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Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

Santa & Cie d’Alain Chabat [Critique de la rédaction]

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Date de sortie 6 décembre 2017 (1h 35min)
De Alain Chabat
Avec Alain Chabat, Golshifteh Farahani, Pio Marmai, Bruno Sanches, Louise Chabat, Audrey Tautou, David Marsais, Grégoire Ludig…
Genre Comédie
Nationalité Français
Musique Matthieu Gonet

Synopsis

Rien ne va plus à l’approche du réveillon : les 92 000 lutins chargés de fabriquer les cadeaux des enfants tombent tous malades en même temps ! C’est un coup dur pour Santa (Claus), plus connu sous le nom de Père Noël… il n’a pas le choix : il doit se rendre d’urgence sur Terre avec ses rennes pour chercher un remède. À son arrivée, il devra trouver des alliés pour l’aider à sauver la magie de Noël.

L’Avis de Pierre  sa note : 

Lorsqu’Alain Chabat signe son retour en tant que réalisateur au cinéma, c’est forcément un événement, qui l’est d’autant plus lorsqu’il signe aussi les dialogues. L’esprit de génie derrière Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre nous offre en ce Noël un conte qui plaira aussi bien aux petits qu’aux grands, sans pour autant sombrer dans les facilités du genre.

A l’approche de Noël, où le Père-Noël se prépare à arpenter le monde entier pour distribuer des cadeaux aux enfants, un terrible événement s’abat sur les milliers de petits lutins préparant les paquets. Une grippe qui va obliger Santa à s’immiscer parmi les humains afin de trouver de la Vitamine C, et sauver Noël d’une véritable catastrophe. Sur son chemin semé d’embûches, il va néanmoins faire la rencontre d’humains qui vont l’aider dans cette tâche, mais aussi découvrir de véritables enfants.

Santa & Cie, c’est typiquement le genre de film doté d’une bande-annonce qui fait tout de même un peu peur. Avant tout basée sur des gags sortis de leur contexte et pas vraiment drôles, on ne peut pas dire qu’elle donne franchement envie de pousser les portes des salles de cinéma et de découvrir cette comédie française. Mais oubliez tout ce que vous avez vu du film jusqu’à présent, libérez-vous de vos œillères, et préparez-vous à découvrir un film rafraîchissant, certes pas exempt de défauts, mais qui mérite pour autant qu’on s’y attarde.

Alain Chabat ose tout, des jeux de mots aux gags faciles, mais ses talents d’écriture, qu’on n’avait pas revus depuis Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, sont de retour, tout comme une pointe d’improvisation qui permet à plusieurs personnes de se révéler. Difficile de savoir si c’est de l’impro voulue, mais elle est en tout cas suffisamment authentique pour régulièrement renouveler l’intérêt du spectateur.

On pense notamment à Golshifteh Farahani et Pio Marmai, qui incarne un couple plus vrai que nature, doté de deux adorables enfants. C’est cette famille qui va tenter d’aider Santa dans sa quête pour la Vitamine C, avec des événements drôles qui viennent s’incorporer parfaitement à des séquences plus dramatiques.

C’est le leitmotiv de Santa & Cie : il ne s’agit pas que d’un joli conte de Noël avec une belle morale à la fin, non. C’est aussi un bon moyen de poser des questions sur la finalité d’un couple, la place des enfants, tout en incorporant un zeste d’humour avec un talent que seul Alain Chabat peut avoir.

Santa & Cie, c’est avant tout un joli cadeau, sans doute un peu enfantin par moment – son interprète principal en est encore un, finalement – mais qui ne va pas jamais trop loin dans la lourdeur. On y ajoute la réinvention du mythe du Père-Noël rouge, et la reprise de certains préceptes chers aux fêtes de fin d’année, et vous avez un melting-pot coloré et bon enfant, saupoudré de caméos aussi drôles qu’inattendus.

Santa & Cie est plus qu’un simple conte de Noël qu’on savourerait en plein après-midi sur M6 ou TF1. C’est une histoire pleine de tendresse qui sait faire beaucoup rire avec ses gags bien dosés, mais aussi toucher le cœur de ses spectateurs. A une époque où toutes les comédies françaises se ressemblent, et où il faut choquer pour tenter d’exister, Alain Chabat montre l’exemple. Sans révolutionner un genre, certes, mais fallait-il qu’il le fasse ?

L’Avis de Nicolas sa note: 

Critique en trois questions

Un conte de Noël sous influence ?

C’est l’époque forcément : les salles de cinéma nous proposent des contes de Noël depuis la nuit des temps, depuis que Noël est Noël, bien avant que Coca-Cola ne s’approprie le mythe. Santa & Cie, sorti le jour de la Saint-Nicolas, s’en est-il inspiré ? J’ai trouvé que ce film restait dans l’esprit de « Charlie et la Chocolaterie », avec ce côté enfants tout-puissants, ce monde à part peuplé de lutins-Umpa Lumpa tous identiques et cet esprit très enfantin.

L’inspiration d’Alain Chabat reste très outre-atlantique, puisque l’on retrouve aussi l’humour d’ « Elfe » (sorti en 2003) avec Will Ferrell. Quant à la trame générale, on ne peut que faire le lien avec « Miracle sur la 34ème rue » (2001) avec ce prétendu Père Noël qui se fait interner mais qui est défendu par un avocat persuadé de sa bonne foi… Alors, référence, hommage, plagiat ?

Retrouve-t-on la patte Chabat ?

Forcément, l’ancien Nul (à moins qu’ils ne soient éternels ?) a beau réutiliser des bonnes formules de films déjà existants, on se dit qu’il y insufflera toujours sa special touch. J’ai vu ce film en avant-première et c’est sur ce point qu’un spectateur déçu a interpelé le réalisateur : on est loin de Mission Cléopâtre ou de la Cité de la Peur (même si l’on retrouve furtivement l’affiche de Red is dead !). Si on va voir Santa & Cie avec ce genre d’esprit comparatif, on risque effectivement d’être déçu.

Pourtant, l’humour à la Serge Karamasov dont je raffole fait bien partie de la panoplie de notre Père Noël. Jeux de mots incessants, situations décalées, clins d’œil absurdes : tout est là. Certes, le rythme est moins enlevé que dans ces autres films, mais je pense que cela est dû au genre travaillé et au public familial visé.

Une comédie familiale ?

C’est une question qui revient souvent : est-ce un film à aller voir en famille ? C’est vrai que l’on peut regretter les grands films familiaux comme Retour vers le Futur ou les Goonies, ces œuvres qui plaisent aux petits comme aux grands, avec de vraies valeurs sans tomber dans le over-feel-good movie.

Santa & Cie est très visuel de par son univers féérique et ses scènes à effets spéciaux (entièrement conçus par des équipes françaises). Le scénario est très accessible, mais comporte plusieurs niveaux de lecture avec de nombreux personnages représentatifs d’une certaine société très actuelle. Même si le rapide « chat-bite » peut-être délicat à expliquer aux jeunes enfants, on peut vraiment se dire que ce conte de Noël plaira à tous.

Au final, en tant que fan d’Alain Chabat depuis bien longtemps, je n’ai pas du tout été déçu par cet exercice de style autour du conte de Noël. Un film aux nombreuses références américaines mais avec la griffe des Nuls qui peut se regarder en famille !

L’Avis d’Orel sa note: 

Il y’avait bien longtemps que ce cher Alain Chabat n’était pas revenu derrière la caméra et bien le voilà de retour dans un film aux airs de fêtes. Alain Chabat s’en donne les moyens, car visuellement le film est très beau on voit que Chabat à mis le budget pour que ce film fonctionne. Quelques vannes qu’on reconnaît, venant de Chabat l’esprit nul se ressent même lors de l’affiche de Red is dead lors d’une scène. Pourtant cet esprit Des Nuls se ressent  moins quand même que dans Mission Cleopâtre ou La cité de la peur, car le film est destiné à un large public. Il faut dire c’est un film très familiale et donc Chabat adapte son humour comme il faut pour que tout le monde y trouve son compte.

Nous sommes à quelques jours de noel, les lutins sont en plein travail. C’est alors le drame, tout les lutins tombent un par un malade et ne se réveillent plus. Pour revenir ils leurs faudra de la vitamine C, et ces vitamines ont les trouvent dans la ville. Le père noel entame alors un périple a Paris, où il est pris pour un fou. Il fait alors la rencontre d’une petite famille, qui verront qu’il est vraiment ce qu’il dit être. Le temps presse, car noel approche et il n’y aura pas de noel si les lutins ne reviennent pas. Alain Chabat s’éclate dans sa mise en scène, avec une grande féerie, c’est joyeux et on rit. Une comédie Française sur Noel, qui réussi à donner le sourire.

Un casting avec un Alain Chabat en père noel, avec un look qui lui va plutôt bien. Audrey Tautou éblouissante en mère noel, qui excelle dans cette comédie. On y voit également Pio Marmai, en père de famille, ou encore le duo du Palmashow qui reste tout de même plus drôle dans leurs sketchs mais qui nous font quand même rire.Pour conclure Santa & Cie, et le film parfait pour les fêtes ou Chabat émerveille et fait rire à voir dès maintenant en salle.

 

 

 

 

 

 

 

 

Bande annonce

Coffret Alfred Hitchcock: Les années Selznick par Orel & Liam

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Aujourd’hui Liam et moi nous vous parlons, pour vous de quatre films du grand Alfred Hitckock réuni dans un coffret. En effet Carlotta rassemble ici, les années Selznick avec quatre films du grand maître. Des films incontournables, avec Les Enchaînés, Rebecca, La maison du Dr Ewardes et Le Procès Paradine de quoi se régaler. Pour nos lecteurs, et notre plus grand plaisir nous avons vu ses films et nous vous en parlons, mais pas seulement de ça car ce coffert est accomapgné d’un magnifique livre. Bonne lecture…

Ce qu’en dit Liam…

Alfred Hitchcock et David O. Selznick étaient deux personnalités fortes du cinéma. Leurs visions, à leur position respective dans le milieu, ont permis de créer nombreux monuments du septième art. Il est donc évident que leur collaboration n’allait pas se dérouler sans échauffourées. Cette confrontation d’ego a donné lieu à 4 films assez particuliers que Carlotta a décidé d’aborder dans son nouveau coffret ultra collector.
Celui-ci contient 5 disques (Blu-Ray ou DVD selon votre choix) avec « Rebecca », « La maison du docteur Edwards », « Les enchaînés » et « Le cas Paradine », ainsi qu’un disque dédié uniquement à des suppléments, sans oublier le large livret qui accompagne le tout et permet de se faire une vision plus précise des quatre fruits qu’a donné la collaboration entre Hitchcock et Selznick.

Cette collaboration se ressent d’ailleurs lors du visionnage par le style qu’ils développent, où l’on sent la patte du réalisateur et du producteur dans une forme d’hétérogénéité assez fascinante. Le terme d’hétérogénéité convient d’ailleurs aux films au vu de la dichotomie qui s’opère entre certains personnages, séparés par une barrière souvent morale, et entre hommes et femmes. Cette division forte entre les êtres ne fait que les meurtrir plus et les confronter à leurs failles. Hitchcock arrive à filmer cette humanité blessée en les replaçant dans des contextes différents (la romance gothique, le thriller psychologique, le film d’espionnage, le récit de procès). Dedans, on tente de se substituer à une morte, on voit sa froideur fondre, on succombe à une femme au passé compliqué et l’on se met à rêver d’une image perfectionnée d’une autre. Nos héros et héroïnes sont dans cette recherche de plaire à l’être aimé, d’être au niveau de ses espérances afin de se compléter dans la relation. Tout est une occasion de se rapprocher, de chercher à s’épanouir par le biais d’un(e) autre qui symbolise la « perfection » sociale et l’épanouissement total. C’est sans doute ce qui explique la longévité du réalisateur anglais : aborder dans des contextes cinématographiques populaires des interrogations à la fois intimes et universelles avec une empathie forte.

Si l’on sent qu’Hitchcock a dû jouer avec la méthode de travail de Selznick, il reste incompréhensible de voir le dédain qu’il a eu pour ces 4 longs-métrages. Il se dégage de ceux-ci cette même force visuelle caractéristique au Hitch, cette même envie d’accompagner des héros normaux dans des situations extraordinaires et cette même volonté d’épater ses spectateurs. Revoir ces films, c’est se rappeler que l’on peut faire du cinéma populaire sans rabaisser son public dans une écriture mécanique souvent rouillée et ce malgré des moments de production à l’ambiance houleuse. Aussi bien Hitchcock que Selznick ont « profité » du travail l’un de l’autre pour offrir quelque chose d’assez original et toujours passionnant à regarder. L’aspect intemporel de ces films renforce la puissance de ceux-ci et l’impact prégnant qu’ils ont après leur visionnage.
Une nouvelle fois, Carlotta met les petits plats dans les grands avec cette édition ultra collector. La qualité de restauration des DVD qui nous ont été fournis est indéniable, aussi bien pour le visuel que pour le son. Le cinquième disque qui accompagne les quatre films est rempli de bonus en tous genres qui devraient ravir les passionnés du travail d’Hitchcock, permettant de gratter ses créations de sa période Selznick. Si l’on rajoute à cela le copieux livret constitué d’analyses, de retours sur les coulisses des longs-métrages ainsi qu’un lexique des objets et leur signification chez le metteur en scène de « Psychose », on ne peut que recommander cette superbe édition.

Avec Noël qui arrive à grand pas, ce coffret « Alfred Hitchcock, les années Selznick » est une belle proposition de cadeau pour tous les cinéphiles curieux cherchant à étancher leur soif de découverte cinématographique. Si la grande qualité des quatre longs-métrages proposés est déjà un argument imparable pour justifier son achat, les divers suppléments offerts appuient l’aspect indispensable d’une édition aussi passionnante que le maître du septième art qu’il aborde. Dans ce coffret, on retrouve Les Enchaînés, La maison du Dr Ewardes, Rebecca et le procès Paradine. Quatre films, qu’il est intéressant de découvrir, ou l’on distinguera parfaitement l’ambiance Hitckockienne.

Ce qu’en pense Orel

Un coffret qui tombe, a pique pour les fêtes de noel, on ne peut avoir plus beau cadeau pour un cinéphile. Ce coffret par Carlotta rassemble 4 films, produit par David.O.Selznick un producteur qui avait comme Hicthcock son style. Selznick a produit donc quatre films de Alfred Hitckock, qui sont des oeuvres intéressantes, dans la manière de traiter les sujets par exemple mais il y’a aussi les distinctions bien visible des deux cinéaste dans chacune des oeuvres. Ce n’est pas les quatre films, dont on parle le plus dans la carrière de Hitchcock, mais ils sont important. Ma préférénce de ce coffret ira à La maison du Dr Edwardes, ou l’on retrouve Gregory Peck et Ingrid Bergman, deux comédiens fétiche du réalisateur. Ils interprètent à l’écran, un couple touchant dont Ingrid Bergman fait tout pour aider cet homme, quelle aime même si elle ignore tout de lui.

En ce qui concerne Rebecca, il dispose d’un casting grandiose comme tout les films d’Hitchcock en même temps. Moins romantique, mais plus dans le thriller où une jeune femme se retrouve face, à une gouvernante qui n’a pas l’air de l’apprécier quand celle-ci vient vivre chez son mari. Une mise en scène, qui immerge vraiment le spectateur dans ce château aux souvenirs lugubres. L’ambiance fonctionne parfaitement, et Dame Judith Anderson est inquiétante, dans le rôle de la gouvernante Mme Danvers. Rebecca est l’adaptation du roman de Daphne Maurier publier en 1938, et fut adaptée par Alfred Hitchcock en 1947.

Avec Les Enchaînés, le grand Hitchcock, livre un film d’espionnage et romance. C’est une fois de plus que le réalisateur nous offre un grand film même si il ne s’agit pas du meilleur. A l’affiche on y voit Cary Grant et Ingrid Bergman, que Hitchcock à déjà dirigé dans La mort aux trousses pour Cary Grant par exemple, une grande figure du cinéma Américain de l’époque. Le film raconte l’histoire de Alicia une belle femme, fille d’un espion nazi qui pour se racheter auprès des Etats-Unis, accepte la proposition de Devlin ou elle devra épouser un ancien ami de son père afin d’avoir des informations.

Devlin et Alicia passe beaucoup de temps ensemble, et Alicia tombe rapidement sous le charme de Devlin, et lui sous le charme de cette dernière. Des sentiments naissent, mais ils n’osent s’avouer ce qu’ils ressentent l’un envers l’autre. Un amour qui est à risque, surtout quand son mari découvre qu’elle est là pour l’espionner. Pour Alexander Sebastian il faut l’éliminer, car elle s’avère être en danger et en sais beaucoup trop. Sous ses airs de film d’espionnage, les enchaînés est une romance avant tout et Hitchcock met tout ça parfaitement en scène. Le réalisateur n’en fais pas trop dans la romance, elle donne un ton très sincère au film en incluant cette histoire d’amour très touchante. On verra que dès la première rencontre, des deux protagonistes il tombe rapidement amoureux sans se l’avouer. Un film ou Hitchcock  séduit dans sa réalisation, mais aussi dans l’écriture qu’il écrit avec Ben Hecht, Clifford Odets et John Taintor Foote. Une écriture habilement maîtrisée, où l’évolution de nos personnages et parfaitement retranscrite. Grande maîtrise également dans le traitement des personnages, qui sont très convaincant dans l’histoire d’amour qu’il partage malgré le danger. Les Echaînés est un savoureux film, qui mélange espionnage et romance un film d’Hitchcock qui vaut le coup d’oeil.

Passons à présent Au Procès Paradine, ou une fois de plus Hitchcock dirige Gregory Peck que ce dernier avait dirigé Dans la maison du Dr Edwardes. Ici nous avons le moins peut-être le film, le moins intéressant du coffret mais pas mauvais pour autant. Nous suivons un avocat, du nom de Keane chargé de défendre Mme Paradine accusé du meurtre, de son mari l’avocat va tomber sous le charme de sa cliente. Cette dernière clame son innocence, et Keane la défend plutôt bien. Mais la jeune femme est-t’elle vraiment innocente comme elle le dit?

Mise en scène soignée, mais un rythme peut-être un peu trop lent, pas aussi captivant que les autres mais intéressant tout de même. Le coffret qui rassemble, les quatre films possède aussi un livre généreux nommé « La conquête de l’independance » ce livre contient des articles d’époque, mais aussi plus de 120 photos inédites. Chaque DVD possède quant à lui, des suppléments dont un spécial ne contenant que des bonus. Un coffret généreux, qui vous permettra de comprendre, le travail entre Hitchcock et Selznick, une collaboration houleuse qui n’est surtout que dû à leur égo. Mais tout ça à donné naissance, à ses quatre films, particulier. Aujour’d’hui Carlotta les éditent dans un coffert, ultra-collector en édition limité. C’est donc le moment d’aller, se le procurer de toute urgence.

Détails du produit

Acteurs : Laurence Olivier, Joan Fontaine, Charles Laughton, George Sanders, Gregory Peck
Réalisateurs : Alfred Hitchcock
Audio : Anglais, Français
Sous-titres : Français
Région : Région B/2 (Plus d’informations sur les formats DVD/Blu-ray.)
Rapport de forme : 1.37:1
Nombre de disques : 4
Studio : Carlotta Films
Date de sortie du DVD : 29 novembre 2017
Durée : 456 minutes

Suppléments

-Entretiens et analyses de Laurent Bouzereaun cinéaste et auteur de « Hitchcock : pièces à conviction » (HD) :
– « Obsédante absence » (20′)
– « Subliminal » (16′)
– « La clé du suspense » (14′)
– « Réminiscences » (16′)
« Hitchcock/Truffaut » : les quatre films décryptés par Hitchcock et Truffaut au cours de leurs célèbres entretiens, augmentés d’une postface inédite du réalisateur Nicolas Saada (HD – 34′ + 23′ + 30′ + 24′)
Screen tests de « Rebecca » : Margaret Sullavan, Vivien Leigh et Sir Laurence Olivier en plein essais pour les premiers rôles du film (HD – 9′)
« Hitchcock/Selznick » : entretien exclusif avec Daniel Selznick, fils de David O. Selznick, réalisé par Bertrand Tessier (HD – 23′)
« Monsieur Truffaut Meets Mr. Hitchcock » : la genèse d’un livre de légende et d’une relation singulière, avec les témoignages de Claude Chabrol, Laura Truffaut, Patricia Hitchcock et bien d’autres… réalisé par Robert Fischer (HD – 39′)
« Daphné Du Maurier sur les traces de Rebecca » : portrait de la romancière Daphné Du Maurier, réalisé par Elisabeth Aubert Schlumberger (HD – 57′)
« Home Movies » : Alfred Hitchcock comme vous ne l’aviez jamais vu, instants en famille ou sur les plateaux de tournage (HD – 36′)
Bandes-annonces (HD)

Mise à jour GTA Online: Le Braquage de la fin du monde

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La prochaine mise à jour arrivera le 12 décembre, cette mise à jour sera sans doute la plus originale de toutes. Entre les voitures volantes et le retour du Jet-pack, cette nouvelle mise à jour à tout pour plaire aux joueurs. En plus de nouveaux véhicules, les joueurs auront pour mission de sauver le monde, face à des ennemis redoutables. Donc durant les fêtes, vous saurez à quoi jouer.

De quoi parle cette nouvelle mise à jour?

Un magnat de l’informatique milliardaire, un agent de renseignement idéaliste, un adepte des théories du complot asocial et un superordinateur névrosé sont contraints de former une alliance improbable pour sauver San Andreas de la destruction totale. Alors que des ennemis non identifiés menacent de détruire le monde, vous et votre équipe de criminels êtes chargés de découvrir la vérité et d’éliminer les menaces qui pèsent sur les rues animées du centre-ville de Los Santos, l’océan et les profondeurs du Mont Chiliad, dans une nouvelle aventure en ligne exceptionnelle.

 

Glitch: Bilan de la saison 2 de la série Netflix

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Créée par Louise Fox, Tony Ayres (2015)
Avec Patrick Brammall, Genevieve O’Reilly, Emma Booth, Emily Barclay, Rodger Corser, Luke Arnold…
Nationalité Australienne
Genre Drame, Fantastique
Statut En cours
Format 55 minutes

Synopsis

James Hayes est un policier local qui enquête sur la réapparition soudaine de six personnes présumées mortes en pleine santé. Aidé par le docteur Elishia McKellar, il va devoir découvrir la vérité sur ce mystérieux incident.

 

L’année dernière nous découvrions la série Glitch. Une série fantastique à l’ambiance particulière. Cette série venue tout droit d’Australie n’a rien à envier aux séries Américaines car elle arrive très bien à imposer son style. Dans cette série il s’agit de mort revenant à la vie, ce ne sont pas des zombies mais simplement ce qu’ils étaient avant de perdre la vie. La fin de la première saison, nous avait laissé avec pas mal de questions en suspens dans cette nouvelle saison, certaines réponses aux questions nous sont données enfin. Mais de nouvelles questions ont fait leurs apparitions, et laisse présager une troisième saison et ça ne sera pas de refus. Dans cette nouvelle saison, des nouveaux personnages, mais aussi des morts encore mais qui ne reviendront pas forcément. Après une première saison, qui posait les bases et nous faisait découvrir une série intéressante, du coup que vaut cette seconde saison?

 

Si vous avez une bonne mémoire vous, vous souviendrez peut-être comment c’était terminé la première saison? On sait que déjà Sarah la femme de James a accouché d’une petite fille, mais cette dernière est morte durant l’accouchement et à retrouvé la vie. Un retour à la vie, qui l’a changé puisque elle est devenue un danger. On n’apprenait également que le Dr Elishia McKellar, était morte il y a quatre ans. C’est d’ailleurs avec ce premier épisode que nous apprendrons, comment, cette dernière est revenue à la vie. Nous apprendrons également comment, sont morts les personnages revenus à la vie. Dans cette nouvelle saison, un nouveau personnage fait son arrivée Owen Nillson, qui se rapproche de Kate mais nous sommes en droit de nous méfier de ce nouveau personnage surtout dans le dernier épisode. Dans l’ensemble cette nouvelle saison est moins bonne, mais la mise en scène domine encore ce qui fait beaucoup la qualité de la série. Si l’intèrêt baisse, c’est que maintenant que nous connaissons le plus important l’intrigue est moins importante mais reste intéressante quand même. En terme de qualité d’écriture, il y a quelques maladresses mais nous y reviendrons après. Pour  cette nouvelle saison seulement six épisodes, c’est court oui mais l’intrigue progresse rapidement , avec des épisodes qui dure pratiquement une heure quand même. Aucun des personnages ne manque à l’appel, on retrouve tout les personnages de la première saison qui sont face à un nouveau danger. En effet le petit groupe, qu’essaie de protéger James sont poursuivis par deux tueurs. Un des tueurs est Phil, le beau-père de Beau Cooper, ce dernier est mort sur la plate-forme et il est revenu à la vie sans que sa famille ne le sache. Il a pour mission de tué le Dr Elishia McKellar, puis les revenants. L’entreprise NoRegard est mêlée de prêt, a tout ce qui ce passe dans la petite ville, et James enquêtera auprès de l’entreprise pour en apprendre plus. De plus la frontière qui menacent de les tués, et entrain de se restreindre  leur laissant de moins en moins de liberté. Alors que James les protégés comme il pouvait, dans la première saison nous verrons qu’ici il à plus de mal. Entre Kirsty qui veut se venger, Kate qui veut prendre sa liberté ou Charlie sans cesse à la recherche de la vérité.

 

Tous cherchent des réponses, sur leur passé et les découvertes seront douloureuses. Revenons à l’écriture, de la série avec quelques maladresses avec des décisions des personnages un peu stupide. Sachant qu’il sont en danger, ils prennent des décisions un peu idiote en faisant confiance trop facilement aux étrangers. Des maladresses scénaristiques un peu gênante, surtout quand on sait dans quelle situation vivent les personnages. Cependant la série garde, ses qualités de mise en scène puis nous  retrouvons  avec joie les personnages comme James, Kate, Kirsty et Charlie. On en apprendra plus sur Fitzgerald, ou on saura tout ce qu’on doit savoir. Cette fin de saison, pose de nouvelles énigmes annonçant une troisième saison avec de nouveaux mystères. Malgré une saison 2, cette série Australienne reste très méconnu ce qui est dommage car elle gagne vraiment a avoir plus de reconnaissance. Une saison 2 plaisante, avec une nouvelle intrigue palpitante une série à suivre encore car le meilleur est peut-être à venir.

Bande annonce saison 2

En décembre sur Netflix

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Voici la liste des ajouts du mois de décembre, des films, des séries et aussi des documentaires. David Ayer avec son nouveau Bright, avec Will Smith ou l’acteur et le réalisateur tenteront de nous faire oublier le mauvais Suicide Squad. On attend aussi, quelques ajouts, pour noel avec des films à savoir que Bad Santa 2 est déjà disponible depuis le mois dernier. Et vu que les vacances seront bientôt là, les ajouts tombe bien pour que nous puissions rester bien au chaud devant notre télé sous la couverture.

Les films

The Night Before (2015) le 1/12
Gladiator (2000) le 1/12
Inglorious Basterds (2009) le 1/12
Mamma Mia ! (2008) le 1/12
Blue Crush (2002) le 1/12
L’attrape parents (téléfilm Disney, 1998) le 1/12
Sugar Mountain (2016) le 1/12
Un homme parfait (2015) le 1/12
This is your Death (2017) le 1/12
Témoin à Louer (2015) le 1/12
Le Dilemme (2011) le 1/12
Howard The Duck (1980) le 1/12
Incarnate (2016) le 1/12
The Nightmare (2015) le 1/12
The Worthy (2016) le 1/12
La Course au jouet (1996) le 1/12
Tarzan de Disney (1999) le 1/12
L’ile aux monstre (2017) le 1/12
Les Simpson Le film (2007) le 1/12
Casse tête chinois (2013) le 4/12
El Camino Chrismas (2017) le 8/12
Bright (2017) le 22/12

LES DOCUMENTAIRES ET SPECTACLES AJOUTÉS

Voyeur (Documentaire Netflix) : le 1/12
Jean Luc Lemoine, si vous avez manqué le début le 1/12
Craig Ferguson : Tickle Fight le 5/12
Judd Apatow : The Return le 12/12
Russell Howard: Recalibrate le 19/12
Todd Barry : Spicy Honey le 26/12
Dave Chappelle: Equanimity le 31/12

Séries

Nowhere Boys : Entre Deux monde (2 saisons) le 1/12
Lazy Compagny (3 saisons) le 1/12
Lucifer, saison 1 le 1/12
Dark, saison 1 le 1/12
The Crown, saison 2 le 8/12
WormWood, saison 1 le 15/12
El Chapo, saison 2 le 15/12
Trollhunters, Chasseurs de Troll, saison 2 le 15/12
Ultimate Beastmaster, saison 2 le 15/12
La fête à la maison, saison 3 le 22/12

[Jeux-Concours] Gagner le Blu-Ray de A Cure For Life

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Bientôt Noel et à cette occasion, le site organise un concours. Il suffit juste de s’inscrire, sur le formulaire et un tirage au sort aura lieu le 22 décembre et le gagnant recevra  le Blu-Ray de A Cure For Life. Ce film est le dernier film, de Gore Verbinski sorti cette année le réalisateur des trois premiers Pirates des Caraibes, livre un film à l’atmosphère efficace.  Vous avez quelques jours, donc pour tenter votre chance et vous inscrire bonne chance à vous!

 

Synopsis

Lockhart, jeune cadre ambitieux, est lancé sur la trace de son patron disparu dans un mystérieux centre de bien-être en Suisse.Pris au piège de l’Institut et de son énigmatique corps médical, il découvre peu à peu la sinistre nature des soins proposés aux patients. Alors qu’on lui diagnostique le même mal qui habite l’ensemble des pensionnaires, Lockhart n’a plus d’autres choix que de se soumettre à l’étrange traitement délivré par le centre…la Cure.

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5 Films à voir pour Noel

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Bientôt Noel, une occasion pour découvrir ou re-découvrir des films de Noel. On peut les avoirs vu 1000 fois, on s’en fiche c’est toujours un plaisir et ça met de bonne humeur. Il y’a beaucoup de choix, et 5 est assez restreint mais il à fallut faire un choix et c’est les films qu’on regarde sans doute le plus lors des fêtes. Féerique oui bien entendu, mais Noel peut-être aussi horrifique surtout quand des vilaines bestioles sèment la pagaille. Là du coup vous aurez compris de quel film je parle, car il y’en à qui doivent obligatoirement être dans les 5 films à voir. Allez voir ce que j’ai choisis.

 

5.Family Man de Brett Ratner

Un film ou Nicolas Cage, joue un homme d’affaire célibataire qui a les femmes qu’il désire. A cause d’une  phrase maladroite, il est projeté dans une vie de couple. Une vie de couple avec son ancien amour de jeunesse, un aperçu d’une vie qu’il  aurait pu avoir avec elle si il n’était pas parti. Cet aperçut lui fera prendre conscience, qu’il à peut-être finalement raté quelque chose. Une belle histoire qui se déroule, durant les fêtes de noel avec un Nicolas Cage encore dans ses belles années.

4.Love Actually de Richard Curtis

Une comédie romantique à la sauce Anglaise, et sans doute l’un des plus belle. Emouvant sans tomber trop dans le mièvre, mais ce film puise aussi sa force dans son casting. Avec Hugh Grant, Liam Neeson, Alan Rickman, Rowan Atkinson, Keira Knightley ou encore Andrew Lincoln. Tout se situe à Noel, ou des histoires d’amours naissent d’autres finissent dans la douleur. Tandis que d’autres tentent, de se renconstruire après la perte d’un être cher. Le réalisateur Richard Curtis, nous livre a l’écran, une magnifique histoire qui nous montre des humains face a l’amour.

3.Krampus de Michael Dougherty

Quand le jeune réalisateur Michael Dougherty s’attaque au mythe Krampus, ça  donne quelque chose de jouissif. Plein de références aux films de Joe Dante, Les Gremlins particulièrement. Un huis-clos, ou une famille se retrouve terrorisée, face a un monstre dehors du nom de Krampus mais il n’est pas seul car plein de démons de noel vont faire de leur vie un enfer. Si ce jeune garçon n’avait pas déchiré, sa lettre au père noel pour ça ne serait pas arrivé.

CRITIQUE DU FILM

2.Maman j’ai raté l’avion de Chris Columbus

Qui ne connaît pas ce film? Macauley Culkin en culotte courte, face à deux cambrioleurs complètement crétin. Le jeune garçon  à plus d’un tour dans son sac, avec des pièges ingénieux ou les deux cambrioleurs vont en prendre pour leur grade. Un film des années 90  indémodable, ce film est devenu une référence pour les films de noel, on s’amuse et l’ambiance de noel est évidemment présente.

CRITIQUE DU FILM 

1.Les Gremlins de Joe Dante

Si il y’a bien un film à voir en période de fête c’est bien Les Gremlins de Joe Dante. C’est le classique à voir et à revoir, ou des petites boules de poils se transforme en monstre si on  leur donne à manger après minuit. Ces bestioles vont semer la pagaille, a Noel dans une petite ville des Etats-Unis. Avec Steven Spielberg à la production et Joe Dante à la réalisation, on obtient un film culte pour toutes les générations.

CRITIQUE DU FILM 

 

Sinon à voir aussi: Maman j’ai encore raté l’avion, Maman je m’occupe des méchants, Super Noel, Super Noel 2, La course aux jouets, Le Drôle de Mr Scrooge, Le Grinch…

Gremlin de Ryan Bellgardt

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Date de sortie 17 octobre 2017 en DVD
De Ryan Bellgardt
Avec Adam Hampton, Kristy K. Boone, Catcher Stair, Katie Burgess, Mike Waugh…
Genre Epouvante-horreur
Nationalité Américain
Musique David Stone Hamilton

L’horreur est le film en lui-même

Synopsis

Adam reçoit une mystérieuse boîte. Dans celle-ci, une créature prête à tuer tous ceux qu’il aime. Seule solution pour se débarasser de la malédiction : donner la boîte à un proche.

Avec un affiche ignoble on pouvait se douter de la qualité de ce film, si on peut le qualifier de film. Car là on est quand même au bord du nanar, ce n’est pas drôle (ce n’est pas le but certes). Pourtant l’idée était bonne, mais dès les premières minutes ça part en sucette. Pourquoi s’infliger de telles choses? Quel était le but de ce film exactement? Car tout est raté non y’a vraiment rien à sauvé. L’affiche représente un monstre, géant qui finalement ne l’est pas tant que ça. Le réalisateur signe ici son premier film, et donc peut t’ont lui pardonner d’avoir pondu ce truc? Difficile à dire, quand on voit le résultat du film. Car tout ne va pas, dans ce film on aurait espéré voir quelque chose qui donne espoir mais non. Est-ce que le réalisateur lui-même croit en son film? On est en droit de se le demander, en tout cas cette chose est à éviter, et je vous explique pourquoi.

En lisant le résumé, on peut se dire, « oui ça peut-être sympa » même si l’affiche est ignoble le concept à l’air sympa. Mais la scène d’ouverture, est déjà ridicule, on ne peut y croire une seconde. Le film commence avec un homme qui possède une boîte, une vilaine bête en sort il tente de la tuer mais n’y parvient pas. Cette dernière tue sa femme, en siège roulant et voilà a quoi ressemblera en gros cette grostesque scène d’ouverture. L’homme remet la boîte, à un de ses proches une vieille dame qui est sa mère je crois c’est dire si c’est un film marquant. En tout cas la boîte se retrouve, dans la famille, ou la vieille dame y vit avec son fils, sa femme et ses deux enfants. Un jeune garçon et une ados tête a claque, normal il en faut une dans ce genre de film. En tout cas, à la première occasion la bête sort de la boîte et tue la vieille femme. Le petit garçon à vu la scène, et bien évidemment les parents ne le croient pas au début, mais ils verront que en réalité leur garçon n’est pas timbré. Alors on nous expliquera vaguement les origines de cette boîte, car il faut trouver au moins  une explication bidon pour donner ne serais-ce qu’un peu d’interêt au film. Les scènes ridicules s’enchaînent cependant, ou le père de famille con comme un balai  désire refiler la boîte a sa maîtresse pour s’en débarrasser la bestiole tue cette dernière avec une telle rapidité, et c’est tellement mal fait. En tout cas, c’est raté la créature revient vers lui, car en réalité il n’était pas si proche de sa maîtresse (eh oui il aime sa femme)…Comme c’est meugnon. Non c’est ridicule, en faite. Bon tant de scènes ridicules, que je ne vais pas toutes les énumére et la fin restera le summum de la débilité. En même temps, le film est déjà à un point de non-retour,  alors à quoi bon stopper le massacre. Car une fois de plus, évidemment le monstre veut en finir avec cette famille, et il se met à grandir comme ça sans raison apparente alors les flics rappliquent et l’inspecteur s’aperçoit que le père disait la vérité, il qu’il n’est plus suspect sur l’enchaînement des morts depuis l’acquisition de la boîte. Le monstre géant est perché sur la maison, et envoie valser les flics et tout ce qu’il y’a. Puis il retrouve sa taille normale va dans la boîte, et on ne comprend pas pourquoi comme tout le film d’ailleurs. Une mise en scène ridicule, avec aucune prise de risque tout est mal filmé ça fait limite amateur c’est dire. Même au niveau des FX, le film se ridiculise surtout a la fin du film, rendant le tout immonde. Cela aurait pu être un nanar, et pourtant non puisque il semble que le réalisateur soit sérieux, du moins on dirait…

Et dire qu’il a fallu trois scénaristes pour ça, c’est à peine croyable. Ecrit par Ryan Bellgardt, Josh McKamie et Andy Swanson, il est possible qu’en écrivant ça ils ont du rire car c’est impossible d’être sérieux a moins d’être sous l’influence d’une forte drogue. Alors que le récit en lui-même est catastrophique, le traitement des personnages l’est autant. On a aucune empathie, pour les personnages tellement ils sont mal écrit il faut aussi dire que les prestations laisse à désiré, alors que les acteurs principaux Adam Hampton et Kristy.K.Boone et j’en passe peine à convaincre le spectateur. Une fois de plus une sortie DTV totalement à côté de la plaque, qui plaira a ceux qui n’en demande pas trop car en plus si ce film souhaite rendre hommage quoi que ce soit et bien c’est raté! Un film qui n’est même pas à voir, si vous n’avez rien à faire.

Bande annonce

Trailer: Hôtel Transylvanie 3 de Genndy Tartakovsky

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Date de sortie 18 juillet 2018
De Genndy Tartakovsky
Avec Adam Sandler, Selena Gomez, Andy Samberg …
Genres Animation, Comédie
Nationalité Américain

Synopsis

Notre famille de monstres préférée s’embarque pour une croisière de rêve afin que Drac puisse enfin souffler un peu et savourer des vacances au lieu de s’occuper de tout le monde à l’hôtel. Tout s’annonce à merveille pour la petite famille, entre matchs de volley monstres, excursions exotiques et séances de bronzette au clair de lune… Mais les vacances idéales virent vite au cauchemar lorsque Mavis se rend compte que Drac est tombé sous le charme de la mystérieuse Ericka, la capitaine du navire, dont le terrible secret peut détruire tous les monstres…

47 Meters Down de Johannes Roberts

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Date de sortie 28 septembre 2017 en e-Cinéma (1h 41min)
De Johannes Roberts
Avec Mandy Moore, Claire Holt, Matthew Modine, Yani Gellman, Chris.J.Johnson…
Genres Thriller, Epouvante-horreur
Nationalités Britannique, Américain, Dominicain
Musique Tomandandy

Une cage et des requins

Synopsis

Après la rupture de Lisa, sa soeur Kate l’embarque en vacances au Mexique pour lui changer les idées. Avides d’aventures, elles se mettent au défi de plonger parmi les requins blancs, protégées par une cage. Une fois dans l’eau, le spectacle est incroyable…
Mais subitement, le câble qui retient la cage au bateau cède, et les deux soeurs se retrouvent plongées au fond de l’océan, à 47 mètres de profondeur. Il ne reste qu’une heure d’oxygène et les grands blancs rôdent..

On est dans une période où les requins et les clowns ont la côte, au cinéma ça fait depuis quelques années qu’ils reviennent sur le devant de la scène. Après beaucoup de nanars, du côté des requins certains sortent du lot. Cette année débarque en e-cinéma,le film 47 Meters Down pas plus original qu’un autre mais dont le concept de départ reste intéressant. Deux jeunes femmes, sont a 47 mètres de profondeur, dans une cage avec des requins aux alentours le problème, c’est que les deux jeunes femmes en plus des requins sont bloqués en profondeur sans possibilté de remonter. A la réalisation, un Britannique de 41 ans Johannes Roberts, quelques films a son actif peu connu. Le plus connu reste The Door ou il dirige Sarah Wayne Callies, il prépare une nouvelle adapation de Coeur Perdus en Atlantide, un livre de Stephen King. En tout cas avec son nouveau film, le réalisateur semble utilisé le concept des requins au cinéma, une mode qui ne semblent pas s’essoufler. Un genre qui attire encore des spectateurs, si certains sont bien d’autres sont beaucoup moins bien, et c’est le cas de ce dernier qui avait tout pour être bon mais qui hélas reste très moyen.

 

Lisa s’est fait plaquer par son petit ami, pour lui changer les idées sa soeur l’emmène au Mexique en vacances. Un sejour qui commence plutôt bien, où les deux jeunes filles font la rencontre de deux jeunes hommes. Après une soirée de fête, les deux femmes désirant de l’adrénaline vont faire de la plongée dont elles ont été invitées la veille par les deux jeunes hommes. Une plongée dans une cage, parmi les animaux marins dont des grands requins blancs. Lisa hésitante à descendre, fini par accepter  la descente avec sa soeur, alors que la cage descend dans les profondeurs les deux jeunes femmes commence à admirer les fonds marins. Au moment où Lisa veut remonter, un incident se produit et la cage descend très rapidement jusqu’à touché le fond à 47 mètres de profondeur. Les requins ne sont pas le seul danger, puisque le manque d’oxigène se fait ressentir, et comme la communication avec le bateau ne s’établit, pas dans les profondeurs il faut remonter un peu plus ce que fait Kate et arrive d’ailleurs à établir le contact pour les alertés. Le film ne se contente donc pas de rester dans la cage durant 1h40, puisque les deux femmes sortiront à plusieurs reprises de la cage, pour tenter de s’en sortir. Finalement le film ne montrera que très peu les requins, et c’est vraiment dommage car ont ne les voit que très peu rôder autour de la cage même si ils viennent faire un tour, de temps en temps. Tout ce qui peut arriver leur arrivera, surtout le manque d’oygène. Mais le film est mal rythmé, et l’ennuie l’emporte. Au moment où l’on croit que le meilleur est a venir, et bien non. La mise en scène est donc mal gérée, même si quelques bonnes idées en ressortent à  certaines scènes. Mais l’ensemble du film, reste assez pauvre en exploitant très mal son concept, car le pitch était intéressant mais hélas a l’image le rendu est décevant.

A l’écriture du scénario Johannes Roberts et Ernest Riera, livre une écriture simpliste avec une idée intéressante mais l’éciture va dans tous les sens où les protagonistes prennent des décisions stupides. Quand aux requins censés être le plus grand danger, ils ne prennent que très peu d’interêts.  Les peu de scènes avec les requins, reste efficace quand même. Ou l’on pourra trouver, le peu d’interêt qu’il y’a: c’est la façon dont traitent les scénaristes l’instinct de survie des deux jeunes femmes. Même les personnages manquent de travail, aucun n’est franchement travaillé il n’en ressort que des clichés ridicules. Au casting on n’y retrouve, Mandy Moore qui s’avère très moyenne, très peu à l’écran Matthew Modine qu’on a pu voir dernièrement dans la série  Stranger Things, mais la saison 1 surtout. Au final 47 meters down, n’apporte rien de nouveau dans le genre, avec une idée de départ intéressante pourtant mais hélas, mal exploité ce qui fait dans l’ensemble un film très moyen.

 

Bande annonce