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Orel

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Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

Christopher Lee : Mort d’une légende

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Cette semaine bien triste nouvelle ,la mort d’un acteur de légende Christopher Lee a l’âge de 93 ans .

Christopher Lee fut cité dans le Guinness Book ce dernier a tourné de 230 a 300 films ,rien que ça .Ce grand acteur était cousin lointain de Ian Fleming le créateur de James Bond ,et Lee campa le rôle du Dr No dans la première aventure cinématographique de James Bond ,ce fut le souhait de Fleming que Lee puisse avoir le rôle du Dr No .Il faut savoir que cet acteur fut agent secret ,il était volontaire dans la Royal Air Force mais il a surtout fait partie du Spécial Opération Exécutive ou Ministry of Ungentlemanly Warfare, service initié par Winston Churchill .

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Tout le monde sais que Christopher Lee campe Saroumane dans le seigneur des anneaux ,a savoir que c’est le seul comédien de la distribution a avoir rencontré J.J.R Tolkien l’écrivain de la saga .Lee avouait relire les romans régulièrement étant un grand fan .

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Il a incarné Frankenstein, Dracula, La Momie, Jekyll & Hyde, Fu-Manchu et Sherlock Holmes .L’acteur a obtenu un rôle dans Star Wars aussi ,il apparut en 2002 et 2005 dans l’épisode 2 et 3 dans le rôle du Comte Dooku ,il a également prêté sa voix au personnage dans le film de la série dérivé Clone Wars .

Christopher Lee a tourné plusieurs fois en France avec Bernard Menez dans Dracula père et Fils ou encore Les Rivières Pourpres 2 face a Jean Reno .

R.I.P Sir Christopher Lee

Under the Skin de Jonathan Glazer

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Under the Sin de Jonathan Glazer avec : Scarlett Johansson ,Jeremy Mc Williams …

★★★★☆

« Une ambiance électrique très intéressante »

Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Une extraterrestre arrive sur Terre pour séduire des hommes avant de les faire disparaître.

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Jonathan Glazer revient, avec « Under the Skin » le dernier qu’il avait signé était en 2004 nommait « Birth » avec Nicole Kidman film très moyen .Ici on se retrouve avec une toute nouvelle expérience cinématographique à l’ambiance électrisante et pesante .Des comédiens au passage rapide, pour ensuite disparaître aussi vite qu’ils sont venus .Le film nous entraîne, dans cette Écosse a l’ambiance pesante, on ne voudrait certainement pas croiser cette femme extraterrestre d’une beauté fatale, au malheur d’être pris au piège .

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La mise en scène , est habilement maîtrisée ou la lenteur rend le film encore plus intéressant les plans, sont d’une beauté à couper le souffle moi j’ai trouvé les plans sublimes, en tout cas .La musique quand elle colle à l’ambiance, du film parfaitement elle nous entraîne dans cette ambiance du film où l’on ne sait pas ce qu’il cache véritablement .Car certaines images sont énigmatiques, et nous obligent à nous poser des questions, mais cela n’empêche pas de comprendre le film .

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Au casting c’est évidemment Scarlett Johansson qui tient le rôle principal, ou elle dévoile sans pudeur son corps, elle est saisissante et interprète un des rôles les plus intéressants de sa carrière, un rôle qu’on n’oubliera pas de sitôt .Mais ensuite est t’il utile de filmer des pénis en érections ? non car on comprend l’attirance des hommes, envers cette femme et filmer leur anatomie est donc inutile .Le film dispose d’une fabuleuse réalisation, et magnifique photographie et de scènes inoubliable une agréable surprise 2014 à voir de toute urgence .

Papa ou Maman de Martin Bourboulon

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Papa ou Maman de Marton Bourboulon avec : Marina Foïs, Laurent Lafitte, Alexandre Desrousseaux …

★★★☆☆

« Une comédie Française pétillante »

Synopsis

Florence et Vincent Leroy ont tout réussi. Leurs métiers, leur mariage, leurs enfants. Et aujourd’hui, c’est leur divorce qu’ils veulent réussir. Mais quand ils reçoivent simultanément la promotion dont ils ont toujours rêvée, leur vie de couple vire au cauchemar. Dès lors, plus de quartier, les ex-époux modèles se déclarent la guerre : et ils vont tout faire pour NE PAS avoir la garde des enfants.

Les comédies Françaises peuvent parfois nous réserver de jolies surprises ,comme celle-ci par exemple où je fus moi- même fort étonné d’avoir apprécié et d’en rire à coeur joie .Martin Bourboulon réalise ici son premier film ,une comédie pas familiale, mais sur la famille et le divorce avec un joli casting il faut avouer .Martin Bourboulon ancien pulicitaire s’est essayé à la télévsion puis au court-métrage avant de réaliser son premier long métrage et c’est bien parti pour lui, s’ il continue dans le registre de la comédie .

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La mise en scène est hilarante ,où un couple ne se bat pas pour avoir la garde de leurs enfants mais pour ne PAS avoir la garde des enfants alors un combat s’engage entre eux .Ils iront jusqu’à infliger les pires hontes à leurs enfants ;le pauvre hamster du plus jeune va en prendre aussi pour son grade .Ils vont loin ,même beaucoup trop loin et c’est ça justement qui est amusant .A peine séparé, lui se met à sortir avec une jeune collègue sa futurex-femme accuse mal le coup ,et la guerre entre eux ne sera que plus violente .En plus de cette guerre, ils ont des enfants au comportement exécrable mais bon; c’est compréhensible quand on voit les parents .Pour une première réalisation Martin Bourboulon ,signe une comédie franchement drôle sans trop tomber dans le cliché, même si on n’y échappe pas, mais bon qui n’y échappe pas ? surtout dans la comédie Française ,cela faisait un moment que je n’avais pas ri comme ça avec une comédie Française .

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Les scénaristes du films qui sont : Alexandre De La Patellière ,Matthieu Delaporte et Jérôme Fansten , qui ,je pense se sont beaucoup amusés à l’écriture de ce scénario simple mais tellement bien écrit .Bon maintenant le casting Marina Fois , j’adore son jeu d’actrice ,dans toute les scènes elle est géniale dans sa façon de parler ,une excellente prestation ,et Laurent Lafitte de la comédie Fraçaise est parfait aussi , ainsi que les quelques enfants qui se débrouillent bien et nous livrent un bon jeu d’acteurs .Le film a reçu le prix D’Alpe D’Huez 2015 et c’est largement mérité pour cette petite comédie Française où on passe un très bon moment .

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Les Evadés de Frank Darabont

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Les Evadés de Frank Darabont avec : Tim Robbins ,Morgan Freeman …

★★★★★

« Une évasion splendide »

Synopsis

En 1947, Andy Dufresne, un jeune banquier, est condamné à la prison à vie pour le meurtre de sa femme et de son amant. Ayant beau clamer son innocence, il est emprisonné à Shawshank, le pénitencier le plus sévère de l’Etat du Maine. Il y fait la rencontre de Red, un Noir désabusé, détenu depuis vingt ans. Commence alors une grande histoire d’amitié entre les deux hommes .

À savoir que Frank Darabont aura adapté trois livres de Stephen King: les évadés, la ligne verte et The mist deux fantastiques et un dramatique .Les évadés se déroule dans l’enfer carcéral, ou un homme se retrouve prisonnier après avoir été injustement accusé, tandis que la ligne verte elle aussi se déroule dans l’enfer carcéral mais le héros qui est un prisonnier à des pouvoirs surnaturels .The Mist raconte l’histoire d’une ville plongée dans un épais brouillard, ou des insectes géants ce cache .Et dans les films de Darabont on retrouve des comédiens, qu’il fait jouer dans chacun de ses films Jeffrey de Mun par exemple, qu’on avait vus aussi dans le magnifique The Majestic » .Des comédiens qu’on a pu revoir dans la série walking dead, qu’il a adapté aussi.

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Cette année le film Les évadés fête ses 20 ans, que le temps passe vite l’époque même de Jurassic Park sortie un an avant celui-ci les années 90 l’époque d’un cinéma bon , voire même excellent .L’adaptation d’un livre n’est jamais chose facile, et là il s’agit du maître Stephen King , qui sort des chemins de l’horreur, pour une écriture dramatique qu’adapte Frank Darabont sans fausse note .La scène d’ouverture se déroule on l’on aperçoit Tim Robbins sortant un revolver d’une boîte à gants, suivi de son jugement accusé d’avoir tué sa femme et l’amant de celle-ci .Puis viens la prison, où il est brutalisé par des détenus, et les gardiens ne lui feront pas de cadeaux à chaque faux pas .Cette prison est loin d’être clair, car ce qui la gère sont pires que les détenus il suffit de voir le directeur .Darabont film avec Génie cette adaptation de King, une mise en scène soignée où l’on est immergé avec frayeur dans cet enfer carcéral.

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Au scénario on n’y retrouve Frank Darabont et Stephen King ce qui vaut la réussite d’un scénario plus que parfait, et qui dirais-je même relève de la perfection .Une écriture absolument excellente qui dégage émotion et colère envers cet enfer .Qui paiera finalement ? et qui sont vraiment les méchants? on ne tarde pas au savoir ,Darabont et King unissent leurs talents de scénaristes, pour nous livrés un scénario parfait .Au casting Tim Robbins livre une prestation, d’un homme détruit qui a encore le courage, par exemple de faire une magnifique bibliothèque dans une prison ou encore faire tourner un disque de Mozart que les détenus écoutent avec étonnement .Il livre sans doute ici l’un de ses rôles, le plus poignant .Morgan Freeman aussi doué,est l’ami qui le soutien ,l’ami le vrai est une voix Française inoubliable qui est toujours la même cette voix même qui narre l’histoire.Bob Gunton quant à lui qui interprète l’ignoble directeur de la prison, une prestation bluffante qui restera un des pires directeur de prison dans l’histoire du cinéma .Les évadés est un chef-d’oeuvre bourré d’émotions, qui nous raconte l’histoire d’une des plus belles histoires d’évasions de prison, et la scène finale le prouve.

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Jurassic World de Colin Trevorrow

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Jurassic World de Colin Trevorrow avec : Chris Pratt ,Bryce Dallas Howard ,Tim Robinson ,Ty Simpkins …

★★★☆☆

« Quand l’homme joue a dieu »

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
L’Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d’attraction. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady et sa cool attitude.

Quand le réalisateur Colin Trevorrow se met à l’action, voilà ce que on peut attendre de Jurassic World .A savoir que cette critique et écrite avec Jeremie Ziza, qui en a écrit la plus grande partie : notre avis est le même .Je dirais pour commencer que le nom de Colin Trevorrow au début ne m’apportait pas tant confiance que ça, mais finalement je me suis dit : « et pourquoi pas » ?

Le premier Jurassic Park datant de 1993, on ne l’a pas oublié, c’est une référence, un film culte ,un chef d’oeuvre, et 22 ans après remettre le couvert n’est pas chose facile, surtout pour un réalisateur comme Trevorrow qui n’a jamais dirigé de grosse production .De plus c’est pas une petite franchise, après le calamiteux épisode que fut le 3 ,il fallait faire mieux ,et c’est le cas. Verdict :

22 ans après, les dinosaures sont de retour
C’est avec grand soulagement que je peux dire aux nombreux fans que Oui, nous avons évité le massacre. Sans pour autant être une réussite en tout point, Jurassic World est une toute nouvelle franchise se dirigeant vers tout autre chose que la trilogie des Jurassic Park. Après un début un poil calamiteux et n’augurant rien de bon pour la suite dû à l’utilisation abusive d’effets spéciaux mal réalisés, je commençais à avoir assez peur pour la suite. Les idées sont là, tout comme le côté parc d’attractions très bien exploité mais, fan inconditionnel du premier opus datant d’il y a 22 ans, il est toujours très dur de voir que l’évolution visuelle et les mentalités ont changé depuis. Il sera très dur de retrouver l’ambiance du film de 1993. Que ce soit dû côté de la culture, des mentalités ou bien des effets spéciaux du film. Sans s’en rendre compte, on s’attend à plus ou moins avoir le même genre de situation que l’original. Et pourtant, les références pour ce film seront nombreuses et magnifiquement bien placées dans Jurassic World. Que tout le monde se rassure, le thème original est toujours là et n’a presque pas été retouché. Dans ce nouveau volet, c’est Colin Trevorrow qui se voit confier la tâche par Steven Spielberg lui-même de réaliser notre film. Il faudra beaucoup de courage au réalisateur de reprendre les rênes laissées par l’un des meilleurs réalisateurs du cinéma américain. Jurassic World se déroule 22 ans après le premier Jurassic Park et se verra très fidèle à ce dernier tout en tentant de s’en démarquer en nous offrant une nouvelle aventure inédite.

Le jeune milliardaire Simon Masrani a réussi à rendre possible de rêve de John Hammond : ouvrir un gigantesque parc d’attractions centré sur l’exposition de dinosaures vivants clonés à partir de leur ADN fossilisé dans de l’ambre. Ainsi naît le parc Jurassic World. Claire Dearing dirige le parc qui accueille des milliers de visiteurs chaque jour. Alors que sa sœur lui envoie ses deux neveux pour quelques jours, la jeune femme est préoccupée par la sécurité de l’enclos d’un nouveau spécimen créé par les scientifiques du parc et devant créer une nouvelle attraction captivante. Son nom : Indominus Rex. Plus grand le T-Rex, plus féroce, plus imprévisible et capable de se camoufler comme un lézard. Pour savoir si l’enclos arrivera à contenir ce nouveau spécimen, Claire fait appel à Owen, un dresseur de raptors. Mais en vérifiant le périmètre, Owen et les employés s’aperçoivent que le dinosaure a disparu. Afin de ne pas créer la panique dans tout le parc, Claire décide de ne pas évacuer les visiteurs et envoie une équipe pour retrouver le dinosaure disparu.

Nouveaux personnages pour une nouvelle franchise

Très dur pour nos nouveaux protagonistes de prendre le relais laissé par Sam Neill « le professeur Alan Grant », Laura Dern « Professeur Ellie Sattler », Jeff Goldblum « Professeur Ian Malcolm » et Richard Attenborough « John Hammond ». On met de coté nos anciens héros et on laisse la place à de nouvelles têtes que beaucoup reconnaîtront. Ce quatrième opus reprend les mêmes types de personnages qui ont fait le succès de Jurassic Park.

-On commence avec Chris Pratt « StarLord dans Les gardiens de la galaxie » qui joue le rôle d’Owen Grady, un spécialiste des dinosaures, tout particulièrement des velociraptors qu’il a réussi à dresser »mettons de coté cette improbabilité ». Owen est un personnage à la personnalité que tout le monde aime : cool, brutal, un brin antipathique mais sympathique. Un caractère très similaire à Indiana Jones. Rajoutons à cela un personnage bourré d’humour sans pour autant en faire des tonnes et qui sait se montrer sérieux quand il le faut. Un personnage très charismatique.

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-J’avais beaucoup de préjugés sur l’actrice Bryce Dallas Howard qui campe le rôle de Claire Dearing « une business woman , froide et irresponsable quand il s’agit de s’occuper de ses deux neveux venus passer du temps avec elle à Jurassic World dont elle s’occupe des affaires ». Un personnage maniaque du travail mais qui va complètement changer de facette vers le milieu du film et nous montrera sa force et son courage.

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-On en faisait une fois de plus des tonnes, Omar Sy fait son entrée dans une grosse franchise après une arrivée remarquée mais décevante dans X men. On prend plus ou moins les mêmes et on recommence. Omar Sy interprète le rôle de Barry, travaillant aux côtés d’Owen et étant lui aussi dresseur. Personnage peu exploité, bouche-trou et n’apportant absolument rien à l’histoire. Pire, il fait presque de la figuration dans le film. Ne parlons pas non plus du peu de dialogues que le personnage aura. C’est vraiment triste de voir que l’acteur arrive à avoir des rôles dans des gros films mais qu’on ne lui donne pas un rôle important. La faute à son niveau d’Anglais peu suffisant pour pouvoir jouer davantage.

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-Que serait un Jurassic Park sans ses enfants insouciants ? Nick Robinson , joue le rôle de Zach, jeune ado rebelle, blasé par la vie, ne cherchant qu’à draguer les minettes de son âge et toujours le nez fourré sur son portable. Ty Simpkins joue quand à lui le rôle de Gray, le petit frère de Zach. Un jeune homme passionné par les dinosaures « digne remplaçant de Tim dans Jurassic Park ». Les deux frères sont envoyés à Jurassic World par leurs parents sur le point de divorcés. Ils y retrouvent là bas leur tante Claire « Bryce Dallas Howard » et bénéficient d’un pass leur permettant de profiter de toutes les attractions. Nous le savons tous, qui dit enfant seuls dit insouciances et dit surtout DANGER. Mais, pour une fois, nous sommes face à des enfants débrouillards et autant courageux que l’étaient Tim et sa sœur Lex dans Jurassic Park. « Quand je vous disais qu’on reprenait les mêmes références ».

D’autres personnages secondaires et d’autres têtes connus feront leur apparition dans notre film. Certains auront une apparition minime pour surement revenir dans une prochaine suite tandis que d’autres auront un rôle important.

Effrayant et palpitant

Le film commence assez vite même s’il se concentre surtout à la présentation du lieu de l’intrigue mais aussi des protagonistes « Zach et son frère, Claire, Owen ». Comme si nous étions nous-mêmes visiteurs, nous découvrons en même temps que Zach et Gray le nouveau parc d’attractions. C’est beau, très beau et le tout est accompagné par le somptueux thème de Jurassic Park. Les fans inconditionnels retrouvent petit à petit leur marque mais s’aperçoivent aussi que les choses ont évalué. Les nostalgiques ont plus d’attente que les nouveaux venus et les nouveaux venus en veulent toujours plus. Le réalisateur parvient à répondre à leurs attentes. Plus d’espèces de dinosaures, plus de scènes d’action spectaculaire, des références et clins d’œil aux premiers films de la saga. Tout le monde est gagnant. Contrairement à Jurassic Park qui nous gratifiait d’une somme faramineuse en nous mettant sous le nez des produits dérivés que tout fan qui se respecte voulait s’approprier, Jurassic World se focalise plus sur le côté spectacle et parc d’attractions made in Disney « ou Astérix ». Dans le parc, les attractions se font nombreuses « atelier de fouille archéologique, balade en canoë le long d’une rivière où tout autour des dinosaures « que les herbivores » vivent leur vie, spectacle sous-marin, etc. ». On en voit autant que si on était sur place.

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Loin d’être parfait…

Mais il y a un hic du coté de la mise en scène et surtout des effets spéciaux. Certains n’apprécieront pas les dinosaures créés tout en numérique même si l’animatronic est encore présent mais de façon plus minime. Et c’est là que le film pèche beaucoup. Trop d’effets spéciaux dès le début du film qui nous font découvrir les multitudes d’espèces de dinosaures. Le coté réaliste de Jurassic Park en prend du coup un gros coup. »’Les effets numériques ont évolués certes mais là, on a autant d’effets très bien maitrisés que d’autres ressemblant à ses téléfilms passant en deuxième partie de soirée à la télévision. Rassurez-vous, ce point négatif ne sera présent que dans la première heure de film »’. Et c’est là aussi que j’aborde le deuxième point négatif : l’inégalité de la mise en scène et de l’ambiance. Les premières minutes sont une découverte des lieux et des personnages et vers le milieu du film, nous tombons dans une ambiance tout autant effrayante que l’avais été Jurassic ParK. Mais pendant les premières minutes il est très difficile aux fans de la première heure de rentrer dans l’histoire. La faute à un mauvais placement de références musicale et visuelle à Jurassic Park lors de l’arrivée de Zach et son frère dans ce gigantesque parc. On attend à revivre ce que l’on avait vécu en découvrant le premier opus. Jurassic World emprunte un peu trop d’éléments du film original et c’est très mal géré. Il y a aussi le problème numéro un du film : les enfants. Personnages qui sont le fil conducteur de notre histoire et doivent accompagner le spectateur dans son aventure. Ici, ils cassent le film à chaques scènes importantes. Dans Jurassic Park, l’adulte supportait les enfants parce qu’il s’identifiait au personnage principal « Alan Grant » qui lui voyait les enfants comme une abomination et ne se privait pas pour faire des blagues horribles à leur égard. Dans Jurassic World, il n’en est rien. On s’attachera aux enfants que bien plus tard. Malgré ces premiers défauts en début de film, au bout de quelques minutes, nous tombons enfin de quelque chose d’inédit « les personnages, les scènes et surtout l’histoire ». Le sentiment de répétition et de déjà-vu s’évapore. Pire, la deuxième heure donne des frissons tant l’action et les scènes sont spectaculaires.

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…mais loin d’être décevant

Je me suis beaucoup demandé si j’allais pouvoir ressortir du film en me disant que j’ai vu des scènes cultes et entendu des répliques aussi bonnes que dans les autres films. Et au bout de quelques minutes j’ai enfin pu être soulagé. Des scènes et des répliques cultes vous allez en avoir. Et de ce côté-là, remercions Chris Pratt qui porte presque à lui seul le film sur ces épaules. D’un charisme dingue, il parvient à gagner le cœur du spectateur. On rit, on angoisse, on est captivé. Les sentiments ressentis en découvrant la version de 1993 sont là. L’ambiance captivante et horrifique fait son retour. De l’émotion forte et une bonne dose d’adrénaline pour un film qui veut vous en offrir plus. Plus de dinosaures, plus de victimes, plus de suspense, plus de science, plus d’action. On retrouve les ingrédients qu’on ne pensait pas revoir mais le tout abordé de façon plus actuelle et plus inédite. Le film étant tout public avec avertissement, nous revenons dans l’ambiance film horrifique familial. Du coté de la musique, hormis le thème principal qui est toujours présent, le compositeur Michael Giacchino « la série Lost » arrive une fois de plus à faire un excellent travail en nous faisant passer par diverses émotions « la peur, la joie, le rire » grâce à des musiques parfaitement maitrisées. C’est bien connu, le spectateur, l’homme, en veut toujours plus. L’idée a bien été trouvée puisque dans Jurassic World, l’homme n’a pas retenu la leçon après la première version ratée du parc. Nous tombons donc dans la perversité de l’homme à vouloir aller toujours plus loin sans apprendre de ses erreurs. On nous créait du coup un nouveau parc, plus grand, plus ambitieux et avec surtout une nouvelle espèce de dinosaure créée afin de captiver le public toujours demandeur. Et une fois de plus, à trop vouloir jouer le rôle de Dieu, la création se retourne toujours vers le créateur. De ce côté la frontière entre la recherche scientifique et ses dérives est bien abordée.

POUR CONCLURE

La longue attente prend fin, Jurassic Park est de retour plus en forme que jamais. Nouveaux personnages, nouvelle histoire, nouvelle franchise, pour un premier film, c’est assez réussi. Jurassic World ne fait pas de l’ombre à ses prédécesseurs et essaye de nous offrir une nouvelle histoire sans pour autant oublier l’ancienne qui joue dans ce film un rôle important que je vous laisse découvrir. Il faut vivre avec son temps, les attentes et mentalités du spectateur ont changé et si »’le réalisateur a voulu prouver qu’il pouvait faire mieux que Spielberg, il a eu quelques mauvaises surprises. D’une part à cause d’une première partie un peu trop laborieuse, d’une autre part pour certains « mauvais placements » des références aux films précédents et d’autre part pour sa mauvaise gestion des effets spéciaux. Pourquoi s’entêter à vouloir créer des dinosaures numériques alors que l’animation a encore évolué et était bien plus réaliste ? »’ Pour ce qui est du reste, le film offre une bonne dose d’adrénaline avec du spectacle spectaculairement spectaculaire porté par un très bon casting avec des personnages garantis sans clichés » sauf les enfants » qui enchainent les morceaux de bravoure, évoluent, dépassent leurs préjugés. Ceux qui s’avéraient antipathiques évoluent vers quelqu’un de beaucoup plus appréciable. Un très bon point sur ça. Pour le reste, beaucoup de surprises vous attendent et le film arrive même à nous faire verser une petite larme dans une séquence touchante. Ni en dessous ni au-dessus des autres films. Pour ma part, une très belle surprise « surtout quand on voit la qualité de la dernière heure du film ».

Auteur de l’article : Jéremie Ziza et Orel Durden

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Danny the Dog de Louis Leterrier

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Danny the Dog de Leterrier avec : Jet Li ,Bob Hoskins ,Morgan Freeman…

★★★☆☆

« Un mélange de violence et de poésie »

Synopsis

Interdit aux moins de 12 ans
Bart a élevé Danny comme un chien, dressé pour tuer. A 30 ans, il ne connaît de la vie que son maître, la pièce dans laquelle il est resté reclus et les combats sanguinaires pour lesquels il est entraîné. Après un règlement de compte, Danny se retrouve seul, perdu. Sam, doux, humain, artiste, et sa belle fille mélomane le recueillent. A force d’amour, de patience et de gentillesse, Sam et Victoria vont défaire le long apprentissage de la violence qu’il a connue.

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Louis Leterrier et son Danny The Dog que j’ai vu plusieurs fois ,et pour la première fois en VO .Je n’ai vu que deux films de Leterrier, celui-ci et Insaisissables, les autres ne m’ayant pas vraiment attiré .Louis Leterrier est un réalisateur Français exporté depuis quelque années aux Etats-Unis, où il enchaîne des grosses production Hollywodiennes, dernier en date « Insaisissables » ou il dirigait Mark Rufallo ,Jesse Einsenberg ou encore Isla Fisher et même l’actrice Française Mélanie Laurent .Avec Danny the dog, le réalisateur commencé son ascension aux Etats-Unis ,et réalise un film plutôt réussi .

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Danny, un homme dressé comme un chien pour des combats depuis enfant par Bart, un criminel qui prend Danny pour un chien d’attaque pour régler ses affaires .Les combats parlons en : ils sont tout simplement incroyables avec un Jet Li surprenant qui nous en met plein les yeux, des combats corégraphiés par Yuen Wo Ping qui avait travaillé sur Matrix .Les coups sont d’une rapidité effarante ,un vrai spectacle .La réalisation de Louis Leterrier est bonne et nous offre une photographie pas mal dans l’ensemble .Un homme qui découvre l’amour du piano et celle d’une famille ,Danny devient rapidement un personnage attachant qui est effrayé par cette nouvelle famille qui ne lui veut que du bien tandis que Bart le recherche pour continuer son buisness .Une réalisation touchante ,d’un homme qui s’éloigne de toute violence qu’il a connu depuis petit .Un grain d’image intéressant qui rend bien sur la ville de Glassgow en Ecosse .Hormis les combats ,la mise en scène nous offre des scènes émouvantes où Jet Li nous offre une prestation saisissante .

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Sur un scénario de Luc Besson que j’apprécie plus du tout depuis quelque années ,j’avoue qu’ici il écrit une jolie histoire où il nous offre un jolie mélange de violence et de poésie .Luc Besson a su ici écrire le scénario qu’il fallait ,pour une réalisation pas parfaite certes mais plus que correcte

Danny the dog 2005 Réal :  Louis Leterrier Jet Li Kerry Condon Collection Christophel

.Au casting se joignent à Jet Li le très regretté Bob Hoskins qui joue l’impitoyable salaud « Bart » et qui excelle dans ce rôle ,on y retrouve Morgan Freeman et Kerry Condon parfaits dans leur rôle, qui prennent Danny sous leurs ailes des personnages convaicants auquel on s’attache .A la musique on notera le groupe de trip-trop « Massive Attack » qui livre une très bonne bande originale avec de bons morceaux collant comme il faut à l’ambiance du film .

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Bande Annonce : Hunger Games La Révolte partie 2

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C’est reparti Katniss est de retour en novembre pour la dernière Partie de Hunger Games :La révolte partie 2 de retour Jennifer Lawrence ,Josh Hutcherson et Liam Hemworth et la première bande annonce est ici…

The Raid 2 de Gareth Evans

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The Raid 2 de Gareth Evans avec : Iko Uwais ,Julie Estelle …

★★★☆☆

« Plus violent ,plus choc une claque visuelle »

Synopsis
Interdit aux moins de 16 ans avec avertissement
Après un combat sans merci pour s’extirper d’un immeuble rempli de criminels et de fous furieux, laissant derrière lui des monceaux de cadavres de policiers et de dangereux truands, Rama, jeune flic de Jakarta, pensait retrouver une vie normale, avec sa femme et son tout jeune fils…. Mais il se trompait. On lui impose en effet une nouvelle mission : Rama devra infiltrer le syndicat du crime, où coexistent dans une sorte de statu quo mafia indonésienne et yakusas. Sous l’identité de « Yuda », un tueur sans pitié, il se laisse jeter en prison afin d’y gagner la confiance d’Uco, le fils d’un magnat du crime indonésien – son ticket d’entrée pour intégrer l’organisation. Sur fond de guerre des gangs, il risquera sa vie dans un dangereux jeu de rôle destiné à porter un coup fatal à l’empire du crime.

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Peut-être trop surestimé, le premier « The raid » avait attiré les foules catalogué comme le film d’action le plus dynamique .Même si en effet l’action était au rendez-vous, elle ne l’était pas tant que ça .En plus de son scénario trop simpliste, heureusement les chorégraphies de combat, étaient habilement maîtrisées .Trois ans plus tard Gareth Evans remet le couvert , avec un deuxième opus tout aussi puissant visuellement .L’action bien dosée, comme le premier certes mais nettement plus violent..

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Une réalisation d’une réussite absolument incroyable Évans étonne pour une suite pleine de dynamisme, où les comédiens donnent le meilleur d’eux-mêmes .Tout comme le premier les chorégraphies de combat, sont d’une maîtrise superbe et d’une brutalité .Ce qu’on retiendra aussi, de ce deuxième opus c’est la violence de certaines scènes, beaucoup plus choc que le premier .Gareth Évans nous offre une claque, pleine de violence la scène du métro pour moi la plus hard restera dans les mémoires.

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Le scénario est super bien écrit, en comparaison du premier les suites se font toujours descendre et bien ici non en comparaison nous avons un scénario plutôt bien foutu .Si le charme du premier résidé dans son ambiance huis- clos, celui-ci plaira pour son scénario soigné et travaillé un grand bravo .Le casting change sauf pour le héros principal qui reste le même, et nous offre une belle performance, les autres comédiens s’en sortent bien aussi et nous offrent de belles prestations .La musique du film, reste plutôt bonne et rythme bien les scènes .The Raid 2 est un film d’action qui possède le même rythme que le premier, mise à part les scènes d’une grande violence, mais reste un film a voir de toute urgence .

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The Raid de Gareth Evans

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The Raid de Gareth Evans avec : Iko Uwais ,Yayan Ruhian …

★★★☆☆

« Tout les coups sont permis »

Synopsis
Interdit aux moins de 16 ans
Au cœur des quartiers pauvres de Jakarta, se trouve une citadelle imprenable dans laquelle se cache le plus dangereux trafiquant du pays. Une équipe de policiers d’élite est envoyée donner l’assaut lors d’un raid secret mené aux premières lueurs du jour. Mais grâce à ses indics, le baron de la drogue est déjà au courant et a eu amplement le temps de se préparer. A l’instant où le groupe d’intervention pénètre dans l’immeuble, le piège se referme : les portes sont condamnées, l’électricité est coupée et une armée d’hommes surentrainés débarque. Piégés dans cet immeuble étouffant, les policiers vont devoir se battre étage après étage pour avoir une chance de survivre.

the raid 2

Pas plus attirer par ce film, à sa sortie je me laisse tenter en ayant quelque méfiance, le réalisateur Britannique « Gareth Evans » réalise un film brutal et violent, où tous les coups sont permis .Loin de son pays d’origine Évans , raconte cette histoire à Jakarta ou ce Raid va se dérouler d’une violence inouïe .Nous voilà embarqués pour plus de 1h30, enfermé dans un immeuble où les locataires ne sont pas très accueillant face aux policiers qui investissent les lieux .

the-raid-1 the raid

Le film ne dispose pas d’un scénario excellent disons-le, car il paraît inexistant, car le film préfère se concentrer sur les combats, et donc l’histoire n’a pas été beaucoup travailler .Mais la mise en scène est d’une telle puissance qu’on n’en reste scotché des chorégraphies de combat habilement mené .De légères tensions, du suspense se dégage de ce film ou Gareth Evans , sait comment distraire ses spectateurs .Car même si le scénario n’est pas extraordinaire, on ne s’ennuie jamais, ce film dispose de tous les ingrédients pour faire un divertissement excellent…

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Situation Amoureuse : C’est Compliqué De Manu Payet et Rodolphe Lauga

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Situation Amoureuse : C’est compliqué de Manu Payet et Rodolphe Lauga avec : Manu Payet ,Emmanuelle Chirqui

★★☆☆☆

« Une comédie qui passe ,mais qui casse pas des briques »

Synopsis
À trente ans, Ben est sur le point d’épouser Juliette. Sa petite vie tranquille et sans danger va basculer lorsqu’il retombe sur la personne qu’il a secrètement le plus envie de revoir : Vanessa, la bombe du lycée qui ne l’avait jamais regardé. Elle est de retour à Paris et ne connaît, aujourd’hui, que lui…

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De nombreuses comédies Françaises sorte, en passant inaperçue ou quasi- inaperçue, le cas de ce film Français de Manu Payet et Rodolphe Lauga .Si le nom de Rodolphe Lauga ne vous dit rien, moi non plus mais le nom de Manu Payet sans doute plus , il réalise ici son premier film avec Rodolphe Lauga .Ayant vu très peu de films avec Payet celui-ci est le deuxième, le premier étant « Nous York » de Géraldine Nakache, un film que j’avais beaucoup apprécié, j’en ferais une critique .Ici Payet réalise, joue en réalisant une comédie simple..

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Oui simple et peut-être , trop simple un scénario qu’a écrit Manu Payet avec Romain Lévy et Nicolas Peufaillit, car finalement il ne ce passe pas grand-chose dans ce film .Une jeune fille dont il était tombé amoureux, quand il était ados, refais surface alors qu’il va ce marier la question est : que va-t-il faire ? en faites pas grand-chose, et c’est bien le le problème de ce film .Il aurait bien mérité, qui se passe quelque chose en revoyant, cette jeune femme, il se passe des choses pas assez intéressantes pour qu’on dit que ce film est bon .

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La mise en scène quant à elle, n’est pas trop mal, et puis de bons comédiens arrivent à convaincre .La prestation de Manu Payet , est la plus réussie , et côté féminin Anaïs Demoustier et Emmanuelle Chirqui s’en sorte bien .Ce film de Manu Payet , qui est donc sa première réalisation, est loin d’être parfaite surtout au niveau du scénario qui n’a pas grande originalité dommage car ça aurait pu être sympa .

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