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Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

La Route de John Hillcoat

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Date de sortie 2 décembre 2009 (1h 59min)
De John Hillcoat
Avec Viggo Mortensen, Kodi Smit-McPhee, Guy Pearce, Charlize Theron, Robert Duvall…
Genres Science fiction, Drame
Nationalité Américain
Musique Nick Cave et Warren Ellis

 

 

« Un récit post-apocalyptique dans toute sa splendeur »

Synopsis

Interdit aux moins de 12 ans
Il y a maintenant plus de dix ans que le monde a explosé. Personne ne sait ce qui s’est passé. Ceux qui ont survécu se souviennent d’un gigantesque éclair aveuglant, et puis plus rien. Plus d’énergie, plus de végétation, plus de nourriture… Les derniers survivants rôdent dans un monde dévasté et couvert de cendre qui n’est plus que l’ombre de ce qu’il fut. C’est dans ce décor d’apocalypse qu’un père et son fils errent en poussant devant eux un caddie rempli d’objets hétéroclites – le peu qu’ils ont pu sauver et qu’ils doivent protéger. Ils sont sur leurs gardes, le danger guette. L’humanité est retournée à la barbarie. Alors qu’ils suivent une ancienne autoroute menant vers l’océan, le père se souvient de sa femme et le jeune garçon découvre les restes de ce qui fut la civilisation. Durant leur périple, ils vont faire des
rencontres dangereuses et fascinantes. Même si le père n’a ni but ni espoir, il s’efforce de rester debout pour celui qui est désormais son seul univers.

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En regardant « La Route » n’espérez pas de voir de zombies ou quelque chose car il n’en est rien ,adaptation fidèle du livre de Cormac McCarthy ,la route est un récit magnifique d’un père et d’un fils qui parcourent un monde post-apocalyptique dans le but de survivre dans ce qui reste de notre monde.La route ne nous montre pas non plus ce qui est arrivé a ,notre monde donc pas de flash-back,pour nous prétexter ce qui est arrivé bien que quelque fois c’est intéressant de savoir mais ici,ce qui compte et la survie de ce père et ce fils.Pas de nom aussi ils ont juste comme nom ,le père et le fils le rôle de la mère étant donner a Charlize Theron .John Hillcoat signe donc,ce long-métrage qui a réalisé plus récemment « Des hommes sans lois ». Vu plusieurs depuis fois depuis un moment je me suis dit, que c’était une idée de faire une critique sur ce film que j’aime beaucoup.

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Un monde dévasté par une catastrophe dont on ignore la cause ,il n’y a plus de soleil un brouillard trop épais pour le laisser paraître .Il n’y a plus âme qui vivent sur notre planète ,sauf quelques survivants qui ère sans but précis dont certains sont devenus des cannibales ,car la nourriture ce fait rare .Des hommes autrefois dont certains sont devenus des bêtes ,quoique quand on regarde notre monde actuellement des hommes ont dépassé le stade de bête.La réalisation de John Hillcoat est saisissante ,et nous plonge dans ce monde post-apocalyptique des décors sublime on s’y croirait tellement c’est beau.La mise en scène nous fait suivre ce père et ce fils interprété par Viggo Mortensen et le jeune Kodi Smit-McPhee ,deux interprétations réussies d’un père prêt a tout pour la protection de son fils lui enseigner comment survivre dans ce monde ,la peur omniprésente d’un danger.

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Le scénario de Joe Penhall retranscrit parfaitement ,le récit du livre une fidèle adaptation ou seuls quelques éléments on était rajouté le livre très bon j’espérais ne pas être déçu,et pour moi c’est une pure réussite.Dans cette mode de faire des films sur un monde post-apocalyptique celui-sort du lot sans zombies ou autres créatures du genre et ça fait du bien.Pas de virus ,non plus mais autre chose ,les survivants évoluent certains en bête sauvage . On notera aussi tout comme Charlize Theron ,la courte apparition de Guy Pearce ,car ce qu’on suit c’est le père et le fils,un excellent Viggo Mortensen une fois de plus un immense talent pour cet acteur qu’on ne présente plus ,et le jeune Kodi Smit-Mc Phee tire son épingle du jeu un jeune acteur prometteur.A la musique les excellents Nick Cave & Warren Ellis ,qui compose de très bonnes partitions qui colle parfaitement a l’ambiance post-apocalyptique du film .Pour moi « La Route » est le meilleur des films post-apocalyptique que j’ai pu voir ,ou John Hillcoat réalise ce film avec un grand talent a voir absolument .

Captain América 3 : Civil War Premières Photos

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A peine Avenegers 2 est sortie ,que le tournage de Captain América est sur les rails .On
a pour vous des clichés de ce tournage .

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Un des nouveaux Avengers qu’on a pu voir juste a la fin de Avengers 2 ,on en sais peu sur lui une autre
photo de lui ci-dessous .

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Ci-dessous Frank Grillo qui interprète Crossbones le grand méchant de ce
nouveau film et donc un premier aperçu du costume .

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Et puis le héros Captain América avec ci-dessous deux clichés .

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Sortie du film en 2016 cet opus sera un presque Avengers puisque Iron-Man ,Hulk ,Spider-Man ,Ant-man ,le
soldat de l’hiver ,Hawkeye ,La vision ,War machine ,Black Panther ,agent 13 ,Scarlet Witch et même le général Thaddeus Ross seront de la partie
hâte de voir le résultat ? nous oui

Cannes 2015 : Le dernier Gus Van Sant déçoit

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Le dernier Gus Van Sant à fortement déplu a Cannes
de quoi parle son film ?

Dans la forêt d’Aokigahara, au pied du Mont Fuji, Arthur Brennan est venu mettre fin à ses jours, comme beaucoup avant lui en ces lieux. Alors qu’il a trouvé l’endroit qui lui semble idéal, il aperçoit soudain un homme blessé et perdu. Assailli par un sentiment d’humanité irrépressible, Arthur se porte à son secours.
Alors qu’il s’était décidé à mourir, il va devoir aider un homme à survivre.

Que ce passe t’il donc?
La presse descend le film et les critiques sont vraiment loin d’être élogieuse
voici les critiques Cannoise nous en avons prise deux qui montre déjà ce que le film vaut au
yeux de la presse .

On commence avec le site Cinéma Teaser

Parfois, on aime et respecte tant un cinéaste qu’il est presque impossible d’accepter qu’il puisse fauter. Dans le cas de Gus Van Sant, on savait qu’il était capable de gros coups de fatigue – RESTLESS en est l’exemple le plus évident – mais il affichait tout de même une filmo régulière dans sa qualité, jusque dans ses films de commande qui vont du très honorable (À LA RENCONTRE DE FORRESTER, PROMISED LAND) à l’exceptionnel (WILL HUNTING). Autant dire que l’on n’était pas préparé à assister à une déconfiture telle que celle de THE SEA OF TREES. Après un générique un poil évident et lourdement illustratif – des nuages, une canopée, le vent dans les cimes et un son rappelant le ressac d’un océan –, THE SEA OF TREES débute même plutôt bien, avec cet Américain se payant un billet d’avion sans retour vers le Japon et entrant dans la fameuse forêt d’Aokigahara surnommée « la forêt des suicides ». Ses intentions sont connues mais les raisons, elles, restent (pour le moment) mystérieuses. Sur son chemin, il croise quelques panneaux positivistes exhortant le passant à ne pas ôter sa vie. Une prévention qui semble bien inutile alors que son regard se pose sur des cadavres en putréfaction et autres squelettes solitaires. Cette découverte des lieux s’avère très belle, aérienne et simple, parfois dérangeante et étrangement poétique. Sans démonstration ni lourdeur. Puis survient le premier flashback. Tout à coup, THE SEA OF TREES bascule. Le film aligne des dialogues croquignolets de simplisme (- »Vous êtes Américain, vous croyez en Dieu », – « Dieu est plus notre création que nous, la sienne. ») et des retours dans le passé écrits comme des mélodrames télévisuels lambda, mais on continue de lui accorder le bénéfice du doute. Gus Van Sant ne peut flancher à ce point. Et pourtant, si. À mesure que le récit avance, les péripéties rencontrées par l’Américain et le Japonais dans la forêt des suicides apparaissent forcées au point d’en devenir gaguesques, l’interprétation de McConaughey passe du transcendé mystique au possédé ostentatoire et l’exécution demeure inexorablement impersonnelle. S’appuyant sur aucune réelle mise en scène – en tout cas, rien qui ne soit digne de Gus Van Sant –, THE SEA OF TREES se révèle particulièrement paresseux et facile dans sa volonté d’être mainstream – mention spéciale au score, particulièrement inapproprié, dû à Mason Bates en mode copycat de Thomas Newman. Las, baissons les bras : THE SEA OF TREES n’est pas et ne sera pas un néo-GERRY. Dans son dernier acte, il dépasse même toutes les bornes possibles en plongeant tête baissée dans un ésotérisme bas de gamme – que l’on voyait venir de très loin –, totalement échevelé mais paradoxalement dénué de tout mystère, où chaque détail du récit est expliqué par le menu. D’un sujet passionnant a priori, Gus Van Sant ne signe donc qu’une œuvre sans âme ni relief que certains pourront même trouver risible.

Le site Ecranlarge

Sea of Trees demeurera sans doute un cas à part dans la carrière du cinéaste. Si cette dernière n’est pas exempte de ratés, d’expérimentations inabouties ou de tentatives malades, jamais encore il ne nous avait gratifié d’un pur nanar, dont le ratage apparaît tel qu’il en rendrait presque le film sympathique.

Difficile de croire que c’est le grand formaliste, influencé par la poésie minérale d’Howard McCord, qui met en scène ce récit qui ferait passer Amélie Poulain pour du James Ellroy. Gus Van Sant enfile ainsi les clichés sur la culture et la spiritualité nippone avec une constance invraisemblable. Du rapport à la mort, en passant par la place de la nature, jusque dans une symbolique florale navrante, tout semble issu d’un guide du routard pour enfants.
Si McConaughey s’accroche aux branches en nous faisant le coup de l’intériorité factice, Ken Watanabe est pour sa part en roue libre et propose peu ou prou la même performance que dans Godzilla (yeux globuleux, trémolos dans la voix et grosses larmes). Mais ce qui passe dans le cadre d’un blockbuster de destruction massive fait vite tâche au cœur d’une tragédie introspective.

Difficile de ne pas s’étrangler devant la construction du récit, vue mille fois et d’une artificialité criante. On se désole ainsi de voir le cinéaste nous jouer un suspense petit bras à base de flashback mous du bulbe. Un temps, le spectateur espère que ce torrent de sentimentalisme va céder la place à quelque chose, que les dialogues ridicules (« Je ne veux pas mourir, seulement arrêter de vivre ») dissimulent quelque chose, vont céder la place à un propos digne de ce nom.

Mais rien ne se passe, et le film fonce tête la première vers une conclusion dégoulinante de bons sentiments primaires, nimbés dans une partition symphonique qui ferait tourner de l’œil André Rieux. L’incompréhension cède alors la place au rire, tant le résultat ressemble à une grotesque pièce montée, que même la sincérité de son réalisateur ne peut sauver.

Et ce n’est que deux critiques sur le film de Gus Van Sant toute les critiques sur le film
sont mauvaises .Le film sort le 9 septembre 2015 .

Tomorrow Land :Bande Annonce

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Casey, une adolescente brillante et optimiste, douée d’une grande curiosité scientifique et Frank, un homme qui fut autrefois un jeune inventeur de génie avant de perdre ses illusions, s’embarquent pour une périlleuse mission. Leur but : découvrir les secrets d’un lieu mystérieux du nom de Tomorrowland, un endroit situé quelque part dans le temps et l’espace, qui ne semble exister que dans leur mémoire commune… Ce qu’ils y feront changera à jamais la face du monde… et leur propre destin !

Mommy de Xavier Dolan

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Mommy de Xavier Dolan avec : Antoine-Olivier Pilon ,Anne Dorval …

★★★★★

« Une réalisation et un scénario habilement maîtrisé »

Synopsis

Une veuve mono-parentale hérite de la garde de son fils, un adolescent TDAH impulsif et violent. Au coeur de leurs emportements et difficultés, ils tentent de joindre les deux bouts, notamment grâce à l’aide inattendue de l’énigmatique voisine d’en face, Kyla. Tous les trois, ils retrouvent une forme d’équilibre et, bientôt, d’espoir.

Premier film de Xavier Dolan,et quelle claque je dois dire. Pour cette critique, je ferai court, ayant peu de temps devant moi. Une prodigieuse réalisation de Xavier Dolan qui nous retourne. L’histoire d’un ado vivant avec sa mère veuve, ce dernier atteint de TDAH, impulsif et violent .

Un film qui ne laisse pas de marbre, avec des scènes marquantes et certaines qui feraient limite couler des larmes. Donc fortes émotions pour ce film de Dolan, une bande originale bien sympathique, bon y’a du Céline Dion on fera l’impasse sur celle-ci, mais qui tout de même est une scène du film assez belle je trouve.

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La réalisation dans l’ensemble est parfaite,et nous offre des moments absolument sublimes ,de rire en émotion, et donc des scènes fortes. Une réalisation puissante que Dolan maîtrise avec brio .

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Le scénario est fort bien écrit aussi ,un récit intéressant, soigné qui nous offre une histoire vraiment bonne. La mise en scène est, elle, grandiose ,et les comédiens livrent leurs prestations a merveille .

On retiendra notamment surtout l’interprétation de Antoine-Olivier Pilon dans le rôle de Steve,atteint du TDAH, bluffant en tout point ,et un rôle qui ne doit pas être évident, et mention aussi a Anne Dorval jouant la mère veuve de Steve, qui gère la maladie de son fils, sans oublier Suzanne Clément qui joue Kyla: un trio qui joue a merveille, jouant avec nos émotions et qui nous offre assurément une oeuvre des plus réussies de 2014 .

Pas toujours facile de suivre les dialogues avec les accents Québécois, mais ça reste plaisant tout de même. Mommy est vraiment réussi et un chef d’œuvre, bravo Dolan .

Cannes 2015 : Les films d’aujourd’hui

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Les festival de Cannes continue avec aujourd’hui Woody Allen en compétition voici ce qui vous attend
en ce jour .

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Hors compétition : Un homme Irrationnel-Etats Unis de Woody Allen avec : Joaquin Phoenix ,Emma Stone

Professeur de philosophie, Abe Lucas est un homme dévasté sur le plan affectif, qui a perdu toute joie de vivre. Peu après son arrivée dans l’université d’une petite ville, Abe entame deux liaisons. D’abord, avec Rita Richards, collègue en manque de compagnie qui compte sur lui pour lui faire oublier son mariage désastreux. Ensuite, avec Jill Pollard, sa meilleure étudiante, qui devient aussi sa meilleure amie.

Compétition

The Lobster – Grèce
Réalisé par Yorgos Lanthimos – Avec Colin Farrell, Rachel Weisz, Jessica Barden…
Dans un futur proche… Toute personne célibataire est arrêtée, transférée à l’Hôtel et a 45 jours pour trouver l’âme soeur. Passé ce délai, il sera transformé en l’animal de son choix. Pour échapper à ce destin, un homme s’enfuit et rejoint dans les bois un groupe de résistants ; les Solitaires.

Le Fils de Saül – Hongrie
Réalisé par László Nemes – Avec Géza Röhrig, Molnar Levente, Urs Rechn…
Octobre 1944, Auschwitz-Birkenau. Saul Ausländer est membre du Sonderkommando, ce groupe de prisonniers juifs isolé du reste du camp et forcé d’assister les nazis dans leur plan d’extermination. Il travaille dans l’un des crématoriums quand il découvre le cadavre d’un garçon dans les traits duquel il reconnaît son fils. Alors que le Sonderkommando prépare une révolte, il décide d’accomplir l’impossible : sauver le corps de l’enfant des flammes et lui offrir une véritable sépulture.

Séance Spéciale

L’Esprit de l’escalier – Israël
Réalisé par Elad Keidan – Avec Itay Tiran, Uri Klauzner…
Haifa, par une journée ensoleillée. Deux personnages urbains : Moshé, un ex-instituteur et Uri, son ex-élève, qui ne se sont jamais revus depuis lors, évoluent sur le flanc de la montagne sur des trajectoires opposées, menant à l’inévitable collision.

Un certain regard

Béliers – Islande
Réalisé par Grímur Hákonarson – Avec Sigurður Sigurjónsson, Theódór Júlíusson, Charlotte Bøving…
Dans une vallée isolée d’Islande, deux frères qui ne se parlent plus depuis quarante ans vont devoir s’unir pour sauver ce qu’ils ont de plus précieux : leurs béliers.

La Quatrième voie – Inde
Réalisé par Gurvinder Singh – Avec Suvinder Pal Vicky, Rajbir Kaur, Gurpreet Bhangu…
Chauthi Koot dépeint l’atmosphère du Pendjab de 1984, faite de paranoïa, de méfiance et de peur. Deux amis hindous tentent de rejoindre Amritsar ; cinq mois plus tôt, un fermier est contraint à tuer le chien de la famille. La condition humaine, celle de l’homme ordinaire écartelé entre les abus des militaires et la violence du mouvement séparatiste Sikh, lie ces deux histoires.

The Shameless – Corée du Sud
Réalisé par Oh Seung-Uk – Avec Jeon Do-Yeon, Kim Nam-Gil, Park Sung-Woong…
Le lieutenant Jung Jae-gon est sur la piste de Park Jun-gil, le suspect d’un meurtre. Il sait que le suspect entrera en contact avec sa maîtresse Kim Hyekyungqui travaille au Macao, un bar miteux. Jung, sous l’identité d’un camarade de cellule de Park, devient chargé de clientèle au Macao pour surveiller les moindres mouvements de Kim Hye-kyung. Au fur et à mesure que Jung passe du temps avec elle, il ressent une étrange culpabilité et sa détermination à attraper le suspect est ébranlée.

Quinzaine des réalisateurs

El Abrazo de la Serpiente – Colombie
Réalisé par Ciro Guerra – Avec Jan Bijvoet, Brionne Davis, Nilbio Torres…
Un chaman amazonien, le dernier survivant de son peuple, vit isolé dans les profondeurs de la jungle. Il est devenu un chullachaqui, la coquille vide d’un homme, privée d’émotions et de souvenirs. Sa vie bascule lorsqu’un ethnobotaniste américain, débarque dans sa tanière à la recherche de la yakruna, une mystérieuse plante hallucinogène capable d’apprendre à rêver.

Trois souvenirs de ma jeunesse – France
Réalisé par Arnaud Desplechin – Avec Quentin Dolmaire, Lou Roy Lecollinet, Mathieu Amalric…
Paul Dédalus va quitter le Tadjikistan. Il se souvient… De son enfance à Roubaix… Des crises de folie de sa mère… Du lien qui l’unissait à son frère Ivan, enfant pieux et violent…Il se souvient… De ses seize ans… De son père, veuf inconsolable… De ce voyage en URSS où une mission clandestine l’avait conduit à offrir sa propre identité à un jeune homme russe… Il se souvient de ses dix-neuf ans, de sa sœur Delphine, de son cousin Bob, des soirées d’alors avec Pénélope, Mehdi et Kovalki, l’ami qui devait le trahir… De ses études à Paris, de sa rencontre avec le docteur Behanzin, de sa vocation naissante pour l’anthropologie… Et surtout, Paul se souvient d’Esther. Elle fut le cœur de sa vie. Doucement, « un cœur fanatique ».

Semaine internationale de la critique

Paulina – Argentine
Réalisé par Santiago Mitre – Avec Dolores Fonzi, Oscar Martinez, Esteban Lamothe…
Paulina, 28 ans, décide de renoncer à une brillante carrière d’avocate pour se consacrer à l’enseignement dans une région défavorisée d’Argentine. Confrontée à un environnement hostile, elle s’accroche pourtant à sa mission pédagogique, seule garante à ses yeux d’un réel engagement politique; quitte à y sacrifier son petit ami et la confiance de son père, un juge puissant de la région.

Cinéma de la plage

Ran – Japon
Réalisé par Akira Kurosawa – Avec Tatsuya Nakadai, Nezu Jinpachi, Masayuki Yui…
Dans le Japon du XVIe siècle, le seigneur Hidetora Ichimonji décide de se retirer et de partager son domaine entre ses trois fils, Taro, Jiro et Saburo. Mais la répartition de cet héritage va déchirer la famille.

Un beau programme

The Neon Demon : Les premières photos du nouveau Nicolas Winding Refn

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Oui le nouveau Nicolas Winding Refn sera un film d’horreur avec a l’affiche Elle
Fanning ,Keanu Reeves ,Bella Heathcote ,Jena Malone ,Christina Hendricks ,Karl
Glusman ou encore Desmond Harrington .
Un film attendu ou le réalisateur ne fera pas dans la dentelle ,la preuve avec cette première photo

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Elle Fanning son actrice principal ensanglanté .Le film ce déroulera a Los-Angeles et son long-métrage suivra une jeune mannequin (Elle Fanning, donc), qui tente de faire carrière dans la mode et se retrouve confrontée à la jalousie de ses consoeurs plus âgées, qui vont peu à peu dévorer sa jeunesse.

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Jupiter Ascending de Andy Wachowski, Lana Wachowski

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Jupiter Ascending de Andy Wachowski, Lana Wachowski avec : Channing Tatum ,Mila Kunis ,Sean Bean …

★☆☆☆☆

« Quand les Wachowski font du vraiment moins bon »

Synopsis

Née sous un ciel étoilé, Jupiter Jones est promise à un destin hors du commun. Devenue adulte, elle a la tête dans les étoiles, mais enchaîne les coups durs et n’a d’autre perspective que de gagner sa vie en nettoyant des toilettes. Ce n’est que lorsque Caine, ancien chasseur militaire génétiquement modifié, débarque sur Terre pour retrouver sa trace que Jupiter commence à entrevoir le destin qui l’attend depuis toujours : grâce à son empreinte génétique, elle doit bénéficier d’un héritage extraordinaire qui pourrait bien bouleverser l’équilibre du cosmos…

Après le chef d’oeuvre « Cloud Atlas » ,les Wachowski reviennent avec un film de science-fiction
surpris par « Cloud Atlas » ,j’ai regardé la bande annonce de celui-ci où déjà, il ne me disait
rien .On peut dire déjà que Channing Tatum et Mila Kunis ne sont pas fais pour ce genre de film ,vraiment pas.
Dans le registre de la comédie ils s’en sortent mieux par exemple .Bon on va faire vite ,mais il n’y a pas grand chose a
dire tellement ce film est une déception .

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Les effets spéciaux sont vraiment pas mal ,faut admettre qu’on a de beaux plans et c’est pas mal mais voilà
ça s’arrête là .Au début on a le droit a un gun-fight assez dégueulasse ,où les pistolets tirent des trucs verts
comme un vieux film de S.F tout pourri .Le design des créatures n’est vraiment pas beau ,même dans leur façon de bouger
mais quand je parle d’effets spéciaux ,bah oui ils ne sont pas tous réussis car le film est assez foireux .La mise
en scène eh bien elle est mauvaise ,si bien qu’on ne sait même pas ce que viennent faire Tatum et Kunis dans ce film .
Non ce genre de films ,n’est pas fait pour eux .On dirait qu’ils se font ch… sur ce film .

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Genre On joue ?
bah oui on est là pour ça ,on est payé en plus.

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Les comédiens ne dégagent rien ,aucun charisme et pourtant j’apprécie ces comédiens ,mais là non
c’est juste pas possible .On a le méchant du film ,qui est vraiment pitoyable et pathétique .Un film
prévisible .

Un scénario signé des Wachowski ,qui est plutôt un ratage .La question est ou sont t-ils allés
chercher une histoire pareille ? On a connu mieux et beaucoup mieux, un scénario peu travaillé et un
traitement des personnages si mauvais .Du côté du reste du casting Eddie Redmayne ,vous savez
ce méchant dont j’ai parlé avant et on y voit aussi Sean Bean meurt t-il ou pas ? ah vous verrez
bien ou pas …

En plus d’un film sans saveur,Jupiter Ascending porte le nom Français « Le destin de l’univers »
non mais sérieusement c’est quoi ce titre pourri ? .En gros avec ce film , des Wachowski
livrent un film déplorable dommage une véritable déception .

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Cannes 2015 : Les Photos

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Hier avait lieu la cérémonie d’ouverture du Festival de Cannes 2015 .Une
68éme édition avec des grands crus ,et les présidents du Jury Ethan et Joel
Coen .

Voici quelque photos

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