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Orel

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Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

Les sorties cinéma du 02 Janvier

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Une année qui commence doucement, mais on pourra retenir Bienvenue a Marwen un Robert Zemeckis pour commencer la nouvelle année quoi de mieux? Mais aussi Matthew McConaughey, dans Undercover. Cependant le mois de janvier commence juste, et il n’y a pas mal de sortie a venir. Bonne année…

 

Une femme d’exception
2 janvier 2019 / 2h 00min / Drame, Biopic
De Mimi Leder
Avec Felicity Jones, Armie Hammer, Justin Theroux
Jeune avocate idéaliste, Ruth Bader Ginsburg vient d’avoir un enfant et ne trouve aucun cabinet prêt à engager une femme… Lorsqu’elle accepte une affaire fiscale avec son mari Martin, elle comprend qu’il y a sans doute là l’occasion de faire évoluer sa carrière…

Premières Vacances

Avec Camille Chamoux, Jonathan Cohen, Camille Cottin
Marion et Ben, trentenaires, font connaissance sur Tinder. C’est à peu près tout ce qu’ils ont en commun ; mais les contraires s’attirent, et ils décident au petit matin de leur rencontre de partir ensemble en vacances malgré l’avis de leur entourage. Ils partiront finalement… en Bulgarie, à mi-chemin de leurs destinations rêvées : Beyrouth pour Marion, Biarritz pour Ben.

Qui a tué Lady Winsley ?
2 janvier 2019 / 1h 30min / Policier, Comédie
De Hiner Saleem
Avec Mehmet Kurtuluş, Ezgi Mola, Ahmet Uz
Lady Winsley, une romancière américaine, est assassinée sur une petite île turque. Le célèbre inspecteur Fergan arrive d’Istanbul pour mener l’enquête. Très vite, il doit faire face à des secrets bien gardés dans ce petit coin de pays où les tabous sont nombreux.

Never-Ending Man : Hayao Miyazaki
2 janvier 2019 / 1h 10min / Documentaire
De Kaku Arakawa
Avec Hayao Miyazaki, Toshio Suzuki, Yuhei Sakuragi
Le réalisateur Kaku Arakawa a suivi pendant deux ans le Studio Ghibli et Hayao Miyazaki après l’arrêt de leur activité, avec une complicité et une délicatesse qui lui ont permis de montrer le maître de l’animation japonaise tel qu’on ne l’a jamais vu.

Bienvenue à Marwen
2 janvier 2019 / 1h 56min / Drame
De Robert Zemeckis
Avec Steve Carell, Leslie Mann, Eiza Gonzalez
L’histoire de Mark Hogancamp, victime d’une amnésie totale après avoir été sauvagement agressé, et qui, en guise de thérapie, se lance dans la construction de la réplique d’un village belge durant la Seconde Guerre mondiale.

Undercover – Une histoire vraie
2 janvier 2019 / 1h 51min / Drame, Policier
De Yann Demange
Avec Matthew McConaughey, Richie Merritt, Bel Powley
À Détroit, dans les années 80, au plus fort de la guerre contre l’épidémie de crack, voici l’histoire vraie d’un père d’origine modeste, Richard Wershe, et de son fils, Rick Jr., un adolescent qui fut informateur pour le compte du FBI, avant de devenir lui-même trafiquant de drogue, et qui, abandonné par ceux qui l’avaient utilisé, fut condamné à finir ses jours en prison.

ASAKO I&II
2 janvier 2019 / 1h 59min / Romance, Drame
De Ryusuke Hamaguchi
Avec Masahiro Higashide, Erika Karata, Koji Seto
Lorsque son premier grand amour disparaît du jour au lendemain, Asako est abasourdie et quitte Osaka pour changer de vie. Deux ans plus tard à Tokyo, elle tombe de nouveau amoureuse et s’apprête à se marier… à un homme qui ressemble trait pour trait à son premier amant évanoui.

Un beau voyou
2 janvier 2019 / 1h 44min / Comédie, Policier
De Lucas Bernard
Avec Charles Berling, Swann Arlaud, Jennifer Decker
Le commissaire Beffrois attend la retraite avec un enthousiasme mitigé quand un vol de tableau retient son attention. Est-ce l’élégance du procédé ? L’audace du délit ? La beauté de l’œuvre volée ? Beffrois se lance à la recherche d’un voleur atypique, véritable courant d’air, acrobate à ses heures.

A Bread Factory, Part 2 : Un petit coin de paradis
2 janvier 2019 / 2h 00min / Drame
De Patrick Wang
Avec Nana Visitor, James Marsters, Jessica Pimentel
Checkford a bien changé depuis l’arrivée des célèbres May Ray : les touristes affluent, l’immobilier flambe… A la Bread Factory, Dorothea et Greta travaillent sur l’adaptation d’Hécube d’Euripide. Mais le vrai spectacle se situe peut-être à l’extérieur. Face à toutes ces transformations dans la ville, la Bread Factory est toujours menacé.

En janvier sur Netflix

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Pour janvier juste le jour de l’an, La cité de la peur fait son apparition sur le catalogue et c’est une bonne surprise de revoir le classique des nuls. Le rajout, de Fast and Furious 7 aussi, mais également Crimson Peak de Guillermo Del Toro. Côté des séries, Grimm ou encore la saison 2 de Star Trek Discovery de quoi se mettre sous les yeux une nouvelle année qui commence bien sur Netflix.

 

Les films

Tidying Up with Marie Kondo – 1er janvier

Fast & Furious 7 – 1er janvier

Straight Outta Compton – 1er janvier

Berserk – 1er janvier

Django Unchained – 1er janvier

La Cité de la Peur – 1er janvier

Crimson Peak – 1er janvier

Black Earth Rising – 25 janvier

Spotlight – 27 janvier

Les séries

Grimm, Saison 6 – 6 janvier

Sex Education, Saison 1 – 11 janvier

Titans, Saison 1 – 11 janvier

American Crime Story : The Assassination of Gianni Versace, Saison 2 – 18 janvier

Star Trek : Discovery, Saison 2 – 18 janvier

Kingdom, Saison 1 – 25 janvier

Unbreakable Kimmy Schmidt, Saison 4 Partie 2 – 25 janvier

Godzilla 1998 vs Godzilla 2014 : Le choc des titans

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Aujourd’hui intéressons-nous, à deux versions de Godzilla celle de 1998 de Roland Emmerich et celle de 2014 de Gareth Edwards. Pourquoi ces deux versions ? Tout d’abord parce-que je n’ai vu que ces versions, mais je compte voir les films japonais les originaux parce que ce sont les bases tout de même. Je vous en parle, parce que ce sont aussi les deux versions les plus connues. Tandis que la version d’Emmerich se révèle être qu’un simple divertissement, l’autre propose quelque chose de plus sérieux en posant des vraies questions, sur par exemple le danger du nucléaire. Deux oeuvres portant le même titre, mais très éloigné sur le concept du monstre. Alors que Emmerich n’en fait qu’un monstre destructeur, Edwards en fait un défenseur de la race humaine en combattant deux Muto des créatures radioactive. L’approche d’Edwards est donc, bien plus fidèle à l’original et n’en fais pas qu’un simple divertissement. Pour vous j’ai décortiqué les deux films, dans une sorte de Versus les qualités de l’un et de l’autre et leurs défauts. Deux films, deux visions différentes et deux monstres différent. Même si ceci n’est que mon avis, et que chacun a son préféré vous devinerez d’après cet article lequel je préfère. Allons-y je vous parle monstre dans cet article.

 

ROLAND EMMERICH LE DESTRUCTEUR

Roland Emmerich aime tout détruire, il suffit de voir ses films pour s’en rendre compte. Il commence à détruire le monde avec Independence Day en 1996, où New York en prend pour son grade. Puis en 1998, avec Godzilla il détruit New York une fois de plus. Mais après ça, il détruira encore le monde avec Le jour d’après ou encore le nanar 2012, qui reste un de ses pires films. Son Godzilla 1998, fête déjà ses 20 ans en cette année 2018, qui se termine. Le film reste efficace, mais on croirait qu’Emmerich ne cherche qu’à détruire. Et si Godzilla n’était finalement qu’un prétexte, pour montrait de la destruction à grande échelle? Independence Day deux ans avant Godzilla, était aussi de la destruction, par des aliens ici nous avons le droit à un lézard radioactif. Emmerich reprend surtout le nom du monstre, sans s’intéresser à la création véritable du monstre. Même au niveau du design, de la créature qui est très loin, de l’original. Es-que ce Godzilla, n’est juste qu’un bon défouloir et rien de plus?

LE MONSTRE LEGENDAIRE VERSION EMMERICH

Le réalisateur imagine à sa façon le monstre, il ne défend pas les humains mais se contente de détruire New York. Les humains quant à eux ne cherchent pas plus loin, et cherchent à l’éliminer mais rien n’y fait. Le monstre est bien fichu, dans l’ensemble il s’agit d’un lézard géant. Le générique nous explique vaguement le pourquoi du comment. Il s’agit d’essais atomiques, qui font grandir un reptile, et ce dernier gigantesque détruit tout quand il est hors de l’eau. Le monstre rend toujours aussi bien, mais ne reste pas une icône comme l’original. Emmerich se démarque, et fait sa propre version. Dans le film, Godzilla se bat contre les humains, et les humains lui balancent ce qu’ils peuvent même des tirs de missiles. En gros Emmerich fait de Godzilla, un gros dinosaure, qui détruit tout et quand il détruit tout surtout c’est pour échapper aux tirs des humains. Car les plus gros des dégâts, ne sont pas provoqué que par le monstre, mais en majorité par les humains car ils ne sont pas foutus de tirer des missiles correctement et dégomment leur propre immeuble. Bon Godzilla est une cible mouvente, me direz-vous, le monstre ne se déplace, pas à grande vitesse, ils auraient pu réussir beaucoup plus de tirs. Au vu de l’ensemble du long-métrage, il semble qu’Emmerich ridiculise l’être humain.

LE FILM

Une tempête effroyable se dechaîne sur le Pacifique, engloutissant un pétrolier tandis qu’un immense éclair illumine le ciel au-dessus de la Polynésie française. Des empreintes géantes creusent un inquiétant sillon à travers des milliers de kilomètres de forêts et de plages au Panama. Les navires chavirent au large des côtes américaines et ces horribles phénomènes s’approchent de plus en plus près de New York. Le chercheur Nick Tatopoulos est arraché à ses recherches afin d’aider les Etats-Unis à traquer le monstre qui est à l’origine de ces désastres mystérieux. Voilà le synopsis, de la version de Roland Emmerich. Nick Tatopulos un scientifique est engagé, pour étudier le monstre. Godzilla est le résultat d’essai scientifique Français, qui ont entraîné la mutation d’un lézard, trente ans plus tard la bête est gigantesque est détruit tout. New-York sera donc le terrain de jeux, de la créature, des agents dela DGSE débarque rapidement ils font partie des services secrets Français, et s’intéresse de prêts a Tatopoulos.

 

Roland Emmerich semble pointer les Français du doigt dans son film, mais pourquoi donc?. Il se moque de notre pays oui,  mais en plus en nous caricaturant bêtement, avec de vieilles caricatures rien que les prénoms le prouvent. Le nom que porte Jean Reno c’est Philippe mais il y a également les noms composés de ses hommes : Jean-Luc, Jean-Claude, Jean-Pierre et Jean-Philippe. Des noms hypers caricaturaux, de notre belle France qu’Emmerich expose dans ce film. Car il est clair, que le réalisateur se moque de nous en caricaturant la chose si facilement. Le film se veut divertissant, mais se ridiculise de nombreuses fois où l’on se demande même si ce n’est pas volontaire (très probable). Il y a cette armée Américaine, représenté comme des nazes, ou on l’on a cette impression qu’Emmerich se moque également des Américains. Car rappelons que Roland Emmerich, n’est pas d’origine Américaine mais il est allemand, donc peut-il se permettre, de se moquer et caricaturer ces deux pays en majorité? En tout cas, il ne se gêne pas, pour le faire.

Roland Emmerich écrit même le scénario du film, avec son acolyte Dean Devlin ils ont tous les deux la même vision des choses. Les mêmes idées, c’est-à-dire la destruction. On ne va pas se le cacher, le scénario de Godzilla est loin d’être modèle d’exemple. Les personnages hyper-caricaturaux avec ces soldats totalement stupides qui avec leurs missiles détruisent la moitié de la ville plus que le lézard lui-même. Nick Tatopoulos le gentil chercheur, gentil mais un peu bête et naïf, Hank Azaria plutôt drôle et puis la journaliste ex de Nick qui on sait très bien lui fera encore un sale tour. Jean Reno le Français le plus cliché, mais bon là c’est pour intégrer de l’humour. Pour le récit, rien de bien folichon le lézard est gros, très gros a cause d’une bombe nucléaire et puis il débarque et casse tout. N’y voyais rien d’autre, qu’un gros divertissement car ce n’est que ça, et rien de plus.

 

GARETH  EDWARDS L’HOMME DE LA SITUATION

Après son premier film Monster, on ne pouvait avoir que confiance en Gareth Edwards. Godzilla sera le premier film, d’un nouvel univers étendu MonstersVerse, ou Kong viendra après. Dans quelques mois, on attend Godzilla: King of monsters que réalise Michael Dougherty (Krampus). Gareth Edwards prend donc les choses en main, et il reprend les bases du vrai Godzilla. Les bases c’est le monstre, le design puis les monstres contre lesquels il se bat. Le film débute, avec un accident nucléaire non provoqué par la centrale elle-même mais une menace bien plus grande. Gareth Edwards marquera, avec cette scène qui rappelle l’accident de Fukushima. Le réalisateur aborde, des thèmes fort comme celui du nucléaire un sujet d’actualité, et il le représente très bien. La bébête est impressionnante, elle est d’une telle puissance, et on s’en rend compte lors des combats avec le Muto. Gareth Edwards contrairement à Emmerich, livre une version différente de Godzilla, tout d’abord il respecte le design de la créature originale. Puis ne détruit pas, pour détruire ici c’est l’humain qui détruit en créant des monstres. L’homme est le responsable, de la destruction du monde dans lequel il vit. Une image que renvoi Gareth Edwards, assez proche de l’état actuel des choses sauf que nos monstres ne sont pas des Muto ou Godzilla. D’ailleurs c’est ce que montre, le réalisateur: les monstres ne sont pas ceux que l’on croient. Pour revenir le plus possible, a ce qu’est et comment est Godzilla il fallait que ce soit ce réalisateur.

 

DES MONSTRES VU A L’ECHELLE HUMAINE

Pour cette version 2014, le réalisateur Gareth Edwards revient au design original du monstre ce qui donne du crédit au film. On notera aussi, que le réalisateur film a l’échelle humaine, c’est-à-dire a la hauteur d’un humain pour plus d’immersion. Ce qui permet de voir la grandeur de Godzilla mais aussi des MUTO, les combats entre les deux monstres sont impressionnants. Quand Godzilla se relève, dans un nuage de poussière c’est un titan, et c’est le soulèvement d’un sauveur. Quelle est la place des monstres sur notre monde? La question, se pose, tout d’abord l’humain souhaite éliminer Godilla qu’il perçoit comme une menace. Les deux MUTO, le mâle et la femelle sont les deux vrais menaces sur notre monde. Le seul capable, de les mettre hors d’état de nuire est Godzilla. Ainsi les humains comprendront, que ce dernier est le sauveur du monde. Vus a l’échelle humaine, nous avons donc une meilleure vision des choses, qui se produise. Les combats de Godzilla contre les MUTO, leur chute au sol donnent une immersion grandiose. Certains n’auront pas aimé, le film du fait qu’on ne voit pas assez Godzilla, mais cela a pour but de donner un effet de surprise plus grandiose à sa première apparition. Pour ce qui est des MUTO, leur présence à l’écran est plus importante, on y suit leur parcours. Cette idée de mise en scène, est fabuleuse, qui fait prendre conscience que nous humains nous sommes finalement si petits face à des choses qui nous dépassent.

LE FILM ET LE RESTE

Le danger du nucléaire, est également mis en avant c’est d’ailleurs surtout ça qu’on retiendra et au début du film on verra que la mère de Ford qui est prise au piège et y laissera sa vie. Tout au long du film, les messages sur les dangers du nucléaire, sont présents comme les déchets du nucléaire stocker pas loin de Las-Vegas. Si le film-livre d’excellentes choses, il n’est pas exempt de défauts comme l’écriture de ses personnages. Car même si dans l’ensemble du récit il y a un très bon traitement ce n’est pas le cas du développement des personnages. En effet on retiendra le personnage de Bryan Cranston bien trop vite expédié, alors qu’il aurait mérité bien mieux comme traitement. Le personnage de Ford, qu’incarne Aaron Taylor-Johnson, manque également de développement et reste très cliché sur son rôle. Le personnage de Ken Watanabe quant à lui, et beaucoup mieux écrit même si c’est loin d’être parfait. On ne verra que très peu, la femme de Ford seulement quelque passage lui seront consacrés, mais en même temps est-ce que son personnage a vraiment de l’importance? La mise en scène brille aussi, dans la photographie du film que signe Seamus McGarvey. Gareth Edwards joue, avec les ombres, les lumières qui semble venir d’un autre monde. Il y a cette épaisse fumée, ou le monstre est caché tapis dans l’ombre prête à surgir. Dans cette version de Godzilla, il y a une certaine émotion à laquelle on ne peut rester insensible on n’aura plus de compassion sur Godzilla que sur les humains. La scène du saut en parachute restera une scène mémorable du film, et marquera les esprits car elle possède quelque chose de puissant. La vision du personnage et sa forte respiration, sous son masque, donne aussi du réalisme à cette scène jusqu’à l’atterrissage et juste après l’apparition de Godzilla. Dans cette version 2014, l’homme se pense au-dessus de tout, sauf qu’il ne l’est pas. Le film brille énormément sur ses aspects techniques, et sur ses nombreuses thématiques abordés avec intelligence.

Un casting qui n’est pas mauvais, mais dont les personnages sont mal écrits. Aaron Taylor-Johnson tient le rôle principal, Bryan Cranston joue le père de Ford, Juliette Binoche sera quant à elle encore plus vite expédiée dans le rôle de la mère de Ford. On retrouve aussi Elizabeth Olsen, dans le rôle d’Elle Brody la femme de Ford. Des scénaristes, à qui on reconnaît pour beaucoup la qualité de l’écriture David.S.Goyer, Max Borenstein, Dave Callaham on retiendra surtout Drew Pearce réalisateur d’Hôtel Artemis et Frank Darabont. Les meilleures idées doivent venir de Frank Darabont et Drew Pearce ou encore David.S.Goyer. Tout n’est pas brillant, mais le film regorge d’idées scénaristiques fabuleuse.

Pointera l’année prochaine le prochain film Godzilla, avec en titre King of Monsters. Un tout nouveau casting, hormis Ken Watanabe et Sally Hawkins qui font leur retour. Dans cette suite, Godzilla combattra trois monstres dont King Ghidorah qui sera le plus redoutable car c’est un monstre à trois têtes. Espérons que ce dernier, disposera d’une meilleure écriture, sur les personnages mais côté spectacle il n’y a pas de soucis à se faire. Ce dossier touche à sa fin, j’espère qu’il vous aura plu. Et vous, quel est le Godzilla que vous préférez?

Les sorties cinéma du 26 décembre

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Dernière semaine, des sorties cinéma pour l’année et rien de bien folichon à se mettre sous les yeux. Certains iront voir, Bumblebee spin-of de Transformers, et pourtant ça n’annonce pas quelque chose de fou. Mais bon janvier approche a grand pas, et Glass débarquera ce qui est déjà plus intéressant. Et a part Bumblebee il y a des films, qui sortent et dont on ne parle pas et qui sont peut-être bien plus intéressant. Bonne année, bonne séance et a la semiane prochaine. 

 

Bumblebee
26 décembre 2018 / 1h 54min / Action, Aventure, Famille
De Travis Knight
Avec Hailee Steinfeld, John Cena, Jorge Lendeborg Jr.
1987. Alors qu’il est en fuite, l’Autobot Bumblebee trouve refuge dans la décharge d’une petite ville balnéaire de Californie. Il est découvert, brisé et couvert de blessures de guerre, par Charlie, une ado qui approche de ses 18 ans et cherche sa place dans le monde.

Mia et le Lion Blanc
26 décembre 2018 / 1h 37min / Famille, Aventure
De Gilles de Maistre
Avec Daniah De Villiers, Mélanie Laurent, Langley Kirkwood
Mia a onze ans quand elle noue une relation hors du commun avec Charlie, un lion blanc né dans la ferme de félins de ses parents en Afrique du Sud. Tous deux grandissent comme frère et sœur et deviennent vite inséparables. Trois ans plus tard, Charlie est devenu un lion imposant. Mia découvre alors le secret que cache la ferme : son père vend les lions à des « chasseurs de trophées ».

Miraï, ma petite soeur
26 décembre 2018 / 1h 38min / Animation, Famille
De Mamoru Hosoda
Avec Moka Kamishiraishi, Haru Kuroki, Gen Hoshino
Kun est un petit garçon à l’enfance heureuse jusqu’à l’arrivée de Miraï, sa petite sœur. Jaloux de ce bébé qui monopolise l’attention de ses parents, il se replie peu à peu sur lui-même. Au fond de son jardin, où il se réfugie souvent, se trouve un arbre généalo-ma-gique…

Au bout des doigts
26 décembre 2018 / 1h 46min / Drame, Comédie
De Ludovic Bernard
Avec Jules Benchetrit, Lambert Wilson, Kristin Scott Thomas
La musique est le secret de Mathieu Malinski, un sujet dont il n’ose pas parler dans sa banlieue où il traîne avec ses potes. Alors qu’un des petits cambriolages qu’il fait avec ces derniers le mène aux portes de la prison, Pierre Geitner, directeur du Conservatoire National Supérieur de Musique l’en sort en échange d’heures d’intérêt général. Mais Pierre a une toute autre idée en tête…

La Vie comme elle vient
26 décembre 2018 / 1h 38min / Drame
De Gustavo Pizzi
Avec Karine Teles, Otávio Müller, Adriana Esteves
Irène, mère de famille brésilienne, a des journées bien remplies. Entre 4 garçons, un mari rêveur, une sœur au bord de la crise de nerfs et une maison qui prend l’eau, elle tâche de tout orchestrer. Quand son aîné de 17 ans, recruté par une équipe de hand-ball, annonce son départ pour l’Europe, Irène est prise de court : saura-t-elle, avec son optimisme bienveillant, inventer un nouveau quotidien pour sa tribu ?

L’Homme Fidèle
26 décembre 2018 / 1h 15min / Romance, Comédie
De Louis Garrel
Avec Laetitia Casta, Louis Garrel, Lily-Rose Depp
Abel et Marianne sont séparés depuis 10 ans. Alors qu’ils se retrouvent, Abel décide de reconquérir Marianne. Mais les choses ont changé : Marianne a un fils, Joseph, et sa tante, la jeune Ève, a grandi. Et ils ont des secrets à révéler….

Monsieur
26 décembre 2018 / 1h 39min / Romance, Drame
De Rohena Gera
Avec Tillotama Shome, Vivek Gomber, Geetanjali Kulkarni
Ratna est domestique chez Ashwin, le fils d’une riche famille de Mumbai. En apparence la vie du jeune homme semble parfaite, pourtant il est perdu. Ratna sent qu’il a renoncé à ses rêves. Elle, elle n’a rien, mais ses espoirs et sa détermination la guident obstinément. Deux mondes que tout oppose vont cohabiter, se découvrir, s’effleurer…

Unfriended: Dark Web
26 décembre 2018 / 1h 28min / Epouvante-horreur, Thriller
De Stephen Susco
Avec Kurt Carley, Colin Woodell, Betty Gabriel
Un jeune homme trouve un ordinateur portable et, innocemment, le ramène chez lui. Dans les dossiers, il déniche d’inquiétants fichiers cachés qu’il s’empresse de montrer à ses amis sur Skype. Sans le vouloir, tous se retrouvent dans les tréfonds du Dark Web et découvrent rapidement que quelqu’un les observe et que cet inconnu est prêt à tout pour récupérer son portable et protéger ses secrets.

Troppa Grazia
26 décembre 2018 / 1h 50min / Comédie
De Gianni Zanasi
Avec Alba Rohrwacher, Elio Germano, Hadas Yaron
Lucia est géomètre. Elle est en pleine crise sentimentale et financière. Un jour, son travail est perturbé par une jeune femme qui a l’air d’une réfugiée. Elle réapparaît mystérieusement au milieu de la route en pleine nuit, puis dans la cuisine de Lucia… En répétant sans cesse : « Va voir les hommes et dis-leur de construire une église là où je suis apparue… »

Un violent désir de bonheur
26 décembre 2018 / 1h 15min / Drame
De Clément Schneider
Avec Quentin Dolmaire, Grace Seri, Franc Bruneau
1792. Loin de l’épicentre de la Révolution Française, le couvent du jeune moine Gabriel est réquisitionné comme caserne par les troupes révolutionnaires. Une cohabitation forcée entre moines et soldats s’ensuit, qui ne laisse pas Gabriel indifférent aux idées nouvelles.

Seconde chance
26 décembre 2018 / 1h 44min / Comédie, Romance
De Peter Segal
Avec Jennifer Lopez, Leah Remini, Vanessa Hudgens
Lorsqu’elle se voit refuser une promotion au profit d’un candidat plus diplômé qu’elle, Maya Vargas, la quarantaine, décide de quitter son emploi pour trouver mieux ailleurs. Le fils de sa meilleure amie trafique son CV à son insu, et lui fait décrocher un boulot de rêve dans dans un grand groupe de cosmétiques de Manhattan.

Sale temps à l’hôtel El Royale de Drew Goddard

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Date de sortie 7 novembre 2018 (2h 22min)
De Drew Goddard
Avec Jeff Bridges, Cynthia Erivo, Chris Hemsworth, Dakota Johnson, Jon Hamm, Lewis Pullman…
Genres Policier, Thriller
Nationalité Américain
Musique Michael Giacchino

 

Un hôtel, du fric et des clients peu recommandable…

 

 

Synopsis

Janvier 1969. Alors que Richard Nixon entame son mandat comme 37e président des États-Unis, une nouvelle décennie se profile. À l’hôtel l’El Royale, un établissement autrefois luxueux désormais aussi fatigué que ses clients, sept âmes aussi perdues les unes que les autres débarquent.
Situé sur la frontière entre la Californie et le Nevada, l’El Royale promet la chaleur et la lumière du soleil à l’ouest, et l’espoir et les opportunités à l’est. Il incarne parfaitement le choc entre passé et présent. Autrefois, célébrités et personnalités politiques influentes s’y côtoyaient, au casino, au bar, à la piscine ou dans les suites somptueuses. Mais l’âge d’or du Royale est bel et bien révolu.
Dans cet hôtel oublié des riches et des puissants depuis longtemps, un prêtre, une chanteuse de soul, un voyageur de commerce, une hippie et sa sœur, un homme énigmatique, et le gérant de l’hôtel vont se retrouver par hasard… ou pas. Au cours d’une nuit comme seul le destin sait les orchestrer, tous auront une dernière chance de se racheter, avant que l’enfer ne se déchaîne…

 

 

Pour ce film c’est Drew Goddard à la réalisation, si ce nom de vous dit rien il est pourtant scénariste de films plus ou moins connus. Cloverfield, World War Z ou encore seul sur Mars. Il a également scénarisé des séries comme Lost, Alias ou dernièrement The Defenders. La cabane dans les bois, c’était lui à la réalisation et Sale temps à l’hôtel El Royale n’est que son deuxième long-métrage, entre-temps ce n’était que des réalisations d’épisode de la série The Defenders. Toute l’intrigue de son nouveau film, se déroule, dans un hôtel entre le Nevada et la Californie et l’établissement est construit, sur les deux états. Un jour des clients, se rendent dans cet hôtel et tous y sont pour un but bien précis, et l’on sait que tout ce qui s’y passera finira très mal. Le nouveau film de Drew Goddard, marque des points dans sa mise en scène, et un scénario bien ficelé mais un rythme inégal casse un peu le truc.

Au début ya un gars qui arrive, dans cet hôtel et retire le lit, ainsi que la moquette et planque une valise d’argent sous la moquette et remet tout en place. Après on frappe à sa porte, il ouvre et se fait tué. Puis nous voilà dix années plus tard, un prêtre débarque à l’hôtel ou un vendeur d’aspirateur attend à la réception. Arrive ensuite une femme noire, et une hippie. Le réceptionniste leur donne leur chambre, mais ce dernier n’est pas professionnel du tout. On découvre finalement, que le vendeur d’aspirateur n’en est pas un. Il inspecte la chambre, et découvre des micros planqués un peu partout. Il décide d’inspecter l’hôtel de fond en comble, et se glisse dans le sous-sol alors que le réceptionniste dort complètement shooter. La découverte est stupéfiante, quand il découvre que l’hôtel espionne toutes les chambres a travers les miroirs, et il aperçoit que les clients ne sont pas clairs du tout. Entre un prêtre, qui retire le plancher de sa chambre, une hippie qui retient une jeune femme ligotée, seule une chanteuse noire semble être honnête. On apprendra que le jeune homme réceptionniste, filme des gens, dans leur chambre et envoie les films à la direction de l’hôtel. Mais débarquera bien plus tard, une sorte de gourou qui mettra fin à tout ça. Tout est très bien ficelé, l’intrigue est bonne le film se concentre sur chacun des personnages, grâce à un montage très bon qui chambre par chambre nous fait découvrir une partie de leur passé. On est vite pris par l’histoire, et la mise en scène offre une ambiance spéciale, qui donne un certain style. Le souci de ce film, c’est que le rythme est inégal ce dernier part bien et s ‘essoufle, puis repars et s’essouffle à nouveau. Si bien qu’on se demande quand, ça va vraiment partir. Pour ça il faudra attendre la fin du film, où Chris Hemsworth fait une entrée fracassante. Même avec ce rythme inégal, le film-livre de très bonne scène, on l’on découvre petit à petit la vérité sur les personnages. On pouvait se doutait, dès le début du film, que ce n’était pas des enfants de choeur même le prêtre.

 

Le style années 70, est bien visible grâce aux décors de l’hôtel et aux tenues vestimentaires. Une époque bien choisie pour relater ce récit qu’écrit Drew Goddard, en même temps qui d’autre que lui aurait pu écrire le scénario car c’est un scénariste qu’il est avant tout. Et on voit, qu’il est plus à l’aise, avec l’écriture car les lacunes qu’il y a sont dans la réalisation. Dans le scénario il y développe, très bien ses personnages, mais livre aussi un récit très bien écrit ou l’intrigue est prenante, même s’il semble quelquefois y avoir des faiblesses dans le déroulement ce qui se ressent dans la réalisation. Dans les prestations, Jeff Bridges et surprenant en prêtre, Jon Hamm en soi-disant vendeur d’aspirateur aussi. On retiendra également, Dakota Johnson loin de son rôle de nunuche, dans 50 nuances de Grey qui livre une prestation étonnante. Chris Hemsworth loin de son rôle de Thor, joue Billy Lee une sorte de gourou, et on retiendra Cynthia Erivo en chanteuse de soûl. Vous serez surpris aussi de voir, Xavier Dolan qui fait une courte apparition ce qui reste assez étonnant. Avec ses défauts, surtout dû à son rythme inégal, le nouveau film de Drew Goddard est tout de même honorable, sur son scénario et son montage principalement. Un film honnête, avec une ambiance 70’s qui donne un style au film, et dans l’ensemble ça reste plus que correct.

 

Bande annonce

Assassination Nation de Sam Levinson

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Date de sortie 5 décembre 2018 (1h 48min)
De Sam Levinson
Avec Odessa Young, Suki Waterhouse, Hari Nef, Abra, Bella Thorne, Maude Apatow…
Genres Thriller, Drame
Nationalité Américain
Musique Ian Hultquist

 

Les filles en guerre contre le reste du monde

 

Synopsis

Lily et ses trois meilleures amies, en terminale au lycée, évoluent dans un univers de selfies, d’emojis, de snapchats et de sextos. Mais lorsque Salem, la petite ville où elles vivent, se retrouve victime d’un piratage massif de données personnelles et que la vie privée de la moitié des habitants est faite publique, la communauté sombre dans le chaos. Lily est accusée d’être à l’origine du piratage et prise pour cible. Elle doit alors faire front avec ses camarades afin de survivre à une nuit sanglante et interminable.

Sam Levinson signe son deuxième film, et ce que l’on peut dire c’est que le réalisateur ne fait pas dans la dentelle. Il y met en scène quatre amies, au lycée un peu superficielle, même beaucoup dira-t-on qui se retrouve victime d’un piratage de leurs données personnelles. Personne ne sait, qui est le coupable de ce piratage. Dans son film Sam Levinson, traite du danger des réseaux sociaux, mais aussi une critique de l’Amérique. Sam Levinson, signe une oeuvre donc intéressante avec une bande-son efficace, et des actrices qui livre des prestations réussie. on pourra retenir également, que le réalisateur se concentre également sur l’aspect technique de son film. Avec Assassination Nation, Sam Levinson signe un nouveau film aux thématiques intéressantes. Une oeuvre, qui a de quoi séduire, pour finir l’année en beauté.

 

 

En terminale au lycée, Lily et ses trois amis surfs sans cesse sur les réseaux sociaux que ce soit Facebook, Snapchats ou Instagram. L’histoire se situe à Salem, une ville que déteste Lilly et qu’elle espère quitter à la fin de ses études. Cette dernière, a une aventure avec un homme de 40 ans, qui est père de famille une relation qui ne s’arrête qu’à des sexto, alors qu’elle a déjà un petit ami. Un jour les données personnelles du maire de Salem, sont hackés ce dernier est plongé dans un scandale politique qu’il le pousse à se donner la mort en public. Ensuite c’est au directeur, du lycée de se faire hacker, qui est immédiatement accusé de pédophilie. La tension monte d’un cran à Salem, car le piratage prend de l’ampleur. Il ne faudra pas attendre longtemps, pour que le piratage se fasse en masse et où cette fois toute la ville de Salem est victime ainsi que Lily et ses amies. La jeune fille, est fichue à la porte de chez elle quand sa mère sait que cette dernière a une relation avec un homme plus vieux qu’elle. Lorsqu’un éventuel suspect du piratage est arrêté, il est relâché, mais plus tard et kidnappé par des habitants de Salem car la ville est désormais plongée dans le chaos. Le suspect jure qu’il n’y est pour rien pour le piratage, et accuse Lily d’en être à l’origine. Les habitants de Salem, s’en vont à la chasse pour mettre hors d’état de nuire Lily et ses amies, qui sont réfugiés dans une maison d’une amie à la jeune fille. Lily est devenue la proie des habitants de la ville de Salem, et qui feront tout pour l’avoir. On retiendra du film de Sam Levinson, une critique de cette Amérique, mais aussi les dangers de la cyber- criminalité, sujet dont on parle trop peu au cinéma et dont le film pointe du doigt les dangers. Mais Sam Levinson se concentre aussi, sur l’aspect technique de son film, avec un plan-séquence efficace. Mais aussi il utilise le spit-screen, qui consiste à diviser l’écran avec des images différentes, ce qui rend très bien sur le film. Une mise en scène dynamique, mais aussi violente surtout sur la fin avec une scène qui ressemble à une vraie boucherie. Assassination Nation, n’est à mettre sous tous les yeux pour sa violence principalement. Le film dispose d’idées de mise en scène ingénieuses, ou en ressort avec un film d’une efficacité redoutable.

Un film qui tient sa grande force, dans son scénario qui est aussi de Sam Levinson. Le réalisateur impose sa maîtrise, et c’est vraiment plaisant. Dans son scénario il parle de jeunes filles, face aux dangers de l’internet. Un sujet d’actualité, puisque le harcèlement fera un peu partie des thématiques qu’aborde le film où Lily est insulté de tous les noms par les habitants de Salem. Assassination Nation c’est aussi une satire de l’Amérique, chose que l’on ressent bien dans l’écriture du film, et j’aime beaucoup ce que déclare Lily à la ville à la toute fin du film. Tout ça sonne comme une guerre, qui est loin d’être terminée. Sans tomber dans la propagande à deux balles, Sam Levinson livre une écriture intelligente, même dans le développement de ses personnages. Le film s’attarde sur le personnage de Lily, qui est surtout  celle a qui tout arrive qui devient une grande victime de l’hacking, pour devenir une sorte de guerrière. Une jeune héroïne qu’interprète Odessa Young, épaulé par ses amis Suki Waterhouse, qui joue Sarah, Hari Nef jouant Bex et Abra dans le rôle d’En. De jeunes et talentueuses comédiennes, où vous l’aurez compris les femmes sont mises en avant, et où Sam Levinson les met parfaitement en scène. Un twist-ending, petit mais très sympathique sur l’identité du hacker. Des messages et des thématiques, dôté d’une mise en scène sacrément efficace Assassination Nation est passé inaperçu en salle, et c’est un film à ne pourtant pas loupé.

 

Bande annonce

L’Impro Live du coin des critiques ciné

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Ce soir nous avons prévu de faire un Live sur Youtube, on est des fifous rien n’est préparé on fait ça comme ça on va parler de ciné, de séries et un peu de tout quoi. Et tout ça, dans la joie et la bonne humeur bien entendu. Comme on fais, pas ça souvent va falloir nous aider à trouver des sujets mais je pense que l’inspiration viendra. Entre l’actualité cinéma, de ces dernières semaines qui sont assez croustillantes. Mais ça serait aussi l’occasion, avec vous qui nous suivez depuis presque quatre ans ou moins de faire le point sur notre communauté.

Le  coin des critiques ciné, c’est une équipe de passionnées de cinéma des rédacteurs qui rédige avec leur coeur pour défendre un film, ou bien en dire du mal mais  en restant le plus objectif possible même si le film est parfois vraiment frustrant. On essaye de fournir le plus d’articles possible, même si ce n’est tous les jours facile car on a nos boulots a côté. Mais là, nous approchons a la fin de l’année 2018 déjà, et nous avons évolué car il le fallait le site a subi des changements important et ce n’est pas fini. Pour finir cette année, on fais un Live improvisé et j’espère que ça vous plaira bon visionnage.

Une bande annonce pour Men in Black International de F.Gary Gray

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Date de sortie 12 juin 2019
De F. Gary Gray
Avec Chris Hemsworth, Tessa Thompson, Liam Neeson…
Genres Science fiction, Action
Nationalité Américain

 

Synopsis

Une équipe d’agents secrets des Men in Black, basée à Londres, est confrontée à un mystérieux meurtre qui l’envoie aux quatre coins du globe.

Predator de Shane Black

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Date de sortie 17 octobre 2018 (1h 47min)
De Shane Black
Avec Boyd Holbrook, Trevante Rhodes, Olivia Munn, Jacob Tremblay, Sterling.K.Brown, Thomas Jane…
Genres Action, Science fiction
Nationalité Américain
Musique Henry Jackman

Une chasse a l’homme, pour finir en navet…

 

Synopsis

Les pires prédateurs de l’univers sont maintenant plus forts et plus intelligents que jamais, ils se sont génétiquement perfectionnés grâce à l’ADN d’autres espèces. Alors qu’un jeune garçon devient accidentellement leur cible, seul un équipage hétéroclite d’anciens soldats et un professeur de science contestataire peuvent empêcher l’extinction de la race humaine.

L’année dernière Alien Covenant, cette année c’est au tour de Predator de faire son retour. Après l’échec du film de Robert Rodriguez, qu’est qui faisait croire à Shane Black qu’il allait réussir? Son nom? Shane Black a un style, mais on ne pas peut tout pardonner, quand c’est mauvais et ça l’est vraiment… Alors que le bonhomme avait signé, le long-métrage The Nice Guys excellent film au passage on croyait un minimum au projet enfin certain y croyait pas tout le monde. Il faut savoir que le réalisateur, dans sa jeunesse était l’un des acteurs du film, et il crut bon qu’en réaliser un opus serait une bonne idée mais pas tant que ça finalement. Le film aurait pu être, au moins bon mais ce n’est pas le cas car la FOX a cru bon comme bon nombre de studios de couper énormément de scènes au montage. Un come-back de Prédator raté, qui aurait mieux fait de rester sur sa planète.

 

Un petit garçon Rory, trouve un casque étrange qui vient d’une autre planète. Sans le savoir le jeune garçon, appel les Prédators qui veulent récupérer leur casque. Son père Quinn, est un mercenaire qui doit être transféré dans une prison alors que les médecins et chercheurs étudient un prédator ce dernier se réveille et attaque l’équipe. Quinn avec d’autres prisonniers dans le bus, est témoins de la fuite de la créature qui devient rapidement une menace pour le monde. Quinn et les autres, arrive à s’échapper du bus de prisonniers et il doit tout faire pour sauver son fils et vaincre ces créatures qu’il avait déjà rencontrées lors d’une mission, et qui l’ont conduit là où il est à présent. Quinn et les autres, sont aussi les proies des Prédators qui veulent ce que détient son fils. Mais Treager, une connaissance de Quinn, désire son gagne-pain et désire ce qu’a le petit garçon. Ce Prédator 2018, aurait pu être tellement plus jouissif, mais il reste un film trop simple et puis on voit que le charcutage dont a été victime le film a bousillé une bonne partie. On se régalera avec quelques scènes gores, mais c’est tout car ça ne fait pas la qualité d’un film. Quelques scènes fonctionnent, mais sinon c’est globalement c’est un ratage et c’est dommage car avec Shane Black il y avait un potentiel. La mise en scène se retrouve gâchée, par des créatures body-buildées, qui n’ont plus rien de prédator elles sont d’une laideur et ce ne sont pas les chiens qui donneront du crédit au film. La réalisation est gâchée, par tellement de choses, le trop-plein de blague ce n’est pas un film comique pourtant… Quelques blagues, de temps en temps encore, mais là c’est limite. Alors oui, cette version 2018 de Predator est un ratage certainement.

Fred Dekker et Shane Black, signe le scénario du film. Shane Black devait y avoir introduit de bonnes idées, qui on était coupé au montage et au final il ne reste que très peu de bonnes choses. Il reste que des mecs poursuivi par une créature, qui tient des chiens en laisse, et qui sont d’une laideur. Un jeune garçon autiste, qui possède ce qui leur appartient. S’il y a des thématiques dans le film? Ou sont-elles? En tout cas, dans l’écriture aussi il n’y a pas grand-chose a retenir, et le final du film se ridiculise encore plus avec une fainéantise affligeante. Le casting n’est pas si mauvais, on y retrouve Boyd Holbrook ou le jeune Jacob Tremblay, ou encore Olivia Munn et Thomas Jane qui livre des répliques plutôt drôles. Ce qui est sur, c’est que cette version de Predator reste l’un des flops de l’année, et pas grand monde ne dira le contraire.

 

Bande annonce

Les sorties cinéma du 19 décembre

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Cette semaine le dernier héros de chez DC débarque enfin dans Aquaman de James Wan. Le premier film, de Paul Dano a l’affiche aussi avec Jake Gyllenhaal et Carey Mulligan quand même. Mais aussi Le retour de Mary Poppins, qu’interprète cette fois Emily Blunt on retrouvera côté Français L’empereur de Paris, de Jean-François Richet. Courage bientôt, les vacances de noel pour beaucoup bonne séance…

 

 

Aquaman
19 décembre 2018 / 2h 24min / Action, Aventure, Fantastique
De James Wan
Avec Jason Momoa, Amber Heard, Willem Dafoe
Les origines d’un héros malgré lui, dont le destin est d’unir deux mondes opposés, la terre et la mer. Cette histoire épique est celle d’un homme ordinaire destiné à devenir le roi des Sept Mers.

Maya
19 décembre 2018 / 1h 45min / Drame, Romance
De Mia Hansen-Løve
Avec Roman Kolinka, Aarshi Banerjee, Alex Descas
Après sa libération de plusieurs mois de captivité en Syrie, Gabriel, correspondant de guerre, part en Inde. À Goa, il rencontre Maya, une jeune indienne qui va bouleverser peu à peu son existence.

The Bookshop
19 décembre 2018 / 1h 52min / Drame
De Isabel Coixet
Avec Emily Mortimer, Bill Nighy, Patricia Clarkson
En 1959 à Hardborough, une bourgade du nord de l’Angleterre, Florence Green, décide de racheter The Old House, une bâtisse désaffectée pour y ouvrir sa librairie. Lorsqu’elle se met à vendre le sulfureux roman de Nabokov, Lolita, la communauté sort de sa torpeur et manifeste une férocité insoupçonnée.

Wildlife – Une saison ardente
19 décembre 2018 / 1h 45min / Drame
De Paul Dano
Avec Carey Mulligan, Jake Gyllenhaal, Ed Oxenbould
Dans les années 60, Joe, un adolescent de 14 ans regarde, impuissant, ses parents s’éloigner l’un de l’autre. Leur séparation marquera la fin de son enfance.

L’Empereur de Paris
19 décembre 2018 / 1h 50min / Historique, Policier
De Jean-François Richet
Avec Vincent Cassel, Freya Mavor, Denis Ménochet
Sous le règne de Napoléon, François Vidocq, le seul homme à s’être échappé des plus grands bagnes du pays, est une légende des bas-fonds parisiens. Laissé pour mort après sa dernière évasion spectaculaire, l’ex-bagnard essaye de se faire oublier sous les traits d’un simple commerçant.

Le Gendre de ma vie
19 décembre 2018 / 1h 40min / Comédie
De François Desagnat
Avec Kad Merad, Pauline Etienne, Julie Gayet
Stéphane et Suzanne sont parents de trois jeunes femmes, le tableau peut sembler idéal mais Stéphane n’a jamais eu de fils et a toujours rêvé d’en avoir. Pour combler cette frustration, il s’accapare ses gendres et en tombe plus vite amoureux que ses filles.

Basquiat, un adolescent à New York
19 décembre 2018 / 1h 18min / Documentaire
De Sara Driver
Avec acteurs inconnus
BASQUIAT, UN ADOLESCENT À NEW YORK éclaire la courte vie du peintre culte Jean-Michel Basquiat au sein de la ville de New York de 1978 à 1981 et explore tout ce qui, dans cette métropole, à travers ses rencontres et les mouvements politiques, sociaux et culturels, l’a nourri et inspiré.

The Happy Prince
19 décembre 2018 / 1h 45min / Biopic, Drame
De Rupert Everett
Avec Rupert Everett, Colin Firth, Colin Morgan (II)
A la fin du XIXe siècle, le dandy Oscar Wilde, intelligent, plein d’humour et scandaleux brille au sein de la société londonienne. Son homosexualité est toutefois trop affichée pour son époque et il est envoyé en prison.

Grass
19 décembre 2018 / 1h 06min / Drame
De Hong Sang-Soo
Avec Min-Hee Kim, Jin-yeong Jeong, Saebyuk Kim
Au bout d’une allée, un café que personne ne s’attendrait à trouver. Les gens s’assoient et parlent de leur vie. Au fil du temps, les clients se côtoient et apprennent à se connaître. Une femme les observe et semble mettre par écrit leurs pensées. La nuit commence à tomber mais tous restent dans le café.

Le Retour de Mary Poppins
19 décembre 2018 / 2h 11min / Comédie musicale, Famille, Fantastique
De Rob Marshall
Avec Emily Blunt, Lin-Manuel Miranda, Ben Whishaw
Michael et Jane sont désormais adultes. Michael vit sur Cherry Tree Lane avec ses trois enfants et leur gouvernante, Ellen. Lorsque celui-ci perd un proche, Mary Poppins, l’énigmatique nounou, réapparaît dans la vie de la famille Banks.

Mon père
19 décembre 2018 / 1h 41min / Drame
De Álvaro Delgado-Aparicio
Avec Junior Béjar Roca, Amiel Cayo, Magaly Solier
Dans une région reculée du Pérou, Segundo, un jeune garçon de 14 ans, se prépare à suivre les traces de son père dans l’art traditionnel du retable. En se rendant à une fête de village, Segundo observe accidentellement son père dans une situation qui le bouleverse profondément.

De boue
19 décembre 2018 / 0h 52min / Drame
De Georges Guillot
Avec Loïc Massicot, Jean-Marie Mendiant, Jean-Yves Duparc
Jean, ancien d’Indochine, chérit sa chienne Lili. Ce 7 mai 1974, il retrouve Jacot, lui aussi ancien combattant. Un drame se produit.

Sonar
19 décembre 2018 / 1h 46min / Drame
De Jean-Philippe Martin
Avec Jalal Quarriwa, Emine Meyrem, Baptiste Sornin
Thomas, trentenaire, est ingénieur du son. Sa passion : réaliser des portraits sonores. Figé dans le souvenir d’une liaison amoureuse, il vit reclus dans son studio d’enregistrement. Quand Amina, jeune femme solaire, s’impose dans sa vie et livre son histoire, elle apparait comme un sujet de portrait rêvé. Pour savoir qui elle est vraiment, Thomas devra tendre son micro, de la banlieue au Maroc, et réapprendre à écouter.

Le Petit monde de Bahador
22 novembre 2006 / 0h 55min / Animation
Date de reprise 19 décembre 2018
De Abdollah Alimorad, Ali Asgharzadeh, Behzad Farahat
Avec acteurs inconnus
Trois films d’animation à partir de trois ans : « Rentrons chez nous » de Behzad Farahat, « Compagnon » de Ali Asgharzadeh et « Bahador » de Abdollah Alimorad.