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Une passion depuis tout petit, qui a grandi avec les films de De Funès et Bourvil que ma grand-mère me faisait découvrir. J’ai toujours aimé cet univers... Leonardo Dicaprio ou Tom Hanks ont contribué à me faire rêver année après année. J’ai écrit au lycée un court-métrage dans le cadre de l'option "audio-visuel", puis on s’est attelé à le réaliser. Je suis passé par la caméra - devant ou derrière, du casque-son à la perche. Toutes les étapes étaient plaisantes à faire et cela a confirmé que je voulais continuer dans cet univers car c’est le mien tout simplement, c’est la ou je me sens bien. Le futur je ne le vois que dans le cinéma. J’ai toujours voulu être acteur, quand je vois un film, il y a toujours un rôle ou je me dis : "tiens, j’aurais aimé être ce personnage !" Ce sont bizarrement rarement les 1er rôles que je trouve les plus intéressants. J’ai écris un scénario pour un jour, si je perce, pouvoir le réaliser... après avoir passé quelques années à apprendre avant bien évidement ! J'ai tourné dans un court métrage du réalisateur Florian Hessique qui avait pour titre "je ne dirai plus jamais je t'aime" dont la photo est d'ailleurs tirée. J'ai figuré dans la web série"Germains germaines" dont les réalisateurs sont maintenant des amis... Et je suis preneur de tous projets ! Le cinéma, il n’y a pas une journée sans que j’en parle ; ça fait tout simplement partie de moi ! une citation de Marin Scorcese m'aide à avancer chaque jour "Je faisais mon chemin mais le cinéma était une obsession".

Youth

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De: Paolo Sorrentino Avec: Michael Caine, Harvey Keitel, Paul Dano, Jane Fonda.. Genre: Comédie, drame (2h) Fred et Mick, deux vieux amis approchant les quatre-vingts ans, profitent de leurs vacances dans un bel hôtel au pied des Alpes. Fred, compositeur et chef d’orchestre désormais à la retraite, n’a aucune intention de revenir à la carrière musicale qu’il a abandonnée depuis longtemps, tandis que Mick, réalisateur, travaille toujours, s’empressant de terminer le scénario de son dernier film. Les deux amis savent que le temps leur est compté et décident de faire face à leur avenir ensemble.
Mais contrairement à eux, personne ne semble se soucier du temps qui passe…

Voilà un film qui m’aura longtemps avant que je n’ai enfin l’honneur de le voir. Youth (Jeunesse) pour parler de la vieillesse voilà ce qu’aime ce réalisateur trouvez des titres qui sont l’opposé de ce qu’il cherche à montrer à l’écran et souhaite parler. Vous l’aurez donc comprit Youth parle de la vieillesse et plus encore du temps qui défile  la peur de ne pas encore en profiter assez. On s’attarde sur 2 hommes l’un joué par le divin Michael Caine compositeur et chef d’orchestre à la retraite qui n’a aucune envie de reprendre du travail et « profite » des derniers moments qui lui reste et un autre joué par Harvey Keitel réalisateur en plein travail et qui compte avec ce film accomplir son chef d’oeuvre même s’il sait son temps compté. De tout cela il est question de savoir ce que l’on laisse de nous à notre mort, quelle empreinte perdurera.

téléchargement (1)Harvey-Keitel-parle-tres-bien-de-la-jeunesse-et-la-vieillesse-dans-un-extrait-de-Youth_reference

235434.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxxC’est un film lent qui prend son temps pour montrer l’ennui au final de ces gens. Ce train train quotidien qui est le leur. C’est un très beau film que j’ai eu l’occasion de voir dans sa version originale sous titrée ce qui m’a permit de voir la réelle intensité du jeu des acteurs, dans leurs démarches, dans leurs voix.. Et j’ai adoré, ce film à un charme que je ne m’explique pas. Il révèle également pour moi un acteur que j’avais encore du mal à adhérer jusque là malgré que je lui reconnaissais du talent: Paul Dano. Dans ce film on le voit à l’observation de ces « vieux »si je puis le dire, il observe ce qui se passe avec bienfaisance, lui jouant un acteur en préparation de son prochain rôle. Un rôle qui vous le verrez, choquera et c’est fait pour. On ne s’ attend pas et c’est ainsi que moi j’ai beaucoup aimé cette scène. Tous les gens au cinéma autour de moi se regardaient avec une gêne quand je dis toutes, je parle bien des 10 personnes venues également voir le film. Je pense que c’est l’effet qu’escomptait le réalisateur avec ce film. Paul Dano y livre une prestation touchante et marquante pour un 2nd rôle avec une de ces citations qui m’a marquée  » Je ne veux plus jouer l’horreur je veux jouer le désir car il n’y a que dans le désir qu’on se sent vivre ». J’ai trouvé cette phrase extrêmement belle.

téléchargementRachel Weistz au casting avec son personnage on parle également de l’absence d’un père, d’une certaine tyrannie qui en ressortait, d’un homme qui ne se préoccupait que de sa carrière et qui parle également aussi beaucoup d’amour. D’une femme qui s’est sentie abandonnée. Elle a un jeu remarquable.

Il y a une délicieuse scène dont l’affiche principal est tirée. Les 2 compères sont dans ce bain, ou sauna je ne saurai le dire bref Miss univers apparaît nue elle est venue y faire un tour le temps de quelques jours histoire de se relaxer. Les 2 hommes l’a dévorent des yeux. Elle, si parfaite, eux qui ont perdu de leur grâce d’avant, de cette jeunesse. Michael Caine demande qui elle est ou qu’est ce que c’est (je ne sais plus exactement) et son ami lui répond « Dieu ». C’est joliment dit, il est vrai que l’actrice incarnant cette femme est d’une beautée folle mais je trouve la scène très poétique et on arrive à se mettre dans la peau de ses personnages. Le film a beaucoup d’humour et tire parfois du totalement absurde, un décalage qui a souvent été réussit je trouve.

Miss Univers interprété par Madalina Ghenea
Miss Univers interprété par Madalina Ghenea
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une autre scène sans rapport

 

Une seule scène m’a mit mal à l’aise au sujet de la femme de notre compositeur que l’on voit bouche béante presque sans vie, le regard vide comme totalement cinglé je ne pourrai pas expliqué pourquoi.

Avec ce film qui est de plus composé d’une belle musique et des couleurs, lumières extrêmement belles comme le montre la dernière image Paolo Sorrentino réalisateur Italiten réussit à nous faire ressentir énormement d’émotions sur bien des thèmes et à nous transporter avec ses personnages. Le casting est délicieux, l’humour présent. On passe un délicieux moment.

007 SPECTRE

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De: Sam Mendes Avec: Daniel Craig, Léa Seydoux, Christop Waltz, Dave Batista, Naomie Harris, Ralph Fiennes, Monica Bellucci, Andrew Scott, Ben Whisphaw.. Genre: Action (2h30)

Un message cryptique surgi du passé entraîne James Bond dans une mission très personnelle à Mexico puis à Rome, où il rencontre Lucia Sciarra, la très belle veuve d’un célèbre criminel. Bond réussit à infiltrer une réunion secrète révélant une redoutable organisation baptisée Spectre.
Pendant ce temps, à Londres, Max Denbigh, le nouveau directeur du Centre pour la Sécurité Nationale, remet en cause les actions de Bond et l’existence même du MI6, dirigé par M. Bond persuade Moneypenny et Q de l’aider secrètement à localiser Madeleine Swann, la fille de son vieil ennemi, Mr White, qui pourrait détenir le moyen de détruire Spectre. Fille de tueur, Madeleine comprend Bond mieux que personne…
En s’approchant du cœur de Spectre, Bond va découvrir qu’il existe peut-être un terrible lien entre lui et le mystérieux ennemi qu’il traque…

James Bond a plus de 50 ans, une saga incroyable qui montre qu’elle ne vieillit pas et a encore de belles choses à nous montrer, un peu comme Mission Impossible mais avec un peu moins de 40 ans au compteur en plus pour 007. Des sagas qui savent se remettre en question et faire plaisir aux spectateurs tout en ne dénaturalisant pas l’oeuvre de base et ses personnages. Rien que pour ça respect. Je dois avouer ne jamais avoir été fan de 007, les anciens je les voyais à la télé mais rien de plus je n’étais pas plus convaincu. Depuis que j’avais été tenté par Skyfall et qu’une amie ait insisté j’ai grâce à elle reprit un intérêt fou pour cette saga car il faut le dire tout était là pour nous faire passer un excellent moment et j’ai donc vu tous les films avec Daniel Craig en agent 007. Les 2 précédents donc. Un bon scénario revenant sur le passé personnel de notre agent, de bons acteurs et un générique porté par la vibrante Adèle qui nous en mettait plein la vue et plein les oreilles et donc nous accrochait dès son départ. Une réalisation qui a été bien saluée à juste titre et qui a fait de Skyfall le meilleur score de la saga encore à ce jour. La question de reprendre donc Sam Mendes à la réalisation ne s’est plus posée et le résultat de ce nouvel épisode est sans appel. J’ai A.D.O.R.E encore plus que le précédent pour une raison particulière son méchant. J’adore Christoph Waltz et on sait que ce genre de saga ne marche qu’avec des ennemis de taille, Javier Bardem dans Skyfall était puissant mais je suis fan de celui ci.

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Christoph Waltz

 

Dave Batista
Dave Batista

Les seconds rôles sont tout aussi puissant on passe par une Monica Bellucci présente juste quelques minutes, à un Dave Batista que je trouve fait pour le cinéma vu dans les Gardiens de la galaxie en Draxx et qui là encore capture l’écran, son rôle est brutal et donne là l’une de mes scènes préférées dans le train, je vous laisserai découvrir 😉 une Naomie Harris toujours très bonne dans le rôle mais que je trouve à grand regret trop absente. En passant par Léa Seydoux qui occupe une grande partie du scénario est qui m’a là grandement surpris moi qui ne suis pas fan du tout de l’actrice que je trouvais tout juste dans son jeu pour des films comme La Belle et la Bete, Le journal d’une femme de chambre pour ne citer qu’eux. Là elle est juste, elle est rayonnante et même si son personnage n’est pas grandement développé l’alchimie entre Bond et elle marche réellement. Tant mieux car comme elle occupe une bonne partie du film je ne vous raconte pas la chute si cela avait été l’inverse.

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Monica Bellucci Léa Seydoux et Naomie Harris

 

L’histoire quant à elle remonte toujours un peu plus loin dans le passé de celui ci, nous emportant pendant 2h30 sans nous laisser le moindre ennui, de son début nous mettant pleinement dans l’action à des scènes de silence malsain souvent pour donner un sentiment de mal aise à par exemple une scène de meurtre en public. J’adore. Des éclairages magnifiques le travail réalisé au niveau de la photographie est juste merveilleux, les décors sont somptueux, la lumière instauré donne un charme fou à la totalité de son film. On reconnait bien là la patte de Sam Mendes fidèle à ce qu’il en avait fait dans Skyfall. Le générique chanté par Sam Smith se révèle très bon pas aussi puissant que celui fait par Adèle mais remplit à merveille le contrat demandé et les images sont toujours aussi sublimes et nous emportent…

Sans en oublier son humour, ce dernier arrive a s’imposer comme une digne suite de son prédécesseur. Un résultat qui frappe par la qualité de ses scènes,  le jeu de ses acteurs dont un Daniel Craig incarnant 007 à la perfection. Son ennemi délicieux, de ses clichés de l’agent parfait qui font la marque de fabrique de cet agent, de son action très bien qualibrée. Sa musique fidèle et toujours aussi régalante. Je ne peux que le conseiller on passe réellement un excellent moment. Un pur moment de cinéma.

Derniere photo de notre réalisateur à l'action
Derniere photo de notre réalisateur à l’action

Babysitting II

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De: Philipe Lacheau et Nicolas Benamou Avec: Philipe Lacheau, Nicolas Benamou, Alice David, Tarek Boudali, Christian Clavier..Sonia souhaite présenter Franck à son père, Jean-Pierre directeur d’un hôtel écologique au Brésil. Toute la bande s’y retrouve ainsi pour y passer des vacances de rêve. Un matin, les garçons partent en excursion dans la forêt amazonienne. Jean-Pierre leur confie sa mère acariâtre Yolande. Le lendemain, ils ont tous disparu… On a juste retrouvé la petite caméra avec laquelle ils étaient partis. Sonia et son père vont regarder cette vidéo pour retrouver leur trace…

Babysitting ça avait été un coup de coeur niveau humour pour un film français y’avait du culot. On le rapprochait à Projet X mélangé à un very bad trip, je n’avais jamais aimé Projet X et pour moi ce film avait un décalage dingue, le found foutage aidait beaucoup à amener de la pression, du pep’s et de nous dévoiler quelques uns des pires moments des personnages dans un contexte qui les rend évidement tous plus con les uns que les autres c’est parce qu’on a de l’empathie pour ces abrutis qu’on les apprécie. Ce genre se caractérise par ses images prises sur le vif, par sa caméra faisant intégralement partie de l’action et par sa qualité visuelle et sonore volontairement dégradées . Vu en avant première je dois dire que j’étais particulièrement aux anges car on a pu passer plus de 40 minutes avec nos acteurs avant qu’il ne vienne faire le show en salle, très accessibles, très sympathiques c’est toujours un vrai bonheur pour moi de rencontrer des gens qui font ce métier que j’envie tant, ils ont été d’une patience en or j’en parle car dans ces moments de bonheur je peux du coup être plus indulgent sur ce film que sur un autre même si je vais être le plus honnête possible je leur ai d’ailleurs laisser un cv à ma manière, au cas ou ils auraient besoin pour leur prochain film.

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Les suites sont de véritables risques, le fait de devoir se réinventer, de ne pas rentrer dans les mêmes rouages et aussi de voir une évolution des personnages. Force de constater qu’avec cette suite l’effet de surprise n’est plus là même si on reprend un malin plaisir à les suivre. Le réalisateur Philippe Lacheau a été honnête avec nous à l’avant première « c’est la suite évidente, nos personnages sont encore plus cons qu’avant et vont par conséquent encore plus loin ». La bande annonce ne mentait pas, le public visé est surtout un public jeune et cette suite va effectivement plus loin dans le gag et c’est peut être là qu’elle m’a bloquée, ce n’est que bien trop souvent une succession de gags. Dans le 1er film on avait des moments de calme qui nous permettait de retrouver le sourire quand une connerie revenait, ici on sort d’un contexte difficile, pour en revenir à un autre dans la minute l’effet de surprise n’existe plus ce qui était pourtant une grosse partie de la force de son 1er et ça en devient prévisible. Moi pour le coup la succession sans cesse de gags et le fait qu’on puisse les deviner à l’avance fait que je n’ai pas pu prendre totalement mon pied par rapport à ce que je voyais et donc cela me faisait sourire pour la plupart mais pas rire.

Avec Babysitting II ce n’est pas un humour pour tous qui est mis en avant mais bien un humour porté sur la vulgarité, puéril, bon enfant. Ici on joue avec le contexte pour en rire et le désamorcé, rien ne doit se passer comme prévu, ça déborde d’énergie, d’un plaisir de jouer qui se ressent à l’écran qui est certainement dû au fait qu’ils ont bien du rigoler et prendre leur pied pour tourner une telle connerie dans un lieu paradisiaque. Un plaisir et un humour égal au 1er film une nouvelle fois poussé bien encore plus loin.

Quel regret d’avoir laissé la charmante Alice David, la taluenteuse qui plus est de côté sur une longue partie du film pour y laisser place à deux bimbos certes très jolies en bikini et raviront tous les mecs au cinéma mais vide de jeux et ne servant réellement l’écran que pour admirer leurs corps. Son 1er film avait pour source de problèmes évidement la bande d’amis mais le gamin de son boss à garder le temps d’une nuit, cette suite voit arriver une grand mère qu’ils auront du mal à contrôler là aussi. Là ou l’innocence et l’insolence du gamin faisait beaucoup rire cette grand mère caricaturale n’a jamais réussi à me faire rire, à par dans son contexte. Pour ne citer qu’une scène. L’équipe est dans un avion ils s’aperçoivent qu’ils ont oubliés une grand mère alors que des indigènes les poursuivaient. Ils tournent la tête dans le hublot et s’aperçoivent qu’elle va presque plus vite sur son défibrilateur qu’eux. Je raconte mal la scène mais à l’écran ça rend très bien.

Avec le succès du 1er film la suite était bien évidement envisageable et avait commencé à être écrit par Philippe Lacheau au cas ou le succès serait là, comme ce fut le cas ils se mirent au travail pour garder ce public qui a tant accouru pour voir le 1er film à chaud et a voulu lui montrer les choses en grand, encore plus grand. Avec mon exigence dans ce cinéma et par rapport à ce que j’ai pu dire je ne veux pas que vous puissiez penser que je n’ai pas aimé le film et je vous incite au contraire à le voir évidement pour que vous même ayez votre avis. Mais pour cette suite ils ont peut être voulu en faire trop et même si je ne me suis pas ennuyé, j’en attendais autre chose. Tout de fois si un 3 épisode toujours aussi con voit le jour peut être me retrouverai je conquis, allez savoir. En attendant si vous voulez une comédie qui insuffle la bonne humeur et si vous avez aimé le 1er film je pense qu’il y est peu de risques que comme moi cela soit une déception, le reste du public autour de moi était conquit.

 

 

Pan de Joe Wright

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Pan-afficheDe Joe Wright (Anna Karenine, Orgueils et préjugés) Avec: Hugh Jackman, Levi Miller, Garrett Hedlund, Amanda Seyfried.. Genre: Aventure

Proposant un nouveau regard sur l’origine des personnages légendaires créés par J.M. Barrie, le film s’attache à l’histoire d’un orphelin enlevé au Pays Imaginaire. Là-bas, il vivra une aventure palpitante et bravera maints dangers, tout en découvrant son destin : devenir le héros connu dans le monde entier sous le nom de Peter Pan.

Pan de Joe Wright vu en avant première en 3D est un divertissement qui a réussi à m’émerveiller. On ne revient pas sur le jeune homme qui voulait éternellement être un enfant, cela n’est pas évoqué car au moment du film Pan est un enfant il n’a pas le souci de penser à cela pour le moment. Niveau histoire comme le dit le résumé il reprend le roman de base écrit par J.M.Barrie qui explique en une ligne que le capitaine Crochet fut l’apprenti de Barbe Noire, ça tient en une ligne et Joe Wright se rend compte que de cette petite phrase, il va pouvoir amener sa patte, y délivrer sa version à lui. 

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Les personnages ont de la présence, du charisme. Du petit nouveau Levi Miller qui fait ses premiers pas dans le cinéma n’est néanmoins pas dénué d’expérience scénique. Il a été honoré d’un prix pour sa performance dans la pièce Peter Pan et c’est vrai qu’il l’incarne à merveille, il est saisissant. Nous avons aussi Garrett Hedlund (1ère photo à gauche) vu dans des films peu souvent gratifiants comme Eragon et qui n’a pas encore eu de réels places dans le cinéma alors qu’il est très talentueux, en capitaine Crochet il trouve là un personnage à sa hauteur avec lequel il s’amuse pleinement. Pas le personnage du dessin animé tel qu’on le connaît mais une belle revisitation. Rooney Mara plus discrète joue son rôle comme il le faut la seule chose qui m’est réellement gêné et qu’on l’a cite comme une indienne dans le film alors qu’elle est blanche mais bon je me suis rappelé qu’on était au pays imaginaire donc que tout était possible. Le rôle devait à la base venir à Lupita Nyong’o (12 years a slave) qui je pense aurait sublimé le rôle. lupita-nyong-o-1 Bien meilleure actrice que celle choisit et que l’on retrouver d’ici peu à l’écran.

 

Pour en arriver au personnage fabuleux du film. Barbe Noire. Hugh Jackman est un immense acteur et j’étais très pressé de le découvrir dans ce film malgré sa prestation caricaturale à souhait dans Chappie qui je pense et son pire rôle à ce jour. Là, il est remarquable, Joe Wright nous fait monter la tension dès sa première scène sublimé par des pirates chantant du Nirvana comme une hymne. Cette scène est forte, juste parfaite j’ai trouvé ça extrêmement culotté et brillant et ça rendait terrifiant l’arrivée de cet homme. Son allure si distingué, si peu habituel qui a du être un réel plaisir à créer si loin de ce que l’on pourrait imaginer d’un pirate, sa gestuelle, sa coupe digne des anciens grands rois voilà un ennemi qui a de la grandeur. Hugh Jackman y livre une prestation bluffante. Ce personnage a beaucoup joué sur mon amour du film, chaque scène avec ce Barbe Noire était pour moi un régal.

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Revenons maintenant au début du film qui est ce qui m’a dans l’ensemble le moins plus; le côté film pour enfant étant instauré dès les premières scènes se passant dans un orphelinat avec la caricature de la méchante bonne soeur, grosse, moche.. Une fois l’immersion en 3D au pays imaginaire je suis moi aussi redevenu un grand enfant.

La musique composé par John Powell y apporte son lot de magie, il faut l’avouer elle est divine et bien dans le thème de la rêverie, du féérique, l’accord parfait.

Seuls les décors peinent eux à exister tant ils sont figés et qu’on a l’impression qu’ils sont sans vie. Je ne dis pas qu’ils ne sont pas beaux car si on chasse ce détail on arrive sans mal à s’émerveiller, tant des codes de couleurs nous éblouissent tout le long du film et que le résultat en est clairement magique.

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Cara Delevingue n’apparaissant que quelques secondes à l’écran

 

Pour un divertissement destinés principalement aux enfants ce film est une vraie réussite tant il nous porte dans son monde. C’est l’un des plus gros flop aux USA ce qui veut dire que les suites imaginées sont dès aujourd’hui ou du moins peuvent être considérés comme le passé car il n’y a malheureusement peu de chances qu’elles voient le jour. C’est regrettable que le public n’est pas suivi sachant le travail, la générosité et l’ambition de l’oeuvre au final. Mon âme d’enfant n’a jamais quitté le film. J’applaudis le travail réalisé et je vous incite à le voir. 

Crimson Peak

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Interdit aux moins de 12 ans

Au début du siècle dernier, Edith Cushing, une jeune romancière en herbe, vit avec son père Carter Cushing à Buffalo, dans l’État de New York. La jeune femme est hantée, au sens propre, par la mort de sa mère. Elle possède le don de communiquer avec les âmes des défunts et reçoit un étrange message de l’au-delà : « Prends garde à Crimson Peak ». Une marginale dans la bonne société de la ville de par sa fâcheuse « imagination », Edith est tiraillée entre deux prétendants: son ami d’enfance et le docteur Alan McMichael.

Après une bande annonce plus qu’alléchante sur le nouveau Del Toro qui revient à son univers dark gothique non sans rappeler son Labyrinthe de Pan, nous emmène dans son style sans jamais nous en décrocher. Avec son univers bien à lui, riche en détail et des clins d’oeil à ses anciens films Del Toro réussit à donner un charme à toute son oeuvre. Ici la beautée se trouve dans les ténèbres. Le manoir et les costumes ont été créés de toutes pièces pour plus d’authenticité dans leur jeu ce qui donne encore plus de profondeur au tout.

Guillermo-Del-Toro-Retrying-Mountains-of-MadnessBeaucoup pensent avoir affaire à un film d’horreur cela n’en est rien, c’est un film d’amour gothique, la grande différence entre les deux est dîtes par monsieur Guillermo Del Toro en personne:  » la différence est qu’un film de manoir hanté présente le manoir comme maléfique alors qu’un film d’amour gothique présente le manoir comme une illustration de la folie ou déchéance des personnages. Le mariage parfait du genre doit se trouver entre l’amour et la mort avec l’idée que les histoire d’amour ont une part de ténèbres et la mort une part de romance.

J’ai beaucoup étudié d’articles sur son oeuvre pendant tournage, alors je vous ressors quelques morceaux d’interviews de moments qui m’ont paru important et décrire à merveille l’essence même de son film.

Ce qui résume bien pour moi ce genre c’est la passion, la sexualité dans un univers fait de violence. Guillermo ne cherche pas à faire un film original dans son écriture elle est au contraire très classique. C’est ce qu’il apporte esthétiquement qui le rend réellement bluffant. Avec un casting comprenant mon actrice favorite Jessica Chastain (Three of life) ainsi que le grand Tom Hiddleston (Thor)

NEW YORK, NY - JANUARY 06:  Actress Jessica Chastain attends the 2014 National Board of Review Gala at Cipriani 42nd Street on January 6, 2015 in New York City.  (Photo by Dimitrios Kambouris/Getty Images)

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qui aurait normalement du être joué par l’un de mes favoris Benedict Cumberbath (Sherlock) tumblr_nc428xAYN81rnwoh4o1_500

Je ne peux imaginer quel personnage extraordinaire il aurait pu être c’est un acteur ténébreux et fascinant que Tom Hiddleston n’égale pas pour autant qu’il soit très bon et que la ressemblance physique soit frappante. Nous avons également notre principale Mia Wasikowska vu dans Alice aux pays des merveilles de Tim Burton. Armé de son univers fascinant, grandiose et frissonnant rendant hommage aux anciens films du genre et porté par ce divin casting.Ce film sans être révolutionnaire nous éblouis et s’annonce comme une véritable réussite qu’il vous serait regrettable de louper.

Antigang

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ANTIGANG-Affiche-France

 

De: Benjamin Rocher

Avec: Jean Reno, Thierry le Neuvic, Alban Lenoir, Caterina Murino.. Genre: Action Durée: 1h30.

Serge Buren est un flic de légende, entouré d’une bande de jeunes flics aux méthodes peu conventionnelles.
Qu’importe qu’ils utilisent des battes de baseball ou « oublient » le règlement au cours d’arrestations spectaculaires, les résultats sont au rendez-vous !
C’est alors qu’un groupe de braqueurs meurtriers entre en scène, dévalisant avec une facilité déconcertante banques et bijouteries de la capitale, à coup d’armes de guerre et de scénarios imparables.
Face à tant d’ingéniosité et de brutalité, Buren et son unité se retrouvent confrontés à une situation délicate :leurs méthodes expéditives suffiront-elles à arrêter ces criminels autrement plus machiavéliques ? 

Courte critique car au final peu de choses à dire alors allons à l’essentiel Antigang c’est le genre de film que l’on attendait pas, que je n’attendais pas et qui surprend de la meilleure manière que ce soit . Antigang c’est un film d’action bourré de testostérones, en France, parler de « film d’action » est un peu considéré comme une insulte ce n’est pas un genre adhéré, là on a une histoire qui tient debout avec de bons acteurs notamment un que j’adore c’est Thierry Le Neuvic je le trouve très charimatique, une voix qui porte et beaucoup de talent ainsi qu’un Jean Reno en chef de bande barbu, la grande classe quoi. Un acteur qui m’a fait sensation également dû à son personnage totalement loufoque dans le film c’est Alban Lenoir qui démonte la plupart de ses ennemis à coup de batte de baseball.

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Thierry Le Neuvic
Alban Lenoir
Alban Lenoir

 

 

C’est un film qui mise beaucoup sur le second degré et qui se veut décomplexé mais ça ce n’est pas tout au long du film c’est là le bémol que je trouverai à ce film qu’il ne l’assume pas de tout son long évidement c’est dû à des péripéties mais j’aurai aimé qu’ils restent de tout leur long dans un autre univers le leur et pas revenir au genre policier qui nous aient plus classique, connu, familier. Le début du film est dingue et m’a fait jubiler on est directement plonger dans l’ambiance, c’est un réel plaisir, ça fait du bien. Ne loupez pas ce film français qui essaie un peu de « moderniser » le genre, en tout cas avec ce film vous ressortirez avec la patate.

Everest

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EVEREST-Affiche-France

 

De: Baltasar Kormákur

Avec: Jason Clarke, Josh Brolin, Keira Knightey, Jake Gyllenhaal, Michael Kelly..

Inspiré d’une désastreuse tentative d’ascension de la plus haute montagne du monde, Everest suit deux expéditions distinctes confrontées aux plus violentes tempêtes de neige que l’homme ait connues. Luttant contre l’extrême sévérité des éléments, le courage des grimpeurs est mis à l’épreuve par des obstacles toujours plus difficiles à surmonter alors que leur rêve de toute une vie se transforme en un combat acharné pour leur salut.

Reprenant cette incroyable histoire vraie, l’immersion n’en a été que plus impressionnante en 3D, évidement on est avec eux dans leurs folies et leurs douleurs et c’est parce que l’on peut ressentir leurs états d’âmes que le film marche aussi bien.

Le casting est vraiment très bon avec un Jason Clarke en chef d’épique, Josh Brolin en alpiniste sur de lui ou un Jake Gyllenhaal toujours en recherche de personnages forts à interpréter, je passe les autres mais ils sont de toute manière tous très convainquant. Le seul point faible du film c’est justement le traitement de ses personnages qui là n’est vraiment qu’effleuré pour favoriser le développement de thèmes comme le dépassement de soi même, marquer son nom dans l’histoire ou encore rester soudé face aux épreuves. Que l’on approuve ou pas leurs choix on ne peut pour autant rester insensible. Un film où l’émotion n’est pas placée dans un rapport à l’empathie mais dans un constat très pragmatique des limites personnelles et physiques des personnages.

Jake Gyllenhaal, Jason Clarke et Josh Brolin en croisette
Jake Gyllenhaal, Jason Clarke et Josh Brolin en croisette

 

C’est généralement un genre casse gueule pour moi ce style de film car cela à tendance jouer beaucoup trop sur la surenchère dans les situations. Des films catastrophes comme 2012 ou La grande innondation mais ses films là sont l’éventualité de ce qui pourrait arriver hors là on relate une histoire vraie et on doit donc être au plus juste des événements passés. Les effets spéciaux sont très biens faits mais surtout bien dosés car le réalisateur n’en abuse vraiment pas favorisant avant tout ses personnages c’est là qu’il réussit à nous tenir en haleine jusqu’à la fin.

Il aurait manqué à un tel film un vrai parcours à travers nos personnages sur leurs vies mais il n’en est rien qu’il se contente de relater l’histoire et cette ascension et la 3D permet réellement d’aller au plus près d’eux et qui est avant tout à la recherche du réalisme un très bon film qui raisonne encore plus fort quand on sait que c’est tiré de la réalité. Allez le voir

Agent très spéciaux code U.N.C.L.E

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396098Au début des années 60, en pleine guerre froide, Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E. retrace l’histoire de l’agent de la CIA Solo et de l’agent du KGB Kuryakin. Contraints de laisser de côté leur antagonisme ancestral, les deux hommes s’engagent dans une mission conjointe : mettre hors d’état de nuire une organisation criminelle internationale déterminée à ébranler le fragile équilibre mondial, en favorisant la prolifération des armes et de la technologie nucléaires. Pour l’heure, Solo et Kuryakin n’ont qu’une piste : le contact de la fille d’un scientifique allemand porté disparu, le seul à même d’infiltrer l’organisation criminelle. Ils se lancent dans une course contre la montre pour retrouver sa trace et empêcher un cataclysme planétaire.

Les années 60 sont à l’honneur avec Guy Ritchie après nous avoir réalisé Arnaques crimes et botaniques ou encore Snatch et les 2 fabuleux Sherlock Holmes redonnant un second souffle à ce détective, le plus connu de l’histoire il s’attaque à une série qui lui tenait à coeur dont il reprend le titre. Un hommage respecté même si j’en attendais tout de même bien d’autres choses. 

Avec ce nouveau projet je m’attendais encore à ce qu’il dépoussière le genre que je retrouve cette folie qu’il sait tant amener dans ses films et j’ai eu je l’avoue du mal à retrouver sa patte. Dans son action, sa vivacité finalement c’est dans l’ambiance générale du film et son déroulement que j’ai retrouvé sa manière de faire et que j’ai fini par comprendre ou il allait, j’apprécie ce réalisateur alors ne retrouvant pas son cachet c’est vrai que j’appréhendais et je n’ai pu me décontracter qu’une fois les choses posées dans ma tête. Il faut dire qu’il ne ramène pas de fraîcheur au genre d’espionnage, il en connait bien les rouages et les codes mais il n’en fait pas quelque chose de nouveau pour autant il rend hommage aux films d’espionnages des années 60 et cet hommage en est plus que réussit.  A chaque scène je m’attendais à plus, à voir du Sherlock et c’est là ou je me trompais car il ne va pas dans ce sens et c’est là ou la bande annonce me trompait. Avec la bande annonce je voyais un duo charismatique encore de 2 hommes qui allaient se faire la gueguerre comme son divin duo que fut Holmes et Watson et même si il y a un peu de cela à ce niveau là, les actions ne sont pas aussi spectaculaires qu’elles l’étaient avec Sherlock, par exemple les ralentis sur les actions que notre détective préparait, des détails mais je m’attendais à quelque chose de fun et même si l’action est bien je l’ai trouvé cependant classique comme je disais avant, respectant le genre des années 60.

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L’humour également n’est pas aussi prononcé qu’il avait pu l’être, exemple pour Sherlock après une bagarre entre Watson et Holmes si Watson aurait cassé une table de colère le réalisateur aurait désamorcé ceci avec un sherlock holmes arrogant lançant probablement une blague rendant le tout burlesque et avec ce film j’attendais toujours de ce petit répondant hors ce qui s’appliquait pour Sherlock n’est plus avec nos agents très spéciaux.

Pour en finir avec les comparaisons avec Sherlock Holmes je reviendrai sur son introduction, l’introduction du 1er film est d’une efficacité sans précédent on y voit un homme courir dans une ruelle sombre, la caméra avançant rapidement une musique de tension, une calèche à ses trousses, on y voit les hommes dans celles ci fusil en mains préparer leurs munitions. L’homme détruit une porte et s’apprête à frapper un individu avec les ralentis nécessaires pour marquer le coup on apprend peu de temps après qu’il s’agit de Sherlock par une arrivée en beautée de notre Watson, on a pas a y passer 20 minutes on comprend que notre détective sera totalement différent en quelques secondes, les présentations sont faites, c’est clair net et précis. Alors malgré que j’aurai adoré une entrée aussi inventive pour entrer en la matière pour celui ci il va évidement a contre courant de ce que j’imaginais.

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Avec toutes ces petites déceptions j’en suis venu à me demander si j’allais aimer ce film et une fois que j’ai arrêter de vivre le film en pensant à ce que je voulais voir mais en acceptant la scène telle que je l’a voyais sans en vouloir toujours trop et j’ai fini par apprécié car sans aucun doute le film est réellement très bon dans ce qu’il fait.

Son casting déjà est bon Henry Calvill espion américain plus mondialement connu pour être devenu le parfait Superman collabore avec l’espion russe du KGB Armie Hammer et ce duo est de très bon gout, comme pour Sherlock avec Robert downey Jr et Jude Law en notre Watson on sent qu’ils ont du beaucoup s’amuser et prendre leur pied ça se ressent à l’écran. De plus un détail que j’ai particulièrement aimé c’est la faille de notre espion Russe qui en proie à ses pulsions de violences, ré entend dans ses moment des passages difficiles de son passé qui sont censés l’amener à déchaîner sa colère qu’il doit bien évidement canaliser. Alicia Vykander elle, est l’atout charme du film est de plus est, une excellente actrice tous trois on vu leur début de carrière décoller il y a quelques années et sont donc tous trois ici de la nouvelle génération ce qui fait plaisir à voir. Le seul rapprochement que l’on peut faire avec Sherlock c’est le retour de Jared Harris qui jouait Moriarty pour le film qui n’apparait là que de vagues minutes pour un petit rôle ainsi que notre Hugh Grant international.. En ennemi je vous laisse la surprise je peux juste vous dire que si vous connaissez le casting, l’acteur ou l’actrice a un rôle secondaire dans Gatsby le magnifique.

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Quand le film s’égare s’est souvent dans le ton qu’il essaie de prendre qu’il a du mal à trouver par moment et les scènes les plus percutantes sont souvent celles non parlées car la scène se suffit à elle même tant elle est forte, elle est souvent d’ailleurs remplacée par une musique de ses années là bien trouvée et qui sont pour moi des scènes ou j’ai réellement prit un pur plaisir j’avais là une scène d’une intensité parfaite mais surtout telle que je l’a voulais. J’en citerai rapidement 2 pour ne citer qu’elles, la scène du bateau, et la scène ou l’un de nos agents se fait torturer sur fond de musique. Les dialogues des fois un peu trop poussifs ne prennent des fois malheureusement pas, c’est déja un ressentit que j’avais eu avec le 2e Sherlock Holmes par moment on s’y perdait.

Il y a également une scène de fin dont chaque plan était pour moi un régal je vous l’explique rapidement, un des agents sent le danger venir du moins son visage nous prévient d’un danger potentiel, la caméra va ainsi faire un gros plan sur ce « potentiel danger » qui en est bien un, la caméra revient sur notre agent, on y voit sa main se saisir d’une arme, puis elle revient sur l’ennemi se jetant sur lui et ainsi de suite la scène est découpée, agressive, efficace pour moi un régal.

Avec un espion Russe brillament interprété par un Armie Hammer au sommet de sa forme qui nous livre une prestation classe, drôle, d’un agent qui perd très vite ses moyens face à un Henry Calvill tout dans la sobriété et élégance, pour moi l’espion russe l’emporte mais le duo se vaut notre rôle féminin n’en est pas moins l’atout séduction (mais pas que) du film. Comme pour chaqu’un de ses films Guy Ritchie nous livre cette fois  le classique film d’espionnage qu’il reprend de manière très personnelle et avec toujours le répondant qui est le sien, tout ce qui fait un bon film du genre est dans ce film, un film avec beaucoup de charme qui actuellement a subi un gros flop aux USA vraiment pas mérité face à toutes les bouses qui ont du succès aujourd’hui. Guy Ritchie décidément vous m’épaterez toujours, en espérant une suite j’ai envie de dire n’oubliez pas de clôturer la trilogie des Sherlock dont on aurait grandement envie de voir l’épisode 3 pointer le bout de son nez tant c’est du bon. Allez voir ce film, un divertissement de très bonne qualité.

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Bande annonce Le livre de la Jungle par Jon Favreau

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Le-Livre-de-la-Jungle-Affiche-2016-375x500Les aventures de Mowgli, un petit homme élevé dans la jungle par une famille de loups. Mais Mowgli n’est plus le bienvenu dans la jungle depuis que le redoutable tigre Shere Khan, qui porte les cicatrices des hommes, promet d’éliminer celui qu’il considère comme une menace. Poussé à abandonner le seul foyer qu’il ait jamais connu, Mowgli se lance dans un voyage captivant, à la découverte de soi, guidé par son mentor la panthère Bagheera et l’ours Baloo. Sur le chemin, Mowgli rencontre des créatures comme Kaa, un pyton à la voix séduisante et au regard hypnotique et le Roi Louie, qui tente de contraindre Mowgli à lui révéler le secret de la fleur rouge et insaisissable : le feu. https://www.youtube.com/watch?v=e2KdGmU6nRY

Avengers l’ère d’ultron

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1743630-affiche-du-film-avengers-l-ere-950x0-1 Alors que Tony Stark tente de relancer un programme de maintien de la paix jusque-là suspendu, les choses tournent mal et les super-héros Iron Man, Captain America, Thor, Hulk, Black Widow et Hawkeye vont devoir à nouveau unir leurs forces pour combattre le plus puissant de leurs adversaires : le terrible Ultron, un être technologique terrifiant qui s’est juré d’éradiquer l’espèce humaine.
Afin d’empêcher celui-ci d’accomplir ses sombres desseins, des alliances inattendues se scellent, les entraînant dans une incroyable aventure et une haletante course contre le temps…

Après la folie furieuse que fût la joie de découvrir le 1er Avengers et l’équipe comme on l’a connait, un rêve devenu réalité, il fallait que cet épisode frappe fort.
L’équipe ayant été présenté on ne s’étale plus et on se concentre sur leurs actions, leurs missions, et pour le coup le film commence sur les chapeaux de roues et nous saisit dès son début.

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Le film a sa part de nouveautée avec les jumeaux, Vision et Ultron et là est bien le raffraichissement. Même si je dois reconnaître avoir été déçu par Ultron, l’idée qu’il ne soit réellement qu’une conscience m’a réellement plu mais cela ne remplace pas Loki que je trouvais plus.. humain, peut être ça qui m’a manqué son arrogance, son insolence.
Dans cet Avengers à par le fait de savoir qu’Ultron pouvait être partout, évoluer et tout connaître de l’équipe je n’ai pas ressenti la puissance qui émanait du personnage et c’est réellement ce qui m’a manqué, avec cet ennemi j’assistai à des combats déja vu mais j’aimais de lui son élocution, son côté très shakespearien, son envie de grandeur.
Là ou est la grosse surprise c’est en ces 2 jumeaux Quicksilver et La sorcière rouge, énorme coup de coeur pour le personnage d’Elizabeth Olsen qu’elle incarne divinement. Ces scènes a elle sont divines, et on sent par contre une torture et une réelle puissance émanant de ce personnage.

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Les scènes de passé, cauchemars pour d’autres qu’elle inflige aux avengers sont pour moi des passages de pur jouissance pour moi permettant d’explorer des personnages encore trop mystérieux comme la veuve noire toujours joué pour la divine Scarlett Johansson qui fait chavirer mon coeur à chaque scènes x).
Les moments de pauses sont également les bienvenus même si trop peu présents encore à mon goût. Oeil de faucon incarné pour Jeremie Renner nous révèle une phase de sa vie et de sa personnalité qu’on ignorait et qu’il est bon de voir. Et la love story du film entre Hulk (Mark Ruffalo) et notre Veuve noir a plutôt très bien fonctionné chez moi et a permit de beaux moments.

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Certains personnages comme Le baron, ou Quicksilver ont été un peu et malheureusement expédiés, et pour parler de Vision, il promet de belles choses dans le futur et perso j’adore son look, le pers en lui même alors réellement conquit.
En 2h20 Joss Whedon déja aux commandes du 1er film montre encore son talent pour ce genre de grands divertissements qu’il produit brillament avec des plans caméras ingénieux et qui partent dans tous les sens pouvant nous faire découvrir des scènes sous bien différents angles. Avengers l’ère d’Ultron a des similitudes fortes évidentes avec son 1er et n’est pas aussi sombre que ce dont j’espérais avec un revirement total comme a pu l’être Captain America le soldat d’hiver et donc en moi une promesse d’un total changement, qui ne peut qu’être au final être une déception mais en est pour autant une vraie et belle réussite et un plaisir des yeux évident gardant ses moments d’humour dans le ton, qui avait fait le succès du 1er. Vivement la suite!.

Marvel's Avengers: Age Of Ultron..Elizabeth Olsen (Scarlet Witch/Wanda Maximoff), Director Joss Whedon, and Jeremy Renner (Hawkeye) on set...Ph: Jay Maidment..?Marvel 2015