Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Sortie 1 décembre 2025 sur Netflix
Durée 1h 42min
Genre Action, Aventure, Fantastique
De Roar Uthaug
Avec Ine Marie Wilmann, Mads Sjogard Pettersen, Kim S. Falck-Jørgensen
Titre original Troll...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Sortie 1 décembre 2025 sur Netflix
Durée 1h 42min
Genre Action, Aventure, Fantastique
De Roar Uthaug
Avec Ine Marie Wilmann, Mads Sjogard Pettersen, Kim S. Falck-Jørgensen
Titre original Troll...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef)
Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori
Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré
Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films
comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky
sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les
oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .
La série de MTV inspiré des films de Wes Craven, n’a pas connu un franc succès en deux saisons, il faut dire que les l’épisode spéciale halloween était vraiment médiocre on s’attendait a mieux quand même. Avec ces personnages hyper-caricaturaux, même si ce n’est pas le plus gros problème de la série cette dernière avait des qualités, oui un peu quand même … En tout cas MTV, ne souhaite pas rester sur un échec et tente le coup a nouveau avec un reboot complet de la série. La question se pose quand même, les fans regarderons- t’il?
Un reboot complet implique un nouveau showrunner, et des nouveaux comédiens et ces comédiens ce sont des rappeurs mais oui ! Les rappeurs C.J Wallace et Tyga seront de la partie, les deux seuls pour le moment au casting. Pour le showrunner il s’agit de Brett Matthews qui a déjà travaillé sur les séries comme Supernatural et Vampire Diaries, espérons un changement radicale. Pour les rôles des deux rappeurs, on a des infos Tyga jouera une sorte de gangster, demi-frère du héros principal dont ont ne sait pas par qui il sera interprété a ce jour. Pour C.J Wallas il jouera, lui un sage étudiant, pris pour cible par Ghosface. Si il s’agit donc d’un reboot peut-être que le masque changera aussi, car ça serait pas mal et introduire celui des films ça ferais pas de mal non? En attendant cette nouvelle saison, il faudra prendre son mal en patience car elle n’arrivera que en Mars 2018 mais bon si ça peut-être mieux, il faut prendre du temps.
Date de sortie 13 septembre 2017 (1h 55min) De Darren Aronofsky Avec Jennifer Lawrence, Javier Bardem, Ed Harris … Genre Thriller Nationalité Américain
Synopsis
Un couple voit sa relation remise en question par l’arrivée d’invités imprévus, perturbant leur tranquillité.
Date de sortie 5 octobre 2016 (2h 13min) De Derek Cianfrance Avec Michael Fassbender, Alicia Vikander, Rachel Weisz, Bryan Brown, Jack Thompson, Emily Barclay, Anthony Hayes, Caren Pistorius … Genres Drame, Romance Nationalités Américain, Britannique, Néo-Zélandais Musique : Alexandre Desplat
Quand l’enfant paraît
Synopsis
Quelques années après la Première Guerre mondiale en Australie. Tom Sherbourne, ancien combattant encore traumatisé par le conflit, vit en reclus avec sa femme Isabel, sur la petite île inhabitée de Janus Rock dont il est le gardien du phare. Mais leur bonheur se ternit peu à peu : Isabel ne peut avoir d’enfant… Un jour, un canot s’échoue sur le rivage avec à son bord le cadavre d’un homme et un bébé bien vivant. Est-ce la promesse pour Tom et Isabel de fonder enfin une famille ?
Derek Cianfrance fait partie de cette génération de jeunes réalisateurs du cinéma indépendant très ambitieux. En 2010, il livre son premier film, Blue Valentine, un film dramatique remarquable avec Ryan Gosling et Michelle Williams. En 2013, il dirige à nouveau Ryan Gosling dans The place beyond the pines, un film dramatique dans lequel le réalisateur brille une fois de plus dans sa mise en scène. Avec ces deux films, Derek Cianfrance utilise la thématique de la famille de façon différente, mais c’est toujours ce sujet qui est abordé par le réalisateur. Fin 2016, son troisième long métrage est adapté du roman de M.L Stedman, une Australienne qui connut un énorme succès avec son livre publié en 2012. Un succès littéraire qui eut donc le droit à son adaptation cinématographique, sous la direction de Derek Cianfrance. Avec son nouveau film, le réalisateur a une occasion d’utiliser la thématique de la famille sous un nouvel angle, une fois de plus. Cette fois-ci, ce n’est pas Ryan Gosling en tête d’affiche, mais Michael Fassbender accompagné d’Alicia Vikander, son épouse à l’écran comme à la ville. L’histoire se situe dans les années 20 : un homme et une femme, fou amoureux, et désireux d’avoir un enfant , ne peuvent pas en avoir car leurs tentatives sont vaines. C’est alors qu’un jour, ils trouvent un enfant, dans une barque en pleine mer, et ils décident de le garder, mais la vraie mère pensant son enfant mort n’est pas bien loin. Avec ce nouveau film, Derek Cianfrancemaîtrise- t-il toujours aussi bien le sujet ?
Tom Sherbourne, ancien vétéran de guerre, veut tout oublier des morts qu’il a vu. A son retour, on lui propose la garde d’un phare à Janus Rock, sur une petite île isolée. Puis il fait la rencontre d’Isabel, la fille de l’homme qui lui a proposé ce poste. Ils tombent follement amoureux l’un de l’autre. Après leur mariage, ils partent vivre a Janus Rock. Le temps passe, et Isabel tombe enceinte, mais elle fait une fausse couche. Vivant très mal cette expérience, elle s’en remet peu à peu, et tombe à nouveau enceinte. Une nouvelle grossesse qui finit mal aussi… Isabel est anéantie. C’est alors qu’une sorte de miracle s’accomplit : elle et son mari trouvent un bébé bel et bien vivant, échoué dans une barque avec un homme mort à ses côtés (le père, semble-t-il). Tom doit faire son devoir et informer les autorités de cette trouvaille, tandis que sa femme tente de le convaincre de ne rien faire et de faire passer cet enfant pour le leur. Ils lui donnent le nom de Lucy, et élèvent la petite comme si c’était vraiment la leur. Mais la vraie mère ne tarde pas à savoir que cette dernière est en vie, et la vie heureuse qu’avaient enfin Tom et Isabel pourrait se terminer… Ce que l’on ressent dans ce film de Derek Cianfrance, c’est le désespoir d’une mère face à ce qu’elle ne peut avoir : quand cet enfant apparaît, il n’est pas à elle, mais elle fait comme si. L’intrigue principale du film met une bonne heure à se mettre en place, mais on ne s’ennuie pas une seconde. Le récit relate comme il faut le début de l’histoire d’amour entre Tom et Isabel, pour ensuite se poursuivre dans la suite de leur idylle avec leur mariage. La trouvaille de cet enfant leur permettra de faire le deuil des grossesses qui ont échouées auparavant. Après le drame familial qu’était The place beyond the pines, Derek Cianfrance aborde à nouveau un drame familial, mais différemment et a une époque différente. En effet, le récit se déroule dans les années 20, et le réalisateur retranscrit très bien cette époque à l’écran. Un drame très touchant dans lequel l’expérience du réalisateur pour ce genre se ressent à l’écran. On s’attache beaucoup aux personnages, principalement à Tom et Isabel auxquels le récit s’intéresse : ils aiment cet enfant comme si c’était réellement le leur. Tom sait que la mère de ce dernier est en deuil, et lui apprend par un courrier anonyme qu’elle est encore en vie. Le désespoir d’Isabel la conduit à garder cet enfant comme si c’était le sien, mais la culpabilité ronge Tom : il sait qu’un jour, la mère retrouvera sa fille, surtout que l’enquête avance rapidement pour la retrouver. La mise en scène de Derek Cianfrance apporte beaucoup de choses, sa touche est reconnaissable. Très différent de ses deux films précédents, le réalisateur apporte une certaine maîtrise sur son nouveau long-métrage.
Derek Cianfrance au scénario adapte le roman de M.L Stedman, auteure qui connut un succès retentissant avec ce livre, et qui eut donc le droit à son adaptation cinématographique. Un récit bouleversant, où les personnages nous font partager leur désespoir, mais aussi ces moments de bonheur avec cette petite fille qui arrive dans leur vie alors qu’ils n’avaient plus d’espoir. Un récit prenant sur un couple à la recherche du bonheur. L’écriture du scénario s’attarde aussi beaucoup sur le développement des personnages, ce qui les rend très attachants du début à la fin. On s’attache aussi au personnage de Hannah, vraie mère de la petite, qui devra se faire aimer par cette petite, ce qui ne sera pas chose facile. L’écriture prend bien le temps, de s’attarder sur Tom et Isabel, de leur rencontre jusqu’à la trouvaille de l’enfant. Que ce soit dans cette écriture ou la réalisation, Derek Cianfrance s’applique. Un casting des plus grandioses, où Michael Fassbender livre un de ses meilleurs rôles : il y joue Tom, un ancien vétéran de la guerre qui devient gardien de phare. Alicia Vikander, épouse à l’écran comme à la ville de Michael Fassbender, joue Isabel, une parfaite alchimie qui se ressent à l’écran. Egalement à l’affiche, Rachel Weisz qui joue Hannah, la vraie mère de Lucy qui se nomme Grace en réalité. Une vie entre deux océansest une grande oeuvre romanesque, amenée par un casting remarquable, pour une réalisation orchestrée par un réalisateur qui ne cesse de surprendre.
Date de sortie 23 février 2018 De Alex Garland Avec Natalie Portman, Gina Rodriguez, Tessa Thompson … Genres Science fiction, Thriller Nationalité Américain
Alex Garland est connu, pour les scénarios de Sunshine ou de 28 jours plus tard il signe en général les scénarios de Danny Boyle. En 2004 il livre sa première réalisation avec : Ex-Machina qui fut boudé par le public. Pourtant excellent long-métrage, dans la lignée de A.I mais encore meilleur. Avec son budget de 15 millions de dollars, le film remporte quand même l’Oscar des meilleurs effets visuels. Le réalisateur est de retour avec un nouveau long-métrage prévu, pour le 23 février 2018 ou le réalisateur reste a peu près dans le même registre.
A l »affiche de ce thriller-horrifique SF, Oscar Isaac qu’Alex Garland avait dirigé dans Ex-Machina, mais aussi a l’affiche Natalie Portman et Jennifer Jason Leigh, un film adapté d’une oeuvre littéraire de James Vandermeer dont le livre porte le même titre. En tout cas, le pitch du film est alléchant, espérons que le film, soit aussi intéressant. Voici le synopsis : « Alors que son mari a disparu, une biologiste et trois autres personnes (une anthropologue, une psychologue et une géomètre) se rendent dans une zone abandonnée et coupée de toute civilisation. Les précédentes expéditions dans cette zone s’étaient toutes soldées par des disparitions, des suicides, des cancers ou des traumatismes mentaux…
Pas encore de trailer, mais peut-être bientôt espérons-le en tout cas ce film est une grosse attente.
Bruce Willis c’est plus trop ça depuis, quelques années l’acteur n’apparaît que dans des DTV médiocre, et en est réduit qu’à ça et c’est bien triste…pour lui surtout. Ce film c’est Death Wish, une histoire dramatique ou ce cher Bruce Willis se transformera en justsicier, après que sa femme et sa fille aient été torturées et violées. Un justicier qui n’utilise pas les méthodes douces, car la haine qu’il a en lui ça sera plutôt hardcore. Avec ce film Eli Roth espère vraiment remettre Bruce Willis sur le devant de la scène.
Retrouver ce vieux Bruce, c’est ce que désire tout le monde pas vrai ? Car le temps de John Mc Claine il est loin, même le dernier Die Hard fut un désastre. Depuis il tourne des DTV, de très mauvaise qualité. Ce qui est bon à savoir, c’est que le comédien est de retour grâce a Eli Roth, et que le premier objectif du réalisateur et de ramener le comédien sur grand écran. On attend aussi Bruce dans Glass suite de Incassable sous la direction de Shyamalan. A savoir que Death Wish, est le remake d’un Justicier dans la ville ou il reprend le rôle de Charles Bronson. Le film sortira en salles le 22 novembre prochain, et à savoir que Joe Carnahan est a l’écriture du film. Bruce Willis sera-t’il donc, vraiment de retour ? Réponse en novembre.
Date de sortie 1 juin 2005 (1h 20min) De Maurice Barthélémy Avec Alain Chabat, Martin Combes, Yaël Abecassis, Judith Godrèche … Genre Comédie dramatique Nationalité Français
Un road-movie entre père et fils
Synopsis
Louis a un drôle de Papa : toujours souriant, blagueur, rieur. Pourtant, Louis n’a pas très envie de rire.
Sur la route qui les ramène chez eux, le père et son fils vont se retrouver.
Au bout de leur voyage, il y aura la lumière. La vie.
Maurice Barthélémy, ex-Robin des bois, sorti tout droit d’une troupe de comiques de Canal + comme Les nuls à l’époque, se met à la réalisation. Mais Papa n’est pas son premier film : juste avant il y eut Casablanca Driver. Ce qui est étonnant avec le réalisateur Maurice Barthélémy, habitué à la comédie, c’est qu’ici il nous livre un film bourré d’émotion, sans tomber dans le larmoyant, tenu par le duo Chabat/Combes. Un père et un fils, sur la route, durant plusieurs jours. Tous deux viennent de vivre une épreuve difficile, on ne sait pas trop quoi mais on l’apprend assez vite. Alain Chabat excelle aussi dans les rôles dramatiques : on y voit une larme couler sur son visage, sans doutes l’un des passages les plus poignants du film. Quand les anciens talents comiques s’essayent à des expériences plus sérieuses, ça donne Papa, et c’est beau. Mais pourquoi ?
Un père et son fils au bord d’une autoroute, voilà comment commence le film. Le père change la roue de la voiture après une crevaison. Ils roulent pour rentrer chez eux, mais il y a quelque chose qui ne va pas. Quelque-chose c’est passé il y a peu de temps. Louis est le petit garçon, le fils qui lui aussi semble touché par ce quelque chose. Durant leur trajet, ils font des arrêts sur des aires d’autoroute. Le papa tente de faire sourire Louis, car il aime faire des blagues et rigoler : parfois il arrive à le faire rire, mais pas toujours. Louis a son caractère, et le papa a parfois du mal à le supporter. Sur la route, ils discutent de tout et de rien, puis on commence à savoir ce qui s’est passé, cause du chagrin de Louis. Tous les deux, le père comme le fils, ont vécu un drame où ils ont perdu un être cher. Pour le père, c’est son fils, qui était le petit frère de Louis. Le papa souriant et blagueur est en réalité très triste, et cache sa douleur face à son fils. Ce long périple qui les ramène chez eux les rapproche. Le film dramatique a ses moments d’humour, il ne faut pas oublier que Maurice Barthélémy est derrière la caméra, et donc que l’humour est sa marque de fabrique. Il est intéressant de voir Maurice Barthélémydans ce genre : il maîtrise très bien le côté dramatique de son long-métrage, on pourra même apercevoir une larme d’Alain Chabat lors d’une scène poignante entre le papa et son fils. Le film aborde le deuil, discrètement, sans en faire trop, mais c’est surtout la relation père/fils qui est mise en avant, et ce de façon très touchante. Un voyage qui les rapproche, et partage leur douleur pour le même drame. La mise en scène de Maurice Barthélemy n’en fait pas trop, les discussions entre le père et le fils sont amusantes, l’humour prend place quand il faut, ainsi que l’émotion. Le duo fonctionne à merveille, il nous amuse et nous touche, et Barthélémy maîtrise le drame au bon moment. Que ce soit dans la mise en scène ou dans la prestation des comédiens, le film est un vrai plaisir à voir.
A l’écriture du film, Maurice Barthélemy: même si ça semble simpliste, ça reste merveilleusement bien écrit. Car oui, l’histoire est simple, mais les situations et tout ce qui arrive sont de bonnes idées scénaristiques. Les discussions entre le père et son fils, mais aussi le fait qu’ils se rapprochent. Une relation touchante, qui se retranscrit très bien à l’image. Le film de Maurice Bathélémy est inspiré d’un court métrage Québecois de Emile Proulx-Cloutier, sorti en 2005, et le film de Barthélémy est sortie la même année. Durant ce long trajet du père et du fils pour rentrer chez eux, on ne saura pas d’où ils venaient, rien ne sera dit à ce sujet. On peut en déduire facilement, cependant, qu’il s’agit d’une sorte de reconstruction d’eux-même afin de surmonter ensemble la même et unique douleur, bien que la mère ne soit pas là, ce qui est assez étrange (à moins qu’elle ne désire que son fils et son mari partagent ensemble ce moment difficile). Le casting du film se tient surtout à Alain Chabat, bouleversant dans son rôle de papa. Le jeune Martin Combes livre une impressionnante prestation. Papa est un film Français comme on aimerait en voir plus souvent, un road-movie a la Française, avec un Alain Chabat parfait et d’un jeune garçon prometteur. A voir absolument.
C’est un mois assez intéressant, même la série The Mist pointe son nez avec la première saison c’est du rapide. Pour ce mois d’août, pas mal de séries original Netflix va falloir réussir a tout suivre. Pour les films, ça reste assez moyen comme d’habitude a part Top Gun et Appolo 13 et peut-être des surprises a venir. Vous l’aurez compris, c’est au niveau des séries que la plate-forme, lâche le plus gros dans son catalogue, et si vous réussissez a tout suivre c’est les vacances pour vous.
Films
1984 le 01/08
The Birdcage le 01/08
League Of Gods le 01/08
American Pie Presents : The Naked Mile le 02/08
Icare (documentaire original) le 04/08
American Pie Presents : Beta House le 09/08
Never Been Kissed le 10/08
Naked (film original) le 11/08
Pray For Rain le 12/08
Top Gun le 12/08
Apollo 13 le 16/08
Percy Jackson : Le Voleur De Foudre le 21/08
Lynne Koplitz : Hormonal Beast (spectacle original) le 22/08
Death Note (film original) le 25/08
Berlin Syndrome le 25/08
Bushwick le 25/08
Behind “The Cove” : The Quiet Japanese Speaks Out le 26/08
22 Jump Street le 27/08
What Happened To Monday le 27/08
Ryan Hamilton : Happy Face (spectacle original) le 29/08
Mercury Rising le 30/08
Kiss And Cry le 31/08
Séries
Shadowhunters : The Mortal Instruments (série originale, saison 2B, un épisode par semaine) le 01/08
Opening Night (saison 1) le 01/08
Stranger (série originale, saison 1) le 01/08
Empire Of The Tsars (saison 1) le 01/08
Shooter (série originale, saison 1 et saison 2 à un épisode par semaine) le 02/08
Voltron : Le Défenseur Légendaire (série originale pour enfants, saison 3A) le 03/08
Wet Hot American Summer : The Years Latter (série originale, saison 1) le 04/08
Atypical (série originale, saison 1) le 11/08
True And The Rainbow Kingdom (série originale pour enfants, saison 1) le 11/08
Home : Adventures With Tip & Oh (série originale pour enfants, saison 3) le 11/08
Orphan Black (série originale, saison 5) le 13/08
Murderous Affair (saison 1) le 15/08
Little Witch Academia (série originale, saison 2) le 15/08
The Defenders (série originale, saison 1) le 18/08
Dinotrux (série originale pour enfants, saison 5) le 18/08
Disjointed (série originale, Part 1) le 25/08
The Mist (série originale, saison 1) le 25/08
Dreamworks Dragons : Race To The Edge (série originale pour enfants, saison 5) le 25/08
Killjoys (saison 2) le 30/08
Dans un futur proche, le Major est unique en son genre: humaine sauvée d’un terrible accident, son corps aux capacités cybernétiques lui permet de lutter contre les plus dangereux criminels. Face à une menace d’un nouveau genre qui permet de pirater et de contrôler les esprits, le Major est la seule à pouvoir la combattre. Alors qu’elle s’apprête à affronter ce nouvel ennemi, elle découvre qu’on lui a menti : sa vie n’a pas été sauvée, on la lui a volée. Rien ne l’arrêtera pour comprendre son passé, trouver les responsables et les empêcher de recommencer avec d’autres.
Détails du Blu-Ray
Acteurs : Scarlett Johansson, Pilou Asbaek, Takeshi Kitano, Juliette Binoche, Michael Pitt
Réalisateurs : Rupert Sanders
Audio : Hongrois (Dolby Digital 5.1), Japonais (Dolby Digital 5.1), Italien (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1), Espagnol (Dolby Digital 5.1), Anglais
Audio description : Anglais
Sous-titres : Finnois, Japonais, Italien, Espagnol, Danois, Hongrois, Norvégien, Néerlandais, Français, Suédois
Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
Région : Toutes les régions
Rapport de forme : 1.78:1
Nombre de disques : 1
Studio : Paramount Pictures
Date de sortie du DVD : 31 juillet 2017
Durée : 106 minutes
Date de sortie 12 novembre 2014 (1h 47min) De Michael R. Roskam Avec Tom Hardy, Noomi Rapace, James Gandolfini, Matthias Schoenaerts, John Ortiz, Elizabeth Rodriguez, Michael Aronov, Morgan Spector … Genres Thriller, Drame, Policier Nationalité Américain Musique : Marco Beltrami
Quand vient l’argent
Synopsis
Bob Saginowski, barman solitaire, suit d’un regard désabusé le système de blanchiment d’argent basé sur des bars-dépôts – appelés « Drop bars » – qui sévit dans les bas-fonds de Brooklyn. Avec son cousin et employeur Marv, Bob se retrouve au centre d’un braquage qui tourne mal. Il est bientôt mêlé à une enquête qui va réveiller des drames enfouis du passé…
Michael.R.Roskam: une petite filmographie mais un talentueux metteur en scène, c’est indéniable. Le réalisateur signe avec The Drop un polar fiévreux, avec Tom Hardy et le regretté James Gandolfini (son dernier rôle). Le réalisateur, malgré une petite expérience, arrive à convaincre le spectateur dans ce film, où Bob, protagoniste, rappelle un peu Ryan Gosling dans Drive, sauf qu’ici le personnage est plus bavard. La comparaison avec Drive est faisable, car ce dernier cache une facette de sa personnalité pour la faire découvrir au grand jour. Au niveau de la mise en scène, on est quand même très loin de Drive, car c’est surtout au niveau du traitement du personnage qu’il y a des similitudes. Dans son film, Michael.R.Roskam raconte l’histoire de Bob et de son cousin Marv, qui bossent dans un bar, lieu qui sert aussi de bar-dépôt où de l’argent sale est déposé par des gens pas très honnête. Bob et Marv sont chargés de garder cet argent en sécurité. Sauf qu’un soir ils sont victime d’un braquage : les criminels repartent avec la caisse. Les ennuis commencent alors ici, car ce bar, anciennement à Marv appartient désormais à un gangster qui veut coûte que coûte récupérer son argent. The Drop est-il un simple polar, ou une oeuvre maîtrisée du genre ?
Bob est un barman solitaire qui fait son job sans poser de questions, même à propos de l’argent déposé dans son bar chaque jour. Il tient ce bar avec Marv, son cousin, qui à cause de soucis financier a cédé son bar : il porte son nom, mais ce dernier est géré par un gangster. Un soir comme les autres, Bob est Marv se font braquer à la fermeture par deux criminels qui prennent la caisse puis s’enfuient. Chovka, propriétaire des lieux, avec son accent étranger, n’est pas ravi et demande à récupérer son argent à Bob et Marv : ils n’ont que très peu de temps. Alors qu’il marche plus tard, Bob trouve un chiot blessé dans une poubelle. Bob s’empare de l’animal, et fait la rencontre de Nadia : le chien est trouvé dans sa poubelle, mais ce n’est pas elle qui a mis l’animal dedans. Nadia soigne le chiot, et se lie d’amitié avec Bob. Ce dernier demande a Nadia si elle veut bien s’occuper du chien le temps qu’il trouve une solution. Plus tard, alors qu’il a adopté le chiot, un homme du nom d’Eric vient le voir et lui dit qu’il s’agit de son chien et qu’il veut le récupérer, mais Bob refuse étant donnée la maltraitance que ce dernier a infligé à l’animal. Alors, il le menace. Il apprendra plus tard qu’Eric est un ex de Nadia. Le braquage, Eric, Nadia, tout est a eu près lié, et l’issue sera fatale pour certains d’entre eux. Le personnage de Marv est impliqué dans des coups où il prêt à faire mourir Bob en magouillant avec Eric, et ce dernier et même impliqué dans le propre braquage de son bar. En apparences, Bob est un personnage calme, posé, qui a commis par le passé des actes criminels avec Marv, mais c’est assez vague. Puis il y a ce policier un peu trop fouineur, enquêtant sur le braquage. C’est à la fin du film qu’on découvrira le vrai visage de Bob : son passé criminel est dévoilé en grande partie, et les révélations sont surprenantes. Nadia prend peur en découvrant ce qu’est Bob, mais il ne lui veut aucun mal. Sans grande violence, la scène finale restera la plus sanglante, sinon c’est un polar soft sans faire dans l’excès et sans se prendre au sérieux. La mise en scène offre une ambiance fiévreuse, plongeant les spectateurs dans ce polar au coeur de Brooklyn. Chaque personnage cache un secret qui les lie tous, en quelque sorte. Pas de scènes d’actions, la mise en scène dispose d’un rythme lent, mais le récit reste captivant, ce qui tient en haleine le spectateur. Une réalisation pleine de bonnes idées très bien exploitées.
Dennis Lehane, auteur de livre comme « Shutter Island« , signe le scénario de son propre livre. Il y décrit des personnages très intéressants, que ce soit celui de Bob, de Marv, de Nadia ou d’Eric. Bob, personnage solitaire au passé vague qui sera finalement révélé. Puis il y a aussi Nadia, jeune femme au passé douloureux qui semble vouloir tout oublier, mais qui sera rattrapée par son passé. Quant a Marv, on découvre qu’il est toujours un escroc. Des personnages surprenants, passionnants, qui prennent de plus en plus d’intérêt au cours du film. Le récit, quant à lui, prend un chemin plus classique en s’inspirant des films de gangsters, mais en gardant sa personnalité, grâce à la mise en scène de Michel.R.Roskamqui maîtrise son film. Le casting participe à la qualité du film, avec un Tom Hardy au passé sombre, ainsi que son cousin Marv interprété par le regretté James Gandolfini. On notera aussi la prestation de la seule présence féminine, Noomi Rapace, brillante une fois de plus dans le rôle de Nadia. The Drop n’est pas le meilleur film du genre, mais reste un bon exemple, car il y a une grande maîtrise au scénario et à la réalisation, et tout ça suffit largement.
Date de sortie 7 mai 1997 (2h 06min) De Luc Besson Avec Bruce Willis, Gary Oldman, Ian Holm, Milla Jovovich, Chris Tucker, Luke Perry, Brion James, Tommy ‘Tiny’ Lister, John Neville… Genre Science fiction Nationalité Français Musique : Eric Serra
Le dernier bon Luc Besson
Synopsis
En 1914, un groupe d’extraterrestres nommés les Mondo-Shawans débarque sur Terre dans un temple égyptien afin de récupérer quatre pierres représentant les quatre éléments de la vie, et de les soustraire à l’arrivée imminente de la Première Guerre mondiale. Ils promettent de les rapporter lorsque le Mal reviendra, dans 300 ans, sachant que l’horreur revient tous les 5 000 ans.En 2263, une énorme planète noire fait son apparition non loin du système solaire, et engloutit un vaisseau spatial de guerre terrien. Les Mondo-Shawans reviennent comme promis, mais leur vaisseau est détruit dans une embuscade et les pierres disparaissent mystérieusement. Sur le site du crash, les équipes de secours retrouvent une main, à partir de laquelle les scientifiques parviennent à reconstituer Leeloo, de son nom complet Leeloominaï Lekatariba Laminatchaï Ekbat De Sebat, qui n’est autre que le « Cinquième Élément », une jeune femme dotée de facultés physiques et mentales supérieures à celles des humains. Alors qu’elle s’enfuit, elle tombe dans un taxi volant conduit par Korben Dallas, un ancien militaire à la retraite.
Ces dernières années, Luc Besson est au coeur d’un procès le qualifiant de ‘plagieur’, ce qui n’est pas faux et que l’on remarque sur certaines de ses oeuvres, notamment dans ses productions. Le réalisateur est de retour cette année à la réalisation de Valérian, que les critiques américaines dégomment déjà. Après Lucy, qui n’est qu’un vomitif cinématographique, le réalisateur va devoir se rattraper pour récupérer quelques fans qui l’ont lâché. On n’oublie pas pour autant les bonnes années Besson, car il y a eu des films cultes, qu’on le veuille ou non. En 1997, le réalisateur livre Le cinquième élément, avec un casting très américain : Bruce Willis est en tête d’affiche. Le film est certes loin d’être parfait, mais recèle de bonnes idées et, à quelques semaines de la sortie de Valérian,, nous revenons sur ce film de S.F qui reste le dernier bon film de sa carrière. Cette année, le film a déjà 20 ans, et il y a donc déjà 20 ans que j’avais pu voir ce film de Besson en salle. J’étais surpris à cette époque, autant par la mise en scène du réalisateur, que par la bande originale d’Eric Serra: même si j’ai vu beaucoup mieux depuis, ce film reste tout de même un plaisir à regarder.
Alors que les filles n’espéraient plus revoir Luke Perry depuis la fin de Beverly Hills, Luc Besson l’engagea pour un petit rôle dans son film : on doit le voir pas plus de dix minutes, mais ce rôle n’aura pas relancé sa carrière pour autant. Dommage pour lui. Heureusement, le comédien n’est pas au coeur de l’intrigue. Le film commence en Egypte, où un homme tente de décrypter un secret. Nous sommes en 1944. C’est alors que des extraterrestres débarquent afin de récupérer quatre pierres qui représentent les quatre éléments de la vie. Ces derniers promettent de revenir dans 300 ans, quand le mal reviendra en même temps. Nous sommes à présent en 2263, et les Mondo-Shawans reviennent, mais hélas, un ennemi les élimine, les tuant tous. Sur les lieux du crash, à partir d’une main qu’ils trouvent, ils reconstituent quelque chose d’inattendu : « Leelo », qui devient le cinquième élément tant convoité. Leelo s’échappe, et atterrit dans le taxi de Korben Dallas, un ancien militaire, qui décide de venir en aide à la jeune femme coûte que coûte. Cependant Zorg, un fou, veut à tous prix les quatre pierres qu’il convoite tant, mais Korben Dallas le devance toujours. Action, humour, tout ce qu’il faut est là ! Et plutôt bien dosé. Bruce Willis joue un chauffeur de taxi, ancien militaire, qui se retrouve avec une séduisante jeune femme qui semble avoir du mal à s’adapter à notre mode de vie. D’ailleurs, l’adaptation de Leelo à notre monde est plutôt comique. Puis surgit un présentateur télé un peu déjanté, Ruby Rhod, qui suit Korben, gagnant d’un jeu. Mais Korben se concentre sur sa mission qui est de protéger Leelo. Ruby Rhod se retrouve au coeur d’une fusillade avec Korden qui durant, tout le long, pousse des cris de femme apeurée, ce qui ne le rend pas très masculin, en plus de sa tenue aussi. On peut également s’arrêter sur le fait que les costumes du film sont pour le moins originaux, et quand on sait que Jean-Paul Gaultier, le célèbre couturier, est derrière tout ça, on comprend mieux. Le film dispose d’une mise en scène simple mais efficace. Nous avons un héros que joue Bruce Willis qui vient en aide à cette jeune femme qui est le cinquième élément dont le destin est de mourir. Pour qu’elle survive, elle et Korben doivent retrouver les quatre pierres avant l’ignoble Zorg. Le méchant du film, d’ailleurs, parlons-en un peu : diablement bien interprété, mais mal développé et très vite expédié, beaucoup trop vite. Un personnage qui aurait mérité un meilleur traitement, et qu’on ne voit que très peu. Le personnage de Ruby Rhod n’apporte pas grand- chose au récit, si ce n’est sa folie, et devient limite insupportable par moment. Le cinquième élément ne reste pas une référence du genre, mais un film où Luc Besson a su porter une certaine maîtrise à ce genre.
Ce qui est plaisant dans ce film de Luc Besson, c’est cette histoire d’amour entre Korden et Leelo, cette aventure où Korden brave tous les dangers pour la sauver. Mais il y a aussi beaucoup d’humour, et des dialogues assez cultes, ce qui fait aussi le charme du film. Venons-en au scénario du film : ça reste simpliste, le traitement des personnages reste basique, Korben et Leelo restent les plus travaillés, seul le méchant « Zorg » est le moins développé. Même si le scénario reste simple, il reste toutefois intéressant sur de nombreux points. Le personnage de Leelo est plutôt bien développé, et celui de Korden aussi. Son univers inspiré est aussi intéressant : un futur bien développé. Le personnage de Ian Holm jouant le Père Vito Cornélius a aussi de l’intérêt au coeur de ce récit. C’est au personnage de Ruby Rhode, finalement, auquel on ne trouvera que peu d’intérêt : il devient vite insupportable. On voit dans son film que Besson, s’inspire de quelques films de S.F, et que l’univers de son film est surtout inspiré : le réalisateur ne fait pas dans l’extraordinaire, que ce soit dans la réalisation ou dans le scénario, mais cela reste un film S.F divertissant et drôle. A l’affiche, Bruce Willis en héros principal, celui de Korben Dallas, Milla Jovovich en Leelo qui débutait à cette époque sur grand écran. Trop peu présent, Gary Oldman, dans le rôle de Zorg, mais aussi Ian Holm dans le rôle du père Cornélius. Les prestations sont plus que correctes : avec ce casting ce n’est pas étonnant. Même si les effets-spéciaux ont un peu vieilli, le film de Luc Besson est un joyeux divertissement : avec son casting américain, on reconnaît la patte du cinéaste, et la musique d’Eric Serra entre en parfaite harmonie avec l’univers du film. Si vous désirez voir le dernier bon film de Luc Besson, c’est celui-là.