Date de sortie 04/05/2016
Durée (01:38:00)
Titre original Krampus
Genre Comedie, Horreur
Avec Adam Scott, Toni Collette, Allison Tolman, David Koechner, Emjay Anthony, Stefania LaVie Owen, Queenie Samuel
Réalisé...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Date de sortie 26/11/2025
Durée(02:25)
Titre original Wake Up Dead Man: A Knives Out Mystery
Genre Policier
Avec Daniel Craig, Josh O'Connor, Glenn Close, Josh Brolin, Mila Kunis,...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Date de sortie 04/05/2016
Durée (01:38:00)
Titre original Krampus
Genre Comedie, Horreur
Avec Adam Scott, Toni Collette, Allison Tolman, David Koechner, Emjay Anthony, Stefania LaVie Owen, Queenie Samuel
Réalisé...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Date de sortie 26/11/2025
Durée(02:25)
Titre original Wake Up Dead Man: A Knives Out Mystery
Genre Policier
Avec Daniel Craig, Josh O'Connor, Glenn Close, Josh Brolin, Mila Kunis,...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef)
Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori
Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré
Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films
comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky
sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les
oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .
29 septembre 2021 / Drame, Historique
De Marc Dugain
Avec Joséphine Japy, Olivier Gourmet, Valérie Bonneton
Felix Grandet règne en maître dans sa modeste maison de Saumur où sa femme et sa fille Eugénie, mènent une existence sans distraction. D’une avarice extraordinaire, il ne voit pas d’un bon œil les beaux partis qui se pressent pour demander la main de sa fille.
Candyman
29 septembre 2021 / Epouvante-horreur
De Nia DaCosta
Avec Yahya Abdul-Mateen II, Teyonah Parris, Nathan Stewart-Jarrett
D’aussi loin qu’ils s’en souviennent, les habitants de Cabrini Green, une des cités les plus insalubres en plein cœur de Chicago, ont toujours été terrorisés par une effroyable histoire de fantôme, passant de bouche à oreille, où il est question d’un tueur tout droit sorti de l’enfer…
Cette musique ne joue pour personne
29 septembre 2021 / Comédie, Romance
De Samuel Benchetrit
Avec François Damiens, Ramzy Bedia, Vanessa Paradis
Dans une ville portuaire, des êtres isolés, habitués à la violence, vont soudain voir leurs vies bouleversées par le théâtre, la poésie et l’art. Et leurs quotidiens, transformés par l’amour…
Les Intranquilles
29 septembre 2021 / Drame
De Joachim Lafosse
Avec Leïla Bekhti, Damien Bonnard, Gabriel Merz Chammah
Leila et Damien s’aiment profondément. Malgré sa fragilité, il tente de poursuivre sa vie avec elle sachant qu’il ne pourra peut-être jamais lui offrir ce qu’elle désire.
After Love
29 septembre 2021 / Drame
De Aleem Khan
Avec Joanna Scanlan, Nathalie Richard, Nasser Memarzia
Situé dans la ville côtière de Douvres au sud de l’Angleterre, After Love suit Mary Hussain, qui, après le décès inattendu de son mari, découvre qu’il cachait un secret à seulement 34km de l’autre côté de la Manche, à Calais.
Guermantes
29 septembre 2021 / Comédie
De Christophe Honoré
Paris, été 2020. Une troupe répète une pièce d’après Marcel Proust. Quand on lui annonce soudain que le spectacle est annulé, elle choisit de continuer à jouer malgré tout, pour la beauté, la douceur et le plaisir de rester ensemble.
Flag Day
29 septembre 2021 / Biopic, Drame, Thriller
De Sean Penn
Avec Sean Penn, Dylan Penn, Josh Brolin
John Vogel était un personnage hors norme. Enfant, sa fille Jennifer s’émerveillait de son magnétisme et de sa capacité à faire de la vie une grande aventure. Mais elle va découvrir sa vie secrète de braqueur de banques et faussaire.
Les Animaux anonymes
29 septembre 2021 / Fantastique, Thriller
De Baptiste Rouveure
Avec Thierry Marcos, Pauline Guilpain, Aurélien Chilarski
Le rapport de force entre l’homme et l’animal a changé. Dans une campagne reculée, toute rencontre avec le dominant peut devenir hostile.
Date de sortie 26/05/2004 Durée Au cinéma (02h04) Titre original The Day After Tomorrow Réalisé par Roland Emmerich Avec Dennis Quaid , Jake Gyllenhaal , Emmy Rossum , Dash Mihok , Jay O. Sanders , Sela Ward … Genre Action, Catastrophe Nationalité États-Unis Musique Harald Kloser
Il est déjà trop tard
Synopsis
Le climatologue Jack Hall avait prédit l’arrivée d’un autre âge de glace, mais n’avait jamais pensé que cela se produirait de son vivant.Un changement climatique imprévu et violent à l’échelle mondiale entraîne à travers toute la planète de gigantesques ravages : inondations, grêle, tornades et températures d’une magnitude inédite. Jack a peu de temps pour convaincre le Président des Etats-Unis d’évacuer le pays pour sauver des millions de personnes en danger, dont son fils Sam.A New York où la température est inférieure à – 20° C, Jack entreprend une périlleuse course contre la montre pour sauver son fils.
En terme de films catastrophe Roland Emmerich, est un habitué souvent dans la destruction à grande échelle. Il n’y a qu’à voir 2012, qui est probablement l’un de ses pires films, bien que ce ne soit pas au niveau de la destruction que c’est le plus gênant. Independence Day déjà 25 ans reste l’un de ses plus mémorable avec Stargate, qui a d’ailleurs inspiré des séries télé par la suite. Même Indépendance Day a connu une suite, qui n’aurait jamais du voir le jour tellement c’est mauvais une bouillie visuelle qu’il faudrait mieux oublier. En 2004 sort un long-métrage, qui se classe dans les meilleurs « le jour d’après« , ou le monde fait face à une nouvelle ère glaciaire. Un climatologue tente d’alerter, le gouvernement du danger, mais il est déjà trop tard. Le film est évidemment, visuellement impressionnant, avec des plans saisissants. Si ce film de Roland Emmerich est important, c’est que ce dernier alerte sur le changement climatique, mais aussi, on n’y voit que le gouvernement tient plus à l’économie de son pays qu’à la survie, de l’être humain. Le film n’est certes pas parfait, mais il est bien plus qu’un simple divertissement.
Jack Hall est un climatologue, il travaille avec ses deux collègues pour effectuer un forage dans les calottes glaciaires de l’Antarctique. Un incident se produit lorsque la glace se brise, ou tout leur matériel s’engouffre dans la brèche, le plus grave est que tout ceci, est dû à la fonte des glaces extrêmement précoce. C’est lors d’une conférence à New-Dehi que Jack alerte, sur le réchauffement climatique, car il y a urgence. Cependant, le vice-président américain ne veut rien entendre, car il y aurait des enjeux économiques. Lors de la conférence Jack fait la rencontre de l’océanographe Terry Rapson qui travaille, dans un centre en Écosse, les théories de ce dernier se rapproche de celle de Jack. Mais très vite tout s’accélère, et les catastrophes naturelles s’enchaîne dont trois cyclones qui ravagent Los-Angeles, toutes ces catastrophes sont les prémices d’une toute nouvelle ère glaciaire. Tous ces phénomènes on précipité l’humain, dans une ère glaciaire dont personne n’était préparé, quel sont ceux qui pourront survivre ? Le jour d’après alerter déjà, sur le réchauffement climatique. Car à l’époque de la sortie du film, on pouvait encore faire quelque chose, tandis que maintenant les chances s’amenuisent. Roland Emmerich a toujours était critiqué, dans son cinéma ô combien divertissant, mais cela n’empêche qu’il signe parfois des œuvres médiocre. Cependant le jour d’après, fait partie de ses films à retenir. Il aborde des thèmes importants, comme évidement les enjeux politiques, la paternité ou encore les conséquences climatiques dont l’humain en est la cause en partie.
Roland Emmerich livre une mise en scène spectaculaire, avec des plans qui en mettent plein la vue comme le réalisateur a l’habitude de le faire. Dans son scénario, Roland Emmerich s’associe avec Jeff Nachmanoff, ils adaptent le livre The Coming Global Superstorm de Art Bell et Whitley Stierber, ou il maîtrise très bien le sujet. Le traitement des personnages est bien intéressant, plus qu’on ne pourrait le croire. Jack a un fils, un étudiant Sam qui est à New-York et ce dernier est amoureux de l’une de ses camarades. Son père fera tout pour aller sauvé son fils, prisonnier des glaces sous la bibliothèque. Ce qui est aussi bien mis en avant, c’est quand Jake déclare qu’il y a urgence, mais que le vice-président, y voit surtout les enjeux économiques, comme dans la réalité. Rien qu’avec ça le personnage du vice-président, est peu appréciable, car c’est toujours l’intérêt économique qui l’intéresse plus que l’urgence climatique. On n’en voudra pas cependant à Roland Emmerich, de vouloir surtout offrir du spectacle, car c’est ce qu’il fait de mieux. Le film est d’ailleurs encore plus d’actualité aujourd’hui, plus que jamais. Dennis Quaid interprète Jack Hall, Sela Ward joue Lucy la femme de Jack qui travaille dans un hôpital, elle s’occupe d’enfants malades. Jake Gyllenhaal joue Sam, le comédien ici en est encore a ses débuts. Également a l’affiche Ian Holm, Emmy Rossum et Dash Mihok. Le film aura déjà 20 ans en 2024, le jour d’après que l’on veuille ou non, reste un œuvre de Roland Emmerich d’actualité sur de nombreux points, mais c’est évidemment surtout une œuvre de divertissement.
Date de sortie 22/09/2021 Au cinéma Durée (02h19) Titre original Stillwater Réalisé par Tom McCarthy Avec Matt Damon , Abigail Breslin , Camille Cottin , Lilou Siauvaud , Deanna Dunagan … Genre Drame, Policier Nationalité États-Unis Musique Mychael Danna
Un père a Marseille
Synopsis
Un foreur de pétrole débarque à Marseille du fin fond de l’Oklahoma, pour soutenir sa fille qu’il connait à peine mais qui purge une peine de prison, accusée d’un crime qu’elle nie avoir commis. Confronté au barrage de la langue, aux différences culturelles et à un système juridique complexe, Bill met un point d’honneur à innocenter sa fille. Au cours de ce cheminement intime, il va se lier d’amitié avec une jeune femme du coin et sa petite fille tout en développant une conscience élargie de son appartenance au monde.
Après un détour chez Disney avec Timmy Failure, Tom McCarthy, qui avait été multi-oscarisé avec Spotlight, revient cette année chez Universal avec Stillwater, avec Matt Damon et Camille Cottin. Un duo assez inattendu, mais qui pourtant fonctionne parfaitement. Le film se situe à Marseille, avec seulement quelque courtes séquences en Oklahoma, en début de film et en fin de film. Mais la plus grande partie du film se déroule donc a Marseille, ou un homme tente de faire libérer sa fille qui est en prison, pour un crime qu’elle n’a soi-disant pas commis. Vendu comme un film d’action, il n’en est rien, c’est un film plutôt intimiste au final, et vraiment touchant ou la relation père/fille est très bien mise en avant. Abigail Breslin a fait bien du chemin depuis Signes, de M.Night Shyamalan elle est bluffante dans ce nouveau rôle. Stillwater évite bien les clichés, et étonne dans sa mise en scène, car Tom McCarthy, il faut dire à le don de vraiment captivé dans ses longs-métrages. Stillwater est un film, aux nombreuses qualités dont il serait dommage de passer à côté.
Bill Baker est un Américain, il vit à Stillwater une petite ville dans l’Oklahoma, il est sans emploi, mais trouve des petits boulots de temps en temps. Il a une fille qui est a Marseille, mais cette dernière est en prison pour quelques années accusée d’un crime qu’elle nie avoir commis. Son père vient la voir de temps en temps quelques semaines, pour lui rendre visite et loge dans un hôtel. Quand il retourne a Marseille, dans l’hôtel, il fait la rencontre de Virginie qui a une petite fille Maya. Cette dernière loge a l’hôtel, en attendant que son appartement soit prêt. Puis en parlant avec elle, Bill lui raconte que sa fille est en prison et elle décide de lui apporter son aide. Sa fille est accusé d’un meurtre, celui d’une jeune fille qui n’était autre que sa petite amie, et fut poignardé là ou elle résidait. Allison, la fille de Bill, nie avoir commis ce meurtre, et un jeune homme du nom d’Akim serait l’un des suspects. Bill sûr, que sa fille est innocente, se lance à la recherche de cet Akim. Pour rester le plus longtemps possible auprès de sa fille, Bill trouve un travail sur Marseille, et se rapproche de Virginie et sa fille et viens habiter chez elle. Au début, il est simple colocataire de Virginie, Bill et elle deviendrons alors bien plus proche. Mais quand un soir, il retrouve Akim, en sortant d’un match avec Maya, il kidnappe le jeune homme, pour tiré l’affaire au clair, mais cela ne sera pas sans conséquences. C’est une mise en scène exemplaire, que nous offre Tom McCarthy dans son long-métrage, il arrive à captiver le spectateur comme pour Spotlight.
Bill et Allison, ont toujours eu des rapports tendus, elle sait comment est son père et elle sait qu’il est incapable de lui venir en aide. En pensant lui venir en aide, il mentira et se lancera à la recherche de cet Akim dans une ville qu’il ne connaît pas. Cette relation père/fille est admirablement écrit, on voit les difficultés qu’ils ont a communiquer. Tom McCarthy, Thomas Bidegain et Noé Debré sont à l’écriture du scénario, et ils décrivent tout cela très bien. Matt Damonest la parfaite caricature de l’Américain, ce qui est fait exprès et son évolution au cours du film est importante. Il établit une relation avec Virginie cette comédienne, et devient comme un père pour Maya la fille de Virginie. Tout ce qu’il a pu rater avec sa fille, il le fait avec Maya. L’Américain qu’était Bill s’efface peu à peu, mais même s’il vit heureux avec Virginie et Maya, il n’oublie pas que sa fille est en prison. C’est vraiment le traitement des personnages, qu’il faudra retenir de ce long-métrage, avec un développement intéressant. Le côté thriller est peu présent, ce sont vraiment les rapports humains qui sont mise en avant. Matt Damon livre une étonnante prestation, sans oublier Camille Cottin qui s’en sort très bien. Abigail Breslin continue de nous étonner, dans chacune de ses prestations et la jeune Lilou Siauvaud qui interprète Maya est touchante. Stillwater arrive à émouvoir, dans de nombreuses scènes puis on ne peut qu’être attaché a ces personnages tellement bien écrit. Puis une fois de plus Tom McCarthy, livre une brillante réalisation.
Date de sortie 10/09/2021 Sur Netflix (01h46) Titre original Kate Réalisé par Cedric Nicolas-Troyan Avec Mary Elizabeth Winstead , Miku Martineau , Woody Harrelson , Tadanobu Asano , Michiel Huisman , Jun Kunimura , Miyavi , Amelia Crouch , Ava Caryofyllis , Kayuza Tanabe Genre Action, Thriller Nationalité États-Unis Musique Nathan Barr
Quand Mary Elizabeth Winstead joue les Jon Wick, mais c’est moins bien
Synopsis
Après avoir été irrémédiablement empoisonnée, une redoutable agent a moins de 24 heures pour se venger de ses ennemis – et noue, par la même occasion, une relation inattendue avec la fille de l’une de ses anciennes victimes.
Les John Wick au féminin, sont à la mode surtout depuis Atomic Blonde, après tout pourquoi pas. Cet été Bloody Milkshake sortait au cinéma, et franchement, ce n’était pas mauvais. Depuis peu sur Netflixcette fois-ci, c’est Kate avec Mary Elizabeth Winstead, qu’on ne se lasse pas de voir. Dans Kate, elle tient le rôle principal, devant la caméra du réalisateur français Cédric Nicolas-Troyan, qui juste avant avait réalisé : le chasseur et la reine des glaces. Kate n’est que son deuxième long-métrage, pour une sortie sur Netflix. Rien de bien original, car ce n’est plus ni plus, ni moins qu’une histoire de vengeance. Le point fort du film, restera la photographie, qui donne un ton plus fun et puis quelques scènes de baston qui s’en sortent bien. Que vaut dans l’ensemble, le film de Cedric Nicolas-Troyan?
Kate est une tueuse à gage, elle a été élevée depuis son plus jeune âge par Varrick, quand les parents de cette dernière sont morts. Varrick fut comme une sorte de père, pour Kate, il a enseigné à la jeune femme a tué, et à devenir l’une des meilleures tueuses à gage. Jamais elle n’a raté une cible, ce qui prouve qu’elle est la meilleure. Un jour, elle a pour mission, d’assassiné un des membres d’une puissante triade. Elle assassine l’homme sous les yeux, de sa propre fille, puis Kate culpabilise. Alors qu’elle fait part à Varrick de son souhait d’arrêter, pour vivre une vie normale, elle doit finir la mission en atteignant encore quelques cibles. Après une soirée a l’hôtel, avec un homme qui est en relation avec l’une de ses cibles, elle se rend sur le toit pour exécuter la cible suivante. C’est alors que Kate se sent mal, et pour la première fois elle rate sa cible qui s’enfuit. En essayant de le rattraper en voiture, elle-même est poursuivie par la police, puis elle est victime d’un accident et transporter à l’hôpital. À son réveil, le médecin lui annonce une bien mauvaise nouvelle, car il ne lui reste que peu de temps à vivre. La jeune femme a été empoisonnée par une substance radioactive, et lui ne reste quelques heures à vivre seulement. Son but est désormais de se venger, en trouvant tout ceux impliqué dans sa future mort, pour remonter au chef Kijima celui qui a ordonné qu’on la tue. Elle embarque avec elle Ani, la nièce de Kijima, elle ignore que Kate est celle qui a exécuté son père. Kate n’a désormais, plus rien à perdre et ne reculera devant rien.
Si vous cherchez de l’originalité dans Kate, ce n’est pas ici que vous en trouverez. Ce qui séduit tout d’abord dans Kate, c’est la photographie plutôt réussi, avec des couleurs fluo qui donnent un côté fun au long-métrage. Il y a des combats efficaces, avec de belles giclées de sang, car oui, c’est violent et brutal et la comédienne donne le meilleur d’elle-même. Cédric Nicolas-Troyanlivre une réalisation simple, sans grande surprise ça reste certainement divertissant, mais ça manque d’audace. Le scénariste n’a pas beaucoup d’expérience, et cela se voit Umair Aleem n’en est qu’a son deuxième film en tant que scénariste. Il ne fait que que utiliser, ce qui a déjà était fait dans le genre comme : une jeune fille orpheline, entraînée pour être une tueuse. En gros, ce sont toujours les mêmes ficelles utilisées, c’était à peu près ça dans Bloody Milkshake et quelques autres. Quelques flash-back, nous montrerons son passé durant le film. Film prévisible, dans son ensemble, dû a une écriture fainéante de son scénariste trop peu expérimenté. Dans le genre, tout a été fait, donc on n’a rien de bien original. Mary Elizabeth Winsteads’en sort vraiment bien, c’est un atout. Woody Harrelson joue Varrick, très peu a l’écran au final. Miku Patricia Martineau, qui joue Ani, est insupportable qu’il est difficile d’avoir de l’empathie. La musique de Nathan Barr, est plutôt sympathique avec des scores survitaminés. Pour son dernier film Cédric Nicolas-Troyan, ne fais pas dans l’originalité malgré les quelques qualités, Kate ne reste qu’un film divertissant rien de plus.
Date de sortie 29 juillet 1997 Durée 1h23 Titre original Kôkaku kidôtai De Mamoru Oshii Avec les voix de Tania Torrens, Daniel Berreta, René Beriard, Pierre Hatet, Gilles Tamiz, Pascal Rewick … Genre Animation, science-fiction, fantastique … Nationalité : Japon Musique Kenji kawai
Le chef-d’oeuvre de l’animation japonais
Synopsis
Dans un Japon futuriste régi par l’Internet, le major Motoko Kusunagi, une femme cyborg ultra-perfectionnée, est hantée par des interrogations ontologiques. Elle appartient, malgré elle, à une cyber-police musclée dotée de moyens quasi-illimités pour lutter contre le crime informatique.
Le jour où sa section retrouve la trace du ‘Puppet Master’, un hacker mystérieux et légendaire dont l’identité reste totalement inconnue, la jeune femme se met en tète de pénétrer le corps de celui-ci et d’en analyser le ghost (élément indéfinissable de la conscience, apparenté à l’âme) dans l’espoir d’y trouver les réponses à ses propres questions existentielles…
Difficile d’y croire, mais pourtant à sa sortie Ghost in the Shell est un véritable échec. C’est à sa sortie en vidéo, que le film deviendra réellement culte et sera reconnu, comme l’un des films d’animation japonais les plus novateurs. Pour revenir à la genèse, de ce projet, il faut savoir que c’est une adaptation d’un manga à succès. Ce manga, on le doit à Masamune Shirow, l’adaptation cinéma est sortie en 1995, quand en France, il a fallu attendre 1997. Deux ans donc pour qu’il arrive sur notre territoire, et il est considéré également chez nous comme culte. Ghost in The Shell est un film d’animation, qui aura inspiré des cinéastes. Des cinéastes tel que James Cameron, mais surtout les Wachowski qui s’en sont inspiré pour Matrix, il est d’ailleurs facile de voir comment ils s’en inspirent. La sortie du blu-ray, en 2017 a eu le droit a une remasterisation, ce qui lui vaut une qualité en haute définition. Il eut aussi une adaptation Live de Rupert Sanders, avec Scarlett Johansson dont on n’aurait pu se passer. Malgré son échec au cinéma, quoi qu’il en soit maintenant Ghost in the Shell, est une référence du genre.
Nous sommes en 2029, un cyborg, le major Motoko Kusanagi est la fierté de la section 9, qui est une unité anti-terroriste du gouvernement. La sécurité de la ville New Port City, se retrouve face à un ennemi qu’ils ne peuvent voir le Puppet-Master. Il s’agit d’un hacker, qui a la possibilité de piraté les ghosts des cyborgs, en piratant, il peut les manipuler à sa guise et il peut leur ordonner de tuer qui il désire. Très malin, il y parviendra, en s’infiltrant dans l’informatique de la section 9, et il prendra le contrôle d’un cyborg. Motoko et Batou les deux agents de la section 9 sont chargé, avec l’aide d’autres agents de neutraliser le Puppet-Master, mais la mission s’avère plus compliqué que prévu. En effet, la section 9 doit faire face, a l’unité de la section 6 qui enquête aussi sur le Puppet-Master, ainsi une guerre s’engage entre les deux unités afin de neutraliser l’ennemi, qui élabore un mystérieux projet 2501. Afin de connaître, ce qui se prépare Motoko devra pénétrer le corps de l’autre cyborg pour analyser le ghost. Complexe mais ingénieux, Ghost in the Shell, est un film d’animation fascinant à tous les niveaux. Tout d’abord, l’animation est d’une beauté a coupé le souffle, il y a un travail dessus qui est d’une maîtrise incroyable. On a même parfois même du contemplatif, qui donne encore plus de beauté, a ce film d’animation. Le futur est représenté de façon vraiment intéressante, c’est un univers purement cyberpunk et c’est vraiment agréable.
Si le film séduit, dans la qualité de son animation, il séduit aussi dans l’écriture. Elle reste complexe, mais passionnante, chaque séquence a son importance. On a une intrigue politique, mais aussi, il y a évidemment l’intelligence artificielle, qui est mise en avant qu’on voit à travers Motoko puisque elle est un cyborg ultra perfectionné. Le film pose des questions sur la valeur humaine, d’une intelligence artificielle. La conscience, l’âme tout ça est important, une intelligence artificielle est-elle capable d’évolué d’elle-même ? C’est évidemment le piratage, qui prend une place au sein de l’histoire le danger qu’il représente pour les cyborgs, mais aussi pour les humains. Le scénario est de Kazunori Itō, qui est l’adaptation du manga. Mais il arrive à maîtriser les thèmes, les plus importants en s’intéressant également de près a ses personnages comme Motoko. Car même si cette dernière est un cyborg, elle se pose des questions sur elle-même, elle se contente de suivre les ordres de la section 9, mais ensuite qu’est-elle vraiment ? Elle est proche de Batou qui est son collègue, mais un ami surtout tous deux sont des cyborgs donc ils se comprennent. C’est un développement vraiment très intéressant, des personnages et auquel on s’attache. En 2012 Ghost in the Shell, a connu une nouvelle version, par son réalisateur. Le film est le même, mais il a fait des rajouts 3D et changer quelques détails même a la musique, cette version s’appelle Ghost in the Shell 2.0. Une version a évité, il vaut mieux rester sur la première version du réalisateur, qui est beaucoup mieux. Pour ce qui est de la direction artistique, on la doit a Hiromasa Ogura, qui s’est inspiré de la ville de Hong-Kong ainsi que la citadelle de Kowloon.Ghost in the Shell inspire encore aujourd’hui, ce qui en fait un film d’animation, unique en son genre.
Bigger Than Us
22 septembre 2021 / Documentaire
De Flore Vasseur
Depuis 6 ans, Melati, 18 ans combat la pollution plastique qui ravage son pays l’Indonésie. Comme elle, une génération se lève pour réparer le monde.
Tout s’est bien passé
22 septembre 2021 / Comédie, Comédie dramatique, Drame
De François Ozon
Avec Sophie Marceau, André Dussollier, Géraldine Pailhas
Emmanuèle, romancière épanouie dans sa vie privée et professionnelle, se précipite à l’hôpital, son père André vient de faire un AVC. Fantasque, aimant passionnément la vie mais diminué, il demande à sa fille de l’aider à en finir.
Le Sommet des Dieux
22 septembre 2021 / Aventure, Animation, Drame
De Patrick Imbert
Avec Lazare Herson-Macarel, Eric Herson-Macarel, François Dunoyer
A Katmandou, le reporter japonais Fukamachi croit reconnaître Habu Jôji, cet alpiniste que l’on pensait disparu depuis des années. Il semble tenir entre ses mains un appareil photo qui pourrait changer l’histoire de l’alpinisme.
Stillwater
22 septembre 2021 / Drame, Thriller
De Tom McCarthy
Avec Matt Damon, Camille Cottin, Abigail Breslin
STILLWATER met en scène un foreur de pétrole, interprété par Matt Damon, qui débarque à Marseille du fin fond de l’Oklahoma, pour soutenir sa fille qu’il connait à peine mais qui purge une peine de prison, accusée d’un crime qu’elle nie avoir commis.
La Voix d’Aida
22 septembre 2021 / Drame, Historique, Guerre
De Jasmila Žbanić
Avec Jasna Đuričić, Izudin Bajrovic, Boris Ler
Srebrenica, juillet 1995. Modeste professeure d’anglais, Aida vient d’être réquisitionnée comme interprète auprès des Casques Bleus, stationnés aux abords de la ville. Leur camp est débordé : les habitants viennent y chercher refuge par milliers, terrorisés par l’arrivée imminente de l’armée serbe.
Je m’appelle Bagdad
22 septembre 2021 / Drame
De Caru Alves de Souza
Avec Grace Orsato, Helena Luz, Karina Buhr
Bagdad est une skateuse de 17 ans qui vit à Freguesia do Ó, un quartier populaire de la ville de São Paulo, au Brésil. Bagdad skate avec un groupe d’amis masculins et passe beaucoup de temps avec sa famille et avec les amis de sa mère.
La Troisième guerre
22 septembre 2021 / Drame
De Giovanni Aloi
Avec Anthony Bajon, Karim Leklou, Leïla Bekhti
Léo vient juste de terminer ses classes à l’armée et pour sa première affectation, il écope d’une mission Sentinelle. Le voilà arpentant les rues de la capitale, sans rien à faire sinon rester à l’affût d’une éventuelle menace…
Notre Père
22 septembre 2021 / Drame
De Franck Llopis
Avec Alexia Sanchis, Cyrielle Conche, Marguerite Schneider
A Paris, un comédien célèbre disparaît, du jour au lendemain. Une de ses filles, proche de lui, alerte ses trois autres sœurs, habitant la province, et leur demande de venir à Paris pour l’aider à le retrouver…
Date de sortie 15/09/2021 Au cinéma Durée(02h35) Titre original Dune Réalisé par Denis Villeneuve Avec Timothée Chalamet , Rebecca Ferguson , Oscar Isaac , Josh Brolin , Zendaya , Stellan Skarsgård , Dave Bautista , Sharon Duncan-Brewster , Stephen McKinley Henderson , Chang Chen , David Dastmalchian , Charlotte Rampling , Jason Momoa , Javier Bardem … Genre Science-fiction, Aventure Nationalité États-Unis Musique Hans Zimmer
Trois rédacteurs du Coin des critiques ciné ont tenu a écrire quelque chose, sur Dune de Denis Villeneuve.
Synopsis
En l’an 10191, la substance la plus importante est l’Épice. Elle ne se trouve que sur une seule planète, Arakis, connue aussi sous le nom de Dune. La famille Atréide vient à gouverner cette planète mais son ennemi, la dynastie des Harkonnen lui tend un piège dès son arrivée. Paul, le fils du Duc Leto Atréide se réfugie alors dans le désert avec sa mère et y rencontre les Fremens, peuple caché dans le désert attendant l’arrivée d’un Messie…
L’avis d’Orel
On l’attendait ce nouveau film de Denis Villeneuve, surtout qu’il s’agit là de transposer une œuvre culte sur grand écran. Cela a d’ailleurs déjà été fait, mais cette version de Denis Villeneuve, valait bien le coup d’œil. Depuis Blade Runner 2049, qui était déjà un défi, pour le réalisateur, il se lance dans un véritable challenge. D’ailleurs c’est encore plus difficile, car c’est une toute nouvelle adaptation de Dune. À l’affiche un sacré casting, comme Timothée Chalamet, Rebecca Ferguson, Oscar Isaac ou encore Zendaya. Un space-opéra attendu de pied ferme par les fans du livre de Frank Herbert, mais aussi par les fans de Denis Villeneuve. Nous sommes en 10 191, le jeune Paul Atréides fait des rêves, qui sont des prémices d’un avenir et il s’en inquiète. La planète Arakis est gouvernée, par la famille Atréides, mais bientôt, ils seront attaqués par leurs ennemis de la dynastie Harkonnen. Denis Villeneuve a toujours été soigneux en ce qui concerne, l’aspect visuel de ses films, c’était le cas aussi dans Blade Runner 2049. Avec Dune il fait encore mieux, le directeur de la photographie Greig Frazer livre un travail monumental. Dune est un film en plusieurs parties, et une fois cette première partie achevée, on veut rapidement découvrir la suite, mais ce n’est pas pour maintenant.
La planète Arakis en 10 191, est gouvernée par la famille Atréides et dont le fils Paul sera l’héritier de la famille. Sur cette planète, se trouve l’épice une substance qu’on ne trouve qu’ici, et elle est tellement convoité. Mais le Baron Harkonnen ennemi de la famille Atréides prépare un plan, afin de décimer cette famille qui gouverne la planète. Puis le Baron Harkonnen et ses hommes commencent à attaquer en pleine nuit, la famille Atréides. Les hommes de la famille Atréides livrent un combat contre les ennemis, une lutte qui sera sans merci. Le père de Paul « Luc Leto » est fait prisonnier, par le Baron Harkonnen. Paul et sa mère fuient la demeure, mais la menace n’est jamais bien loin. Ils traversent le désert, afin de rejoindre le peuple Fremens caché dans le désert. Le père de Paul capturé chez lui, par le Baron s’apprête à mourir par l’ennemi qui n’a aucune pitié. Cependant, les capacités de Paul prennent de l’ampleur, et ses rêves semblent se réaliser, il voit souvent cette fille, mais qui est-elle ? Le jeune homme doit affronter son propre destin, ou la survie de la planète Arakis en dépend. Dune est tout simplement magnifique visuellement, c’est indéniable il y a des plans à tomber par terre. C’est très contemplatif par moments, et on ne s’en lasse pas. Pour ce qui est de la mise en scène, Denis Villeneuve n’a rien perdu. Chaque chose qu’il nous offre à travers sa caméra est passionnante, et il met très bien ses personnages en valeur. L’univers de Dune est large, et le réalisateur nous en fait profiter au maximum et nous en sommes qu’à la première partie, car tout est loin d’être dit. Le meilleur est à venir.
Nouvelle adaptation de l’œuvre de Frank Herbert, Jon Spaihts est l’un des scénaristes, il a déjà signé les scénarios de Prometheus ou encore Doctor Strange. Eric Roth et Denis Villeneuve sont également a l’écriture, le traitement des personnages est important, surtout concernant Paul. C’est un jeune homme, qui se retrouve face à un destin, qui se prépare à travers des rêves. L’attaque des Harkonnen rappelle des sujets d’actualité concernant, la guerre et ceux qui fuient pour y échapper. Puis Paul est souvent face à la mort, il perd des êtres chers durant son périple et doit endurer toutes ces épreuves coûte que coûte, sa mère Lady Jessica vit avec la douleur aussi des êtres perdus. Cette femme aussi forte soi-elle, doit être aux côtés de son fils, qui doit affronter son destin ce qui l’aidera à s’affirmer. Un élément important du film est l’épice, cette substance rare, que beaucoup de monde veut s’approprier. Cette dernière possède de nombreuses qualités, car ce n’est pas pour rien que le Baron déclare cette guerre qui est une extermination. Paul et sa mère sont mort, comme semble le croire le Baron, mais le jeune homme devra l’affronter dans un futur proche. Timothée Chalamet livre une fois de plus, une très bonne prestation dans le rôle de Paul. Rebecca Ferguson joue la mère de Paul. Egalement a l’affiche Javier Bardem, Josh Brolin, Zendaya et Oscar Isaac, sans oublier le rôle de l’ignoble baron interprété par Stellan Skasgard, puis l’ami de Paul : Duncan est joué par Jason Momoa. Que retenir de Dune au final ? Tout car l’univers est tellement riche, et la musique de Hans Zimmer appuie encore plus l’aspect émotionnelle. Des comédiens tellement investi, dans leur personnage et on n’a qu’une envie maintenant, c’est de voir la suite, mais ça, c’est une autre histoire.
L’avis de Lionel
Si il y a bien une œuvre littéraire qui aura fascinés bon nombre de lecteurs et de passionnés de science fiction, c’est bel et bien l’œuvre phare de Franck Herbert publié en 1969, Dune. Réputés pour être là bible de la science fiction, Dune est une œuvre assurément riche, complexe, aux enjeux politiques et écologique fort le tout au service d’un univers gigantesque et d’un récit initiatique qui aura également marqué un certain George Lucas pour sa saga Star Wars (entre autres). Évidemment il n’aura pas fallu longtemps avant que Hollywood cherche à s’accaparer les droits d’un tel monument pour l’adapter au cinéma, et ce fut une croisade semée d’embûches qui serait bien trop long à résumer ici.
Le plus important à savoir c’est que Alejandro Jodorowsky à tenter de monter un projet monstrueux en rassemblant différents artistes (notamment David O’ Bannon et H.R Giger, les papas de Alien) mais qui n’aura jamais abouti à cause d’un budget trop conséquent pour l’époque. Ensuite ce fut le tour à David Lynch de livré la première adaptation à voir le jour sur grand écran, malheureusement, c’est un film que Lynch reniera lui-même, à cause d’une production écrasante et d’un Dino de Laurentis un peu trop sur son dos lors du processus créatif, en résulte donc un film malade, écorchant le récit de Franck Herbert mais qui reste avec le recul un film tout à fait honorable à l’identité visuelle indéniable ou la patte de son réalisateur reste malgré tout un atout majeur. Il eu ensuite une série télévisée mais mes connaissances sur le sujet étant limitées je vais pas m’avancer sur ses qualités ou défauts.
En résumé, Dune fut pendant très longtemps un projet maudit à Hollywood, ou de nombreux artistes pourtant talentueux s’y sont cassés les dents… jusqu’à l’arrivé d’un certains Denis Villeneuve. Réalisateur québécois provenant du cinéma indépendant à moindre budget, c’est fait révélé par le grand public avec Prisoners, un thriller sombre et torturé avec Jake Gyllenhall et Hugh Jackman. Il eu ensuite Enemy, un film extrêmement déviant qui n’aura pas convaincu tout le monde mais qui révèle avant tout les parties pris narratif audacieux du réalisateur. Il fait ainsi ses premiers pas dans la science fiction avec le bouleversant Premier Contact et fort de se premier essai, revient près d’un ans plus tard avec Blade Runner 2049 qui n’est autre que la suite du chef-d’œuvre incontesté de Ridley Scott. C’est donc durant la promotion de ce dernier que Denis Villeneuve va lâcher la bombe… il à carte blanche pour réaliser son adaptation de Dune en 2 parties et espère également lancé tout un univers étendue, une nouvelle qui n’aura pas manquer de faire débat, mais qui reste totalement riche de promesses tant l’ambition du cinéaste québécois est des plus enthousiasmante !
Le 15 Septembre 2021, après 2 reports à cause du Covid 19, le Dune de Denis Villeneuve sort enfin, et le résultat final, est sans appel… Dune à enfin une adaptation à la hauteur de ses ambitions. Ce qui frappe d’entrée de jeu avec Dune, c’est que au-delà d’être une adaptation assez proches des écrits de Franck Herbert, c’est avant tout un pur film de Denis Villeneuve. Lent, contemplatif, poser, aux décors architectural imposant et au ton glacial. Une approche qui tranche littéralement avec la norme des blockbusters d’aujourd’hui et qui ne plaira pas non plus aux détracteurs du réalisateur québécois, mais qui à le mérite d’être une véritable proposition de cinéma. Villeneuve prend son temps pour planter le décor, raconter son histoire, introduire ses différents protagonistes et mettre en place ses enjeux politiques et écologique.
Car oui Dune, au-delà d’être un Space opéra épique, c’est une fable complexe sur la colonisation et les récoltes des ressources indispensable comme l’épice, qui permet une infinité de bien fondé comme le voyage spatiale (entre autres) mais à aussi des vertus dont seuls le peuple Fremen à le secret. Villeneuve se permet donc de réactualiser une œuvre déjà en avance sur son temps qui dénoncer déjà les imposante coopération qui exploite les ressources jusqu’à l’épuisement. Mais Villeneuve nous invitent tout de même à un voyage à la fois visuelle et sensoriel où on y suit le destin de Paul Attreides, qui devra percé les mystères de Arakis, apprendre à devenir un homme et embrasse sa destinée de Messi. Le monde que dépeint Villeneuve est tout simplement ahurissant de beauté et de fatalité, faisant de Arakis quasi un personnage à part entière de l’œuvre. Accentuer par la partition expérimental de Hans Zimmer, Denis Villeneuve dépeint Arakis comme un lieu inhospitalier, en colère, comme ci la planète chercher à nous ensevelir sous son sable pour nous y broyer.
Dune part One (oui c’est le titre officiel) est une œuvre baroque, envoûtante, mystique et effrayante qui ne tombe jamais dans la facilité ou ne glisse une scène d’action gratuite pour le plaisir du spectateur avide de sensations, il faudra néanmoins attendre la partie 2 pour pouvoir juger l’entièreté de l’œuvre étant donné que c’est le souhait du réalisateur. Et pour cela il n’y a qu’un moyen pour que cette partie 2 soit une réalité… il faut aller voir Dune, qui s’impose indéniablement comme le projet cinématographique le plus important de ses 15 dernières années !
L’avis de Nicolas
Voir Arrakis à l’écran est un rêve éternel du lecteur de l’œuvre fleuve d’Herbert que je suis. Voir Villeneuve s’en emparer ne pouvait que m’intéresser.
Dune 1ère partie est un film fragile qui n’est pas toujours juste mais qui se permet tout de même d’ouvrir une porte à la fois dans le cinéma de son auteur et dans le paysage science-fictionnel actuel au cinéma.
Ce n’est ni un classique (c’est trop tôt pour le dire) ni un chef d’œuvre mais indéniablement un beau film qui s’imprègne très bien de la sève du roman pour ensuite construire son propre chemin. C’est un film faussement froid qui ramène l’émotion là où on ne l’attend pas.
Par exemple un seul plan, Leto dénudé face au Baron Vladimir Harkonnen, la figure paternelle et royale est humiliée dans un plan terrifiant où il ne reste que les bruits de bouche d’un véritable ogre de conte.
Il y a aussi Paul, très bien interprété par Chalamet qui est un jeune homme en proie au doute et terrifié par son destin. Un être hanté par les images d’un futur trouble qui ne peut pas le mener sur une voie équilibrée. La peur d’une Guerre Sainte, d’une fin ensanglantée.
Et il y a Jessica, personnage moins ambivalent que dans le roman mais pourtant si touchant. Lors de la séquence de la boîte on quitte les cris de souffrance de Paul pour aussi comprendre ceux d’une mère qui ne peut pas agir. Même peur du destin et du futur.
Une nouvelle vision d’un monde fascinant est là, espérons que celle-ci pourra être terminée d’une belle façon car le principal problème du film est l’existence de la pièce manquante qu’est la future partie 2.
Dans tous les cas, malgré les défauts qui sont observables, Dune est une belle œuvre, pas un chef-d’œuvre, pas un grand film, mais un film prenant qui provoque le sourire et murit dans l’esprit !
Date de sortie 20 septembre en VOD (Condor distribution) Durée 1h32 Avec Nick Robinson, Margaret Qualley, Greg Kinnear, Brian Cox, Amy Ryan, Connor Jessup, Blythe Danner … Titre original Strange but true Nationalité Etats-Unis Genre Thriller, Drame
La jeune femme enceinte
Synopsis
Ronnie a tout du jeune homme parfait : il est séduisant, issu d’une famille aisée, et il s’apprête à rejoindre une prestigieuse université. Mais par-dessus tout, il accompagne la fille la plus en vue du Lycée, Mélissa, au bal de fin d’année. Seulement ce soir-là, l’inimaginable se produit. 5 ans plus tard, alors que la famille de Ronnie se remet à peine de sa mort, Mélissa se présente à leur domicile, enceinte de plusieurs mois. Ce qu’elle leur annonce dépasse l’entendement : Ronnie serait le père de l’enfant.
Rowan Athale est un cinéaste britannique, avec un film a son actif, avant Virgin Secrets, il avait signé aussi cette année le scénario du film Braquage Final. Le réalisateur signe son second long-métrage, en tant que réalisateur avec Virgin Secrets, un film sorti en 2019 aux Etats-Unis, mais ne sera distribué chez nous que cette année par Condor distribution. Rowan Athale pour ce deuxième long-métrage, signe un thriller avec Margaret Qualley, Nick Robinson ou encore Greg Kinnear. Le film raconte l’histoire d’une famille en deuil depuis cinq ans, quand leur fils aîné est mort, dans accident de voiture. Mais quand la petite amie de ce dernier reviens cinq ans plus tard, et dit être enceinte de leur fils elle fait basculé l’équilibre fragile de cette famille. Le film suit cette famille, qui ne se remet pas de ce drame, tandis que cette jeune femme est persuadée d’être enceinte de leur fils aîné. Comment est-ce possible ? C’est en tout cas la question, que l’on se pose tout le long du film. Ce bébé qu’elle porte est-il vraiment de Ronnie le défunt fils ?
Il y a cinq ans, Ronnie est décédé, dans un accident de voiture, juste après le bal de promo. Lui et son frère avaient le projet de s’installer a New-York, dans un appartement afin de poursuivre leurs études. Ronnie vivait une histoire d’amour avec la jolie Mélissa, et tous les deux étaient fou amoureux. Mais les cinq années passées, après sa mort hantent encore la famille, Richard, le père a quitté sa famille, et déménager ailleurs et s’est marié avec une femme plus jeune. Toujours médecin, il garde encore contact avec son fils, mais peu avec son ex-femme. C’est alors qu’un jour Mélissa frappe à la porte de chez Charlène la mère de Ronnie et son frère Philip, ce dernier c’est blessé après un accident de vélo. La jeune femme annonce qu’elle est enceinte, de 39 semaines et que le bébé est de Ronnie. Charlène refuse de la croire et la fiche dehors, tandis que Philip pense qu’elle dit la vérité.
En se renseignant, à la bibliothèque ou elle travaillait Charlène découvre que son fils, avant sa mort aurait pu congeler son sperme, mais elle a du mal à y croire. Mélissa vit dans un cottage qu’elle loue, ses voisins a quelques mètres d’elle, Bill et Gail, s’occupe d ‘elle comme si elle était leur petite fille. Elle travaille aussi, dans la boutique ou travail Bill. Intrigué par la grossesse de Mélissa, Philip décide d’aller a la rencontre d’un ancien ami de son frère, mais obtient peu d’informations. Il rencontre même une voyante qu’avait vue Mélissa, mais aura peu de renseignements également. Richard revient dans la région, afin de voir ce qui se passe, et pour voir Philip son fils. Pendant ce temps Gail la femme de Bill, fait une découverte terrifiante sur son mari. C’est alors que le fils de Richard et Charlène, se retrouve rapidement en danger. Virgin Secrets expose son mystère, en présentant une jeune femme qui annonce être enceinte du jeune homme, avec qui elle est sortie il y a cinq ans. On se pose de nombreuses questions, sur le pourquoi du comment. La mise en scène reste vraiment bien maîtrisé, le réalisateur Rowan Athale instaure un climat assez angoissant dans son long-métrage. La fin est vraiment imprévisible, et la découverte du responsable de la grossesse de Mélissa, est quelque chose à laquelle nous n’étions pas prêts. Virgin Secrets a beau être un film a petit budget, il reste néanmoins un thriller très efficace.
Le scénario est une adaptation du livre John Searles, et c’est Eric Garcia qui est en charge de l’écriture du scénario du film. Il signe une écriture, à laquelle il maîtrise chaque détail. Le réalisateur entretien le mystère jusqu’au bout, et le final ne peut être que surprenant. Le traitement des personnages est aussi très intéressant, ou l’on observe attentivement cette famille en deuil depuis cinq ans, et qui s’en remet que très difficilement. Le père a quitté la région, et s’est remarié et vit désormais en Floride. La difficulté de surmonter un deuil, et le thème abordé et la venue de Mélissa va perturber l’équilibre fragile. La mère en veut à son ex-mari, ce qui est normal, mais elle a du mal a communiquer avec Philip son fils. Au final, Mélissa ne connaîtra jamais, la vérité sur ce qui l’a mis réellement enceinte, mais Charlène et Richard feront s’ils comme étaient les grands-parents. Eux-mêmes, connaissent-ils la vérité ? Est-ce que cet enfant, pourra refermer les blessures de cette famille ? Concernant Mélissa, connaîtra-t-elle un jour la vérité ? Finalement, de nombreuses questions se posent, et même celle-là : comment prendre les choses, quand elle se présente ainsi ? Les dernières minutes du film, sont pleines de tension. On a peur pour chacun des personnages, auquel au final, on s’attache. Virgin Secrets est un thriller, qui mérite enfin une sortie en France en VOD, mais aussi en version physique une découverte dont il ne faut pas passer à côté.
Bande annonce
Détails du blu-ray
Rapport de forme : 2.35:1
Classé : Accord parental souhaité
Réalisateur : Rowan Athale
Format : Couleur, Cinémascope
Durée : 1 heure et 36 minutes
Date de sortie : 20 septembre 2021
Acteurs : Nick Robinson, Amy Ryan, Greg Kinnear, Brian Cox, Margaret Qualley
Doublé : : Anglais, Français
Sous-titres : : Français
Langue : Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS-HD 5.1)
Studio : Condor Entertainment
Bonus
Entretien avec Rowan Athale le réalisateur
Entretien avec Fred Berger le producteur
Date de sortie 30/03/1999 Au cinéma Durée (02h16) Titre original The Matrix Réalisé par Lilly Wachowski et Lana Wachowski Avec Keanu Reeves , Laurence Fishburne , Carrie-Anne Moss , Hugo Weaving , Joe Pantoliano … Genre Science-fiction Nationalité États-Unis Musique Don Davis
La guerre du futur, dans la matrice
Synopsis
Programmeur anonyme dans un service administratif le jour, Thomas Anderson devient Neo la nuit venue. Sous ce pseudonyme, il est l’un des pirates les plus recherchés du cyber-espace. À cheval entre deux mondes, Neo est assailli par d’étranges songes et des messages cryptés provenant d’un certain Morpheus. Celui-ci l’exhorte à aller au-delà des apparences et à trouver la réponse à la question qui hante constamment ses pensées : qu’est-ce que la Matrice ? Nul ne le sait, et aucun homme n’est encore parvenu à en percer les défenses. Mais Morpheus est persuadé que Neo est l’Élu, le libérateur mythique de l’humanité annoncé selon la prophétie. Ensemble, ils se lancent dans une lutte sans retour contre la Matrice et ses terribles agents…
Matrix : Une révolution cinématographique ?
Plus de vingt ans après sa sortie, le film Matrix continue de fasciné alors que le quatrième opus verra le jour en fin d’année, qu’en est-il aujourd’hui de ce premier film ? Est-il hissé au Panthéon, des plus grands films de science-fiction ? Sortie en 1999 Matrix fut un événement cinématographique, et pour plusieurs raisons à l’origine de ses films des visionnaires : les sœurs Wachowski, qui à l’époque était encore Andy et Larry Wachowski. Visionnaire pour quelle raison ? Parce qu’avec Matrix, elles ont su réinventer un cinéma de science-fiction, mais qu’est-ce que la matrice ? C’est bien la question qui est poser au début du film, puis Néo est-il réellement l’élu comme semble le croire Morpheus. Si Matrix est une révolution cinématographique, c’est pour plusieurs raisons, tout d’abord les nombreuses qualités techniques, les chorographies de combat, mais aussi les thèmes aborder.
Thomas Anderson est : Néo
Thomas Anderson est un homme, menant une double vie, c’est un programmeur dans un service administratif, pour son patron, il n’est qu’un employé refusant de se plier aux ordres. La nuit Thomas est tout autre chose, puisqu’il est un pirate informatique, sous le pseudonyme de Néo. C’est alors qu’un soir on le contact sur son ordinateur, ou on lui dit que des personnes sont à sa recherche et qu’il doit suivre le lapin blanc (si cela vous dit quelque chose, c’est normal.). Quand on frappe à sa porte et qu’un groupe se présente devant lui, ils l’invitent à passer la soirée avec eux. S’il accepte l’invitation c’est que la fille du groupe, porte le tatouage d’un lapin blanc. C’est lors de cette soirée, qu’il fait la rencontre de Trinity. Cette belle jeune femme quelques heures auparavant, fut confronté, a l’agent Smith et lui a échapper de peu. Trinity parle à Thomas de Morpheus, qui souhaite le rencontrer, car il est persuadé que ce dernier est l’élu. Mais pour rencontrer ce Morpheus, Thomas devra se débarrasser des agents qui sont à ses trousses, mais malgré tout, il se fera attraper. Une fois entre leurs mains, Smith lui introduira un mouchard dans le corps. À son réveil, il sera chez lui, puis Trinity rentrera une fois de plus en contact, avec lui et fera connaissance enfin avec Morpheus.
Bienvenue dans la matrice
Quand Thomas, alias Néo fait la rencontre de Morpheus, ce dernier lui propose de prendre une pilule rouge ou une pilule bleue. S’il choisit la pilule bleue, alors il restera dans le monde tel qu’il est qui est un monde factice, et ou il se conforte depuis bien longtemps. Tandis que la piluge rouge, lui fera découvrir le vrai monde, qui est un monde en ruines ou les machines ont prit le contrôle. Neo choisit la pilule rouge, et vit sa renaissance. Il découvre alors, un monde qu’il ne connaissait pas, un monde détruit par les machines, elles ont pris le contrôle. Les machines tiennent en esclavage les humains, Morpheus et son équipe à bord de son vaisseau scrute ce qui reste de ce monde. À bord de ce vaisseau, ils peuvent se connecter à la matrice, un monde virtuel ou tout peut arriver et c’est là que Néo doit faire ses preuves. Dans ce monde qui n’est pas réel, il y a nombre incalculable de possibilité et c’est dans ce monde que Neo doit décupler ses pouvoirs. Dans un premier temps, il affrontera l’agent Smith, avec l’équipage du vaisseau tandis que l’un d’eux les trahira. Peu à peu Néo s’affirmera, et montrera qu’il est vraiment l’élu.
L’Univers de Matrix
Le film a plus de vingt ans, mais ne vieillit pas, surtout qu’il aborde des thèmes d’actualité comme par exemple l’intelligence artificielle, et dans le cas du film elle ont prit le contrôle de notre monde. Les sentinelles sont les machines qui sillonnent ce qui reste du monde, pour intercepter les survivants de ce monde en ruines. Matrix donne une nouvelle dimension, au film de science-fiction. La mise en scène offre des grands moments, ou le spectacle est à la hauteur. Les humains face aux machines, dans une guerre dont seuls les humains sont les responsables, car ce sont eux, qui les ont conçues. Par qui la guerre a était déclaré ? Même Morpheus l’ignore. Pour ce qui est du lapin blanc, les Wachowski s’inspirent d’Alice aux pays des merveilles, et dans ce cas Néo est Alice. Le lapin blanc n’est certes pas réel, il n’est que représenté par un tatouage. Mais si l’on est attentif, le lapin est bien plus représenté qu’on ne le pense. Quand Néo rencontre l’Oracle, a la télévision, on y voit des lapins ce qui veux probablement dire que Néo cherche encore le chemin. Trinity et Néo commencent à se découvrir, elle tombe rapidement sous son charme, mais ce n’est que début, mais il est évident qu’un lien fort les unis. Les sœurs Wachowski avec Matrix, ouvre un univers large qui ne demande qu’à être largement explorer, car il y a d’innombrables possibilités. Le scénario est construit de manière intelligente, que ce soit le récit ou bien le traitement de ces personnages. Morpheus est représenté comme un père, celui qui montre a Néo la voie à suivre. Trinity est donc comme sa fille, et le reste de l’équipage ses fils tandis que Cypher s’égare et ira jusqu’à trahir son équipe. Puis il ne faut pas oublier que l’agent Smith, tient une place très importante dans ce récit, car il est l’un des ennemis juré de Néo.
Ce n’est que le commencement…
L’affrontement finale entre Néo et Smith est devenu culte, c’est une opposition entre deux êtres puissants. Smith sous-estime Néo, qui n’en est encore qu’à la découverte de ses capacités. Alors que Smith pense avoir remporté le combat, il n’en est rien puisqu’il reviendra grâce à Trinity ce qui revient à dire qu’un lien les unit vraiment. Le combat sera épique, nous laissant découvrir l’étendue des pouvoirs de Néo, et ce, dont il est capable. Keanu Reeves découvert grâce à Point Break, des années plus tôt, devient un nouveau personnage emblématique avec Néo, il est l’élu, il est une référence du cinéma. Laurence Fishburne est Morpheus, un personnage marquant aussi grâce a la saga. Carrie-Anne Moss est la magnifique Trinity, elle est bien plus que la complice de Néo. Hugo Weaving est l’agent Smith, un des méchants qui aura marqué le cinéma. On le retrouvera dans les suites, une prestance a chaque apparition un comédien talentueux. Matrix est seulement le deuxième film, des sœurs Wachowski et il y a déjà une telle maîtrise. Même si les films suivants (hors matrix) ne sont pas toujours des succès, visuellement il y a toujours quelque chose. Ce qui est sûr, c’est que Matrix a laissé une empreinte importante dans le genre science-fiction.
Dune
15 septembre 2021 / Drame, Science Fiction
De Denis Villeneuve
Avec Timothée Chalamet, Rebecca Ferguson, Oscar Isaac
L’histoire de Paul Atreides, voué à connaître un destin hors du commun qui le dépasse totalement. Car s’il veut préserver l’avenir de sa famille et de son peuple, il devra se rendre sur la planète la plus dangereuse de l’univers.
L’Origine Du Monde
15 septembre 2021 / Comédie
De Laurent Lafitte
Avec Laurent Lafitte, Karin Viard, Vincent Macaigne
Jean-Louis réalise en rentrant chez lui que son coeur s’est arrêté. Plus un seul battement dans sa poitrine, aucun pouls, rien. Pourtant, il est conscient, il parle, se déplace. Est-il encore vivant ? Est-il déjà mort ? Ni son ami vétérinaire Michel, ni sa femme Valérie ne trouvent d’explication à cet étrange phénomène.
La Proie d’une ombre
15 septembre 2021 / Fantastique, Epouvante-horreur, Thriller
De David Bruckner
Avec Rebecca Hall, Sarah Goldberg, Evan Jonigkeit
Déchirée par la mort brutale de son mari, Beth se retrouve seule dans la maison au bord du lac qu’il avait construite pour elle. Elle s’efforce de faire face, mais d’inexplicables cauchemars font leur apparition. Dans de troublantes visions, une présence insaisissable semble l’appeler…
Les Amours d’Anaïs
15 septembre 2021 / Comédie, Romance
De Charline Bourgeois-Tacquet
Avec Anaïs Demoustier, Valeria Bruni Tedeschi, Denis Podalydès
Anaïs a trente ans et pas assez d’argent. Elle a un amoureux qu’elle n’est plus sûre d’aimer. Elle rencontre Daniel, à qui tout de suite elle plaît. Mais Daniel vit avec Emilie… qui plaît aussi à Anaïs.
Pourris gâtés
15 septembre 2021 / Comédie
De Nicolas Cuche
Avec Gérard Jugnot, Camille Lou, Artus
Paresseux, capricieux, fêtards, les trois enfants de l’homme d’affaires Francis Bartek ne font rien de leur vie, à part dépenser l’argent que leur père a durement gagné. Lassé par leur comportement, celui-ci leur fait croire qu’ils sont totalement ruinés, les forçant ainsi à faire l’impensable: travailler !
Summertime
15 septembre 2021 / Comédie, Drame, Musical
De Carlos Lopez Estrada
Avec Tyris Winter, Marquesha Babers, Maia Mayor
Les vies de 25 jeunes habitants de Los Angeles s’entrecroisent pendant une chaude journée d’été.