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Orel

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Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

The Wrestler de Darren Aronofsky

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Date de sortie 18 février 2009 (1h 45min)
De Darren Aronofsky
Avec Mickey Rourke, Marisa Tomei, Evan Rachel Wood, Judah Friedlander, Ajay Naidu, Mark Margolis, Todd Barry…
Genre Drame
Nationalité Américain
Musique: Clint Mansell

Mickey Rourke en star de catch

 

Synopsis

A la fin des années 80, Randy Robinson, dit The Ram (« Le Bélier »), était une star du catch. Vingt ans plus tard, il ne se produit plus que dans des salles de gym de lycées ou des maisons de quartier… Brouillé avec sa fille, il est incapable d’entretenir une relation durable avec quiconque : il ne vit que pour le plaisir du spectacle et l’adoration de ses fans.
Mais lorsqu’il est foudroyé par une crise cardiaque au beau milieu d’un match, son médecin lui ordonne d’abandonner le catch : un autre combat pourrait lui être fatal. Contraint de se ranger, il tente de renouer avec sa fille et, dans le même temps, entame une liaison avec une strip-teaseuse vieillissante. Pourtant, son goût du spectacle et sa passion pour le catch risquent bien de reprendre le dessus et de le propulser de nouveau sur le ring…

Darren Aronofsky, réalisateur de Requiem for a dream, The fountain ou encore Black Swan, livre en 2009 The Wrestler, film qui marque le retour de Mickey Rourke sur grand écran. Un nouveau long métrage indépendant, où le réalisateur excelle une fois de plus. Ce film dramatique d’Aronofsky, parle d’un catcheur légendaire qui doit mettre fin aux combats sur le ring, suite à une crise cardiaque qui a failli lui être fatale. Une occasion pour lui de renouer des liens avec sa fille dont il n’a plus de contact depuis quelques années. Mais le goût du combat et des fans hurlant son nom sont toujours en lui, et il n’est pas vraiment prêt à y mettre fin. The Wrestler est le quatrième film du réaliateur : cette fois-ci, il s’intéresse au monde du catch, mais ce n’est que la toile de fond de ce film, car Darren Aronofsky se focalise essentiellement sur les relations qu’entretient Randy avec ceux qui l’entourent. Un retour en force pour Mickey Rourke, qui n’a rien perdu de son talent.

Randy Robinson est un catcheur professionnel. Autrefois, il fut une légende, mais beaucoup l’adulent encore. Malgré sa petite célébrité, il ne gagne que très peu d’argent lors des combats de catch, ce qui est difficile pour payer le loyer, alors que son propriétaire s’impatiente. Un soir de combat, après un match, ce fut le combat de trop : une crise cardiaque le foudroie. Randy survit, mais son médecin lui conseille de stopper le catch maintenant, car la prochaine pourrait lui être fatale. Randy doit alors adopter un nouveau style de vie : il trouve un emploi dans un petit super-marché, et décide de renouer les liens perdus avec sa fille. Au fil des jours, Randy est loin de sa vie d’avant, et mène une existence plus saine. La relation avec sa fille se rétablit, mais la tentation de remonter sur le ring revient peu à peu, et il réussit même à gâcher la relation avec sa fille, alors qu’ils étaient devenus proches. Désormais, sa fille ne veut plus le revoir, Randy fréquente de nouveau le club de strip-tease et tente une relation avec Cassidy, qu’il connaît depuis longtemps. La mise en scène de Aronofsky est splendide une fois de plus : il suit le personnage de Randy de près, ainsi on accompagne l’homme sur le ring et on le suit également a chaque épreuve de sa vie. Il y a des plans fixes intéressants, qui nous permettent vraiment d’observer le personnage et de découvrir ce qu’il ressent. Le film de Aronofsky aborde discrètement la relation père/fille qu’il y a entre Randy et Stéphanie (sa fille), une relation qui semblait repartir sur de bonnes bases, mais qui dérape à cause du comportement de Randy. Le film s’intéresse principalement à la descente de Randy et sa tentation de remonter sur le ring. On voit ses faiblesses, ses blessures et le fait qu’il est mal dans sa peau, surtout après que sa fille l’ait définitivement sorti de sa vie. C’est un homme brisé, moralement et physiquement, et le réalisateur, fait passer ça habilement, car la maîtrise est là ! Darren Aronofsky livre un film émouvant, poignant, avec le catch en toile de fond, et nous offre donc un film plus que réussi.

Le scénariste Robert D. Siegel assure dans son écriture en nous montrant un personnage blessé par le temps, qui n’a jamais été un bon père, et qui tente de se racheter auprès de sa fille. Pas de clichés, rien de tout cela : malgré son egoisme, le personnage de Randy reste intéressant. Il ne fait que des erreurs, auprès de sa fille par exemple, et il traîne dans ce club de strip-tease où il espère entretenir une relation avec Cassidy, une des femmes travaillant là-bas. Un film géré autant dans le récit que dans le traitement des personnages. Les scènes de catch sont impressionnantes, il faut le reconnaître, et la fatigue du personnage se fait énormément ressentir quand il est sur le ring. Les scores du musicien attitré de Darren Aronofsky (Clint Mansell) sont magnifiques, une fois de plus. Darren Aronofsky fait vraiment parti de ces cinéastes que j’admire, car il a du mérite, livre des oeuvres originales, des films indépendants dont on a vraiment besoin dans le paysage cinématographique actuel, loin de tous ces blockbusters. The Wrestler reste l’un des meilleurs films de sa carrière, dans lequel il raconte l’histoire d’un homme à bout de souffle, et qui ne veut pas lâcher une passion qui peut le faire mourir. Un grand film, malheureusement trop peu connu.

Relecture : David

Bande annonce

[Série Netflix] Ozark

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Nouvelle série TV prévue le vendredi 21 juillet sur Netflix !

Créée par Bill Dubuque (2017)
Avec Jason Bateman, Laura Linney, Julia Garner …
Nationalité Américaine
Genre Drame, Thriller
Statut A venir
Format 42 minutes

 

Synopsis

Les Byrdes et leurs 2 adolescents, Charlotte et Jonah, sont une famille ordinaire menant une vie ordinaire en apparence… C’est sans compter sur l’activité de Marty, un conseiller financier de Chicago qui travaille également pour le compte du deuxième plus gros cartel de drogue mexicain dans le blanchiment d’argent. Mais quand les choses tournent mal, Marty doit déraciner sa famille des gratte-ciels de Chicago pour déménager dans la région tranquille des lacs des monts Ozark dans le Missouri.

 

 

Trailer : The Foreigner de Martin Campbell

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Date de sortie 11 octobre 2017 Prochainement
De Martin Campbell
Avec Jackie Chan, Pierce Brosnan, Katie Leung …
Genres Action, Thriller
Nationalités Américain, Chinois

Synopsis

A Londres, un modeste propriétaire de restaurant de Chinatown va tenter de retrouver les terroristes irlandais responsables de la mort de sa fille.

 

 

[Sortie Blu-Ray] Logan de James Mangold

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Détail du Blu-Ray

Acteurs : Hugh Jackman, Patrick Stewart, Boyd Holbrook, Dafne Keen, Daniel Bernhardt
Réalisateurs : James Mangold
Producteurs : Hutch Parker, Lauren Shuler Donner, Simon Kinberg
Audio : Anglais (Dolby Digital 5.1), Anglais (DTS-HD 7.1), Français (DTS 5.1)
Sous-titres : Français
Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
Région : Toutes les régions
Rapport de forme : 2.35:1
Nombre de disques : 2
Studio : 20th Century Fox
Date de sortie du DVD : 5 juillet 2017
Durée : 137 minutes

Synopsis

Dans un futur proche, un certain Logan, épuisé de fatigue, s’occupe d’un Professeur X souffrant, dans un lieu gardé secret à la frontière Mexicaine. Mais les tentatives de Logan pour se retrancher du monde et rompre avec son passé vont s’épuiser lorsqu’une jeune mutante traquée par de sombres individus va se retrouver soudainement face à lui.

 

CRITIQUE DE LA REDACTION

En juillet sur Netflix

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Enfin l’été est là! les vacances enfin! l’idéal pour faire le plein de films et de séries et Netflix est là pour ça. A la fin du moi de Mai, la plate- forme dévoilé Okja un film magnifique, qui même après sa polémique a Cannes rencontre quand même le succès. Niveau ajouts en films, pas grand chose,  des films retiré sont de retour donc rien de vraiment neuf mais ceci n’est qu’une courte liste comme chaque mois espérons qu’il est beaucoup plus.

Films

American Crime Story: The People V. O.J. Simpson le 01/07
The Amazing Spider-Man le 01/07
Batman: Le Film le 01/07
Godzilla le 01/07
Dragons 2 le 02/07
Before I Fall : Le Dernier Jour De Ma Vie (film original) le 07/07
To The Bone (film original) le 14/07
Chasing Coral (documentaire original) le 14/07
Le Dernier Pub Avant La Fin Du Monde le 21/07
Joe Mande’s Award-Winning Comedy Special (spectacle original) le 25/07
American Pie : Les Sex Commandements le 26/07
Daughters Of Destiny : Enfants Du Destin (documentaire original) le 28/07
The Incredible Jessica James (film original) le 28/07

Séries

Salem (saison 2) le 01/07
Happy Valley (saison 2) le 01/07
Scream Queens (saisons 1 et 2) le 01/07
The Standups (spectacle original, saison 1) le 04/07
Castlevania (série originale, saison 1) le 07/07
Les Croods : Origines (série originale, saison 4) le 07/07
Luna Petunia (série originale, saison 2) le 07/07
Shadowhunters: The Mortal Instruments (série originale, saison 2B, un épisode par semaine) le 11/07
Friends From College (série originale, saison 1) le 14/07
Buddy Thunderstruck : La Pile des Peut-Être (série originale) le 14/07
The Worst Witch : Amandine Malabul, Sorcière Maladroite (série originale, saison 1) le 21/07
Ozark (série originale, saison 1) le 21/07
Last Chance U (série documentaire originale, saison 2) le 21/07
Les Aventures Du Chat Potte (série originale, saison 5) le 28/07

[Pixar] Wall-E d’Andrew Stanton

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Date de sortie 30 juillet 2008 (1h 37min)
De Andrew Stanton
Avec : Ben Burtt, Elissa Knight, Jeff Garlin, Fred Willard, John Ratzenberger …
Genres Animation, Famille, Science fiction, Aventure, Romance
Nationalité Américain
Musique : Thomas Newman

 

Eco le petit robot

 

 

Synopsis

Faites la connaissance de WALL•E (prononcez « Walli ») : WALL•E est le dernier être sur Terre et s’avère être un… petit robot ! 700 ans plus tôt, l’humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL•E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul…
Cependant, sa vie s’apprête à être bouleversée avec l’arrivée d’une petite « robote », bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d’elle, WALL•E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu’EVE est rappelée dans l’espace pour y terminer sa mission, WALL•E n’hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite… Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie… Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l’univers et vivre la plus fantastique des aventures !

 

Pixar et ses animations toutes aussi belles les unes que les autres, n’ont pas fait un parcours sans faute, tout de même. Le studio dispose de films moins marquants pour certains. On pourra dire ce qu’on veut mais, les Disney/Pixar ne sont pas destinés qu’aux enfants, surtout qu’il y a certains sujets abordés où il ne faut pas être trop jeune pour bien comprendre. Et puis avec Wall-E, nous avons à la réalisation Andrew Stanton, un habitué des studios Disney/Pixar. On lui doit 1001 Pattes, Le monde de Némo, le monde de Dory  et puis quelques autres films. Il réalisera deux épisodes de la série Stranger Things pour la prochaine saison. Cette fois-ci, Andrew Stanton raconte l’histoire d’un petit robot du nom de WAll-E, vivant seul au milieu de déchets qu’il recycle à longueur de journée. Sa vie change quand il rencontre EVE dont il tombe éperdument amoureux. Andrew Stanton, dans un seul film, aborde beaucoup de thèmes comme l’écologie, l’amour et l’amitié. Un film où le réalisateur, prouve une nouvelle fois sa maîtrise dans l’animation. Car en plus de posséder tous ces atouts dans son récit, l’animation elle est a coupé le souffle.

 

Il y a 700 ans, les humains ont déserté la planète, car cette dernière était devenue trop sale pour y vivre : les déchets s’amoncèlent et la planète n’est qu’en fait une immense déchetterie. Mais quelqu’un est là, et ne cesse de nettoyer tous les jours les déchets qu’ont laissé les êtres humains dans leur plus grande stupidité. Ce quelqu’un, c’est Wall-E un petit robot nettoyeur qui vit au milieu des déchets, et qui dort dans ce qui était sans doute conçu pour lui, dans le passé. Sa vie change radicalement le jour où il rencontre EVE, dont il tombe amoureux. Les robots ont des sentiments et Wall-E en est la preuve, car avec cette dernière il est prêt à tout. Alors qu’EVE doit repartir en mission dans l’espace, Wall-E décide de la suivre car il ne veut pas la perdre. C’est parti pour une folle aventure dans l’espace où il croisera des humains, qui ont trouvé refuge ailleurs finalement. Pour ce film, très peu de dialogues, car tout passe essentiellement par les images, et elles en disent beaucoup. Les sentiments du petit robot sont visibles sans que des mots ne soient prononcés, c’est aussi ça qui est magnifique. Le film délivre un joli message écologique, et dès le début du film, car en effet on y voit la terre réduite à une poubelle géante, où seul un petit robot vit parmi ces déchets et nettoie jours après jours ce que l’humain a laisser. Le message n’est pas simplement qu’il ne faut pas salir notre planète, car il va plus loin, tout simplement en désignant l’être humain comme le plus dégoûtant, car une fois que la planète est trop sale pour lui, il s’en va. En plus de délivrer un beau message sur l’écologie, Wall-E est une fabuleuse histoire d’amour et d’amitié entre deux petits robots. Ce petit robot si solitaire, passant ses journées à nettoyer les déchets laissés par les humains, va vivre une des histoires les plus folles à la poursuite de l’amour. Wall-E, comme tous les Pixar, dispose d’une animation magnifique avec des couleurs qui donnent au film un ton parfait. Une réalisation qu’Andrew Stanton maîtrise, ce qui prouve que cet homme n’a plus rien à prouver en terme de film d’animation, car tout le monde trouve sa place dans ce film, et c’est l’une des plus belles réussites Disney/Pixar.

 

Au scénario, on retrouve bien évidemment Andrew Stanton, Peter Docter (un habitué et ami de Stanton) et Jim Reardon. A trois, ils livrent une écriture ultra-maîtrisée, en mélangeant amour, amitié et message écologique. Tout passe par l’image, tellement de choses, à noter qu’il y atrès peu de dialogues, car nos héros n’ont pas la voix, on peut entendre la voix de quelques rares personnages mais ce sont surtout Wall-E et EVE qui tiennent une grande importance dans le film. C’est dans l’écriture que le film tient sa force, faire passer autant de choses surtout par l’image c’est impressionnant, et Wall-E est un robot très attachant. Le film aura déjà dix ans l’année prochaine, et reste sans doute l’un des meilleurs Pixar qui n’a pas pris une seule ride et dont l’animation est toujours aussi belle. Wall-E est poétique, et nous entraîne dans un voyage fantastique où un petit robot est à la poursuite de l’amour, une animation Pixar à découvrir rapidement.

Relecture : David

Bande annonce

[Trailer] Stronger de David Gordon Green

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Date de sortie Prochainement
De David Gordon Green
Avec Jake Gyllenhaal, Tatiana Maslany, Miranda Richardson …
Genres Drame, Biopic
Nationalité Américain

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Synopsis

L’histoire vraie de Jeff Bauman, une des victimes des attentats de Boston le lundi 15 avril 2013.

David Fincher et Brad Pitt pour World War Z 2 c’est officiel !

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Alors que qu’au début ce n’était qu’une soit disant rumeur, maintenant c’est officiel David Fincher réalisera World War Z 2. Une nouvelle qui ne ravi pas tout le monde, déjà parce que nombreux sont ceux qui crachent sur celui de Marc Forster ayant fait un joli caca envers le bouquin, mais Brad Pitt veut anéantir les zombies encore, et donc faire une suite et il embauche David Fincher parce que Brad est producteur et quand il veut quelque chose apparemment il l’obtient. Est-ce que on doit  s’attendre, à du mieux ?

C’est David Fincher, c’est un génie on ne va pas se mentir non ?  Donc ça peut-être très intéressant, le truc qui fait peur c’est que la production impose ses choix, comme beaucoup de studios aujourd’hui, mais y’a Fincher a la production  et il ne va pas se laisser faire le Monsieur j’imagine. Ce film signe la quatrième collaboration entre Fincher et Pitt après Se7en, L’étrange histoire de Benjamin Button et Fight Club. On est en droit de craindre, comment la franchise va repartir, es-que Fincher va pouvoir avoir le contrôle sur le film pour y mettre ses idées?  ça c’est autre chose. Jim Gianopoulos le CEO de Paramount qui a confirmé cette information au Hollywood Reporter, David Fincher devra reprendre la suite du film de Marc Forster sortie en 2013. Ce n’est pas la première fois que Fincher, réalise une suite la dernière fois c’était en 1992 pour Alien 3 qui fut un véritable calvaire, a cause de production en autre. Espérons donc, que le studio laisse a David Fincher, le droit d’avoir ses idées de mise en scène pour nous pondre un film correct.

Death Sentence de James Wan

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Date de sortie 16 janvier 2008 (1h 45min)
De James Wan
Avec Kevin Bacon, Aisha Tyler, Kelly Preston, John Goodman, Jordan Garrett, Garrett Hedlund, Matt O’Leary …
Genres Action, Drame, Thriller
Nationalité Américain
Musique : Charlie Clouser

 

La vengeance selon James Wan

Synopsis

Entre sa carrière réussie et sa vie de famille épanouie, l’existence de Nick Hume est plutôt confortable. Pourtant, un soir, alors qu’il fait le plein d’essence avec son fils aîné, Brendan, la route de Nick va croiser celle d’un gang. Son fils n’y survivra pas.
Bien qu’arrêté, le coupable, Joe Darly, est vite libéré. Pour Nick, il n’est pas question qu’il puisse s’en tirer ainsi. Ravagé par la douleur et assoiffé de vengeance, il décide de prendre les choses en main et de punir lui-même l’assassin de son fils. Après avoir abattu Joe, Nick tente de revenir à son ancienne vie auprès de sa femme, Helen, et de son fils survivant, Lucas.
Nick croit que tout est fini, mais il a du sang sur les mains, et le grand frère de Joe, Billy, le chef du gang, est sur ses traces. Jusqu’où iront les deux hommes au nom de leur famille ?

James Wan, réalisateur de Saw puis des deux volets de Conjuring, réalisa aussi le film Death Sentence. A ce moment, il débute encore, en tant que réalisateur, car ce film n’est que son deuxième juste après Saw. Cette fois-ci, James Wan signe un film sur la vengeance, où un père de famille assiste au meurtre de son fils sous ses yeux. Les coupables : un gang sans pitié. Une fois de plus, le réalisateur signe un film choc, dans lequel il sait se renouveler, sans tomber dans le recyclage, car il n’est pas à l’origine des suites de Saw, du moins à la réalisation. Le sujet de Death Sentence est simple à la base, mais beaucoup de choses en ressortent, ce qui livre un film intéressant. Bien qu’il n’en soit qu’à ses débuts, le réalisateur fait des erreurs, mais on lui pardonne car, dans l’ensemble, le film se révèle être une très bonne surprise.

Pour Nick Hume, son fils Brendan est tout. Une carrière toute tracée, promis à un grand avenir comme sportif professionnel. Alors qu’il rentre d’un match le soir, Nick s’arrête à une station-service pour faire le plein. C’est alors qu’un gang débarque, et que l’un des gangsters qui doit passer son rite de passage pour devenir un homme tue froidement Brendan. De loin, Nick, qui fait le plein, assiste à la scène, et court vers le criminel qui prend la fuite. Il amène son fils à l’hôpital, mais les médecins ne parviennent pas à le sauver. Nick, lors du procès du jeune criminel, assiste à sa libération grâce à lui, car Nick veut se faire justice lui-même. C’est alors qu’un soir, il tue le jeune gangster, qui n’est autre que le petit frère du chef du gang. Billy, le chef du gang, décide de se venger, et de mettre Nick hors d’état de nuire. Une guerre s’engage entre le gang et Nick. À faire justice lui-même, Nick a déclenché l’irréparable. Mais entre une police incompétente, qui ne compte rien faire face à ce gang, et la douleur du deuil de son fils, Nick n’a pas d’autres choix que de se confronter à eux. Un deuxième film dans lequel James Wan ne fait pas dans la dentelle : quelques scène chocs qui ne laissent pas indifférent mais ça reste plutôt jouissif. Le film s’applique à nous offrir des séquences vraiment réussies, notamment lors de la scène finale qui montre la rage d’un père de famille qui n’a plus rien à perdre. On retiendra également un petit plan-séquence au milieu du film, qui se déroule dans un parking : c’est court mais très efficace. Le film n’évite pas certains clichés, mais qui ne gâchent en rien le film. Le film aborde le deuil de Nick et de sa famille avec subtilité. La scène du meurtre est assez difficile et brutale, et on comprend pourquoi Nick a cette rage en lui. Face à une police qui ne fait rien pour stopper ce gang, Nick se fait justice lui-même. Le film traite de la vengeance d’un père, ni plus, ni moins, mais que James Wan traite avec beaucoup d’idées dans sa mise en scène. Des maladresses, oui, quelques- unes, mais pardonnables.

Au scénario, Ian Jeffers : une simple histoire de vengeance mais qui décrit très bien la colère de Nick et les situations dans lesquelles il se trouve pour venger la mort de son fils. Dans ce scénario traitant de la vengeance d’un père, qui finira par tout perdre, on peut y voir aussi le deuil comme thème légèrement abordé, mais très rapidement. Car c’est évidemment surtout sur la vengeance que l’écriture se concentre, des scènes efficaces et brutales que retranscrit  très bien James Wan derrière sa caméra. Puis difficile de rester insensible face à ce qui arrive à ce père : ses actes sont compréhensibles, on redoute le moment où son fils de fera tuer car il n’a d’yeux que pour lui. On peut voir que Nick et Brendan ont des liens très forts. James Wan signe aussi des scènes de combats entre le père et le gang, des scènes nerveuses et très violentes que le réalisateur maîtrise. Pour le casting, on retrouve un Kevin Bacon épatant dans le rôle d’un père en quête de vengeance, Garrett Hedlund en chef de gang et John Goodman en crapule vendeur d’armes. Des prestations brillantes, dans un film tout aussi brillant. James Wan livre une réalisation efficace, pour un film qui vaut le coup d’oeil.

Relecture : David

Bande annonce

[Sortie Blu-Ray] Split de M.Night.Shyamalan

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Détails du Blu-Ray

Acteurs : James McAvoy, Anya Taylor-Joy, Betty Buckley, Haley Lu Richardson, Jessica Sula
Réalisateurs : M. Night Shyamalan
Audio : Russe (DTS 5.1), Italien (DTS 5.1), Allemand (DTS 5.1), Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS 5.1), Espagnol (DTS 5.1)
Sous-titres : Estonien, Danois, Portugais, Espagnol, Islandais, Norvégien, Hindi, Français, Néerlandais, Suédois, Finnois, Lituanien, Italien, Russe, Letton, Arabe, Allemand
Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
Région : Toutes les régions
Rapport de forme : 2.40:1
Nombre de disques : 1
Studio : Universal Pictures France
Date de sortie du DVD : 27 juin 2017
Durée : 117 minutes

Synopsis

Kevin a déjà révélé 23 personnalités, avec des attributs physiques différents pour chacune, à sa psychiatre dévouée, la docteure Fletcher, mais l’une d’elles reste enfouie au plus profond de lui. Elle va bientôt se manifester et prendre le pas sur toutes les autres. Poussé à kidnapper trois adolescentes, dont la jeune Casey, aussi déterminée que perspicace, Kevin devient dans son âme et sa chair, le foyer d’une guerre que se livrent ses multiples personnalités, alors que les divisions qui régnaient jusqu’alors dans son subconscient volent en éclats.

CRITIQUE DE LA REDACTION