatrice est d’ailleurs là pour le prouver. Il pense devenir fou, et ne sait plus distinguer s’il s’agit d’un rêve ou de la réalité. Un film avec du potentiel, qui se plante, hélas, sans en faire un mauvais film, car il y a quelques qualités au niveau de la mise en scène. Mais avant tout, intéressons-nous à l’histoire dont le potentiel n’est pas exploré comme il faut. Car au final, il ne s’agit que d’un simple thriller, et la fin du film est fortement décevante. De bonnes idées, pourtant, mais ça ne suffit pas. Le personnage de Laurent Lafitte est un personnage désagréable, et ce qui lui arrive, il le mérite. Mais le problème, c’est ce qu’on ne sait finalement pas, si c’est un film fantastique ou un thriller. En effet, la fin du film nous laisse avec certaines questions, notamment à la dernière minute du film. Finalement, a-t-il toujours été dans le coma? La fin semble bâclée, comme si le réalisateur avait voulu en finir au plus vite. « Tout ça pour ça », c’est le sentiment qu’on a à la fin du film. Même si le film manque de profondeur, on n’en voudra pas à Fabrice Gobert d’avoir livré un film français qui sort du lot, à côté des mauvaises comédies françaises graveleuses du genre Kev Adams.
On ne doute pas du talent d’écriture de Fabrice Gobert. Car pour voir ce talent au niveau de l’écriture, il suffit de voir Les Revenants, où chaque épisode était très intéressant et proposait quelque chose. Une écriture maîtrisée qui se ressentait beaucoup dans la réalisation. Dans K.O, il n’est pas seul à l’écriture, mais avec Valentine Arnaud. L’idée de base est plutôt bien trouvée, mais l’écriture fait un peu foutraque, car on l’impression que Fabrice Gobert et Valentine Arnaud ne savent pas trop où ils vont emmener leur personnage. Ainsi, il y a ce sentiment d’une fin bâclée, comme dit un peu plus haut. Il y a de bonnes trouvailles scénaristiques, ce qui se retrouve dans la réalisation. Finalement, on a juste un thriller français efficace, mais qui n’explore pas son sujet comme il l’aurait fallu et tombe dans la facilité. On ne pourra faire aucun reproche au casting, avec Laurent Lafitte qui s’éloigne un peu des comédies comme il l’avait fait avec Elle de Paul Verhoeven. C’est un tout autre rôle ici, auquel il s’exerce, et il fait très bien. Au casting on retrouve également Clothilde Hesme ou Jean-François Sivadier que Fabrice Gobert avait déjà dirigé dans Les Revenants. Egalement à l’affiche, Pio Marmai et Zita Hanrot, de très bonnes prestations dans l’ensemble. Fabrice Gobert livre une réalisation relativement sobre, mais assez prévisible et sans grande surprise, mais ça reste un film à voir quand même, si l’on est amateur du genre.
CRITIQUE DE LIAM
À l’occasion de sa sortie en DVD et Blu-Ray chez Wild Side, revenons sur « KO », dernier film de Fabrice Gobert.
Antoine Leconte est une personnalité respectée dans son milieu, un homme arrogant pouvant faire et défaire la carrière de n’importe qui. Alors qu’il se réveille d’un coma à la suite d’une blessure grave, il se rend compte que tout son univers a changé…
Pas besoin de lire les notes d’attention du réalisateur pour se rendre compte de l’influence de « La quatrième dimension » sur Gobert. Le synopsis même fait comprendre l’aspect « fantastique » du récit, avec cette plongée d’un être humain dans une aventure qui le dépasse. Ici, cette approche dispose même d’un certain « réalisme » avec l’aspect médical de la situation, interrogeant sur la réalité de la situation ou son aspect imaginé par un esprit comateux afin de confronter son héros face à son comportement froid et hautain, rendu avec crédibilité par Laurent Laffitte.
Cet aspect crédible se retrouve également dans la violence dans le milieu du travail, avec ses rapports de force constants et cette compétition afin de conserver sa place et son pouvoir. Avoir installé cette situation dans le domaine des médias est passionnant au vu de certains sujets d’actualité dus au milieu. Il est logique que pour représenter un milieu du travail où il faut se vendre en permanence pour survivre, le milieu télévisuel où l’image est d’une importance vitale est pertinent. Nous sommes dans une société où conserver son job mène à un combat interne pour garder une réputation de façade correcte qui ne peut être évacuée que par la force brute.
L’aspect irréel de la situation se fait donc de manière légère, après une entrée directe dans l’action qui pose néanmoins question sur sa crédibilité (les rêves ne commencent-ils pas de manière abrupte ?). La contextualisation des événements est claire et permet d’établir la psychologie de chacun avant que Gobert ne retourne la situation afin de renverser Leconte de son piédestal et le déstabiliser (ces quelques plans l’installant dans une position asymétrique afin de l’isoler dans sa situation). La mise en scène soutient ainsi le propos du film sans se mettre trop en avant, tout comme l’écriture, apte aux interprétations sur la véracité de ce que vit Leconte (en particulier la fin).
Le DVD ne contient comme bonus qu’un making-of sur la construction du film, mais il est techniquement impeccable, permettant d’apprécier le film à sa juste valeur visuelle et sonore.
« KO » est au final un bon thriller « fantastique », appréciable pour son aspect unique dans un milieu cinématographique francophone souvent redondant dans sa production populaire. On voit que Gobert a voulu relever un certain niveau en prenant une thématique bien réelle et en la mettant en avant dans une œuvre qui se regarde avec grand intérêt tout en touchant un large public. Bref, voici une nouvelle preuve que l’on peut offrir un film pouvant aller dans plusieurs styles sans s’aliéner ses spectateurs par un produit abrutissant et vulgaire.
Détails DVD
Acteurs : Laurent Lafitte, Chiara Mastroianni, Pio Marmai, Clotilde Hesme, Zita Hanrot
Réalisateurs : Fabrice Gobert
Format : PAL
Audio : Français (DTS 5.1), Français (Dolby Digital 2.0)
Audio description : Français
Sous-titres pour sourds et malentendants : Français
Région : Région 2 (Ce DVD ne pourra probablement pas être visualisé en dehors de l’Europe. Plus d’informations sur les formats DVD/Blu-ray.).
Rapport de forme : 2.40:1
Nombre de disques : 1
Studio : Wild Side Video
Date de sortie du DVD : 25 octobre 2017
Durée : 110 minutes