Date de sortie 13/05/2025
Durée(01:36)
Titre original Partir un jour
Genre Drame, Comédie musicale
Avec Juliette Armanet, Bastien Bouillon, François Rollin, Tewfik Jallab, Dominique Blanc
Réalisé par Amélie Bonnin
Nationalité...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Date de sortie 26/11/2025
Durée(02:25)
Titre original Wake Up Dead Man: A Knives Out Mystery
Genre Policier
Avec Daniel Craig, Josh O'Connor, Glenn Close, Josh Brolin, Mila Kunis,...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Date de sortie 13/05/2025
Durée(01:36)
Titre original Partir un jour
Genre Drame, Comédie musicale
Avec Juliette Armanet, Bastien Bouillon, François Rollin, Tewfik Jallab, Dominique Blanc
Réalisé par Amélie Bonnin
Nationalité...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Date de sortie 26/11/2025
Durée(02:25)
Titre original Wake Up Dead Man: A Knives Out Mystery
Genre Policier
Avec Daniel Craig, Josh O'Connor, Glenn Close, Josh Brolin, Mila Kunis,...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef)
Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori
Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré
Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films
comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky
sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les
oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .
Aisling Franciosi appears in The Nightingaleby Jennifer Kent, an official selection of the Spotlight program at the 2019 Sundance Film Festival. Courtesy of Sundance Institute | photo by Kasia Ladczuk.
All photos are copyrighted and may be used by press only for the purpose of news or editorial coverage of Sundance Institute programs. Photos must be accompanied by a credit to the photographer and/or 'Courtesy of Sundance Institute.' Unauthorized use, alteration, reproduction or sale of logos and/or photos is strictly prohibited.
Sortie 9 mars 2021 sur OCS Durée 2h 16min Genre Thriller, Drame, Historique De Jennifer Kent Avec Aisling Franciosi, Sam Claflin, Baykali Ganambarr, Damon Herriman, Ewen Leslie, Harry Greenwood, Magnolia Maymuru… Musique Jed Kurzel
La vengeance dans la peau
Synopsis
En 1825, alors que l’Australie est en pleine colonisation. Clare, une prisonnière irlandaise de 21 ans, sert une garnison de l’armée britannique. Un soir, alors qu’elle vient quémander une lettre pour obtenir sa libération et celle de sa famille, l’officier Hawkins abuse d’elle, puis trois soldats assassinent son mari et leur enfant sous les yeux de la jeune femme. Clare se lance aux trousses des militaires, partis à travers le bush. Elle fait appel à Billy, un aborigène, pour la guider dans la forêt tasmanienne pleine de dangers. La tension ne faiblit jamais dans ce deuxième film très sombre de Jennifer Kent qui a remporté le prix spécial du jury lors de la 75e Mostra de Venise en 2018.
La réalisatrice Jennifer Kent après Mister Babadook film horrifique/dramatique, livre son nouveau long-métrage le film date de 2018, mais ne sort chez nous que cette année, mieux vaut tard que jamais comme on dit. Il aura fallu attendre 4 ans avant que la réalisatrice ne sorte son nouveau film, pour nous, il aura fallu attendre quand même 7 ans. Le film est disponible en Blu-ray, mais également sur OCS pour un temps limité. Jennifer Kent change de registre ici, ou la vengeance est le thème principal. C’est un film qui est pour un public averti, car il y a de nombreuses scènes choquantes des scènes de viol, et même deux infanticides de quoi secoué. Présenté à la Mostra de Venise en 2018, le film fut récompensé et cela se comprend car la qualité est là. Cependant, le film a fait polémique lors de sa présentation, en raison des scènes de viols ou encore d’infanticide. C’est un film éprouvant qui traite également du racisme, après ce film vous détesterez Sam Clafin dans le rôle d’un soldat sans pitié violeur et tueur d’enfants. Le talent d’auteure, de Jennifer Kent est impressionnant même si je n’avais pas forcément apprécié plus que ça son précédent long-métrage, il faut dire que ce dernier m’a plus captivé. On ne s’ennuie jamais, un film choc qu’il faudra retenir cette année, ou la comédienne Aisling Franciosinous montre son talent.
Nous sommes en 1825 Clare et son mari Aiden, vivent dans une maison avec leur bébé, mais ne sont pas un couple libre. En effet, son mari et elle sont des prisonniers, elle sert une garnison à l’armée britannique et c’est l’officier Hawkins qui décide s’ils sont libres. Un soir Hawkins demande à Clare de venir a sa maison, en espérant qu’il lui accorde sa libération, mais a la place, il abuse d’elle. Pour Aiden le mari de Clare, il est temps qu’ils soient enfin libres et quand il fait sa demande a Hawkins ils se battent. L’officier Hawkins qui souhaite être général dans une ville plus loin, voit sa carrière menacée à cause de cette bagarre. Il se rend alors avec des hommes a lui chez Clare et Aiden, et Hawkins viole Clare devant les yeux de son mari puis un des hommes a Hawkins viole à nouveau Clare. Le bébé en pleurs insupporte l’officier qui demande, a le faire taire et le bébé est tué d’un violent coup sur la tête sous les yeux de la mère, et le mari est abattu également sous ses yeux. L’officier et ses hommes quittent les lieux, et décident de se rendre en ville afin d’avoir le post tant convoité de général. Clare décide de partir en quête de vengeance et de tuer Hawkins et ses hommes, elle emmène avec elle un homme noir du nom de Billy et dans cette Australie raciste les relations entre elle et lui sont difficile. Mais tous les deux ont un passé douloureux, et cette quête vengeance que veut mener Clare est une occasion pour Billy de se venger également. Avant sa sortie, on n’en parla que très peu et au vu des conditions sanitaire actuelles, il n’est pas évident de faire la promotion d’un film même si c’est de la VOD ou streaming parfois. Toujours est-il que la réalisatrice Jennifer Kent, revient avec un film choc ou le thème sur la vengeance est parfaitement mise en scène. Au vu de ce qu’à vécu cette jeune femme, on se demande si elle pourra se reconstruire ou alors dans cette vengeance ou elle s’engage il n’y a plus rien à perdre. Les films sur le thème de la vengeance, il y en a beaucoup, c’est plus ou moins bon et ce dernier s’en tire très bien la qualité de l’écriture de Jennifer Kent y est aussi pour quelque chose.
La réalisatrice australienne, pour son récit s’inspire de la colonisation de l’Australie et nous sommes, 1825, ou une jeune femme prisonnière purge sa peine avec son mari. C’est tout d’abord dans le traitement des personnages, que le film brille, celui de Clare principalement en quête de vengeance, cette dernière a vu son mari et son bébé mourir sous ses yeux. Durant tout le récit, on voit que la jeune femme est hantée par leur mort et elle est déterminée à se venger. Le chagrin ne cesse de la ronger, elle est accompagnée de Billy un homme noir qu’elle nommera Boy, qu’elle n’apprécie guère à cause de la couleur de sa peau. Billy est aussi rongé par la tristesse, car lui aussi a tout perdu. On ne peut que détester Hawkins, lieutenant qui viole Clare et tueur de son bébé et d’un autre enfant qu’il tuera d’une balle. Un personnage très bien écrit, et pour cette raison, on ne peut que le haïr. Jennifer Kent n’en fait pas qu’un simple récit sur une quête de vengeance, car elle filme principalement le périple de Clare et Billy qui nous permet de mieux les connaître. La traversée que font Clare et Billy, est pleine de danger, mais les rapproche toujours plus près dans la quête qu’a décider d’entreprendre la jeune femme. La jeune femme découvrira que Billy, est un homme blessé tout comme elle et cela les rapprochera. Le début du film est éprouvant, les scènes de viol sont difficile tout comme la mort du bébé, qui est rapide, mais d’autant plus choquante. La brutalité de la scène, fait qu’il est difficile de ne pas être sous le choc. Surtout que ce n’est pas le seul infanticide dont le film dispose, car dans sa dernière partie Hawkins exécute un enfant d’une balle. Une autre scène de viol sera montrée au cours du film, ou Hawkins et son officier abuse d’une femme d’une tribu et la tue. C’est surtout dans sa première partie que le film est difficile, pour être plus calme par la suite. Le casting du film est formidable Aisling Franciosi, est pour ma part une révélation, dans le rôle de Clare, Baykali Ganambarr dans le rôle de Billy livre une excellente prestation. Sam Clafin en officier Hawkins est détestable, c’est un véritable salaud très convaincant. La mise en scène de Jennifer Kent est exemplaire, c’est un récit certes éprouvant, mais dont le thème de la vengeance dispose d’une réalisation des plus brillante.
Sortie 4 février 1987 Durée 1h 17min Genre Animation, Famille, Aventure, Comédie musicale Date de reprise 25 mai 2016 De Don Bluth Avec Phillip Glasser, Christopher Plummer, Nehemiah Persoff, Erica Yohn, John Finnegan, Tom DeLuise… Titre original An American Tail Musique James Horner
Synopsis
Persécuté par les chats en Russie, Fievel embarque avec sa famille pour le Nouveau Monde : l’Amérique. Au cours du voyage en bateau, Fievel tombe à l’eau pendant une terrible tempête et échoue dans le port de New-York. Désormais seule, la jeune souris, aidée par de nouveaux amis, va braver tous les dangers pour retrouver sa famille…
L’avis d’Orel
Quand on pense à Fievel, cela nous emplies de nostalgie car les aventures de cette petite souris sont drôles, passionnante et touchante. Rimini éditions ressort, dans une version restaurée Fievel et le nouveau monde une occasion de découvrir ou redécouvrir cette œuvre de Don Bluth. Le réalisateur n’a fait que des films d’animation, et Fievel est celui le plus connu puis c’est aussi parce que Steven Spielberg est derrière tout ça. En effet, Spielberg est producteur du film, c’est un film qui plaira aux enfants, mais à partir d’un certain âge. Dans cette première aventure de Fievel, on suit une jeune souris qui vit avec sa famille en Russie la famille Souriskewitz. Nous sommes en 1885, une guerre éclate et la famille décide d’émigrer aux Etats-Unis, ou le père pense qu’ils auront une vie plus heureuse, et il est persuadé qu’il n’y a pas de chats là-bas. La famille embarque à bord d’un bateau, mais comme Fievel est intrépide et imprudent, il tombe dans l’océan et échoue au port de New-York.
Réfugié dans une bouteille, il est recueilli par un pigeon, puis Fievel part seul dans les rues de la ville. Il rencontre de nombreux dangers, dont des chats. La jeune souris cherche désespérément sa famille, mais l’espoir s’amenuise. Mais durant son périple, il fait des rencontres, et se lie même d’amitié avec un chat du nom de Tiger, qui va lui apporter son aide. Don Bluth réalise un film d’animation drôle et émouvant, ou on suit avec plaisir le périple de cette petite souris, face à un monde qu’elle ne connaît pas. Mais le film aborde des thèmes encore d’actualités aujourd’hui comme l’immigration représenté à travers des animaux, des immigrés fuyant une guerre. La famille est aussi un des thèmes abordé, et de manière très touchante. D’un point de vue historique, le film est donc très intéressant et Don Bluth, livre un film d’animation qui parlera sans doute plus aux adultes qu’aux enfants.
L’avis de Nicolas
Magnifique coopération entre le génie de l’animation Don Bluth et l’immense Steven Spielberg, Fievel et le Nouveau Monde est à découvrir absolument !
Fievel et sa famille quittent la Russie pour les États Unis en espérant trouver un monde dénué de chats. Lors du voyage en bateau, un terrible accident provoque la séparation de Fievel et ses parents…
Fievel et le Nouveau Monde est une superbe film d’animation qui conjugue habillement l’émotion spielbergienne et le style de Bluth. Ainsi le film reprend des éléments personnels liés au passé de Spielberg ajoutés à l’approche si unique de Don Bluth.
On y retrouve son rapport à l’infiniment petit comme calque des sociétés humaines. Chose observable dans Bribsy et le Secret de Nimh.
Ainsi les rues sombres et dangereuses de New-York trouvent leurs équivalents chez les souris. Ceci est également observable en ce qui concerne les luttes ouvrières par l’intermédiaire du groupe de souris qui tente de résister aux chats.
Le sens de l’horreur si propre à Don Bluth est également présent ! Il suffit de voir la représentation des chats qui s’apparentent à des monstres cauchemardesques de sanguinaires.
Le film est ressorti chez Rimini dans un beau combo Blu-ray/DVD le 17 mars 2021. Il est accompagné d’une interview et de cartes postales issues du film.
Fievel et le Nouveau Monde est un sommet du cinéma d’animation qu’il est impératif de découvrir ou redécouvrir. L’émotion y est d’une grande pureté et abordé des thématiques d’une manière très forte !
Détails du Blu-ray
Rapport de forme : 1.85:1
Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 21 x 15.2 x 1.7 cm; 190 grammes
Réalisateur : Don Bluth
Format : Couleur, Cinémascope, PAL
Durée : 1 heure et 21 minutes
Date de sortie : 17 mars 2021
Sous-titres : : Français
Langue : Anglais (Dolby Digital 2.0), Français (Dolby Digital 2.0), Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS-HD 5.1)
Studio : Rimini Editions
Description du produit
Master HD
Boîtier Digipack 3 volets avec fourreau
Contient :
– le Blu-ray du film (80′)
– le DVD du film (77′, VF/VOST DD 5.1 et 2.0)
– 5 cartes postales du film
Sortie 18 mars 2021 en VOD Durée 4h 02min Genre Fantastique, Action, Aventure De Zack Snyder Avec Ben Affleck, Henry Cavill, Gal Gadot, Jason Momoa, Ezra Miller, Ray Fisher, Amy Admas, Diane Lane, Jeremey Irons, Amber Heard, Jared Leto, Robin Wright… Musique Junkie XL
Synopsis
Bruce Wayne est déterminé à faire en sorte que le sacrifice ultime de Superman ne soit pas vain; pour cela, avec l’aide de Diana Prince, il met en place un plan pour recruter une équipe de métahumains afin de protéger le monde d’une menace apocalyptique imminente. La tâche s’avère plus difficile que Bruce ne l’imaginait, car chacune des recrues doit faire face aux démons de son passé et les surpasser pour se rassembler et former une ligue de héros sans précédent. Désormais unis, Batman, Wonder Woman, Aquaman, Cyborg et Flash réussiront-ils à sauver la planète de Steppenwolf, DeSaad, Darkseid et de leurs terribles intentions ?
L’avis d’Orel
Au début ce n’était qu’un rêve pour les nombreux fans, une version de la vraie Justice League. Car la version de 2017 a beau être crédité Zack Snyder, ce n’était pas vraiment le cas, mais c’était Joss Whedon qui avait du remplacé Zack Snyder, car ce dernier avait perdu sa fille. Joss Whedon saccage le film, en faisant du long-métarge une boullie et encore je suis gentil. Le film a tellement déçu, que pendant longtemps les fans ont souhaité une version Cut de Zack Snyder qui s’avérer peu probable et pourtant… Car en effet, un jour sur Twitter le réalisateur annonce qu’il y aura bien une version de Justice League (la sienne) et que cette dernière débarquera au printemps 2021. La toile s’affole, est-ce une blague ? Il semble que non, c’est du vrai, le réalisateur va vraiment sortir sa version de Justice League. Au début, il y a très peu de détails, on ne sait pas la date exacte de la sortie, et ce que comportera cette version du réalisateur.
Puis au fur et à mesure les infos parviennent, le film durera 4 h, les scènes de Whedon retiré comme la moustache effacé de Cavill d’une des façons les plus horrible. L’introduction du film n’est plus la même, en majorité, c’est un nouveau film une nouvelle version même si quelques scènes ont étaient conservés. Donc oui, c’est ce film la véritable version de Justice League, ou il choisit un format d’écran qui est de 1.33, ce qui n’a pas ravi tout le monde, mais c’est un souhait du réalisateur depuis Batman vs Superman ou ce dernier avait tourné des scènes IMAX pour Batman vs Superman. Il faudra donc probablement s’habituer a ce que ses nouveaux films, soit dans ce format. L’attente de cette version de Justice League fut longue, toujours est-elle qu’enfin, elle est enfin disponible en VOD pour le plaisir de nombreuses personnes.
Superman est mort, et le monde a du mal à s’en remettre pourtant le monde est en danger, et Bruce Wayne doit recruter des héros afin d’empêcher cette menace d’arriver a ses fins. Cette menace est DeSaad, Steppenwolf et Darkseid qui doivent trouver les 3 cubes, dans un but bien précis qui mettra fin a notre monde. Pour Wayne, il est difficile de retrouver des recrues, le premier qu’il rencontre est Aquaman et ce dernier refuse la proposition. Seul Wonder Woman est à ses côtés. Quand il propose à Flash, il accepte rapidement quant à Cyborg, il refuse quand Wonder Woman lui propose. Des refus dû au passé pour certains d’entre eux, mais qui finirons par accepter. Mais face à cet ennemi de taille, la ligue n’est pas assez puissante, il manque Superman il décide alors de le ressusciter, mais cela ne sera pas sans conséquences. En effet, ils doivent utiliser le dernier cube en leur possession, et ce dernier lors de l’utilisation avertira Steppenwolf où il se trouve. Après une méthode pas si simple, l’homme d’acier revient à la vie, mais il n’est plus le même et se bat contre ceux qui l’ont fait revenir.
Quand Lois apparaît devant lui, les souvenirs lui reviennent, il lui faudra du temps pour se rappeler de tout. Il cherche à savoir pourquoi il est revenu à la vie et c’est parce qu’il est le dernier espoir pour la ligue. Le retour de l’homme d’acier fait partie des choses les plus importantes, que possède le film avec son costume noir et un magnifique plan iconique quand ce dernier s’élève au-dessus de la planète. La renaissance de Superman, est un signe d’espoir pour l’humanité et la caméra de Snyder le décrit très bien. Cette version de l’homme d’acier est ce qui manqué cruellement, a la version bousillé de Joss Whedon. On efface et on recommence…Voilà comment cette version de Snyder pourrait se nommait aussi, bon c’est sûr ça a moins de gueule mais n’empêche que… Car du coup, c’est quand même ça, la mise en scène de Snyder est bien présente, et puis le gommage de la moustache de Cavill n’y est pas ainsi que dans cette introduction ignoble. Parlons-en justement, de cette nouvelle introduction qui change, et qui du coup est bien plus intéressante. Une introduction longue et nécessaire, qui fait office de générique. En gardant seulement quelques scènes, Zack Snyder nous fait un remake de Justice League.
Vous aurez remarqué aussi, que dans l’écriture, c’est aussi plus claire et mieux travailler que dans la version salie. Car le film prend le temps de développer les personnages, Chris Terrio, Zack Snyder et Will Beall prennent leur temps afin que tout soit le plus clair possible. Ainsi, nous avons un film divisé en plusieurs chapitres, six chapitres dont un épilogue. Des chapitres qui portent chacun un titre, bien distinct ce qui a une grande importance pour le récit. On pourra également noter la présence du Joker, que Snyder intègre dans son récit. Une version bien différente de celui de Suicide Squad, certes sa présence est vraiment courte, mais a un impact important. Un maquillage bien plus intéressant que dans Suicide Squad, et l’échange de dialogue entre lui et batman est passionnant. L’épilogue du long-métrage, espérons-le conduira à une suite parce que le film prend plusieurs directions pour le moment nous sommes un peu dans le flou par rapport à ça. En ce qui concerne Cyborg et Flash, ils sont beaucoup plus travaillés, avec une touche d’humour toujours en ce qui concerne flash.
La direction artistique est du coup la même que Batman vs Superman, alors que la version de Whedon, elle était bien trop édulcorée. Grâce à tout ça, les enjeux sont bien plus prit au sérieux. Wonder Woman se révèle toujours plus intéressante, la séquence ou elle se bat contre des terroristes démontre vraiment la puissance qu’elle possède. On verra un changement évident aussi dans la bataille finale, le terrain est différent est le spectacle cette fois est vraiment ce qu’on voulait. Puis l’arrivée de Superman qui vient se joindre au combat, est tellement épique. On pourra aussi retenir Lois Lane, ou le personnage est fabuleusement écrit, son deuil est très bien décrit elle a beaucoup du mal a s’en remettre ce qui la pousse a délaisser son travail. Zack Snyder apporte plus de dramaturgie, a son récit lui donne plus d’ampleur et donc plus d’intérêt… beaucoup plus. De ce récit s’en dégage donc plus d’émotion, et chaque héros apporte sa touche.
Le film de Snyder n’est pas exempt de défauts, car il faut avouer que quelques défauts résident dans les effets-spéciaux et parfois, ce n’est pas franchement joli mais pas pire que la version précédente de Whedon. Ben Affleck en batman avec son véritable costume, apporte une prestance extraordinaire au récit. Gal Gadot est toujours charmante en Wonder Woman, elle est tellement bad-ass, que c’est un plaisir. Henry Cavill est incroyable, son traitement est différent et on le voit enfin avec son costume noir. Ray Fisher en Cyborg, manque encore un peu de développement même si c’est mieux, c’est de même pour Ezra Miller en Flash. Quatre heures, oui, c’est long, mais honnêtement, on ne voit pas le temps passé, le film nous conduit de surprise en surprises et on n’a pas le temps de s’ennuyer. Zack Snyder rend justice, avec la véritable version de ce film, la vision d’un réalisateur qui ne cesse de surprendre.
L’avis de Lionel
En 2017 sortait Justice League, de Zack Snyder, film qui devait définitivement instauré sur le long terme un univers étendue DC pour concurrencer le Marvel Cinematic Univers au cinéma, mais il y à os, un gros… Visuellement raté, enjeux dramatique inexistant, personnage vide, des scènes d’humour indigeste et incohérences total avec ce qu’avait instauré Zack Snyder dans ses 2 précédents film DC, Man of Steel et Batman v Superman l’aube de la Justice. Mais pourquoi se virage à 180° pour un univers qui se voulait plus sombre et mature que son concurrent direct !? Pour la faire courte, suite à un drame familial terrible et des contraintes avec les majors de chez Warner Bros, Zack Snyder n’a tout simplement abandonner son bébé alors qu’il devait entamé la post production, laissant ainsi le film entre les mains de Joss Whedon, réalisateur et scénariste entre autres de Avengers 1 & 2 charger de modifier radicalement le film en ajoutant plus d’humour, en modifiant la colorimétrie, passant de teinte déssaturé et sombre à des couleurs plus vif jusqu’à outrance et en rushant un scénario infiniment trop dense pour un film devant pas dépasser les 2h tout rond.
Résultats, Justice League version cinéma ne ressemblait absolument plus à un film de Zack Snyder, mais à un clone défaillant des pires tares que même le MCU n’aurais jamais osé concevoir. Un film malade dénué de toute intégrité artistique, laid, sans âme, un échec cuisant pour la Warner et DC qui fit entrer Justice League au panthéon des pires film de Super-héros jamais sortie au cinéma. Mais alors qu’on aurait pu pensé que tout était perdu, des fans commencèrent à milité sur Twitter avec le #RealeaseTheSnyderCut en partageant des bouts de script original. Un mouvement que Snyder à finit par rejoindre et à partager, notamment via son compte Vero, plein de détails, de plans inachevé et des idées abandonné de son Justice League. L’idée d’une Snyder’s Cut bien que très alléchante était dès lors considérer comme une arlésienne, un doux rêve de fan qui se réaliserait peut-être jamais… Jusqu’à ce mois de Mars 2020 sortie de nulle part, une annonce sur les réseaux sociaux est apparu, la Snyder’s Cut était bien réel et sortirai dans le courant de l’année 2021 avec une durée de 4h02 générique compris réunissant la totalité des plans filmé par le réalisateur ainsi que le scénario complet sans la trace des moindres reshoots effectuer par Joss Whedon. Le 18 mars 2021, sur à peu près toute les plateformes dans le monde, Zack Snyder’s Justice League débarque et l’engouement et sans appel, le Cut de Zack Snyder n’a absolument plus rien à voir à la version de 2017, mais est-ce que cela veut fondamentalement dire que la Snyder’s Cut est une réussite !? Bah on va voir ça !
Alors oui en 4h, Zack Snyder à le temps d’étoffer son récit et ses personnages, mais là où Man of Steel et Batman v Superman n’ont finalement jamais su trouver cette harmonie entre grand spectacle et développement du récit, Zack Snyder’s Justice League à su trouver cet équilibre entre narration et moment de bravoure que peu de blockbuster maîtrise aujourd’hui sans dénaturer le fond comme la forme. Une chose qu’on à souvent reproché à Zack Snyder depuis qu’il à réaliser 300, c’est d’être trop souvent dans la surenchère, que se soit dans l’icônisation de ses personnages, de sa patte visuelle extrêmement léché, de l’utilisation parfois brutal de ses effets numériques dans ses séquences d’action ect… Alors si vous êtes hermétique à tout ça, vous risquez de pas passer un moment agréable devant ses 4h ou le style du réalisateur est à 100% présent. Mais pour une fois tout ses gimmicks de réalisation se trouve ici totalement justifier et surtout, plus subtile qu’il n’y paraît. Zack Snyder construit son Justice League comme un pur récit de mythologie en filmant chacun de ses plans comme des fresque mérovingienne ou des cases tout droit ici d’un comics en mouvement, gravant dans le marbre chaque effigie à ses figures divine dont il en est le sculpteur. Mais c’est bien au niveau de la narration et du développement de ses personnages que ce Snyder’s Cut brille. Octroyant à chacun son moment de gloire, Snyder mets en scène des parias vivant totalement à l’écart du monde qu’ils seront pourtant contraint de sauvé d’une menace dévastatrice. En soit rien de neuf sous le soleil, mais Snyder insuffle à son histoire une véritable dimension dramatique digne des plus grands récits héroïque et mythologique que le réalisateur affectionne tant. Ainsi même si tout cela parle de Super-héros, de guerre, d’extraterrestre qui s’affrontent dans des batailles à donner le tournis (ou des crises d’épilepsie selon les goûts de chacun)… Tout cela sert uniquement le récit, et le souffle épique donner à chacun de ses instants de bravoure vaut son pesant d’or.
Mais au-delà du récit grandiloquent, épique et généreux que nous procurent le film dans un déluge d’effet spéciaux numérique (parfois réussi, parfois inégal), Zack Snyder nous parle du deuil, difficile à assumé mais au combien essentiel si on veut aller de l’avant et espéré alors un jour revoir la lumière dissiper les ténèbres. On comprend maintenant pourquoi Zack Snyder, alors en plein deuil de sa fille aînée lors de la post production, n’a jamais pu terminer son film, avec de telles thématique à aborder. 3 ans et demi plus tard, Zack Snyder décide de sortir des ténèbres et c’est au travers d’une scène entre Martha Kent et Loïs Lane (respectivement interprété par Diane Lane et Amy Adams) qu’il décide de faire passer son message. « Revenez parmi les vivants » lance la mère adoptive de Superman à l’intrépide reporter en deuil, des mots simples et fort qui ont également sûrement fait écho dans le cœur du réalisateur. On pourrait également faire le rapprochement avec les arcs narratif de Cyborg et Flash, l’un devant accepter sa condition d’homme machine et l’autre aller de l’avant pour pouvoir atteindre ses objectifs. En plus d’avoir insuffler sa vision ultime du genre Super-héroïque, Zack Snyder y à mis tout son cœur et ça c’est pas donner à tout les blockbusters aujourd’hui.
Dense, épique, démesuré, émouvant, on pourrait aller encore plus loin tellement il y à de choses à dire, mais on va déjà se contenter de ça. Une chose est certaine, Zack Snyder’s Justice League marquera l’histoire de la pop culture mondiale !
Pour cette deuxième émission, nous revenons sur deux films qui sont : Archive et Wind River. Deux films important, dont il était important de revenir dessus les critiques des deux films sont d’ailleurs disponible sur le site.
Sortie 24 février 2021 en DVD Durée 1h 54min Genre Science fiction, Thriller De Egor Abramenko Avec Oksana Akinshina, Fedor Bondarchuk, Pyotr Fyodorov, Anton Vasilev… Titre original Sputnik
Quelque chose en lui…
Synopsis
Suite à un mystérieux incident dans l’espace, la mission de Constantin prend une tournure dramatique : son vaisseau se crashe, et son acolyte meurt dans d’inquiétantes circonstances. Mais plus étrange encore, Constantin semble ne se souvenir de rien. Il est alors amené dans un centre militaire ultra-confidentiel pour suivre une série de tests afin de faire la lumière sur ce qui s’est réellement passé durant la mission. Tatiana, psychologue de renom, s’intéresse de près à son cas, et commence à réaliser l’impensable : Constantin n’est pas revenu seul, quelque chose sommeille en lui. Quelque chose qui pourrait tous les mettre en danger…
Dans le genre S.F les Russes savent y faire, Sputnik est d’ailleurs l’exemple parfait. À la réalisation Egor Abramenko qui livre sa toute première réalisation. Chez nous pas de sortie dans les salles, mais une sortie VOD, mais aussi disponible en support physique. Dans Sputnik, on peut y voir des références aux films de genre, comme Alien ou l’intrigue ne se déroule pas dans l’espace sauf pendant les cinq premières minutes du film. Le film ne se contente pas d’une créature qui attaque l’homme, car la créature dans ce film a besoin de son hôte pour survivre qui n’est autre qu’un être humain. Comment une chose pareille a pu arriver ? Pour cela, une psychologue est contacté, afin de comprendre ce qui se passe. Pour l’armée comprendre cette chose est-utile, cela pourrait être une arme. Il y a du travail, dans la mise en scène ainsi que dans l’écriture un film qui possède plein de choses et qui en fait un très bon film de S.F. Pour un premier film Egor Abramenko maîtrise, le tout où l’on sent une approche intéressante de ses personnages.
En mission dans l’espace Constantin et son collègue, sont victime d’un incident à leur retour, l’un des deux est mort mystérieusement et pour Constantin, il n’a aucun souvenir. Pourtant, quelque chose s’est bien produit, il a subi un changement dans son comportement. L’homme est alors conduit dans un centre militaire ultra-confidentiel, afin de faire des tests pour comprendre de qui s’est passé. L’armée fait appel, a une psychologue réputé dans son domaine Tatiana, qui devra résoudre ce mystère. La jeune femme s’entretient avec Constantin, mais n’apprend pas grand chose, mais tous découvrent que l’astronaute abrite en lui, une créature. Cette dernière s’extirpe de son corps par la bouche, pendant un moment pour retourner dans son hôte et toujours dans les mêmes heures de chaque jour. Tatiana essaie d’entrer alors en contact, avec cette créature qui s’avère être agressive. Cette chose a besoin de Constantin, et lui a besoin d’elle pour survivre s’ils s’éloignent l’un de l’autre, ils mourront. Pour le colonel de l’armée, il voit en cette chose l’occasion de s’en servir comme arme. Il teste alors l’agressivité de la créature, sur des prisonniers et Constantin voit sa propre vie menacée, non par cette chose, mais par l’armée qui aura besoin de lui pour se servir de la créature comme arme. Il est intéressant de découvrir le lien qui unis cet homme et la créature, car pour se défendre Constantin peut se défendre via la créature. Egor Abramenko, fait bien comprendre, qui est la véritable menace dans son long-métrage.
C’est le réalisateur Egor Abramenko qui signe le scénario de son film, il adapte l’un de ses courts-métrages sortie en 2017, pour en faire quelque chose de plus développer. Le film permet de bien s’attarder, sur l’état psychologique de l’astronaute. On voit que le réalisateur prend le temps de développer ses personnages, que ce soit Constantin ou encore Tatiana, qui est le psychologue. En ce qui la concerne, Tatiana, on en apprendra également sur elle. Le film montre aussi qui est la vraie menace, bien que la créature soit hostile, elle n’est pourtant pas celle qui est le plus à craindre. Les actes que commet l’armée, montre bien ce qu’ils sont capables de faire. Tatiana au début ne se doutera pas, de ce qu’ils désirent avant tout, mais quand elle découvre leur but elle deviendra pour l’armée quelqu’un de gênant. Le lien qui rapproche Constantin et Tatiana est d’ailleurs très bien aborder, et comme il devient quelque chose dont l’armée veut se servir Tatiana va tout faire pour lui apporter son aide. Sputnikest un long-métrage intéressant, car il prend le temps de développer ses personnages avec un récit ou des thèmes importants y sont abordés. On notera au casting Oksana Akinshinadans le rôle de Tatiana, mais aussi Pyotr Fyodorov qui interprète Constantin des rôles convaincants et touchant. Sputnik dans le genre, ne fait pas dans les clichés et arrive à captiver le spectateur par ses idées dans sa mise en scène, mais aussi dans l’écriture du scénario.
Bande annonce
Détails du blu-ray
Rapport de forme : 2.35:1
Classé : Tous publics
Poids de l’article : 80 grammes
Réalisateur : Egor Abramenko
Durée : 1 heure et 49 minutes
Date de sortie : 24 février 2021
Acteurs : Oksana Akinshina, Fedor Bondarchuk, Pyotr Fyodorov, Anton Vasilev, Aleksey Demidov
Sous-titres : : Français
Langue : Russe (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 2.0), Français (Dolby Digital 5.1)
Studio : Condor Entertainment
Sortie 21 novembre 2012 Durée 1h 47min Genre Drame De Juan Antonio Bayona Avec Naomi Watts, Ewan McGregor, Tom Holland, Sonke Mohring, Samuel Joslin, Oaklee Pendergast, Géraldine Chaplin… Musique Fernando Velazquez
L’impossible est possible
Synopsis
L’histoire d’une famille prise dans une des plus terribles catastrophes naturelles récentes. The Impossible raconte comment un couple et leurs enfants en vacances en Thaïlande sont séparés par le tsunami du 26 décembre 2004. Au milieu de centaines de milliers d’autres personnes, ils vont tenter de survivre et de se retrouver. D’après une histoire vraie.
Le 26 décembre 2004 eut lieu, l’une des catastrophes, les plus dévastatrices que la Thaïlande ai pu connu. C’est à cette date qu’un Tsunami, a ravagée tout sur son passage. Le cinéaste Juan Antonio Bayona décide d’adapter cette catastrophe a l’écran, en se focalisant sur une famille en particulier. Le réalisateur retrace le calvaire de la famille Alvarès qui a vécu le drame, pour le besoin du film, le nom de famille a était modifié, mais les prénoms sont les mêmes de ceux qui ont vécu le drame. Au cœur de ce récit Maria, la mère, Henry le père, Lucas le fils aîné et Simon et Thomas les plus jeunes. Dans le film, la famille est américaine, tandis que la famille est espagnole, dans le vrai récit. Cependant, Juan Antonio Bayona, relate exactement les faits qu’ont vécus cette famille lors du 26 décembre. Le film est difficile, c’est certain, car on est en immersion avec cette famille plongé dans cette détresse. Le film est extrêmement poignant, il est difficile de retenir ses larmes. Avec The Impossible, Tom Holland y livre l’un de ses premiers rôles et le jeune comédien est incroyable, car il livre une prestation avec une telle sincérité. Ce qui est sûr, c’est qu’avec ce film Juan Antonio Bayona, nous plonge dans un film ou l’émotion se ressent fortement.
La famille Bennett Henry, Maria et leurs enfants sont en direction de la Thaïlande pour les vacances de Noel. À leur arrivée, ils découvrent le magnifique hôtel où ils vont séjourner, et le séjour sur les lieux commence plutôt bien. L’hôtel se trouve a seulement quelque mètres de la plage, c’est un hôtel qui a ouvert depuis une semaine. Le lendemain de Noël, alors que la famille se trouve à la piscine de l’hôtel le temps, change rapidement un vent étrange se met a souffler. C’est alors qu’un tsunami dévaste l’hôtel en quelques secondes, emportant la famille violemment avec, Maria sort de l’eau et s’accroche a un arbre en hurlant. Elle aperçoit au loin, son fils aîné Lucas, qui tente tant bien que mal à s’accrocher a quelque chose. La première partie du film, se concentre sur la mère et son fils aîné, on découvre que cette dernière est sérieusement blessée et qu’elle a rapidement besoin de soin. Puis plus tard, on reverra Henry, le père ainsi que les deux jeunes enfants Simon et Thomas. Henry cherche Maria et Lucas, pendant des heures, il confie même ses enfants pour qu’il soit conduit ailleurs pour se consacrer a la recherche de Maria et Lucas. L’espoir s’amenuise et Henry, ressent une grande détresse qu’il partage avec d’autres personnes dans une scène très forte quand ce dernier est au téléphone en pleurs. Juan Antonio Bayona livre une puissante mise en scène, ou l’on ressent la détresse de cette famille face à une catastrophe dévastatrice. Le passage ou le tsunami dévaste tout, sur son passage est une scène impressionnante le tout est très réaliste. Le film est immersif, surtout au début du film lorsque le tsunami ravage tout et que Maria et son fils tente de s’en sortir.
Le scénariste Sergio G.Sanchez adapte l’œuvre de Maria Belon, la mère de famille qui a vécu le drame donc à part le nom de famille changer et quelques modifications dans les prénoms le film est dans le vrai. C’est un récit déchirant, le film est assez dur ou le scénariste grâce à une maîtrise dans son écriture nous fait ressentir beaucoup de choses. On suit cette famille, face à une catastrophe a la recherche de ceux qu’ils aiment. Les liens familiaux est bien évidemment le thème principal qu’aborde le film, et d’une façon parfaite. On découvre les liens fort, qui unis cette famille et c’est très touchant. Il y a des plans magnifique qu’offre Juan Antonio Bayona , il faut dire qu’aussi Oscar Faura le directeur de la photographie y est pour quelque chose. Ewan McGregor joue Henry le père de famille, Naomi Watts elle interprète Maria la mère. Puis Tom Holland, interprète l’un de ses premiers rôles à merveille. The impossible prouve que décidément Juan Antonio Bayona, sait y faire pour nous remplir d’émotion et c’est toujours un plaisir de découvrir ses œuvres.
Sortie 20 avril 2005 Durée 1h 42min Genre Drame De Zach Braff Avec Zach Braff, Natalie Portman, Ian Holm, Jill Flint, Denis O’Hare, Peter Sarsgaard, Method Man, Jim Parsons… Musique Chad Fischer
Zack Braff a sa première réalisation
Synopsis
Acteur de télévision, Andrew » Large » Largeman est obligé de retourner dans son New Jersey natal pour l’enterrement de sa mère. Soudain, il se retrouve sans les antidépresseurs et les 3000 kilomètres qui le protégeaient de son histoire…
Après neuf ans d’absence, Large revoit son père, un vieil homme dominateur, mais aussi tous ceux avec qui il a grandi. Ils sont aujourd’hui fossoyeur, employé de fast-food ou magouilleur professionnel…
Sa rencontre avec la jolie Sam va le bouleverser encore un peu plus. Elle est son exacte contraire, vivante et audacieuse.
Entre passé et futur, entre douleur et joie, Large va découvrir qu’il est peut-être temps de commencer à vivre…
C’est la série Scrubs qui a fait connaître Zach Braff, l’interprète de J.D mais le comédien principal de la série s’est mis à la réalisation de son premier film en 2005 avec Garden State. Un film indépendant ou le jeune réalisateur, avec son premier long-métrage aborde l’amour, l’amitié et les relations père/fils difficile. Depuis Garden State, la série Scrubs s’est terminée il y a quelques années, puis il a réalisé deux autres longs-métrages le rôle de ma vieet Braquage à l’ancienne. Garden State reste son long-métrage, le plus touchant ou Zach Braff tient le rôle principal, il interprète Andrew Largeman, un jeune homme obligé de revenir dans sa ville natale pour enterrer sa mère. Il devra affronter, les retrouvailles avec son père qui n’ont jamais étaient au beau fixe. Ce qu’il faudra retenir aussi, dans Garden State, c’est la bande originale, ou Zach Braffchoisi toujours minutieusement des artistes qu’il admire comme The Shins par exemple. Le film a déjà plus de 15 ans, mais c’est toujours un plaisir de découvrir ce film drôle et touchant.
Andrew Largeman est un trentenaire, qui vit a Los-Angeles, il est comédien et n’a obtenu que très peu de rôle. Puis il reçoit un coup de téléphone, de son père qui lui annonce la mort soudaine de sa mère. Il est obligé de se rendre dans son New Jersey natal, pour l’enterrement. Il va devoir affronter son père qui est un psychiatre, qui n’est pas forcément facile à vivre. N’ayant pas eu une enfance facile, durant les quelques jours de retour dans sa ville Andrew évite son père, il est loin de ses antidépresseurs de plus et ce n’est pas facile pour lui. Juste après la sépulture, il tombe sur un ami d’enfance Mark, qui l’invite a une fête ou Andrew prend un peu de drogue. Le lendemain, il fait la rencontre d’une jeune femme Samantha, au fil des jours, ils deviennent amis et Andrew commence à ressentir des choses pour elle. Le fait de revoir ses amis d’enfance et fréquenté Sam, lui permet de se changer les idées. Seulement Andrew n’a pas encore fait le deuil de sa mère, cette dernière était paraplégique et c’était de la faute à Andrew à cause d’un accident quand il avait neuf ans. Puis sa mère ne lui a jamais vraiment démontré de l’amour, ou alors que très peu. Si les relations sont aussi difficiles, avec son père, c’est en partie à cause du passé. Avec Garden State, Zach Braffpose sa caméra tout en nous livrant une histoire sur la vie ses tracas et ce qui va avec l’amour, l’amitié aussi. On y voit aussi le temps qui a passé, ou beaucoup des amis d’Andrew sont devenu fossoyeur ou alors baigne dans des magouilles en tout genre. La mise en scène de Zach Braffest assez poétique, puis avec cette bande originale encore plus. Pour une première réalisation Zach Braff, sait comment raconter une histoire telle que celle-ci. C’est un film assez personnel, et on le remarque à travers le personnage, que Zach Braff interprète merveilleusement bien.
En plus d’être un très bon réalisateur, Zach Braff s’illustre aussi dans l’écriture de son film. Si cela peut paraître simple, le récit est tout de même passionnant que ce soit quand il aborde l’amitié dans son récit, et même l’amour. La romance qui débute entre Andrew et Sam est intéressante, c’est une histoire poétique qui ne sombre jamais dans la mièvrerie, c’est ce qu’on remarque aussi une maîtrise dans l’écriture. On pourra retenir aussi les relations père/fils entre Andrew et son père, on découvre qu’ils n’ont jamais vraiment était une famille heureuse. Le deuil est aussi abordé, car Andrew a du mal a réalisé que sa mère n’est plus là. On ressent bien alors le talent de Zach Braff dans cette écriture, c’est l’une des grandes forces du long-métrage. C’est un film intimiste que livre Zach Braff, et on ne peut-être que séduit par la narration. Zach Braff interprète Andrew, un personnage timide, qui va devoir affronter des choses difficiles. Natalie Portman interprète Samantha, qui deviendra sa petite amie. Peter Sarsgaard est également a l’affiche du film, dans le rôle de Mark ami d’enfance d’Andrew. Garden State après plus de 15 ans, reste un film ou Zach Braff brille par une réalisation et une écriture maîtrisée.
Sortie 6 mars 2021 en DVD Durée 1h 41min Genre Action, Thriller, Science fiction De Joe Carnahan Avec Frank Grillo, Mel Gibson, Naomi Watts, Will Sasso, Annabelle Wallis, Michelle Yeoh, Mathilde Ollivier… Musique Clinton Shorter
Frank Grillo prisonnier du temps…
Synopsis
Un vétéran des forces spéciales à la retraite revit sans cesse la même journée, celle-ci se terminant à chaque fois par sa mort. Pour stopper cette incessante souffrance, il doit trouver qui en est responsable et l’arrêter.
Joe Carnahan est un réalisateur sous-estimé, c’est quand même lui qui a réalisé le territoire des loups avec Liam Nesson un très bon film. Même si l’agence tous risque est celui qui est peut-être le moins intéressant de sa carrière, il reste néanmoins un remake de la série télévisé loin d’être mauvais. Le réalisateur n’était pas revenu derrière la caméra depuis un moment, il faut dire que les studios ne veulent que très rarement financé les projets du réalisateur. Cette année, il revient avec un nouveau long-métrage, pas de sortie dans les salles, mais une sortie VOD au vu de la situation l’actuelle, mais pas que… Ce n’est certainement pas le film de l’année, mais c’est divertissant, avec Frank Grillo encore en mode bad-ass puis un Mel Gibson peu présent, mais quand même efficace en méchant du film. Le film de Joe Carnahan, a son côté fantastique puisque le héros principal se retrouve bloqué dans une boucle temporelle, le concept fonctionne, encore, mais le précurseur reste un jour sans fin, avec Bill Murray. Du coup, ce n’est pas bien original, mais n’empêche que le concept fonctionne encore plutôt bien cette fois-ci. Il faut signaler que la charmante Naomi Watts est présente au casting, et ce n’est pas déplaisant de la voir. Le film est en VOD depuis le 6 mars, et c’est une occasion pour découvrir, le nouveau long-métrage du réalisateur.
Roy Pulver est un vétéran, qui n’est plus vraiment en activité, il est séparé de sa femme et passe ses journées a draguer et boire un peu trop même. Le cours de sa vie change, lorsqu’il se remet à vivre la même journée et à chaque fois, il meurt. En effet, Roy est poursuivi par des tueurs, et dés son réveil, on cherche à l’exécuter à force, il sait anticipé, ce qui va se passer. Mais chaque fois, il doit affronter une Asiatique du nom de Guan-Yin, qui manie l’épée avec une telle maîtrise qu’il se fait décapiter. Il ne sera pas tué, à chaque fois par la même personne ça peut quelques fois, être un accident bête. À force de revivre cette journée des centaines et des centaines de fois, il sait ce qui va arriver. Mais il ne comprend pas pourquoi ces tueurs, lui en veulent et tout ça est à cause de son ex-femme. Jemma, son ex-femme, travaille, dans un laboratoire, et le colonel Clive Ventor supervise les projets de l’ex-femme de Roy, mais c’est un homme dangereux. L’ex-femme de Roy, travaille sur une machine concernant le continuum espace-temps, mais cette machine pourrait détruire le monde et Ventor a des projets bien sombres. Jemma trafic la machine, afin que Roy puisse empêcher tout ça, mais il devra revivre la même journée et tenter de sauver Jemma que Ventor a exécuté, car il a découvert la trahison de cette dernière. Roy devra anticiper et redoublé d’efforts afin d’arriver a sauvé Jemma, et stopper cette journée qu’il ne cesse de revivre. Boss Level, c’est un peu comme un jeu-vidéo, d’ailleurs, on peut y voir une sorte d’hommage tout le long du film. Le long-métrage est aussi une comédie d’action, clairement, car l’humour est très présent et ça fait plaisir de voir Frank Grillo dans ce registre, même si pour le côté bad-ass, c’est du déjà vu. Il est clair, qu’on ne s’ennuie jamais la mise en scène est survitaminée et offre de très bons moments d’humour et d’action.
Le scénario est assez classique, mais franchement, ce n’est pas gênant, car on n’en sait un minimum sur le développement des personnages et c’est bien suffisant. Joe Carnahan, Eddie et Chris Borey sont a l’écriture du scénario. C’est assez simple, même au niveau du traitement des personnages. Puis le concept, est plutôt bien maîtrisé, car même si c’est du déjà vu, ça reste divertissant. La réalisation dispose de scène efficace, et ça reste parfois spectaculaire. Frank Grillo y campe encore un mec bad-ass, qui casse des têtes, mais avec une touche d’humour. Mel Gibson interprète Clive Ventor, le méchant du film qui possède une petite armée afin d’éliminer Roy. Naomi Watts joue l’ex-femme de Roy, une scientifique travaillant pour Clive qui mettra sa vie en danger. Boss Level n’est pas le film, le plus marquant de Joe Carnahan, mais c’est un divertissement très honnête.
Sortie 1h 22min Genre Epouvante-horreur, Thriller De Kevin Lewis Avec Nicolas Cage, Emily Tosta, Beth Grant, Ric Reitz, Chris Warner, Kai Kadlec, Caylee Cowan, Jonathan Mercedes… Musique Emoi
Le parc de l’enfer
Synopsis
Un gardien d’un parc d’attractions se retrouve bloqué durant toute une nuit. Les monstres du parc prennent vie et sont à sa poursuite. L’homme doit les vaincre pour survivre jusqu’au matin et être enfin libéré.
Personne ne connaît Kevin Lewis, ou alors très peu et ce film sera peut-être une occasion de le faire connaître. Il y a quelques mois, la bande-annonce de ce film débarque et on ne peut qu’être intéresser à voir Nicolas Cage pété des têtes a des animatroniques. Seulement depuis des années maintenant Nicolas Cage, ce n’est plus ce que c’était, bien que j’apprécie le bonhomme, car il essaie de bien faire le pauvre, mais malgré tout, il se plante sauf que… Oui il y a un « sauf » et c’est que le comédien arrive à jouer dans des films, vraiment très bons comme Mandy et Color Out of Space qui n’ont pas connu de sortie dans les salles. Ces deux films sont vraiment des expériences intéressantes, voir dérangeante ou même malsaine avec ces deux films le comédien était remonté dans l’estime de pas mal de fans du comédien. Mais après ça, il replonge dans des DVD sans importance, avec toujours la même histoire. Même Mom and Dad était pas trop mal, avec Willy’s Wonderland l’espoir d’un autre bon film était là ! Hélas, ce n’est pas le film qui marquera son grand retour, ce qui est peu probable maintenant, il faut dire aussi que le comédien n’est pas le seul en cause, sur ce long-métrage qui au final reste un semi-ratage personnellement.
Un homme sans nom, roule en voiture à bord d’un super bolide puis ce dernier roule sur une herse posé en travers de la route. Bien embêté l’homme attend qu’une voiture arrive, car il se trouve dans un coin perdu. Quand une voiture arrive, un homme le dépanne et le conduit au garage ou sa voiture sera remorquée, mais l’homme qui ne lâche pas un seul mot n’a pas de quoi payé les réparations de son véhicule. C’est alors que le directeur d’un parc d’attraction qui a fermé ses portes, propose à cet homme de faire le ménage durant la nuit afin de pouvoir payé les réparations de son véhicule. Dans la même petite ville, une jeune fille et ses amis ont comme but de brûler le parc, pas par plaisir, mais parce que cet endroit renferme des animatroniques tueur, et la bande de jeunes se retrouve alors accidentellement enfermée à l’intérieur avec cet homme présent pour faire le ménage. C’est alors que le massacre commence, bien avant que les jeunes débarquent déjà l’homme s’était retrouvé face à un animatronique qu’il détruit sans trop de difficulté. Les raisons de ce pourquoi, ces animatroniques attaquent auront une réponse bien qu’au final, on s’en fiche un peu. En tout cas Willy’s Wonderland, ne possède pas une mise en scène vraiment intéressante, le film est limite ennuyeux. On nous montre un Nicolas Cage muet, qui ne poussera que des vulgaires grognements, pendant les bastons. Au vu de ce concept, on aurait vraiment espérer quelque chose de plus fun mais le film ne décolle jamais pour nous offrir quelque chose de jouissif, il y avait vraiment matière à faire pourtant. Cette bande de jeunes est totalement naze, et n’apporte rien au film. C’est une réalisation sans intérêt, que nous livre Kevin Lewis, ou il exploite que très peu le délire que propose le film.
L’écriture concernant le personnage de Nicolas Cage, est fainéante, c’est un personnage muet et pourquoi ? On ne le saura pas, il n’a même pas l’air étonné de voir des animatroniques prendre vie. Il accepte de faire le ménage, dans un parc si facilement sans poser de questions (normal puisqu’il ne parle pas), a la place des mots, on aura le droit à des grognements qui seront la seule chose dont il dispose quand il exprime quelque chose. Le scénariste est G.O Parsons, et on se demande également l’intérêt sur la présence de cette bande de jeunes, car celle qui porte le plus d’intérêt est évidemment la meneuse de la bande. Pour être honnête, ils sont surtout prétexte au massacre, qui suivra. C’est d’ailleurs durant leur massacre que le film est le plus fun, dans la façon dont ces derniers se font tuer. Car à ce niveau-là, le scénariste est assez ingénieux et s’éclate dans la façon dont meurt ces jeunes de plus par des animatroniques. Nicolas Cage est un peu trop étrange, car il n’y a pas de développement le concernant, la jeune Emily Tosta, elle tire son épingle du jeu. Une sortie VOD une fois de plus, avec Nicolas Cage ou le film dispose d’une réalisation bas de gamme, dommage, car il y avait du potentiel.
Sortie 23 juin 2021 Genre Animation, Famille De Enrico Casarosa Avec Jacob Tremblay, Jack Dylan Grazer, Emma Berman
Synopsis
Dans une très jolie petite ville côtière de la Riviera italienne, un jeune garçon, Luca, vit un été inoubliable, ponctué de délicieux gelato, de savoureuses pasta et de longues balades en scooter. Il partage ses aventures avec son nouveau meilleur ami, mais ce bonheur est menacé par un secret bien gardé : tous deux sont en réalité des monstres marins venus d’un autre monde, situé juste au-dessous de la surface de l’eau…