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Orel

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Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

TAU de Federico D’Alessandro

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Date de sortie 29 juin 2018 sur Netflix (1h 37min)
De Federico D’Alessandro
Avec Maika Monroe, Ed Skrein, Gary Oldman…
Genres Science fiction, Thriller
Nationalité Américain
Musique Bear McCreary

La  fille et la machine

Synopsis

Une fille vivant d’escroquerie est kidnappée et retenue captive pour une étrange expérience. Elle est prisonnière de TAU, une intelligence artificielle avancée développée par Alex, son ravisseur. TAU commande un bataillon de drones et une maison futuriste intelligente. Une course contre la montre commence alors pour Julia, qui doit repousser les limites entre l’homme et la machine, se connecter à TAU et gagner sa liberté avant de subir le même sort que les précédents cobayes…

 

 

La plate-forme Netflix serait-ce la chose idéale, pour les jeunes réalisateurs et leur premier film? En tout cas, c’est peut-être un tremplin idéal, avant que leurs films suivants connaissent des sorties en salles. Après calibre, dont la critique est tout juste sortie, on avait droit à un tout jeune réalisateur et son premier film. Frederico d’Alessandro signe avec TAU, son premier long-métrage également et avec beaucoup de talent. Un thriller S. F, avec beaucoup de charme avec a l’affiche Maika Monroe, qui ne cesse de se faire un nom. L’intelligence artificielle est le sujet traité du film, un sujet d’actualité traité ici comme thriller. On pourra y voir aussi, des choses comme la captivité mais aussi la communication établie avec une intelligence artificielle. Ce thriller high-tech, offre de belles choses même si ce dernier empreinte, la facilité. Le jeune réalisateur pour un premier film, maîtrise son sujet et sait de quoi il parle. Le film rentre le vif du sujet rapidement, donc on est assez vite pris au jeu. Car cette jeune fille, va se retrouver captive-elle ne sait où, retenu par un homme qui la retient comme cobaye pour une de ses expériences. Durant sa captivité elle fera, la connaissance de TAU une intelligence artificielle conçu par le ravisseur à Julia. TAU est un film qui a beaucoup plus d’importance qu’on ne le pense, il explore en quelque sorte la psychologie de l’être humain face à l’enfermement, mais pas que.

Julia est une jeune femme qui pour gagner sa vie, vole des objets dans une boîte de nuit pour les revendre. Elle vit de ça, et ça ne lui rapporte que très peu. Elle vit dans un petit appartement, alors qu’elle rentre juste chez elle un intrus s’introduit chez elle est la kidnappe. À son réveil elle est attachée, sur un siège ou un homme semble faire des expériences il lui a introduit un dispositif dans la nuque puis il l’a transfére dans une cellule avec deux autres personnes. La jeune femme cherche tout de suite à s’échapper, mais ce n’est pas chose facile. Elle trouve un moyen, en bricolant un truc vite fait et provoque une explosion et peut sortir de sa cellule. On se doute bien que sa liberté sera de courte durée. Elle est prisonnière d’une maison high-tech qui fait plus forteresse qu’autre chose. Tout ça appartient a un homme, qui semble riche et travail dans la technologie des intelligences artificielles. Le problème de cet homme, c’est qu’il retient cette fille et qu’elle n’a aucun moyen de sortir. La journée il est absent, et elle est surveillée par une intelligence artificielle du nom de TAU. C’est à partir de là, que le film prend rapidement de l’intérêt, ou la jeune fille et TAU commencent à communiquer. On découvre ainsi que TAU, est bien plus humain qu’il n’y paraît. Il ressent des douleurs, qui ne sont pas les mêmes que les nôtres mais les ressent. D’ailleurs on le voit souffrir, quand son créateur le puni s’il a oublié une tâche à effectuer. Souffrance qui se traduit par la suppression de ses souvenirs, qui sont précieux pour lui car Julia lui a appris beaucoup de choses. TAU est un film, qui parle de communication entre l’humain et la machine puis d’une amitié qui se lie. On découvre avec TAU, une mise en scène de Federico D’Alessandro vraiment réussi. Un huis clos, avec une ambiance efficace, qui fonctionne parfaitement et qui aborde ses thèmes avec beaucoup de finesse. Un film sur l’intelligence artificielle, qui gère bien sa réalisation.

Le film se penche sur des thèmes importants, l’enfermement, mais aussi bien entendu l’intelligence artificielle dont on parle beaucoup car cela fait partie des progrès de notre époque. Mais il y a aussi la communication, puis l’amitié. Au cours du récit TAU, doit avant tout protéger son créateur mais au cours du film, Juila est pour lui plus importante. On voit que TAU a plus de sentiments, que son créateur et qu’il est plus humain. Une écriture qui dispose d’une écriture intelligente, bien développée où l’on peut avoir de l’attachement pour l’A.I. On doit l’écriture à Noga Landau, qui prend aussi le temps de développer ses personnages et celui d’Alex reste inquiétant et mystérieux. Les prestations des comédiens, son excellente Maika Monroe livre une prestation parfaite, Éd Skrein est aussi parfait il est sombre et inquiétant. Puis Gary Oldman fait la voix de TAU, qu’on aura du mal à reconnaître mais dont il ressort beaucoup d’émotion. TAU un film Netflix, qui prouve une fois de plus, que toute leur production est loin d’être toute à jeter.

Bande annonce

Une bande annonce pour Extinction

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Date de sortie initiale : 2018
Réalisateur : Ben Young
Bande originale : The Newton Brothers
Distribué par : Netflix
Sociétés de production : Universal Studios, Good Universe, Mandeville Films

Un père hanté par l’idée de perdre sa famille voit son pire cauchemar se réaliser quand une puissance destructrice venue d’une autre planète débarque sur Terre. Alors qu’il lutte pour leur survie, il se découvre une force inconnue pour protéger sa famille du danger.

Extinction prochaine production Netflix débarquera prochainement. Ce film produit par Universal, à était récupéré par Netflix, car le projet a était lâchement abndonnée. Dans des cas comme ça, on peut craindre le pire car la bande-annonce ne vend pas vraiment du rêve. On est plus dans une grosse production, mais la bande-annonce vend du vu et revu et ça donne pas envie. Le pitch du film, c’est un gars que joue Michael Peña, qui a des visions qui prédit l’avenir. Ce qu’ils voient sent pas très bon, puisqu’une invasion extraterrestre est sur le point d’arriver. Quelle originalité! direz-vous, en attendant voilà de quoi parlera le film. Et vous ce film vous tente? Disponible sur Netflix le 27 juillet.

Joaquin Phoenix sera le Joker

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L’avenir du DCEU part en sucette, Aquaman et les autres films en projet sauvera-t-il l’univers de la noyade? Mais voilà que depuis quelques jours, il se murmure comme quoi Joaquin Phoenix pourrait interpréter le Joker dans un film solo. Au début ce n’était qu’une rumeur, mais maintenant ce n’est plus cas et Joaquin Phoenix sera bel et bien le joker.

Le film ne fera pas partie du DCEU, donc Jared Leto reste le Joker pour l’univers où il aura peut-être lui aussi son propre film. Ce film avec Joaquin Phoenix, sera une Origin Story en mode thriller. Un film qui s’annonce sombre et glauque et c’est déjà ça. Au scénario du film Scott Silver, qui racontera les origines du plus grand méchant qu’affrontera Batman un jour. Silver explique que le film sera un une Origin Story « sur la déchéance d’un homme tombé en disgrâce au sein de la société ». On ne redoute en aucun cas la prestation de Joaquin Phoenix, car il est très bon et nous avons pleine confiance.

Pas de date prévue encore pour la sortie, mais on finira bien par le savoir avec les premières photos de tournage qui arriveront rapidement espérons-le. Le film sera réalisé par Todd Philipps, et produit par Martin Scorsese oui rien que ça! Le film se situerait dans les années 80, et auraient les allures d’un film noir, en racontant les origines de ce personnage dont il y a tellement à dire. Le tournage du film, devra débuter au mois de septembre prochain puis il faudra prendre notre mal en patience car on risque d’attendre.

Sortie cinéma semaine du 11 juillet

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Nouvelle semaine avec des sorties, qui reste intéressante comme le retour de Soderbergh avec un thriller genre rare pour lui. Le moins intéressant reste sans doute Dwayne Johnson, il ne s’arrête jamais cette fois il est dans un immeuble ça n’a pas l’air folichon. En tout cas il y a un large choix, c’est à vous de choisir.

 

 

 

Paranoïa
11 juillet 2018 / 1h 38min / Thriller
De Steven Soderbergh
Avec Claire Foy, Joshua Leonard, Amy Irving
Une jeune femme, convaincue d’être harcelée, est enfermée contre son gré dans une institution psychiatrique. Alors même qu’elle tente de convaincre tout le monde qu’elle est en danger, elle commence à se demander si sa peur est fondée ou le fruit de son imagination …

Christ(off)
11 juillet 2018 / 1h 31min / Comédie
De Pierre Dudan (II)
Avec Michaël Youn, Lucien Jean-Baptiste, Victoria Bedos
Le Père Marc souhaite récolter des fonds pour construire un hôpital pour enfants en Haïti. Avec son groupe de musique chrétienne, il organise une tournée dans toute la France. A 33 ans, Christophe vit encore chez sa mère. Chanteur raté mais guitariste de talent, il croise le chemin du Père Marc qui le recrute. Condition sine qua non : Chris doit se faire passer pour un membre du clergé !

Skyscraper
11 juillet 2018 / 1h 42min / Action, Thriller
De Rawson Marshall Thurber
Avec Dwayne Johnson, Neve Campbell, Chin Han
Will Ford, ancien leader de l’équipe de libération d’otages du FBI, ancien vétéran de guerre, et maintenant responsable de la sécurité des gratte-ciels est affecté en Chine. Il découvre le bâtiment le plus grand et le plus sûr du monde soudainement en feu et est accusé de l’avoir déclenché…

Interrail
11 juillet 2018 / 1h 31min / Comédie
De Carmen Alessandrin
Avec Marie Zabukovec, Carl Malapa, Manon Valentin
C’est l’histoire d’un groupe d’amis fraîchement bacheliers qui font le tour de l’Europe en Interrail… Un apprentissage de la liberté et du groupe, pas toujours compatible mais qui sera la base éternelle de leur meilleur souvenir.

L’École est finie
11 juillet 2018 / 1h 27min / Comédie
De Anne Depetrini
Avec Bérengère Krief, Grégory Fitoussi, Marilou Berry
Agathe Langlois, parisienne jusqu’au bout des ongles bien vernis, est ravie : elle vient d’être titularisée comme professeur d’anglais. Le bonheur de cette nouvelle ne va pas durer, elle apprend qu’elle est mutée… à des centaines de kilomètres de son appartement parisien, en pleine campagne !

Dogman
11 juillet 2018 / 1h 42min / Policier, Drame
De Matteo Garrone
Avec Marcello Fonte, Edoardo Pesce, Alida Baldari Calabria
Dans une banlieue déshéritée, Marcello, toiletteur pour chiens discret et apprécié de tous, voit revenir de prison son ami Simoncino, un ancien boxeur accro à la cocaïne qui, très vite, rackette et brutalise le quartier. D’abord confiant, Marcello se laisse entraîner malgré lui dans une spirale criminelle. Il fait alors l’apprentissage de la trahison et de l’abandon, avant d’imaginer une vengeance féroce…

L’Empire de la Perfection
11 juillet 2018 / 1h 30min / Documentaire
De Julien Faraut
Avec John McEnroe, Mathieu Amalric
Le cinéma ment, pas le sport… Au début des années 80, le tennisman John McEnroe est copié dans toutes les écoles, étudié sous toutes les coutures, filmé sous tous les angles. Roland Garros 84 : il a tutoyé la perfection, et pourtant…

Zama
11 juillet 2018 / 1h 55min / Drame, Historique
De Lucrecia Martel
Avec Daniel Giménez Cacho, Lola Dueñas, Juan Minujin
Fin du XVIIIème siècle, dans une colonie d’Amérique latine, le juge don Diego de Zama espère une lettre du vice roi du Río de la Plata signi ant sa mutation pour Buenos Aires. Souffrant de l’éloignement et du manque de reconnaissance, il perd patience et, pour se libérer de son attente, se lance à la poursuite d’un mystérieux bandit.

L’Envol de Ploé
11 juillet 2018 / 1h 21min / Animation, Famille
De Arni Asgeirsson, Gunnar Karlsson, Ives Agemans
Avec Jamie Oram, Harriet Perring, Iain Stuart Robertson
L’ENVOL DE PLOÉ raconte les exploits d’un oisillon qui ne sait toujours pas voler alors que l’automne approche, mais qui décide malgré tout de traverser « la terre de glace » pour suivre sa famille.

The Strange Ones
11 juillet 2018 / 1h 21min / Drame, Thriller
De Christopher Radcliff, Lauren Wolkstein
Avec Alex Pettyfer, James Freedson-Jackson, Emily Althaus
À bord de leur voiture, Sam et Nick sillonnent les routes de campagne américaine. Pour certains qu’ils croisent, ils sont deux frères partis camper, pour d’autres, des fugitifs. Durant ce road-trip, de mystérieux événements surviennent, faisant peu à peu éclater la vérité au grand jour…

Dark River
11 juillet 2018 / 1h 29min / Drame
De Clio Barnard
Avec Ruth Wilson, Mark Stanley, Sean Bean
Après la mort de son père et quinze ans d’absence, Alice revient dans son Yorkshire natal réclamer la ferme familiale qui lui était promise. Mais son frère Joe, usé par les années à s’occuper de l’exploitation et de leur père malade, estime que la propriété lui revient. Malgré les trahisons et les blessures du passé, Alice va tenter de reconstruire leur relation et sauver la ferme.

Moi et le Che
11 juillet 2018 / 1h 30min / Comédie
De Patrice Gautier
Avec Patrick Chesnais, Fanny Cottençon, Laurent Bateau
GO est un prof de fac en fin de parcours. Mais il a surtout été, à 18 ans, un jeune homme nourri d’égalité et de fraternité, engagé frontalement dans l’action. L’un des derniers compagnons du CHE. C’était quelque part, là-bas, en Bolivie en 1967. Du moins, c’est ce qu’il dit, re-dit et re-re-dit.

Brødre: Markus et Lukas
11 juillet 2018 / 1h 42min / Documentaire
De Aslaug Holm
Avec acteurs inconnus
Deux frères, Markus et Lukas, vivent dans une ancienne maison au cœur d’Oslo. La rivière coule près de leur foyer. Un véritable paradis en pleine ville. Nous les voyons grandir, tandis que leurs rêves et leurs espérances prennent forme. Parfois, ce qu’ils désirent et ce dont ils ont besoin est à l’opposé de ce qu’on attend d’un fils ou d’un frère parfaits.

Le nouveau DLC GTA Online Nightclub à venir

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On l’attend depuis un moment, mais le nouveau DLC se fait attendre et c’est long. On pensait que le braquage de la fin du monde, serait le dernier DLC il y a quelques mois mais pas du tout car Rockstar nous réserve encore des surprises. Dans ce nouveau DLC, qui devrait débarquer d’ici peu, vous pourrez posséder des boîtes de nuit et faire vos trafics comme bon vous semble. Mais ça ne sera pas tout, parce que évidemment des nouveaux véhicules viendront s’ajouter ainsi que des nouveaux vêtements. Un mini-trailer, est déjà disponible depuis quelques jours, qui nous montre rapidement à quoi s’attendre. Avant la sortie de Red Dead Rédemption 2, ont a encore de quoi se mettre sous la dent avec GTA Online.

 

[Sortie Blu-Ray] The Disaster Artist de James Franco

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Synopsis

En 2003, Tommy Wiseau, artiste passionné mais totalement étranger au milieu du cinéma, entreprend de réaliser un film. Sans savoir vraiment comment s’y prendre, il se lance … et signe THE ROOM, le plus grand nanar de tous les temps. Comme quoi, il n’y a pas qu’une seule méthode pour devenir une légende !

Détails du Blu-Ray

Acteurs : Alison Brie, Zac Efron, James Franco, Kate Upton, Zoey Deutch
Réalisateurs : James Franco
Format : Import, PAL, Blu-ray
Audio : Hongrois (Dolby Digital 5.1), Turc (Dolby Digital 5.1), Tchèque (Dolby Digital 5.1)
Sous-titres : Polonais, Anglais
Région : Toutes les régions
Rapport de forme : 1.78:1
Studio : Galapagos
Durée : 103.00 minutes

CRITIQUE DU FILM

American Nightmare 4: Les Origines de Gerard McMurray

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Date de sortie 4 juillet 2018 (1h 38min)
De Gerard McMurray
Avec Y’lan Noel, Lex Scott Davis, Joivan Wade, Marisa Tomei, Luna Lauren Valez, Melonie Diaz
Genres Thriller, Epouvante-horreur
Nationalité Américain
Musique Natghan Whitehead

Il eut le commencement

Synopsis

Pour faire passer le taux de criminalité en-dessous de 1% le reste de l’année, les « Nouveaux Pères Fondateurs » testent une théorie sociale qui permettrait d’évacuer la violence durant une nuit dans une ville isolée. Mais lorsque l’agressivité des tyrans rencontre la rage de communautés marginalisées, le phénomène va s’étendre au-delà des frontières de la ville test jusqu’à atteindre la nation entière.

Maintenant que l’on sait que la purge , c’est fini, le commencement n’avait pas encore était exploré. C’est chose faite à présent, car ce quatrième opus nous raconte comment tout cela a débuté. Après trois films, réalisé par James DeMonaco, qui avait lui-même imaginé ce concept comme ça et décida d’en faire un film. Premier film sous forme de huis clos, puis le deuxième un vaste terrain de jeu où tout est permis. Le troisième plus axé politique bouclé la boucle, ou une femme favorite des élections tentées dans son programme de stopper la purge et d’en finir avec cette violence. Concept intelligent, mais où hélas il manque toujours quelque chose comme si le réalisateur n’osait pas pousser le potentiel du concept à fond. Pour ce prequel, ce n’est pas James DeMonaco qui reprend la caméra mais Gerard McMurray, mais James DeMonaco reste au scénario de sa saga. Préquel qui ne se révèle pas si inutile, puisqu’il nous explique sans nous ennuyer le début sans en faire des grandes lignes. Je ne vous cacherai pas que c’est peut-être trop simpliste, il qu’il manque encore et toujours quelque chose a ce niveau-là. La violence est bien là! et c’est même parfois plus gore que les films précédents. Sans James DeMonaco , à la caméra est-ce que The Purge 4 est-il une suite utile ou le volet de trop?

Le taux de violence aux États-Unis ne cesse d’augmenter, et afin de faire baisser le taux de violence les « nouveaux Pères Fondateurs » ont peut-être la solution. Une purge de 12 heures, sera l’expérience idéale pour voir si le taux de violence baissera. La société NFFA, gèrera cette purge ou une psychiatre analysera cette nuit, comment les personnes qui participeront agiront. Nous suivons principalement durant le récit Dmitri un gangster trafiquant de drogue très influent dans son quartier mais aussi, une femme Nya et son frère Isaiah. Quand la purge débute, il y a que très peu de participants ce qui inquiète le gouvernement et les organisateurs. À savoir que cette première purge, se déroule uniquement à Staten Island à New York car pour le moment cette purge est une expérience et si elle est un succès elle sera étendue dans l’Amérique entière. La majorité des habitants de Staten Island sont des classes moyennes, et afro-américain dont le gouvernement se fiche complètement. Le gouvernement trouvant la purge peut active, décide d’envoyer des mercenaires déguisés et éliminer les habitants de Staten Island. Dmitri a compris où veulent en venir le gouvernement, et décide d’agir avec sa bande et se battre. Nya et son frère, et une amie et sa fille traversent la ville afin d’aller chez elle se protéger elle est les siens. Les mercenaires attaquent les quartiers les plus pauvres, afin d’économiser les aides qu’ils doivent verser. Car pour le gouvernement la pauvreté leur coûte cher, et les tuer lors de cette purge sera légal et fera de l’économie. On est pris par cette histoire, car les idées de mise en scène sont bien là! Le concept est certes, bien encore présent mais il manque quelque chose et ça toujours était le problème de cette franchise. Le terrain de jeu est encore vaste, même s’il ne s’agit que de Staten Island, la mise en scène reste très efficace avec une violence qui ne cesse de monter crescendo. Violence qui s’accentue avec la venue des mercenaires, le film nous montre une approche cruelle de ce gouvernement voulant se débarrasser des classes moyennes. Cruel mais où l’on se rapproche d’une certaine réalité, même si nous n’en sommes pas encore à ce point. Comme les films précédents, le long-métrage ne cesse de nous montrer cette Amérique en proie à toute cette violence. Même si James DeMonaco, n’est plus à la réalisation il y a du bon chez Gerard McMurray, même si tout est loin d’être réussi il y reste du très bon.

Il s’agit du deuxième long-métrage de Gerard McMurray, le premier étant Burning sands réalisé pour Netflix. Avec American Nightmare, il s’attaque à un morceau plus gros car en effet c’est une franchise qui connaît quand même du succès. Un succès tellement grand, que cette franchise aura dans peu de temps sa série télé. Au scénario cependant James DeMonaco y reste, il n’abandonne donc pas le navire totalement. En ayant choisi McMurray il semble qu’il n’ait pas fait d’erreurs, puisque même si ce n’est pas sans erreur il gère sa réalisation. L’écriture de James DeMonaco reste bonne, mais comme les films précédents il y a toujours ce manque de prises de risque qui fait que ça reste très simpliste. Le traitement du récit mérité quand même mieux, surtout pour cette franchise il y avait matière. Du coup DeMonaco livre un récit simple, mais qui fonctionne quand même mais on se contentera du strict minimum. On se rendra compte également qu’il y a peu de travail, dans le traitement des personnages, mais ce n’est pas gênant. On y voit a l’affiche de cette suite, que des nouveaux donc Frank Grillo ne revient pas. Dans le rôle de Dmitri, il est interprété par Y’lan Noël, Nya est joué par Lex Scott Davis, on verra même Marisa Tomei dans le rôle du Dr Update. Un casting en majorité afro-américain, qui livre des bonnes prestations. La boucle est cette fois bouclée, on se demande donc, ce que la série pourra aborder dans quelque temps. Ce prequel reste cependant intéressant, et aborde des thèmes forts et certes ce n’est pas parfait mais ça reste très acceptable et plus que correct.

Bande annonce

Calibre de Brian Palmer

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Date de sortie Disponible sur Netflix (1h 41min)
De Matt Palmer
Avec Jack Lowden, Martin McCann, Tony Curran, Kate Bracken, Cameron Jack, George Anton…
Genre Policier
Nationalité Britannique
Musique Anne Nikitin

La mort dans les bois

 

Synopsis

Deux amis de toujours partent en week-end pour chasser près d’un petit village des Highlands en Ecosse. Rien ne peut les préparer à ce qui va leur arriver.

Dommage que calibre passe inaperçu sur Netflix, car c’est un film indépendant qui a vraiment son style et son ambiance qui fait le charme de ce long-métrage. À la réalisation Matt Palmer, vous le connaissez? Moi non plus, Calibre est son premier film, et pour un premier film quelle maîtrise! L’intrigue du film se situe en Écosse, où deux amis partent en chasse, dans un coin paumé. Un des deux en voulant tuer un chevreuil, tire sur un gamin par accident, à partir de là tout dérape rapidement et les deux amis font les mauvais choix ce qui peut les conduire à leur propre mort. Ce film Netflix, est fort intéressant sur de nombreux points que ce soit dans la réalisation ou encore ce scénario bien ficelé qui peut nous emporter n’importe ou. Matt Palmer réalise un premier film, avec un talent incroyable avec une fin qui reste assez tragique.

Tout partira à cause d’une balle, Calibre est un thriller venu de l’Écosse. On retiendra de ce film, de Matt Palmer sa photographie, elle est sombre ce qui rend le film glauque et malsain. On sait que ce genre de film ne peut finir que mal mais de quelle manière? En effet l’issue, ne peut-être que dramatique au vu de ce que raconte le film. Ce sont deux amis, ils le sont depuis l’enfance. Vaughn et Marcus, décident de quitter la ville, quelque temps, le temps d’un week-end de chasse. Le bon plan pour Vaughn, qui stress car il va bientôt être père, tandis que Marcus est un célibataire sans attache. Ils arrivent dans un coin paumé de l’Écosse idéal pour chasser connu pour sa grande forêt. Après une première nuit mouvementée la veille de la chasse, les deux amis partent pour leur partie de chasse. Marcus remet un fusil à Vaughn, et ils aperçoivent un chevreuil et Marcus demande à son ami de le tuer ce dernier hésite puis accepte. Alors qu’il vise l’animal, quelque chose surgit au moment où il tire il s’agit d’un être humain. Vaughn court vite voir, il vient de tirer sur un enfant désemparé il ne sait pas quoi faire c’est alors que le père du gamin arrive paniqué et trouve son fils. En pleurs sur la dépouille de son fils, un fusil a la main, il regarde Vaughn qui s’excuse. Difficile de savoir s’il veut tuer Vaughn, mais il se fait tirer dessus par Marcus et s’effondre au sol. Désormais il y a double meurtre, même si le premier reste un accident. Alors que Vaughn décide de prévenir la police, Marcus s’y refuse et persuade Vaughn de ne pas le faire car ils auraient des problèmes au vu des substances illicites qu’ils ont dans le sang. Il cache les corps, dans les fougères et décide de revenir dans la nuit pour enterrer les corps. La nuit venue ils enterrent, les deux corps. Le lendemain les deux amis, doivent se comporter comme si de rien n’était. Mais Marcus se fait remarquer, quand les habitants sont au courant que Marcus a couché avec une femme du village sa première nuit. Comportement qui a rendu mécontent, un habitant du village. Mais les habitants se méfient, des deux amis et commencent à avoir des soupçons sur eux. Les mauvaises décisions qu’ils ont prises, risque de se retourner contre eux. Mise en scène soignée, ou la photographie donne un aspect glauque, et cette ambiance n’aide pas à nous détendre mais c’est ce que souhaite le long-métrage. Le film aborde le thème de la culpabilité, ou comment peut-on continuer à vivre après avoir commis un meurtre? Thème très bien mise en avant, quand on voit Vaughn complètement déstabilisé, face à ses démons. Marcus lui semble mieux vivre la situation, après ce drame leur amitié est en quelque sorte brisée. Vaughn voit en Marcus, un autre homme son ami n’est celui qu’il a connu ce drame les a changé et surtout Marcus. Une réalisation de Matt Palmer, qui donne dans l’efficacité en brillant sur de nombreux points.

Le scénario est de Matt Palmer également, le réalisateur est aussi brillant dans l’écriture que dans sa propre réalisation. On y voit un vrai travail, un boulot remarquable dans le traitement des personnages celui de Vaughn et Marcus les deux protagonistes sont très bien écrits. Pour Vaughn on percevra, énormément sa culpabilité face à ce qu’il a fait. Arrivera-t-il à surmonter, le fait d’avoir tué quelqu’un? Son ami est traité d’une manière différente, il dit avoir tué le père du gamin pour protéger Vaughn, mais il ne réagit vraiment pas de la même manière que son ami et semble moins culpabilisé. Le film se concentre également sur les habitants du village, méfiants envers les deux hommes qu’ils soupçonnent de plus en plus. Un élément très bien géré, dans l’écriture qui donne davantage d’intérêt au long-métrage. Le casting est brillant, on retiendra évidemment les interprète de Vaughn et Marcus que joue Jack Lowden et Martin McCann, des prestations très convaincantes pour un film à la réalisation qui est maîtrisée. Un film Netflix, qui maîtrise bien son sujet avec une ambiance qui fonctionne parfaitement. Une découverte à faire, et un réalisateur en encourager car ce premier promet une carrière prometteuse.

Bande annonce

The Cured de David Freyne (L’Avis d’Orel & Maxime)

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Date de sortie 2 juin 2018 en VOD (1h 35min)
De David Freyne
Avec Ellen Page, Sam Keeley, Tom Vaughan-Lawlor, Stuart Graham, Paula Malcomson…
Genres Science fiction, Drame, Epouvante-horreur
Nationalités Britannique, Irlandais, Français

Avant ils étaient des monstres…

 

Synopsis

Des années après que l’Europe ait été ravagée par le virus Maze qui transforme les humains en monstres cannibales, un antidote est enfin trouvé. Sean Brown est hanté par ce qu’il a fait. Alors qu’il revient vivre chez sa belle-sœur devenue veuve, la peur et la suspicion risquent de plonger de nouveau le monde dans le chaos.

L’AVIS D’OREL

Le réalisateur Irlandais David Freyne réalise son premier film avec The Cured. C’est un film de zombies, qui sort un peu du lot des autres avec Ellen Page. L’intrigue se déroule en Irlande, nous suivons Senan un jeune homme tout juste guéri d’un virus qui l’avait transformé en zombie. Il fait d’horribles cauchemars qui lui rappel ce qu’il a fait quand il était un monstre, et il doit à présent se réinsérer dans la société. Il va chez sa belle-soeur qui accepte de l’héberger, son mari a disparu lors de l’apocalypse zombie. L’Irlande se remet peu à peu de cette apocalypse, beaucoup de gens sont morts. Puis une solution a été trouvée, un antidote, certains guérissent d’autres résistent au virus et restent des bêtes sauvages. La difficulté pour ceux guéris, c’est d’être accepté parmi la population qui n’a pas était infecté qui considère ceux qui sont guéris encore comme des monstres.

Quand on a été un monstre, peut-on être accepté par les autres? Pour Senan ça ne sera pas chose facile, lui et Connor cache un secret qu’il ne peut révéler à sa belle-soeur. Le film ne se focalise pas sur une guerre homme contre zombie, il s’agit d’un film sur l’après-guerre. Un pays qui se remet, de ses blessures encore sous le choc le film aborde les thèmes comme la réinsertion dans la société, mais aussi le terrorisme. En effet ceux qui sont guéris, sans cesse rejetés décidés de se rebeller et de se faire entendre d’une façon ou d’une autre. Des actions dont Senan se sent concerner, un mouvement que mène Connor un homme avec qui il a eu un lien particulier quand ils étaient zombies. La réalisation est donc efficace, et sort du lot. Ce que l’on pourra reprocher en revanche au réalisateur c’est d’exagérer sur les jumps-scares. Pourtant le but du film n’est pas de faire sursauter, car on voit qu’il offre beaucoup mieux que ça.

Le film renvoi une image assez proche de l’état actuel, dans notre monde. La réinsertion est très bien mise en avant, ou l’on nous montre à travers une mise en scène intelligente comment ceux qui ont été morts doivent se réintégrer?. Nous suivons durant le film aussi, un médecin celle qui a trouvé le remède mais qui tente par tous les moyens de sauver une femme qui résiste au virus. On apprendra plus tard, pourquoi elle veut à tout prix la sauvé. The Cured ne connaît pas hélas de sortie en salles, alors que ce dernier aurait eu le mérite car il propose un film de zombies avec un très bon concept et l’exploite très bien. On aura le plaisir de voir à l’écran Ellen Page, jouant une veuve qui héberge son beau-frère un ex-zombie. Sam Keeley assure dans le rôle de Senan, personnage très bien exploité. David Freyne signe l’écriture de son film, maîtrise le développement de ses personnages, et puis il gère très bien son récit en offrant un film avec des thématiques intéressantes. The Cured est disponible en VOD, depuis le 2 juin et c’est une belle découverte.

L’AVIS DE MAXIME

Le mort vivant, ce perturbant, patibulaire, stupreux concept oxymorique concentre les questionnements fondamentaux de tout préambule ontologique : peut-on d’une quelconque manière être un non-être ? Est-ce vivre que de voir son corps être strictement dichotomisé et ne plus obéir à son esprit symbiotique ? Mais un corps peut-il seulement échapper à l’entendement, à la raison, au libre-arbitre qui s’imposerait à tout être ? Se contenter de transposer le concept dans un récit de science-fiction afin de forger des antagonismes fantasmagoriques, irrationnels, ornés, qui ne tarderaient à répulser les enjeux originaires serait une démarche fâcheusement morose tant elle éviderait le langage, le récit, l’œuvre filmique de ses signifiés, son essence. Réjouissez-vous, The Cured n’est pas de ceux-là : il est une œuvre aussi intime que profonde.

Alors qu’un virus prénommé Maze phagocyte l’Europe, un antidote est trouvé et permet à certains infectés de retrouver leur état antérieur à une exception près : il y a trace mémorielle des faits, traques, déboires – pour ne pas dire débauches – connus, vécus par les sujets en question.

Si le postulat récital ne rutile guère de perspicacité, les tourments et problématiques politico-sociales qui vont régir le métrage le valorisent sur un autre registre : celui de la parabole. Comme son titre l’indique, ce sont les guéris « cured » – qu’on pourrait maladroitement aussi appeler ressuscités – qui composent le nœud dramatique. Passant d’infectés à guéris, ces hommes connurent un changement d’état : ils ont été, maintenant ils sont. S’ils se heurtent à l’hostilité de leur nation, c’est qu’ils ne peuvent corriger leur passé, et donc se reconstruire à partir d’un état embryonnaire, transtemporel. Senan, en plus de se voir assigner une figure sociale dépravée, cynique, souffre de ce passé qui le hante au-delà de ses phases oniriques. Il n’est autre individu que celui qu’il a été, celui qu’il est à partir de celui qu’il a été, et celui qu’il sera. Mais doit-on considérer l’individu dans cette tripartition ?

Certains font le choix comme Abbie, la belle-sœur de Senan, de ne conserver que l’être actuel, considérant l’être antérieur comme dénué de cette humanité, conformité à l’être qui forme son vrai beau-frère. Elle supprime toute notion de libre-arbitre propre à l’homme. Ce dernier n’est alors qu’un corps étreint par une annihilation exogène, irréversible. Il s’agit là d’une vision somme toute naïve, restreinte, suffisante de l’homme que le métrage s’accorde à discuter par la figure doloriste de Connor, ami et frère de sang de Senan. Ce dernier, lors d’une rencontre décisive, se permet de commenter la représentation collective en ajoutant qu’on cède à la douleur, à défaut d’en vouloir résister, avant de laisser son envie, désir morbide s’exprimer. Finalement, ô combien éprouvant soit-ce, n’y-aurait-il pas une part conséquente de soi dans un acte pathologique ? Un soi complaisant (Conor) ou bien un soi davantage contrarié (Senan).

Sans n’être clinique aucunement, David Freyne parvient avec son œuvre à évoquer l’austérité, douleur parfois de ces dilemmes sociaux et spirituels. Il le fait avec minimalisme, sans pompe, convoquant le standard de la caméra-épaule qui transmet les affres de son objet mis sous pression, intellectuelle comme sensorielle. Il laisse libre cours à ses acteurs qui s’en donnent avec bonhomie et implication certaine. Ainsi c’est dans cette absence de dépassement, de sophistication qu’il déçoit a posteriori. On retiendra toutefois le scepticisme du film, qu’il soit voulu ou non, s’achevant par l’épanchement caustique de ses exhalaisons cahoteuses. La jeunesse est terrassée, la vérité n’en demeure que plus ineffable, tel un portefaix narquois qui dérobe les axiomes fantasmatiques. L’ambivalence humaine est incontestablement la pire des nécessités.

Bande annonce

Sortie cinéma semaine du 04 Juillet

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L’été est enfin là! Pour cette première semaine de juillet, on retrouve un Pixar et puis American Nightmare 4 qui reviens sur les origines de la purge. Le retour de Quentin Dupieux, avec Au poste!. On pourra aussi retenir A la dérive, qui peut-être intéressant. Il y en a pour tout le monde, alors bon ciné!

 

Les Indestructibles 2

4 juillet 2018 / 1h 58min / Animation, Famille
De Brad Bird
Avec Gérard Lanvin, Déborah Perret, Louane Emera
La suite des aventures de la famille Indestructibles. Alors qu’Hélène (Elastic Girl) prend la tête de la mission « sauver le monde », Bob (Mr Indestructible) se retrouve en dehors de sa zone de confort à devoir gérer de manière chaotique les tâches de la vie quotidienne.

À la dérive

4 juillet 2018 / 1h 38min / Drame, Romance, Aventure
De Baltasar Kormákur
Avec Shailene Woodley, Sam Claflin, Jeffrey Thomas
Tami Oldham et Richard Sharp décident de convoyer un bateau à travers le Pacifique et se retrouvent pris au piège dans un terrible ouragan. Après le passage dévastateur de la tempête, Tami se réveille et découvre leur bateau complètement détruit et Richard gravement blessé. À la dérive, sans espoir d’être secouru, Tami ne pourra compter que sur elle-même pour survivre et sauver celui qu’elle aime.

Woman at War

4 juillet 2018 / 1h 40min / Comédie
De Benedikt Erlingsson
Avec Halldora Geirhardsdottir, Jóhann Sigurðarson, Davíd Thór Jónsson
Halla, la cinquantaine, déclare la guerre à l’industrie locale de l’aluminium, qui défigure son pays. Elle prend tous les risques pour protéger les Hautes Terres d’Islande… Mais la situation pourrait changer avec l’arrivée inattendue d’une petite orpheline dans sa vie…

Mes Frères

4 juillet 2018 / 1h 44min / Drame
De Bertrand Guerry
Avec David Arribe, Thomas Guerry, Sacha Guerry
Deux frères, Eddy et Rocco, ont connu leur heure de gloire sur la scène « Rock Indé » à la fin des années 90. On les retrouve dix ans plus tard sur une île, défilant en tête de la fanfare locale. Les souffrances ont brisé les cœurs et meurtri les corps, mais la joie va renaître de la fraternité.

Au Poste !

4 juillet 2018 / 1h 13min / Comédie
De Quentin Dupieux
Avec Benoît Poelvoorde, Grégoire Ludig, Marc Fraize
Un poste de police. Un tête-à-tête, en garde à vue, entre un commissaire et son suspect.

Joueurs

4 juillet 2018 / 1h 45min / Thriller
De Marie Monge
Avec Tahar Rahim, Stacy Martin, Karim Leklou
Lorsqu’Ella rencontre Abel, sa vie bascule. Dans le sillage de cet amant insaisissable, la jeune fille va découvrir le Paris cosmopolite et souterrain des cercles de jeux, où adrénaline et argent règnent. D’abord un pari, leur histoire se transforme en une passion dévorante.

Le Dossier Mona Lina
4 juillet 2018 / 1h 33min / Drame
De Eran Riklis
Avec Golshifteh Farahani, Neta Riskin, Yehuda Almagor
Mona, libanaise, est soupçonnée par le Hezbollah d’être une informatrice des services secrets israéliens. Craignant qu’elle soit démasquée, le Mossad l’exfiltre vers l’Allemagne et lui fait changer de visage. Pendant deux semaines, le temps de se remettre de son opération, ils la cachent dans un appartement à Hambourg.

Tamara Vol.2

4 juillet 2018 / 1h 42min / Comédie
De Alexandre Castagnetti
Avec Héloïse Martin, Rayane Bensetti, Sylvie Testud
Tamara est séparée de Diego depuis deux ans. Elle quitte enfin le nid pour vivre l’aventure étuidante à Paris avec sa copine Sam. En galère d’appartement, elles acceptent une coloc avec Wagner. Problème : Diego fait partie du lot, et il n’est plus célibataire ! Pour Tamara, qui rêve d’oublier sa petite vie de province, ça commence mal…

L’Île au trésor

4 juillet 2018 / 1h 37min / Documentaire
De Guillaume Brac
Avec acteurs inconnus
Un été sur une île de loisirs en région parisienne. Terrain d’aventures, de drague et de transgression pour les uns, lieu de refuge et d’évasion pour les autres. De sa plage payante à ses recoins cachés, l’exploration d’un royaume de l’enfance, en résonance avec les tumultes du monde.

Femmes du chaos Vénézuélien

4 juillet 2018 / 1h 23min / Documentaire
De Margarita Cadenas
Avec acteurs inconnus
Des femmes du Venezuela, de milieux et de générations différentes, dressent le portrait d’une société en perdition et nous permettent de prendre le pouls d’une population en détresse, de représenter une sorte de baromètre de la situation du ce pays latino-américain.

American Nightmare 4 : Les Origines

4 juillet 2018 / 1h 42min / Thriller, Epouvante-horreur
De Gerard McMurray
Avec Y’lan Noel, Lex Scott Davis, Joivan Wade
Pour faire passer le taux de criminalité en-dessous de 1% le reste de l’année, les « Nouveaux Pères Fondateurs » testent une théorie sociale qui permettrait d’évacuer la violence durant une nuit dans une ville isolée. Mais lorsque l’agressivité des tyrans rencontre la rage de communautés marginalisées, le phénomène va s’étendre au-delà des frontières de la ville test jusqu’à atteindre la nation entière.

Un Village dans le vent

4 juillet 2018 / 1h 17min / Documentaire
De Jean-Louis Gonterre
Avec acteurs inconnus
« Film – portrait » de Burdignes, dans la Loire; un village agricole et rural pas tout à fait comme les autres. Autour d’initiatives liées à l’alimentation, à l’énergie, à l’habitat et à la vie culturelle, les habitants participent à une transition écologique en action et à un « mieux-vivre ensemble ». Avec des paroles fortes, des paysages grandioses, une création musicale réussie, ce documentaire est joyeusement optimiste.