Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Sortie 1 décembre 2025 sur Netflix
Durée 1h 42min
Genre Action, Aventure, Fantastique
De Roar Uthaug
Avec Ine Marie Wilmann, Mads Sjogard Pettersen, Kim S. Falck-Jørgensen
Titre original Troll...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Sortie 1 décembre 2025 sur Netflix
Durée 1h 42min
Genre Action, Aventure, Fantastique
De Roar Uthaug
Avec Ine Marie Wilmann, Mads Sjogard Pettersen, Kim S. Falck-Jørgensen
Titre original Troll...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef)
Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori
Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré
Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films
comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky
sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les
oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .
Acteurs : Michael Fassbender, Katherine Waterston, Alexander England, Benjamin Rigby, Uli Latukefu
Réalisateurs : Ridley Scott
Audio : Anglais (DTS-HD 7.1), Français (DTS 5.1)
Sous-titres : Français, Anglais
Région : Toutes les régions
Rapport de forme : 2.40:1
Nombre de disques : 1
Studio : 20th Century Fox
Date de sortie du DVD : 13 septembre 2017
Durée : 122 minutes
Synopsis
Les membres d’équipage du vaisseau Covenant, à destination d’une planète située au fin fond de notre galaxie, découvrent ce qu’ils pensent être un paradis encore intouché. Il s’agit en fait d’un monde sombre et dangereux, cachant une menace terrible. Ils vont tout tenter pour s’échapper.
Si vous n’avez pas vu Une Famille syrienne, c’est peut-être le moment de découvrir ce film magnifique. Le Coin des critiques Ciné et le distributeur KMBO, vous offre 3 places valable pour deux personnes. Pour avoir une chance, et être le gagnant ou gagnante il suffit de répondre à une question dans le formulaire. Un tirage au sort, aura lieu rapidement et vous serez prévenu si vous êtes le grand gagnant, bonne chance a vous!
Date de sortie 6 septembre 2017 (1h 26min) De Philippe Van Leeuw Avec Hiam Abbass, Diamand Bou Abboud, Juliette Navis, Mohsen Abbas, Moustapha Al Kar, Elias Khatter, Alissar Kaghadou, Ninar Halabi… Genre Drame Nationalités Belge, Français Musique Jean-Luc Fafchamps Distributeur KMBO
Une famille face a la guerre
Synopsis
Dans la Syrie en guerre, d’innombrables familles sont restées piégées par les bombardements. Parmi elles, une mère et ses enfants tiennent bon, cachés dans leur appartement. Courageusement, ils s’organisent au jour le jour pour continuer à vivre malgré les pénuries et le danger, et par solidarité, recueillent un couple de voisins et son nouveau-né. Tiraillés entre fuir et rester, ils font chaque jour face en gardant espoir.
Après un premier film en 2009, Philippe Van Leeuw revient cette année avec un film immersif, un huis-clos où une famille se retrouve bloquée chez elle car la guerre fait rage dehors. Ils ne peuvent sortir, de peur de se faire tirer dessus par un sniper. Un film qui traite d’un sujet réel qui se passe aujourd’hui et qui montre, en partie ce que peuvent vivre des familles. En seulement deux films, Philippe Van Leeuw a une expérience et une façon a lui de filmer. Il filme la vérité, il nous montre la guerre, ce qu’elle provoque au sein d’une famille cloîtrée chez elle. Un film qui nous permet aussi de découvrir des comédiens pas forcément connus. Une nomination au festival d’Angoulême cette année, qui permettra peut-être au film d’avoir une meilleure distribution. Le film sort en salles ce mercredi prochain, est-il le film à aller voir cette semaine ?
Une mère, ses deux filles, le petit ami de l’une d’elle, un grand-père, un petit garçon et une voisine, sont enfermés dans une maison, alors que dehors c’est le chaos : les explosions font trembler les murs de la maison. Ils se cachent, pensant que cette dernière va s’effondrer sur eux. Dehors, il y a des snipers sur les toits qui tirent sur tout ce qui bouge. Le petit-ami de Halima, la voisine hébergée, est victime d’un des snipers, il s’écroule au sol, mais tous ignorent s’il est vivant ou mort. Doivent-ils prendre le risque d’aller voir s’il est encore en vie? Dans ce pays en proie à la guerre, on ressent la détresse d’une famille, et de ce grand-père blessé par le temps, car on imagine ce que cet homme a dû vivre. La première scène du film nous montre cet homme en pleurs, assis sur le canapé après avoir regardé par la fenêtre. La famille se protège des ennemis qui vient aussi frapper à leur porte à plusieurs reprises, jusqu’à ce qu’ils arrivent a pénétrer dans l’appartement et à faire subir des violences à la voisine hébergée, une scène assez choc et dérangeante. Le reste de la famille entend ce qu’elle subit, caché dans la cuisine. Mise en scène intelligente de la part de Philippe Van Leeuw sur une famille qui ne peut sortir de chez elle. Le réalisateur aborde discrètement les évènements en Syrie, pays qui doit faire face à la violence. Dans son long-métrage, il fait vivre au spectateur ces évènements par une famille. Le film explique la raison pour laquelle il y a tant de réfugiés Syriens, un long-métrage touchant qui n’a pas peur de montrer les faits tels qu’ils sont là-bas, face à une violence omniprésente. Ce film sera-t-il le film du mois ? Espérons-le, et que la distribution soit bonne aussi, pour faire prendre conscience aux gens de la situation là-bas.
Philippe Leeuw, réalisateur du film, écrit aussi le scénario. Et dans ce genre de films, on se rend rapidement compte que c’est au niveau des personnages qu’il y a du travail, dans les situations qu’ils vivent, mais aussi tout le reste. Un scénario qui décrit bien la situation actuelle sans nous ennuyer. Le casting démontre un talent extraordinaire, des prestations très convaincantes pour des comédiens très peu connus. La découverte de talents féminins tel que Hiam Abbas, Dimand Boud Abboud ou encore Juliette Navis. Tous touchants dans chacun de leurs rôles, pour un film qui fait prendre conscience des faits se déroulant là-bas. Une famille syrienne est un film à voir absolument, qui permet de comprendre l’urgence qu’il y a dans ce pays, et ainsi de découvrir un metteur en scène doué dans ce qu’il fait, et proposant un cinéma intelligent.
Créée par Drew Goddard (2015) Avec Charlie Cox, Deborah Ann Woll, Elden Henson, Nationalité Américaine Genre Drame, Fantastique, Action Statut En cours Format 52 minutes
Synopsis
Aveugle depuis l’enfance, mais doté de sens incroyablement développés, Matt combat l’injustice le jour en tant qu’avocat et la nuit en surveillant les rue de Hell’s Kitchen, à New York, dans le costume du super-héros Daredevil.
Oublié le film avec Ben Affeleck, car quand Netflix revisite le héros à sa sauce, ça donne une première saison jouissive. Le film avec Ben Affleck, n’est qu’un mauvais souvenir, et pourtant ça ne reste pas la pire adaptation de comics. Marvelfilm et série, il y a une différence, alors que les films offrent quelque chose de plus édulcoré, les séries sont nettement plus violentes et Daredevil saison 1 en est la preuve. Histoire de faire oublier le film, il fallait faire un reboot avec un film ou une série, Du coup, ça sera une série, avec dans le rôle principal Charlie Cox qui endosse, le costume du super-héros. Tout comme le film, Matt Murdock fera face au Caïd interprété par Vincent D’Onofrio. Mais dans l’ensemble que vaut cette première saison de Daredevil ?
Matt Murdock est Daredevil
Durant son enfance, Matt Murdock fut victime d’un accident de voiture ou il perdit l’usage de la vue. Depuis ses sens se sont décuplés. Quelques années plus-tard, alors qu’il est adulte, il ouvre un cabinet d’avocat avec son meilleur ami Franklin Nelson dit aussi Foggy. Mais sur la ville, un homme règne en maître, dans les rues de Hell’s Kitchen à New-York. Wilson Fisk, qu’on nomme aussi Le Caïd. Matt décide de prendre les choses en main, en devenant un justicier qui combat le crime la nuit, et tente de faire tomber Wilson Fisk. Mais ce n’est pas chose facile, car l’homme est bien entouré et reste quelqu’un de redoutable et imprévisible. Wilson Fisk est une sorte, de mafieux très influent à Hell’s Kitchen. Quand a Matt et Foggy, ils prennent le cas de Karen Page, une jeune femme retrouvée les mains ensanglantés un couteau à la main avec à ses côté le corps d’un homme. La jeune femme nie être coupable de ce meurtre
Ce que donne la série…
Loin des séries DC, Daredevil livre une mise en scène sombre et assez violente. La brutalité de Wilson Fisk, se fait bien ressentir à l’écran. On est loin de la qualité des films, avec une mise en scène plus adulte. Le personnage de Daredevilest très bien développé, les flashbacks le concernant permettent de mieux comprendre ce qui est arrivé durant son enfance. Son entourage, comme son meilleur ami ou comme Karen, sont des personnages intéressants. Avocat tout comme Matt, ils mettent leur vie en danger. Douze épisodes où on attend que Matt enfile le costume, car il ne le portera qu’à la fin de l’épisode 12 et ça vaut le coup d’attendre. Même sans le costume, il sera caché, ses yeux sont cachés avec un bandeau. Quant au reste, ce sont des vêtements noirs. Wilson Fisk, dit aussi le Caïd, livre un méchant qu’on voit rarement dans ce genre de série accompagné de son homme de main, James Wesley tout aussi psychopathe. Une série de telle qualité, ne pouvait en rester là : il y a encore beaucoup de choses à dire sur Matt et sa bande. Le final de cette première saison se finit comme il faut mais il reste beaucoup de zones d’ombre à Hell’s Kitchen. Daredevil est une série qui n’a pas peur de prendre des risques, son univers sombre et violent permet de voir que Marvel peut frapper fort. Si ce n’est pas fait, Daredevil est une série à découvrir de toute urgence.
Voilà c’est la rentrée! Fini l’été l’automne sera bientôt là. Notre joyeuse équipe, repart pour une nouvelle saison de Live après deux mois d’absence, qui dit nouvelle saison dit aussi de nouveaux sujets sur le cinéma bien entendu. Pour cette première émission de l’année, nous avons un programme alléchant, qui espérons le vous plaira. Bonne émission!
Présentation du Live: Orel
Participants : Valentin, Maxime, Liam et Orel
Programme
Les tops et flops de l’été
Faire des films pour enfants : vulgarisation nécessaire ? Comment aborder des thématiques ? Comment plaire également aux parents ?
Le cinéma de Sofia Coppola : réalisatrice talentueuse ou qui doit tout à son nom ?
Date de sortie 25 août 2017 sur Netflix (1h 41min) De Adam Wingard Avec Nat Wolff, Margaret Qualley, Lakeith Stanfield, Paul Nakauchi, Shea Whigham, Michael Shamus Wiles, Matthew Kevin Anderson, Jessica McLeod … Genres Thriller, Epouvante-horreur, Fantastique Nationalité Américain
Synopsis
Un étudiant trouve accidentellement un Death Note. Il suffit d’écrire le nom de la personne à châtier et d’avoir en tête son visage pour que cette dernière meure d’une crise cardiaque.
L’AVIS D’OREL
Voici que l’adaptation de Death Note, qui est d’après sont réalisateur une adaptation libre, et une adaptation beaucoup trop libre en réalité. Le réalisateur se moque de tout, et des fans en premier sachant que ça n’allait pas plaire pour la plupart. Ce film est t’il une forme de provocation, de la part du réalisateur? On est en droit de se demander, si c’est le cas. Le jeune garçon s’apelle Light comme le manga, mais comme nom de famille Turner un peu normal vu que c’est une adaptation Américaine. Ce jeune garçon lycéen, trouve une Death Note qui tombe du ciel, et apparaît Ryuk un dieu de la mort qui a fixé les règles a suivre inscrite dans le Death Note. Il suffit d’inscrire, un nom avec son visage et la personne meurt. Pour se venger c’est parfait, dès la première mort on croirait qu’il s’agit d’un nouvel épisode de Destination Finale avant un tas d’enchaînements entraînant la mort de la victime qu’a choisi Light.
Les personnages manque de travail, et n’ont aucun charisme qu’es que cet acteur joue Light? Mais le pire reste le comédien interprète de L. Mais commençons par son réalisateur Adam Wingard réalisateur de V/H/S1et 2, The Guest du reboot du Blair Witch, et en 2019 il sortira Godzilla vs Kong, une rencontre de deux titans qu’on est en droit de craindre. Cette année il adapte le manga Death Note pour Netflix, ou on ne comprend pas trop l’utilité de cette adpatation. Car Death Note c’est avant tout le manga a lire, mais aussi l’animé qui reprend ce qu’on lit dans le manga. Puis y’a aussi le film live version Japonaise, considéré pour beaucoup comme une purge. Une version déjà beaucoup mieux, que cette version de Adam Wingard. Des morts qui ressemble toute quasiment, a Destination Finalesi bien qu’on dirait limite un remake de cette saga qu’une adaptation du manga. Des effets gore bien réussi, et un design de Ryuk interprété Willem Dafoe en motion capture, est la seule chose de bien qu’on retiens de bien dans ce film.
Le traitement des personnages est catastrophiques, L ne correspond pas du tout a l’original. Light n’a rien d’intéressant aucun développement. Pour revenir a L il est beaucoup trop différent, certes il s’agit d’une adaptation libre. Mais là elle s’avère trop libre, il ne rend pas hommage au manga. Tout les personnages, sont aussi mal écrit les uns que les autres, le réalisateur en fais des personnages stupides Ryuk et le mieux traité mais ce n’est pas parfait. Quand au casting, ça aurait pu être mieux bien que je n’ai rien contre Nat Wolf, le comédien ne colle pas au personnage de Light un manque de charisme évident, qui enlève toute la saveur du personnage. Le film possède une certaine ambiance, intéressante certes mais mal exploité. A faire une adaptation libre, le réalisateur Adam Wingarden fais une adaptation beaucoup trop libre du manga. Trop de changement qui ne rendent aucunement hommage a l’oeuvre original, et c’est bien dommage.
L’AVIS DE CHARLES
Je suis un afficionado du manga et de la série animée (j’ai enfin terminé cette dernière il y a quelques semaines). Remarquable d’écriture et de sous-textes sur la justice en général et le pouvoir de décider la vie d’autres, Death Note est une œuvre m’ayant beaucoup marqué tant par sa vision du Japon mais aussi du monde. Rien d’illogique de l’adapter au cinéma à partir de 2006 en trois films (en fait, le troisième long-métrage est une nouvelle histoire par rapport au manga). Forcément, les deux premiers films prenaient des raccourcis à cause du temps des oeuvres, mais le résultat n’était pas mal. Disons que c’était très très fidèle par rapport à ce qui pouvait être montré, que ce soit l’attitude des personnages, les énigmes, les points phares de l’histoire, etc. Puis est arrivé un film centré sur L, jusqu’à ce jour fatidique du 25 Août 2017, diffusion sur Netflix de Death Note fait par les états-uniens.
Exit la pseudo-polémique sur la fidélisation de l’histoire, des personnages ou même du sous-texte du manga original : cela ne m’intéresse pas, je sous ouvert à toute les adaptations (quand elles restent morales) et c’est cette version de 2017 qui nous intéresse dans cette article, les comparaisons avec les autres œuvres sont bien sûr incontournables. Vous est-il déjà arrivé de voir un film, de l’apprécier sans plus et après réflexion, de vous rendre compte que quand même, c’était un peu raté ? Cette remise en question fut personnelle et je l’avoue, quelques chroniqueurs amateurs (de qualité, ils se reconnaîtront) sur la sphère Twitter ont mis le doigt sur des éléments qui en effet sont loupés, d’où mon interrogation sur mon visionnage. J’aime voir les avis de ceux qui « aiment » et ceux qui « aiment pas », les deux sont intéressants à écouter, aussi bien ceux qui ont les mêmes idées que moi et le contraire, car eux et moi avons raison, nos avis se complètent. Je vous préviens, ça SPOILE très vite maintenant, le film de 2017 et le manga, et il y aura un peu d’ironie. Vous êtes prévenus.
Après cette petite grande introduction, qu’est-ce que je pense de Death Note version Netflix? C’est moyen. Déjà, l’histoire, le déroulement de l’intrigue, l’écriture des personnages et le jeu des acteurs. Le pitch est le même que d’habitude dans Death Note, un jeune étudiant intelligent ramasse un cahier qui tombe près de lui. Avare de justice, il découvre les pouvoirs du cahier et fait la rencontre de Ryuk (fichtre que cette rencontre est bâclée), et enfin son papa est un policier. C’est le minimum syndical. Mais surtout c’est un déluge de choses vues et revues. Le héros est intelligent, donc forcément il résout des équations très compliquées (dans leur univers, on fait les tests de QI comme ça, j’en suis sûr), enfin pas si intelligent que ça vu qu’il dit à une fille avec qui il veut jouer aux dominos que le cahier a des pouvoirs (inenvisageable dans le manga sauf dans des conditions très particulières) et qu’il se fait choper parce qu’il marchande la rédaction de devoirs de lycéens de son établissement (c’est l’Amérique, tu crois quoi). Le héros s’appelle Light Turner (Light, comme dans le manga). C’est marrant parce que Light, c’est un terme anglais qui veut dire « lumière ». Ses actes ne reflètent clairement pas des éclairs de génie. Sa coupe de cheveux aussi claire qu’un tonnerre (champ lexical de la lumière, tu l’as remarqué, bravo) et ses cris de « fragile » (ou de David Lafarge, prenez la comparaison qui vous convient) le rendent en plus très peu crédible dans sa soif de se venger des « méchants ». Cela peut se justifier par la mort de sa mère, admettons. Et là je ne vous parle pas de ce Light par rapport à Light Yagami nécessairement, je vous parle de ce personnage en tant que tel dans ce film. Bon si, il élabore un plan très efficace qu’on découvre à la fin, pas si bête le garçon. Bon, découvrir est un bien grand mot, mon petit chien de 3 mois l’avait compris au bout de 20 minutes, il me l’a aboyé (je vous assure que je ne suis pas illuminé, je parle le chien). L’un des très gros soucis du film, c’est la facilité pour L de comprendre le rôle de Light dans l’affaire des multiples morts survenues aux États-Unis et à l’extérieur (notamment au Japon, oublie pas que le manga se passait là-bas à la base). Le L du manga calculait une tonne d’hypothèses avant de conclure que Light était Kira et fermait petit à petit les échappatoires pour qu’il arrive à l’avoir. Ici, L devine tout, limite c’est un Dieu. Et on ne parle pas des yeux de la mort dans ce film donc c’est complètement facilité. L’idée de la fille qui est excité par le pouvoir de Light avec son cahier était superbe. Mais elle n’a aucune raison apparente d’agir ainsi, ce n’est pas un défaut pas, c’est plus une preuve de l’écriture rapide du scénario. Aucun personnage n’est iconique : ni L, ni Light, ni Watari : seul Ryuk garde un côté énigmatique et fascinant et son design reste très classe, souvent caché, dans l’ombre, tel un élément devant resté le plus éloigné de la situation dans les apparences (comme, tiens donc, Light dans le manga). L’histoire est un couloir où on voit la sortie rapidement (j’avoue que je ne m’attendais pas à voir une grande roue à la fin, peut-être parce que j’ai fait très peu de parcs d’attraction dans ma vie), les acteurs sont peu crédibles sauf Ryuk, les sous-lectures sont à peine effleurées, il ne s’agit ni plus ni moins d’un « duel » entre le tueur et l’enquêteur.
Tout n’est pas mauvais. Je pense avoir vu des références à Destination Finale, Tueurs Nés et Seven. Destination Finale (le premier film de la saga date de 2000) car les noms écrits dans le cahier influencent la mort de ces personnes mentionnées dedans et l’enchaînent des morts se passe comme dans la saga d’horreur, Tueurs Nés pour le couple sadique que forme Light et sa concubine Mia et Seven pour le choix de quelques couleurs et le déroulement de l’enquête (je suis peut-être allé chercher loin pour le film de Fincher mais je tente). La version français est cool, surtout la voix de Ryuk (Emmanuel Karsen), la même que dans l’anime. De plus, les américains s’approprient l’œuvre en installant des relations entre certains personnages qu’on voit davantage chez eux (le père flic et le fils, Light et sa copine par exemple). La musique est bien, je l’ai déjà entendue pleins de fois mais elle se pose tranquillement, elle est discrète, un petit côté électro agréable à entendre (proche d’une musique de chez Refn).
Si j’étais vraiment un mec malin et en manque, j’aurai écrit dans le cahier la chose suivante pour tuer quelqu’un : « Mia a très envie de moi, me pépom mon gros dard, me fait l’amour sauvagement, puis elle se barre dans une grande roue et tombe ». Au moins ça a le mérite d’être original et romantique, non ? Je ne savais pas comment finir ma chronique sur Death Note, l’auteur du film non plus.
L’AVIS DE LIAM
Alors que personne n’a oublié l’échec cuisant que fut « Dragonball Evolution », Netflix vient de sortir une adaptation américaine du manga « Death Note ». Alors, four annoncé ou agréable surprise ?
Light Turner trouve un jour un Death Note, un cahier qui tue chaque personne dont le nom est inscrit à l’intérieur. Accompagné de Mia et du dieu Ryuk, il va alors chercher à améliorer le monde en tuant les criminels. Mais le détective renommé L ne le laissera pas faire…
Le travail d’adaptation est extrêmement compliqué, surtout de nos jours où chaque fan de la source originale peut exprimer sa rage à l’annonce même d’une relecture. Or, c’est par la réappropriation qu’une œuvre peut se transcender. Le mot réappropriation est en effet celui qui convient le mieux au film d’Adam Wingard. Il suffit de voir la manière dont il ne prend que les bases du manga ainsi que quelques noms pour essayer d’offrir quelque chose de neuf. En effet, à quoi bon faire un copier-coller de la source originale ou bien replacer le film au Japon étant donné que cela a déjà été fait ? L’américanisation du récit était donc une idée intéressante qui méritait le coup d’œil. Mais plus que décaler l’intrigue dans un pays étranger, le film Netflix décale les personnalités de ses protagonistes. Pas besoin d’aller loin sur internet pour voir que cette tournure fait beaucoup parler en mal, mais cette évolution permet une autre vision des personnages. Light gagne encore plus en nuances de par son chemin narratif, tout comme L, Mi(s)a ou un Ryuk bien plus effrayant que drôle. Les acteurs arrivent à leur donner vie correctement et permettent de rendre l’avancée du récit moins attendue.
L’avancée de l’histoire est également intéressante. Vendu par Wingard comme rempli de « grossièretés (oui), de gore (un peu) et de sexe (pas du tout) », « Death Note» n’aurait pu être que transformé de manière purement commerciale et mécanique. Mais à nouveau, c’est par son aspect humain (et donc imparfait) qu’il passionne. Les zones morales sont de plus en plus grises, les questionnements pertinents (peut-être moins que le manga mais là n’est pas la question) et cet aspect plus terre à terre permet de récupérer une empathie peut-être perdue par certains en constatant les différences notoires avec la source originale. On peut déplorer certaines facilités (notamment le coup du « Watari ») et le fait qu’en une heure quarante, le film semble vouloir raconter plus qu’il ne le fait. Mais son fond et sa forme permettent un intérêt fort. Ainsi, les premières morts visibles prennent une tournure gore proche de « Destination finale » mais se font de moins en moins graphiques lorsque les protagonistes se sont habitués à écrire des noms dans le Death Note. Adam Wingard arrive à garder une mise en scène intéressante et se plie au récit de manière convaincante.
Imparfait, « Death Note » l’est, immanquablement. Mais il est tout autant divertissant, étonnamment drôle et assez inattendu. Alors, au lieu que de cracher dessus comme si c’était la pire adaptation jamais portée sur un écran, peut-être faudrait-il réfléchir au sens même d’adaptation et comment Wingard a pu faire quelque chose d’assez couillu en ce moment par rapport au manga original. Sachant que ses créateurs auraient apprécié le film malgré ses (NOMBREUSES !) différences, il serait en effet nécessaire de se questionner sur la manière de gérer une relecture, aussi bien au niveau de la source que de la manière de ses fans de gérer ladite relecture…
Voici ce qui débarque, sur Netflix en septembre 2017 il y a du Disney avant que ces derniers ne quittent la plate-forme ils prêtent encore leur quelques oeuvres. Ce mois de septembre, avec enfin Star Trek Discovery, ou bien encore la saison 4 de Brooklyn Nine-Nine. Des ajouts intéressant, avec des occasions de faire des découvertes ou bien redécouvrir, des films comme Gone baby gone ou Le Pari. La rentrée sur Netflix, offre des nouveautés ou tout le monde trouvera son compte.
Les Films
Resurface (documentaire original) le 01/09
Là-Haut le 01/09
Le Pari le 01/09
Little Evil (film original) le 01/09
Captain America : Le Soldat De L’Hiver le 01/09
Thor : Le Monde Des Ténèbres le 01/09
Iron Man 3 le 01/09
Marvel’s The Avengers le 01/09
Quai D’Orsay le 06/09
#realityhigh (film original) le 08/09
Gone Baby Gone le 09/09
Strong Island (documentaire original) le 15/09
First They Killed My Father (film original) le 15/09
Time : The Kalief Browder Story (documentaire original) le 15/09
R.T.T. le 21/09
The Bad Batch (film original) le 22/09
Our Souls At Night (film original) le 29/09
Les Séries
Narcos (série originale, saison 3) le 01/09
Final Fantasy XIV Dad Of Light (série originale, saison 1) le 01/09
Lego Elves : Secrets Of Elvendale (série originale pour enfants, saison 1) le 01/09
Poldark (saison 3) le 01/09
The Originals (saison 3) le 01/09
Elementary (saison 4) le 04/09
Jane The Virgin (saison 2) le 04/09
The Expanse (série originale, saison 2) le 08/09
The Confession Tapes (série originale, saison 1) le 08/09
BoJack Horseman (série originale, saison 4) le 08/09
Fire Chasers (documentaire original, saison 1) le 08/09
Greenhouse Academy (série originale pour enfants, saison 1) le 08/09
Spirit : Riding Free (série originale pour enfants, saison 2) le 08/09
Naruto Shippuden (saison 9) le 10/09
Outlander (série originale, saison 3 à raison d’un épisode par semaine) le 11/09
White Gold (série originale, saison 1) le 14/09
American Vandal (série originale, saison 1) le 15/09
Project MC² (série originale pour enfants, partie 5) le 15/09
The Good Place (série originale, saison 1 et saison 2 à raison d’un épisode par semaine) le 21/09
La Fête A La Maison (série originale, nouveaux épisodes) le 22/09
Jack Whitehall : Travels With My Father (série originale, saison 1) le 22/09
Star Trek : Discovery (série originale, saison 1 à raison d’un épisode par semaine) le 25/09
Brooklyn Nine-Nine (saison 4) le 26/09
Paul Hollywood’s Big Continental Road Trip (série originale, saison 1) le 29/09
Big Mouth (série originale, saison 1) le 29/09
Club De Cuervos (série originale, saison 3) le 29/09
Real Rob (série originale, saison 2) le 29/09
The Magic School Bus Rides Again (série originale pour enfants, saison 1) le 29/09
Date de sortie 21 juin 2017 (1h 57min) De Seth Gordon Avec Dwayne Johnson, Zac Efron, Alexandra Daddario, Priyanka Chopra, Kelly Rohrbach, Ilfenesh Hadera, Jon Bass, Yahya Abdul-Mateen II … Genres Comédie Nationalité Américain Musique Christoher Lennertz
Synopsis
Le légendaire sauveteur Mitch Buchannon est contraint de s’associer à une nouvelle recrue, Matt Brody, aussi ambitieux que tête brûlée ! Ensemble, ils vont tenter de déjouer un complot criminel qui menace l’avenir de la Baie…
Si le nom de Seth Gordon ne vous dit rien, c’est normal : le bonhomme est surtout réalisateur de séries télévisées, en passant par Modern Familyou encore Parks and Récréation, et j’en passe. Seul un film a marqué sa carrière, et ça reste moyen, il s’agit de Comment tuer son boss ?Cette année, il s’attaque à l’adaptation cinéma d’Alerte à Malibu. Pas forcément évident de tenir sur une durée de 2 heures ce que faisait la série en 45 minutes. Sauf qu’ici, cette adaptation cinéma n’a rien à voir avec la série. Certes, les noms de la série reviennent avec des visages différents, mais l’histoire ne se focalise pas que sur les sauvetages en mer, et heureusement, sinon ça resterait ennuyeux. Avec ce genre de productions, on peut aussi craindre le pire ! l’affiche du film ne rassure d’ailleurs guère. Donc c’est le genre de film où évidement il ne faut pas s’attendre à grand chose, et si on part dans cet esprit, ce long-métrage reste à ma grande surprise sympathique. Ne vous attendez pas à voir l’esprit de la série des années 90, car ça n’a rien à voir. Cette version cinéma est avant tout une comédie dosée avec de l’action, mais même l’action est comique. Que donne finalement le duo Johnson/Efron pour cette adaptation de la série tv ?
Mitch Buchannon dirige son équipe de sauveteurs sur la Baie. Pour cet été, il doit recruter de nouvelle recrue pour intégrer son équipe de sauveteurs. Matt Brody débarque sur la baie avec sa moto, et a bien l’intention d’intégrer cette équipe. Ancien champion de natation à la mauvaise réputation, il est bien décidé à réussir afin de faire oublier les mauvais souvenirs. Il réussit a intégré l’équipe après avoir passé des tests, mais le jeune homme se montre égoïste a plusieurs reprises, ce qui ne plaît pas à Mitch. Cependant, un danger se profile à l’horizon. En effet, un yatch est victime d’un incendie : deux jeunes femmes sont sauvées par l’équipe de sauveteurs. Mais il y a à bord un homme qui était mort bien avant l’incendie. Mitch décide alors de mener une enquête sur cette affaire, bien que ceci est l’affaire de la police, comme le lui reproche le Sergent Ellerbee. Avec la découverte d’un sachet de drogue quelques jours plus tôt, un trafic de drogue sévit sur la baie selon Mitch. Contre l’avis de son patron, lui et son équipe poursuivent l’enquête. Matt se rendra finalement compte que Mitch et son équipe sont très doués et prêts à tout. Les trafiquants feront tout pour éloigner Mitch et son équipe de sauveteurs, mais Mitch compte tout faire pour faire disparaître les trafiquants de la baie, et ainsi retrouver la paix. Pas le film de l’été, mais reste suffisamment divertissant pour porter de l’intérêt. L’adaptation de la série télévisée ne réside que dans le titre et le nom de certains personnages, sinon ça n’a rien à voir hormis deux ou trois sauvetages au début du film. C’est aussi le genre de films où il faut inclure un personnage débile ou maladroit capable de se coincer le pénis dans une chaise longue. Et pourtant, ce gars arrive à séduire la sauveteuse dont il est amoureux. Une mise en scène parodique de la série télé, n’y voyez donc rien de sérieux car ce n’est pas le cas. Seth Gordon n’hésite pas à faire de ce film du grand n’importe quoi, en incluant même lors d’une courte scène David Hassellhoff, la star principale de série à l’époque. Mais aussi également Pamela Anderson à la fin, qui ne lâche pas un mot, et on se demande bien combien cette dernière a été payée pour ce passage rapide. C’est le genre de films où on s’attend au pire, mais qui finalement reste assez convaincant dans ce qu’il propose. On ne rit pas à gorge déployée, mais ça reste drôle. Dwayne Johnson et Zac Efron forment un duo qui fonctionne bien, et livrent des scènes drôles avec des dialogues qui font rire. A part ces quelques noms ou David Hassellhoff, on ne retrouve pas vraiment l’esprit de la série télévisé qui avait du drame dans ses épisodes. Dans ce film, ce n’est qu’une comédie, une simple parodie de la série, mais pas une adaptation, en tout cas ça ne ressemble pas.
Le scénario de Damian Shannonet Mark Swift, il faut l’admettre, n’est pas extraordinaire. Dans leur écriture, cela se ressent, ils veulent vraiment se démarquer du produit d’origine. Ainsi on ne voit pas l’intérêt d’une soit disant adaptation. Les scénaristes prennent comme prétexte les noms de quelques personnages de la série d’origine. C’est le personnage de Mitch qui manque cruellement de travail dans son écriture, on ne sait finalement rien de lui : a- t-il des enfants? Est-il divorcé ? Ou autre chose ? L’écriture se contente juste d’en faire un simple sauveteur, alors que dans la série, le Mitch et quand même mieux développé que ça. Même si on en sait un peu plus sur Matt Brody, il manque également quelque chose. Dans l’ensemble, le scénario est simple : il part sur un basique trafic de drogue auquel sont confrontés nos protagonistes, mais c’est l’humour qui prend une grande place surtout. Au casting, Dwayne Johnson dans le rôle de Mitch Buchannon, différent du rôle de David Hassellhoff, également Zac Efron qui joue Matt Brody, un jeune futur sauveteur ancien champion de natation. Si vous aimez Alexandra Daddario aussi, le film reste appréciable car sa présence n’est pas désagréable. Un casting correct, pour des prestations correctes. Pas le film de l’été, mais ça reste regardable, un film où Dwayne Johnson et Zac Efron forment un duo qui fonctionne. Un film divertissant, mais ne faites pas de comparaison avec la série.
Jour de tristesse, après la mort de George Romero il y a quelques mois, c’est une autre légende du cinéma d’horreur qui s’éteint. Tobe Hooper est mort dans la journée de samedi, à l’âge de 74 seulement les raisons sont encore inconnues. Tobe Hooper ce n’était pas n’importe qui, tout simplement une légende dans le cinéma d’horreur, nous lui devons par exemple : Massacre a la tronçonneuse ou encore Poltergeist. Ce week -end, le cinéma horrifique, perd une de ses légende et cette légende est : Tobe Hooper.
Sa carrière démarra en 1974, avec Massacre à la Tronçonneuse son premier d’horreur un film proche du documentaire avec un budget de 300 000$ où nous découvrons pour la première Leatherface. Le succès du film, aurait du être une carrière prometteuse pour le réalisateur, mais hélas ça ne fut pas le cas. Puis Steven Spielberg lui confie alors Poltergeist, le tournage fut pourtant un enfer pour lui Spielberg est toujours présent lors du tournage il ce peut même que ce ne soit pas lui à la réalisation du film. Tobe Hooper connaît des problèmes de drogues et alcool, ce qui est aussi sans doute la cause de ce tournage. Des problèmes dont il ne se remettra jamais. Tout ça n’arrêtera pas sa carrière pour autant, puisque il livre un film assez dingue sous le nom de : Lifeforce un mélange de science-fiction et horreur. Considéré comme un grand, pour la qualité de ses quelques oeuvres, des oeuvres culte et marquante dans le cinéma d’horreur. Un réalisateur, parti beaucoup trop tôt qui laisse derrière lui un héritage intéressant.
Editeur(s) / Développeur(s) : Bungie | Activision Sortie France : 06 Septembre 2017 Genre(s) : FPS Thème(s) : Science-Fiction | Extraterrestres Classification : +16 ans Mode(s) : Jouable en solo | Multi en ligne | Multi en coopératif | Multi en compétitif
Description : Suite du premier opus du même nom réalisé par les créateurs de Halo, Destiny 2 est un FPS futuriste et intergalactique. Les joueurs peuvent y importer les personnages qu’ils ont créés et améliorés dans le premier opus.