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Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

OSS 117 : ALERTE ROUGE EN AFRIQUE NOIRE Bande Annonce Teaser 2

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Sortie 14 avril 2021
Genre Comédie, Espionnage, Aventure
De Nicolas Bedos
Avec Jean Dujardin, Pierre Niney, Fatou N’Diaye
Nationalité Français

 

 

Synopsis

1981. Hubert Bonisseur de La Bath, alias OSS 117, est de retour. Pour cette nouvelle mission, plus délicate, plus périlleuse et plus torride que jamais, il est contraint de faire équipe avec un jeune collègue, le prometteur OSS 1001.

CHERRY Bande Annonce VF (2021)

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Sortie 12 mars 2021 sur Apple Tv+ France
Genre Biopic, Drame, Thriller
De Joe Russo, Anthony Russo
Avec Tom Holland, Ciara Bravo, Bill Skarsgård
Nationalité Américain

Synopsis

Un aide-soignant militaire est de retour de la guerre en Irak. Atteint de stress post-traumatique, il se met à braquer des banques pour financer sa dépendance aux opiacés.

Possessor Uncut de Brandon Cronenberg

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Sortie avril 2021
De Brandon Cronenberg
Durée 1h 42min
Avec Andrea Riseborough, Jennifer Jason Leigh, Sean Bean, Tuppence Middleton, Christopher Abbott, Rossif Sutherland…
Nationalités Canadien, Britannique
Musique Jim Williams

 

La perte de l’identité par Brandon Cronenberg

 

 

Synopsis

Tasya Vos est agente au sein d’une organisation secrète utilisant une technologie neurologique qui permet d’habiter le corps de n’importe quelle personne et la pousser à commettre des assassinats aux profits de clients très riches. Mais tout se complique pour Tasya lorsqu’elle se retrouve coincée dans le corps d’un suspect involontaire dont l’appétit pour le meurtre et la violence dépasse le sien de très loin.

Le fils de David Cronenberg s’est mis il y a quelques années à la réalisation, premier film en 2012 avec Antiviral et on peut dire que ce film particulier n’aura pas tant fait parler de lui. En 2020 le fils du génie est de retour avec son deuxième long-métrage, qui se nomme Possessor et on peut dire de ce dernier qu’il est aussi particulier que le premier. Malsain et violent sont les deux premiers mots qui viennent à l’esprit, dans ce nouveau film. Il est loin du style de son père, et c’est tant mieux. Possessor est un film qui possède un concept vraiment intéressant, et Brandon Cronenberg l’exploite plutôt bien. Il y a énormément des scènes violentes, et cela dès le début. Mais il est aussi difficile, de comprendre certaines choses qui s’y déroulent. Il se passe de nombreuses choses au cours du long-métrage, mais il maîtrise le concept avec brio. Andrea Riseborough est impressionnante, dans le rôle de Tasya, celle qui perd l’esprit et dont son job en est la cause. Même si Antiviral ne m’avait pas tant plu que ça, Possessor m’a plus marqué par son sujet très bien exploité. Ce qui est sûr, c’est que le fils Cronenberg a du talent tout comme son père avec un style différent.

Une organisation secrète utilise une technique neurologique, et Tasya Vos travaille au sein de cette organisation. Dans cette technique qu’utilise Tasya elle doit habiter le corps d’une personne, et la pousser à commettre des meurtres au profit de clients très riches. Le film s’ouvre sur une exécution d’ailleurs, Tasya habite le corps d’une femme puis assassine un homme lors d’une soirée en public, en enfonçant une fourchette dans la gorge d’un homme. Une fois la personne exécutée elle reprend son corps, cette technique n’est pas sans conséquence car après la mission elle est prise de vomissement et doit passer des tests de mémoires. Ces tests permettent de voir si Tasya garde ses souvenirs, et pas ceux des corps qu’elle a habités. Même si ses souvenirs sont intacts, elle a des flashs violent dans son esprit du meurtre qu’elle a commis. Sa prochaine mission consiste à intégrer le corps de Colin Tate, qui travaille dans la société dont le père de sa fiancée est PDG et c’est donc John Parse qui est la cible. Mais ce job détruit l’esprit de Tasya, et ce bien avant cette nouvelle mission qui n’arrange pas son esprit dégradé. En effet Tasya perd totalement le contrôle de son esprit, en commettant des meurtres des plus horribles façons tout en étant dans le corps de Colin, qui est une personne fragile qui plus est. Ce retour de Brandon Cronenberg, pour son deuxième long-métrage, est une expérience une fois de plus particulière. La mise en scène est unique, le réalisateur impose son propre style et retranscrit parfaitement a l’écran la perte d’identité d’une femme. Une perte de son identité, qui la poussera à commettre l’irréparable envers son ex-mari et son propre fils. Il y a deux esprits pour un seul corps, et Colin n’a pas l’air de se rendre compte immédiatement que Tasya va profiter de ce corps pour assouvir ce besoin de meurtre, qui la ronge. On voit peu à peu, que Colin n’a plus le contrôle de son esprit. La réalisation montre parfaitement comment Tasya perd contrôle, comme cette scène dans la dernière partie du film avec ce masque qui signifie beaucoup de choses. Ce nouveau film de Brandon Cronenberg, cependant n’est pas une oeuvre à mettre sous-tout les yeux.

C’est Brandon Cronenberg qui est a l’écriture du scénario, il maîtrise tout ça et le fait bien. Karim Hussain en directeur de la photographie, livre une ambiance au film assez malsain ce qui donne tout le charme au film. Les couleurs utilisées au cours du film, ont tout leur intérêt car elle donne une identité propre à chaque scène. Le traitement des personnages est incroyable, on y perçoit très bien la dégradation de l’esprit de Tasya à travers le corps de Colin qui lui peu à peu n’aura plus du tout le contrôle. Même si on ne voit pas souvent Tasya, on ressent sa présence. La violence présente dans le film, caractérise très bien a quel point Tasya, n’est plus elle-même les scènes sont d’ailleurs assez choquantes avec beaucoup d’hémoglobines. Andrea Riseborough est grandiose, et donne un aspect terrifiant à son personnage, Christopher Abbott est aussi grandiose dans le rôle de Colin. Sean Bean est aussi à l’affiche, dans le rôle de John Parse, puis Tuppence Middleton joue la fille de John qui lui, ne porte pas vraiment d’amour pour sa fille. On retiendra aussi la prestation de Jennifer Jason Leigh, qui joue la supérieure de Tasya dans cette organisation. Une organisation dont on n’en saura que très peu, c’est surtout cette technologie qui est mise en avant plus que l’organisation en elle-même. Cette entreprise est-elle légale? Quelque chose qu’on ne saura pas également, mais cela n’a pas vraiment d’importance. Une fois que l’on a compris, le fonctionnement de cette technologie la perte d’identité de Tasya est mise en avant. Possessor est un film, où Brandon Cronenberg impose ses idées et traite son sujet comme il faut, un réalisateur qui fait son chemin dont le meilleur est probablement a venir.

 

Bande annonce

DÉTOUR MORTEL (Wrong Turn) Bande Annonce VF

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Sortie 23 février en DVD et VOD
Genre Epouvante-horreur
De Mike P. Nelson
Avec Matthew Modine, Emma Dumont, Charlotte Vega
Nationalité Américain

 

 

Synopsis

Un groupe d’amis se retrouvent coincés en bordure d’une forêt peuplée par d’étranges créatures. Ils disparaissent au fur et à mesure…

The Vast of Night de Andrew Patterson

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Sortie 3 juillet 2020 sur Amazon Prime Video
Durée 1h 31min
Genre Drame, Science fiction
De Andrew Patterson (I)
Avec Sierra McCormick, Jake Horowitz, Gail Cronauer, Bruce David Bayne, Cheyenne Barton, Mollie Milligan…
Nationalité Américain

 

Cette nuit là, sur terre…

 

Synopsis

A la fin des années 1950, au Nouveau-Mexique. Une jeune demoiselle du téléphone, Fay et un animateur radio, Everett découvrent une étrange fréquence comportant des appels interrompus et anonymes et des signaux sonores conduisent Fay et Everett à résoudre l’énigme…

Il y a des films ou il est difficile de trouver des mots, et ce film en fait parti. À la réalisation de The Vast of Night il s’agit d’Andrew Patterson un réalisateur de 37 ans, qui réalise son tout premier film. À l’affiche des acteurs méconnus, ce qui n’est pas une mauvaise chose car l’immersion est d’autant plus importante. Le film possède beaucoup de choses, que ce soit dans la réalisation ou encore dans son aspect technique. The Vast of Night, c’est aussi un hommage aux émissions des années 50, et cela dès le début du long-métrage. Beaucoup de réalisateur  prouve, avec leur premier film qu’ils sont prometteurs et c’est le cas avec ce dernier. Produit par Amazon Studios et distribué par Amazon prime, le film est vraiment une oeuvre particulière à découvrir car l’expérience est unique.

Nous sommes en 1958, Fay Crocker est une jeune fille qui traîne avec l’animateur de radio d’une petite ville du Nouveau Mexique qui s’appelle Everett. La jeune fille remplace sa mère au standard, le soir car cette dernière est infirmière. Mais ce soir au standard Fay découvre une étrange fréquence radio, comportant des signaux sonores mais aussi des appels interrompus. Fay appelle Everett et lui fait écouter cette étrange fréquence, intrigué par ce son étrange il décide de faire écouter la fréquence à ses auditeurs, et leur demande d’appeler s’ils connaissent ce son. Fay rejoint Everett a la station, et ils reçoivent l’appel d’un auditeur Billy qui connaît cette fréquence et son témoignage est sidérant. Fay et Everett poursuivent leur enquête, et vont faire des découvertes étonnantes et vont faire la rencontre d’une vieille femme, qui va faire des révélations sur « les gens qui viennent du ciel » ce dont ne croit pas vraiment Everett. The Vast of Night, est un film vraiment particulier avec une grande part de mystère, c’est d’ailleurs ce qui en fait son charme. Il n’est pas un simple film de science-fiction, il apporte sa touche de poésie notamment sur la fin et c’est d’une grande beauté. Visuellement le film est aussi très beau, on est rapidement plongé dans cette ambiance des années 50. Le film brille aussi par son aspect technique, on pourra retenir un splendide plan-séquence qui est d’une maîtrise étonnante. Et pour un premier film il est incroyable, de voir à quel point le réalisateur gère toute sa réalisation.

Pour le scénario il s’agit James Montague et Craig W. Sanger, où deux personnages prennent part du récit Fay et Everett. Fay est celle qui entendra la fréquence, qu’elle fera écouter à Everett qui travaille a la station de radio. Le traitement de leur personnage est intéressant, et leur évolution aussi. Le rythme du film, donne du crédit au film car cela joue beaucoup dans l’ambiance du long-métrage, grâce à cette écriture maîtrisée on reste captivé. Il y a une forme de peur, que vivent les personnages principalement Fay surtout à la fin. Cette peur face à l’inconnu, puis quelque chose qu’ils ne peuvent expliquer et pourrait peut-être leur faire du mal. Car pour tenter de comprendre, cela implique d’enquêter sur ce qui régne cette nuit-là. Ces deux personnages qui sont Fay et Everett, feront la rencontre d’autres personnages, qui leur permettons d’avancer dans leur investigation. Une forme de poésie se dégage à la fin du film, cependant le film nous laisse avec quelques interrogations car on peut s’imaginer plusieurs choses. Sierra McCormick interprète Fay, la jeune femme qui découvre la fréquence. Jake Horowitz interprète quant à lui, l’animateur de radio intrigué par cette fréquence. Ce sont des prestations vraiment convaincantes, ou les deux comédiens sont bien investis dans leur rôle. L’aspect technique, reste une des grandes qualités du film rien que le plan-séquence est admirable surtout que c’est un premier film, même le cadrage est maîtrisé. La photographie de Miguel Littin est splendide, et cela joue sur l’ambiance du film. Avec The Vast of Night, le réalisateur Andrew Patterson livre un premier film, qui surprend sur tous les aspects c’est une expérience à voir impérativement.

 

Bande annonce

Malcolm & Marie | Bande-annonce officielle VOSTFR | Netflix France

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Sortie 5 février 2021 sur Netflix
Durée 1h 46min
Genre Drame, Romance
De Sam Levinson
Avec Zendaya, John David Washington
Nationalité Américain

Synopsis

Après la projection en avant-première de son dernier film, un cinéaste rentre chez lui avec sa petite amie. Alors qu’il est certain que son film rencontrera un succès critique et commercial, la soirée prend une tournure inattendue : les deux amoureux doivent affronter certaines vérités sur leur couple qui mettent à l’épreuve la force de leurs sentiments…

Le réalisateur de Assasssination Nation, Sam Levinson est de retour avec  son nouveau film pour Netflix. Il collabore de nouveau avec Zendaya, depuis la série Euphoria, John David Waschington est aussi au casting du film.

Zone hostile | Bande-annonce officielle VF | Netflix France

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Sortie 15 janvier 2021 sur Netflix
Durée 1h 54min
Genre Action, Science fiction
De Mikael Hafstrom
Avec Anthony Mackie, Damson Idris, Enzo Cilenti
Nationalité Américain

 

 

Synopsis

Dans l’avenir, un pilote de drone est déployé dans une zone militarisée meurtrière où il va travailler pour un officier androïde chargé d’empêcher une attaque nucléaire.

Après avoir désobéi aux ordres, le lieutenant Harp (Damson Idris) est déployé dans une zone militarisée meurtrière pour piloter des drones. Il travaille alors pour le capitaine Leo (Anthony Mackie), un officier androïde chargé de localiser un dispositif apocalyptique avant que les insurgés ne mettent la main dessus. ZONE HOSTILE est une réalisation de Mikael Håfström, disponible le 15 janvier sur Netflix.

Comment Je Suis Devenu Super-Héros – Teaser Officiel

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Sortie 21 avril 2021
Durée 1h 37min
Genre Thriller, Fantastique
De Douglas Attal
Avec Pio Marmai, Vimala Pons, Benoît Poelvoorde
Nationalités Français, Belge

 

Synopsis

Paris 2020. Dans une société où les surhommes sont banalisés et parfaitement intégrés, une mystérieuse substance procurant des super-pouvoirs à ceux qui n’en ont pas se répand. Face aux incidents qui se multiplient, les lieutenants Moreau et Schaltzmann sont chargés de l’enquête. Avec l’aide de Monté Carlo et Callista, deux anciens justiciers, ils feront tout pour démanteler le trafic. Mais le passé de Moreau ressurgit, et l’enquête se complique…

 

 

Palm Springs de Max Barbakow

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Sortie disponible sur Hulu / 1h 30min
Genre Comédie, Romance, Fantastique
De Max Barbakow
Avec Andy Samberg, Cristin Milioti, J.K. Simmons, Peter Galllagher, Meredith Hagner, Camilla Mendes, Tyler Hoechlin…
Nationalité américain

 

Demain c’est demain…

Synopsis

L’insouciant Nyles fait la connaissance lors d’un mariage à Palm Springs de Sarah, soeur de la mariée et demoiselle d’honneur. Les choses se compliquent rapidement lorsque le duo se retrouve piégé dans l’espace-temps de ce mariage, contraint de revivre sans cesse la même journée.

 

Max Barbakow signe son premier film, avec Palm Springs pour la plate-forme Hulu et on peut dire que c’est une réussite. Pour son film il utilise un concept déjà utilisé au cinéma quelques fois (la boucle temporelle), tout comme un jour sans fin un film qui est le précurseur de ce concept (à ma connaissance) ou encore le génial Edge of Tomorrow. Ce concept est bien sûr: la boucle temporelle, et quand cela est traité correctement ça donne quelque chose de bon…voir très bon. Palm Springs utilise donc ce concept, mais en plus en fait une comédie romantique mais ne fait jamais dans la mièvrerie. Le réalisateur ne fait pas de son film du vu et revu, le concept est déjà plaisant mais en plus on rigole, grâce à des personnages très bien écrits. C’est un duo qui fonctionne très bien, et qu’on suit avec plaisir. L’intrigue se déroule durant un mariage, ou une jeune femme en rentrant dans une grotte se remet à vivre la même journée avec un homme qu’elle a rencontré durant ce mariage. Le film a beau être une comédie, il bénéficie de quelques moments touchants, c’est aussi ce qui est plaisant dans ce long-métrage.

Nyles et sa petite amie, se préparent pour un mariage, qui n’est autre que celui de la meilleure amie de la copine de Nyles. Ils logent dans la maison familiale de la future mariée, puis il fait la rencontre de Sarah la soeur de la future mariée. Nyles s’entend très bien avec elle, il sait que sa copine le trompe donc sa rencontre avec Sarah est une bonne chose. Le soir ils s’éloignent tous les deux de la fête et commencent à s’embrasser, c’est alors que Nyles se fait tirer dessus par un homme qui semble le connaître. Sarah prise de panique fuit, Nyles lui se réfugie dans une grotte et elle le suit alors que ce dernier lui supplie de ne pas le suivre. Une fois entrée elle se réveille, dans son lit dans la même chambre que la nuit précédente elle comprend vite qu’elle est en train de revivre la même journée. Elle attaque Nyles, et tente d’avoir des explications sur ce qui sa passe. Nyles lui explique qu’en entrant dans la grotte, elle a condamné sa propre existence à revivre la même journée. Lui revit la même journée depuis bien longtemps, et maintenant il partage cette sorte de malédiction avec elle. Mais Nyles n’est pas en sécurité pour autant, car Roy est à ses trousses et veut sa peau. Malgré cette journée qu’ils revivent, Nyles et Sarah en profitent pour s’amuser et même faire parfois faire tout et n’importe quoi. Tout ça rapproche Nyles et Sarah, et ils éprouvent des sentiments encore plus fort l’un envers l’autre. Une expérience où ils vont comprendre, qu’ils doivent faire un point sur leur vie. Comme Nyles dont sa petite amie le trompe, et dont il doit tirer un trait dessus. Quant à Sarah, elle se retrouve dans une position compliquée ou elle a couché avec le futur mari de sa soeur la veille du mariage. Une expérience qui au final n’est pas une si mauvaise chose, que ce soit pour Nyles où Sarah car c’est une remise en question sur leur vie, et c’est à eux de faire les bons choix. Si le concept est connu, il est très bien utilisé avec ce long-métrage, ce n’est pas une comédie qui tombe dans la facilité. La mise en scène est efficace, elle offre de bons moments, un film disposant de scènes vraiment comiques mais aussi des moments touchants qu’on remarque dans la deuxième partie du long-métrage. C’est une réalisation brillante, et pour un premier film on ne peut que saluer ce travail effectué.

Pour le scénario il s’agit d’Andy Siara, le travail est vraiment remarquable dans le traitement des deux personnages principaux. Ils sont déjà très drôles à commencer, par Nyles un personnage qui semble en avoir rien à faire de tout, car il est bloqué dans une boucle temporelle. Mais cela on l’ignore au tout début, car le fait qu’il porte un short et une chemise Hawaïenne le jour du mariage prouve bien qu’il se fiche de tout. Comme il a la possibilité de revivre la même journée, ça n’a pas d’importance pour lui, ça lui a même permis de voir que sa petite amie le trompe. Puis il se retrouve dans ce pétrin avec Sarah, une rencontre faite lors du mariage elle ne sait pas trop où se situe dans sa famille elle a du mal à trouver sa place. Deux personnages au caractère bien différent, et qui vont pourtant se rapprocher. Lui est un peu excentrique parfois, mais a des sentiments pour Sarah. Une romance bien écrite, qui ne tombe pas dans la mièvrerie grâce à son humour et l’écriture fabuleuse des personnages. Le concept est très bien traité, ainsi on ne tombe pas dans la facilité. Andy Samberg connu pour son rôle, dans la célèbre série Brooklyn Nine-Nine série comique policière ou le comédien est déjà comique. Un rôle qui lui va très bien, et qu’on prend plaisir à voir interpréter le rôle de Nyles. Cristin Milioti est drôle et jolie, sa prestation est agréable. Max Barbakow signe un premier film réussi, avec un duo vraiment drôle on passe un très bon moment sans jamais s’ennuyer.

Bande annonce

Top 2020 de la rédaction

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Ce fut une année difficile, pour tous et puis il y a eu la fermeture des cinémas. Après avoir ouvert à nouveau, il fallait attirer les foules et malgré la réouverture des salles des films furent encore repoussés. Alors que les cinémas repartaient en hausse, ces derniers furent fermés à nouveau, en cause un nouveau confinement. Les cinémas se relèveront-t-ils? L’inquiétude est en tout cas présente, la culture se meure et le gouvernement s’en fiche. Les quelques rédacteurs du site, ont quand même réussi a établi leur top personnel dans cette année cinématographique pauvre, et ce qu’on peut dire c’est que malgré tout il y a des oeuvres intéressantes.

 

TOP D’Orel

10.Soul de Pete Docter

Le film de la maturité pour Pixar, et sans doute l’un des plus beaux pour ma part.

 

09.Play de Anthony Marciano

La nostalgie est là! Et puis il y a cette cette fin, ou tu ne peux qu’être ému play traite du temps qui passe et le fait merveilleusement bien.

 

08.The Invisible man de Leigh Whannel

Une relecteure du mythe de l’homme invisible, avec une mise en scène impressionante et la scène d’ouverture est d’une maîtrise incroyable.

 

07.Jumbo de Zoé Wittock

Un des film Français, les plus surprenant cette année beau et parfois malasain.

06.Antebellum de Gerard Bush et Christopher Renz

Un film qui m’a surpris dans sa démarche, et dans son twist.

05.Color Out of Space de Richard Stanley

Malsain, dégueu Richard Stanley adapte l’oeuvre de Lovecraft, un film marquant et magnifique dans sa mise en scène.

04.La dernière vie de Simon de Léo Karmann

Ce film est comme un conte, c’est comme une poésie on ne peut qu’être impressionné.

03. Swallow de Carlo Mirabella-Davis

Un film ne met pas a l’aise de par son sujet, mais c’est terriblement saisissant.

02.Waves de Trey Edward Shults

Un film qui se divise en deux parties, la première sur UN jeune homme qui va commettre l’irréparable. Puis une deuxuième partie sur sa soeur, qui doit apprendre a vivre, dans l’ombre de son frère. Un film remarquable.

01.Wendy de Benh Zeitlin

Beau et touchant le film qui m’a le plus ému, une oeuvre dont je ne me lasserai jamais.

 

Mentions honnorables: Tenet, Mank, Vivarium, 1917, Uncut gems…

 

TOP DE LIAM

1)Adoration/Adieu les cons : Deux propositions d’auteurs francophones au style inimitable et qui parviennent à toucher en plein cœur avec une force visuelle désarmante.

2) 1917 : Loin de la simple esbroufe technique, le dernier film de Sam Mendes parvient à relier la survie de l’homme aux éléments tout en offrant une œuvre antibelliciste émotionnellement chargée.

3) Été 85 : François Ozon invoque le roman d’Aiden Chambers pour traiter du rapport à l’autre et du besoin de la création dans la chaleur d’une romance estivale qui nous laisse pantois.

4) Wendy : Sans doute le plus beau film sorti de l’univers de James Matthew Barrie. Foncez le voir à sa sortie pour avoir votre cœur en miettes.

5) Play : Ou comment faire croire à un film de potes rigolard alors qu’on est face à une œuvre amère sur le temps qui passe, les regrets amenés par les souvenirs et le besoin de devenir la personne que l’on souhaite.

6) Little Women : Greta Gerwig nous offre une œuvre qui nous laisse le cœur en chaleur et battant à 1000 à l’heure par sa valse des sentiments.

7) Tenet : Nolan use encore du temps pour mieux traiter d’un déterminisme narratif et relier le spectaculaire du blockbuster de l’année à l’intimité des confrontations de nos protagonistes.

8) The vast of night : La transfiguration d’un budget minuscule pour mieux traiter du pouvoir de la croyance par le biais du hors champ. Loin d’une simple référence à la Quatrième Dimension, l’arrivée d’un futur grand.

9) Drunk : L’alcool n’est qu’une excuse pour que le film suive des hommes en tel regret de leur jeunesse qu’ils en oublient de vivre. Mads Mikkelsen y est une nouvelle fois fabuleux.

10) Soul : On savait Pete Docter doué pour nous faire pleurer, il nous rappelle qu’il sait également nous faire passer par toutes les émotions avec une œuvre bien plus colorée qu’il n’y paraît et toujours impeccable techniquement.

11) La nuit des rois : Pas étonnant que la Côte d’Ivoire l’ait sélectionné comme représentant pour les Oscars vu comme ce film traite du pouvoir de la narration dans un milieu carcéral avec un casting qui bouffe tout simplement l’écran.

12) Emma : On aurait pu craindre le film guindé, Emma est tout bonnement le contraire. C’est aussi léger qu’une pâtisserie qu’on aimerait faire durer et visuellement aussi léché qu’un tableau de maître.

13) Uncut gems : Les frères Safdie nous rebalancent une claque avec l’aide d’un Adam Sandler tout bonnement impérial.

14) 1982 : Oualid Mouaness parle de l’invasion du Liban par le regard d’un enfant amoureux. Tout simplement touchant.

15) Jojo Rabbit : Taika Waititi évite de trop aller dans la farce facile pour mieux faire éclater notre cœur lors d’une séquence que personne ne saura oublier. Son meilleur film ?

16) Monos : On sort hypnotisé du film d’Alejandro Landes, au point d’en perdre nos mots.

17) The Lodge : Anxiogène à souhait, « The Lodge » nous étouffe lentement mais sûrement au point de nous laisser au sol par la douleur invoquée.

18) Dark Waters : Todd Haynes fait ressortir le meilleur de Mark Ruffalo dans une œuvre antispectaculaire mais dure.

19) Petit Vampire : Joann Sfar nous fait croire qu’on a de nouveau 10 ans dans un film survolté et visuellement inspiré.

20) Balle Perdue : Guillaume Pierret nous balance dans la tronche un film qui ne diminue jamais sa vitesse, le tout bien aidé par un Alban Lenoir parfait (comme toujours d’ailleurs).

21) Un pays qui se tient sage : On a beau avoir utilisé plusieurs fois l’expression « documentaire coup de poing », celle-ci sied à ce film qui permet de se réinterroger sur des images douloureuses déjà vues mais retrouvant du sens face à une violence exacerbée.

22) Calamity : une pépite d’animation aux plans perpétuellement jolis.

23) Josep : Quelle expérience douloureuse mais pourtant si essentielle que le film d’Aurel.

24) La forêt de mon père : Vero Cratzborn partage son premier film avec autant d’amour pour ses spectateurs que sa création.

25) L’homme invisible : Leigh Whannelle parvient à se réapproprier un mythe en l’inscrivant dans un contexte bien trop actuel de toxicité masculine et de manipulation pour le contrôle.

TOP DE NICOLAS

1 : Adoration
2 : Michel Ange
3 : Le cas Richard Jewell
4 : Adieu les Cons


5 : Énorme
6 : Adolescentes
7 : Madre
8 : The Vast of Night
9 : Soul
10 : Color out of Space

Mentions spéciales,Uncut gems, La dernière vie de Simon, Ema, Ressortie d’Akira, Gretel et Hansel, Director’s cut de Doctor Sleep.

TOP D’EMMANUEL

10ème : BATMAN UN DEUIL DANS LA FAMILLE, un bon rendu du destin de Jason Todd face au Joker mais dont les scènes alternatives provoquent le résumé un peu trop prononcé du scénario.

9ème : LUCKY STRIKE, polar classique et efficace dans la droite lignée du savoir-faire coréen.

8ème : LE CAS RICHARD JEWEL, un Clint Eastwood intéressant au scénario atypique sur l’attentat des jeux olympiques de 1996.

7ème : SONIC, comédie familiale très réussie dans l’univers du jeu vidéo Sonic avec un Jim Carrey exquis dans le rôle du Docteur Robotnik.

6ème : MULAN, disney live bien réalisé mais relativement classique et dépourvu de nombreux éléments qui font la qualité du dessin animé.

5ème : ADIEU LES CONS, Dupontel frappe une nouvelle fois très fort en appuyant sa vision de notre société anxiogène dans un film mêlant humour et dramaturgie.

4ème : THE GENTLEMEN, du Guy Ritchie pur jus brillamment réalisé avec de bons règlements de compte entre gangsters.

3ème : 1917, film de guerre au scénario banal néanmoins rendu impressionnant grâce aux superbes plans séquences réalisés par Sam Mendes.

2ème : EN AVANT, pixar touchant et superbement réalisé traitant de thèmes difficiles comme le deuil, la confiance en soi et la fraternité.

Movie of the Year : MORTAL KOMBAT LEGENDS SCORPION’S REVENGE, adaptation très réussie à une réalisation saisissante, des scènes d’action sanglantes et des personnages charismatiques rendant hommage au jeu vidéo.

Sans oublier le superbe Aline dans lequel Valérie Lemercier interprète Céline Dion de manière très touchante, désormais reporté à 2021 à cause de la situation sanitaire.

 

TOP DE LIONEL

1/ Adieu les Cons de Albert Dupontel : Le cinéma de Dupontel à toujours était à part dans l’industrie du cinéma français et déjà avec Au Revoir là-haut, il démontré la maîtrise de son art qu’il exerce depuis le début de sa carrière… Mais Adieu les Cons (difficile de faire plus évident) c’est un grand au-dessus de tout ce que le cinéaste à réaliser jusqu’à présent. Créatif, cynique et surtout incroyablement bouleversant au point de finir la séance avec une boule au ventre, les mains qui tremble et les yeux humide. Bravo Mr Dupontel !

2/ En Avant (Onward) de Dan Scanlon : Premier Pixar de l’année 2020 et probablement le moins attendu et malheureusement sortie à quelques semaines d’une crise sanitaire mondiale… En Avant n’en reste pas moins une excellente surprise. On à qu’une envie c’est de se jeté à l’aventure et d’aller jusqu’au bout du monde avec nos deux dans une quête qui peut paraître légère mais qui se révèle être profondément intime ou la magie et l’émerveillement se mêle vite à des sujets et des thématiques plus vaste qui chez Pixar est toujours traité avec soin et arrive à toucher en plein cœur les spectacles, petit et grand !

3/ Soul de Pete Docter & Kemp Powers : Avec ce film, Pixar à fait preuve d’une immense prise de risque, une prise de risque qui va peut-être en laisser certains sur le carreau, surtout nos petites têtes blondes, tant Soul explore en long et en large son thème principal… Celui de la vie. Soul nous invitent à croqué à la vie à pleine dents et nous mets en garde à ne pas courir après nos objectifs, à ne pas être obnubilé à faire de nos rêves des réalités si on laisse de côté les choses essentielles comme être à l’écoute et au contact de son prochain, des choses plus que nécessaire à rappeler aujourd’hui ou ne faisons l’exacte inverse !

4/ Vivarium de Lorcan Finnegan : Film hallucinogènes anxiogène voir suffoquant qui nous embarque tête la première dans son univers qui en rebutera plus mais qui me concernant, m’a clairement convaincu. Globalement une bonne surprise !

5/ 1917 de Sam Mendes : Bon je reconnais que sa présence dans un top des meilleurs films de 2020 paraît trop facile mais en même temps assez évident tant la réalisation de Mendes est ahurissante le tout magnifié par la photographie de Roger Deakins et la partition musicale de Thomas Newman !

6/ Jojo Rabbit de Taika Waititi : Sorte d’hommage plus qu’évident au Dictateur de Charlie Chaplin et les Monthy Python… Taika Waititi fait avec Jojo Rabbit sa déclaration d’amour au cinéma avec une œuvre à la fois burlesque qui n’hésite pas à viré vers la tragédie. Un film plein d’amour et qui nous invitent à la tolérance !

7/ Queen and Slim de Melina Matsoukas : Sortent de Bonnie and Clyde et Thelma et Louise à peine cacher… Queen and Slim reste un premier film percutant, juste, bien interprété et maîtriser… Très curieux de voir la suite de la carrière de cette réalisatrice

8/ La Famille Willoughby de Kris Pearn et Cory Evans : Un chouette conte délicieusement cynique et réjouissant avec des idées complètement farfelu et des personnages haut en couleur, une des rares production Netflix dont je conseillerais le visionnage !

9/ Mank de David Fincher : J’admets ne pas être un immense fan de Fincher bien que je lui reconnaisse son immense talent et sa fine plume… Mais avec Mank il m’a littéralement plongé au cœur de l’âge d’or d’Hollywood. Techniquement irréprochable, dialogues sublime et un Gary Oldman qui livre une prestation incroyable !

10/ Color out of Space de Richard Stanley : Un délire purement Lovecraftien aux effets visuels bluffant et à l’imagerie scyzophrénique sublime avec un Nicolas Cage qui semble définitivement plus à l’aise dans ce type de projet disons… Space

 

TOP DE VALENTIN

1/ Uncut Gems des frères Safdie

N’aimant pas spécialement Adam Sandler, ce Uncut Gems fut une excellente surprise, le casting est top (Sandler en tête), la mise en scène dynamique nous faire ressentir la folie du personnage principal. Comme quoi, Netflix peut produire des bons films quand ils veulent.

 

2/ Play d’Anthony Marciano

Les situations dans la vie que nous montres Play, nous l’avons tous vécus et Anthony Marciano l’a très compris. Les regrets, l’amour, la nostalgie tant de thématiques mainte et mainte fois traités au cinéma, mais qui ici fonctionne très bien. Alors oui Play ne réinvente la roue, mais se qu’il fait, il le fait très bien.

 

3/ Adieu les cons d’Albert Dupontel

4/ The Gentlemen de Guy Ritchie

5/ 1917 de Sam Mendes

6/ The Devil all the Time d’Antonio Campos

7/ Invisible Man de Leigh Whannell