Date de sortie 14/03/1990
Durée(02h02)
Titre original Always
Réalisé par Steven Spielberg
Avec Richard Dreyfuss , Holly Hunter , John Goodman , Audrey Hepburn , Brad Johnson (II) , Keith David , Roberts Blossom , Marg Helgenberger , Dale Dye , Doug McGrath , James Lashly
Genre Comédie dramatique, Fantastique, Romance
Nationalité États-Unis
Musique John Williams

L’amour dans les nuages

Synopsis

Pete Sandich est le plus sympathique et le plus intrépide des «pompiers volants» de la base du Montana. Il répond toujours présent pour les missions «casse-cou», sans se rendre compte que son goût immodéré pour l’aventure est chaque jour plus difficile à supporter pour sa compagne Dorinda, qui ne cesse de se faire du mauvais sang. Lorsque la jeune femme lui demande d’opter pour le travail plus paisible d’instructeur, Pete accepte l’ultimatum, mais se charge d’une dernière mission. Et ce sera effectivement la dernière, car il décède aux commandes de l’appareil, après avoir sauvé la vie de son copain Al… C’est alors que Hap, une étrange et douce créature, lui apparaît.

Always est un peu le film oublié de Steven Spielberg, car on en parle que très peu dans sa filmographie puis le film ne fut pas un succès pour le réalisateur. Il s’agit d’un remake d’un film de 1943 de Victor Fleming peu connu. Dans ce film, Steven Spielberg nous raconte une romance fantastique, l’histoire d’un aviateur Pete Sandich qui trouve la mort lors d’une mission pour éteindre un feu de forêt. Il se retrouve alors aux portes du paradis ou sa mission avant de partir et d’être l’ange gardien d’une jeune recrue de l’aviation, mais il doit aussi faire ses adieux à sa femme. Steven Spielberg arrive très bien à retranscrire cette histoire d’amour et ce n’est certes pas son meilleur long-métrage, mais ça reste un film important dans sa filmographie puis c’est un film où il dirige une nouvelle fois Richard Dreyfuss que le réalisateur avait déjà diriger dans Les dents de la mer et rencontre du 3ème type. Un rôle plus intimiste pour le comédien qui s’investit pleinement dans son rôle une fois de plus.

Pete Sandich est un aviateur de longue date un peu casse-cou, ses interventions sont faites pour éteindre les feux de forêt à bord de son avion et il aime beaucoup ça. Il est aussi fou amoureux de sa femme Dorinda sans jamais oser lui dire qu’il l’aime tandis qu’elle le lui dît. Un jour, alors qu’il est en intervention, il frôle le danger, son avion n’ayant plus de carburant est prêt à s’écraser, mais il s’en sort miraculeusement sous les félicitations de ses collègues et au grand soulagement de sa femme. Le soir chez eux Pete et Dorinda ont une discussion portant sur les risques que prend Pete, car elle a peur de le perdre et elle veut qu’il arrête, mais il aime trop ce qu’il fait. Il est alors appeler d’urgence pour une intervention avec son meilleur ami et collègue Al et tous les deux sont chargé d’éteindre un feu de forêt les deux hommes prennent des risques traversant les flammes à bord de leur appareil. Al est en difficulté et Pete tente le tout pour le tout pour sauver son ami après avoir traversé les flammes, ils pensent s’en être sorti, c’est alors que l’avion de Pete explose et les reste de l’appareil s’écrase au sol sous les yeux horrifié de son meilleur ami.

Al annonce l’horrible nouvelle a Dorinda en revenant qui s’effondre. Pete se retrouve dans une forêt où il est accueilli par une femme Hap qui lui annonce qu’il est mort, mais qu’avant de partir, il doit protéger Ted Baker un jeune pilote, il sera son ange gardien comme lui en avait en un a ses débuts. Il revient vers les siens, mais personne ne le voit, car il n’est qu’une enveloppe, le temps passe différemment entre la mort et monde réel, car des mois ont passé depuis sa mort. Sa femme vit ailleurs quant à Al, il est l’instructeur du jeune Ted Baker qui est un peu maladroit. Lors de ses vols d’entraînement Pete, reste à ses côtés pour apporter son aide. Même s’il a des difficultés le jeune homme se révèle être très doué. Quant à Dorinda, elle se remet difficilement de la mort de Pete, mais elle fera la rencontre de Ted Baker qui était amoureux de la jeune femme depuis longtemps. Même si c’est difficile pour Pete, il doit accepter qu’elle refasse sa vie. Always est une romance qu’aborde Steven Spielberg avec beaucoup de sensibilité et c’est peut-être ça qui n’a pas plu aux spectateurs, car le réalisateur s’attelait à un projet différent de ce qu’il avait pu faire auparavant. Mais Steven Spielberg est un réalisateur ambitieux qui aime aborder tous les genres et c’est  ce que l’on voit dans sa filmographie.

Le réalisateur signe une mise en scène soignée poétique aussi et ça en fait beaucoup de charme et tout cela sans tomber dans la mièvrerie. Pour le scénario, on retrouve les scénaristes Chandler Sprague, David Boehm, Dalton Trumbo, Fréderic Hazlitt et Jerry Belson. D’ailleurs, est-il utile de parler de Dalton Trumbo ? c’était un scénariste reconnu qui a eu le droit à son biopic d’ailleurs. Cependant, les cinq scénaristes développent parfaitement bien leur personnage, le traitement de Pete reste intéressant, car ce dernier doit faire face à sa mort et se retrouve à être protecteur d’un jeune pilote. Le deuil de Dorinda est aussi abordé admirablement, sa douleur l’a obligé à partir tout comme son meilleur ami Al devenu instructeur, mais tous les deux reviendront là ou tout a commencer. On découvre aussi Ted Baker un jeune homme qui veut devenir un pilote amoureux de Dorinda depuis longtemps et maintenant qu’elle n’a plus personne dans sa vie, il espère gagner son cœur. Pete observe tout ça et il ressent beaucoup de tristesse, mais il sait qu’il doit accepter. La mort est abordée d’une très belle façon, car les scénaristes savent en parler de manière presque poétique et Steven Spielberg retranscrit tout ça merveilleusement bien. La musique de John Williams est une réussite et dégage beaucoup d’émotion. Richard Dreyfuss brille encore, Holly Hunter est touchante et charmante. Brad Johnson interprète Ted Baker tandis que John Goodman joue Al le meilleur ami de Pete. Sans être un grand film de Steven Spielberg Always est une œuvre à part entière, car il possède quelque chose d’unique en son genre en abordant la mort et l’amour d’une très belle façon.

Bande annonce

Date de sortie 18/06/1975 Au cinéma (02h04)
Titre original Jaws
Réalisé par Steven Spielberg
Avec Roy Scheider , Richard Dreyfuss , Robert Shaw , Lorraine Gary , Murray Hamilton , Jay Mello , Chris Rebello , Jeffrey Kramer , Lee Fierro , Jeffrey Voorhees , Carl Gottlieb , Craig Kingsbury , Susan Backlinie , Jonathan Filley , Robert Nevin …
Genre Horreur, Aventures
Nationalité États-Unis
Musique John Williams

Le requin a les crocs

Synopsis

A quelques jours du début de la saison estivale, les habitants de la petite station balnéaire d’Amity sont mis en émoi par la découverte sur le littoral du corps atrocement mutilé d’une jeune vacancière. Pour Martin Brody, le chef de la police, il ne fait aucun doute que la jeune fille a été victime d’un requin. Il décide alors d’interdire l’accès des plages mais se heurte à l’hostilité du maire uniquement intéressé par l’afflux des touristes. Pendant ce temps, le requin continue à semer la terreur le long des côtes et à dévorer les baigneurs…

Alors que les spectateurs s’extasient devant des Skarknado et compagnie, une référence du cinéma continue de terroriser les baigneurs qui s’aventurent trop loin au risque de se faire dévorer par un grand requin blanc. Les dents de la mer (titre français) plutôt bon titre d’ailleurs est le troisième film de Steven Spielberg sorti en 1975 avec des réalisations auparavant qui sont :Duel et Sugarland Express. Puis viendront s’ajouter à sa filmographie de grand films, tels que : Rencontre du 3éme type, E.T, La liste de Shindler, Jurassic Park et de nombreux autres. Les dents de la mer est-ce qu’on appellera un blockbuster bien entendu, pas a l’échelle des Marvel ou autre grosse production du genre mais un blocbuster de l’époque. Les dents de la mer s’inscrit aussi dans le genre horreur et épouvante, un genre que maîtrise très bien le réalisateur et entendre le thème culte de John Williams est toujours un plaisir. Si les films de requins afflux sur les écrans ils n’ont pas grande une originalité et ils sont souvent ridicule ce qui prouve que les dents de la mer est un film indétonâble dans le genre.

La petite station balnéaire d’Amity est une petite ville sans histoire, jusqu’à ce jour ou les restes d’une jeune femme sont retrouvé. Le chef Brody le policier de la ville tente de comprendre ce qui a bien pu se produire. Pour lui, il s’agit d’un requin, mais il est hors de question pour le maire de la ville de faire de la mauvaise publicité. En effet, la saison d’été s’apprête à démarrer et beaucoup de vacanciers sont attendus et le maire et ses investisseurs ne veulent en aucun cas que Brody ferme les plages comme il prévoit de le faire. Brody surveille alors la plage en restant sur le qui-vive avec sa femme et ses enfants à ses côtés. C’est alors que la panique s’empare rapidement des baigneurs, un requin dévore Alex un jeune garçon devant tous les baigneurs et sous les yeux de Brody. Malgré ce drame, le maire ne veut toujours pas fermer les plages puis débarque alors a Amity « Matt Hooper » un spécialiste des requins qui compte bien apporter son aide à Brody. Les habitants de la ville se mettent en quête de capturer le requin, il ne faudra longtemps pour qu’un requin soit tué provoquant la joie de Brody et du maire, mais pour Hooper ce n’est pas le requin qui a provoqué les attaques. D’après l’autopsie qu’a pratiquée Hooper sur ce qui reste de la jeune femme les morsures ne correspondent pas. La mère d’Alex le jeune garçon dévorer gifle Brody qu’elle tient pour responsable de la mort de son fils.

Pour Brody et Hooper, il faut en finir, mais pour Quint aussi un vieux loup de mer que Hopper n’apprécie que très peu. Les dents de la mer a inspiré beaucoup de réalisateurs, mais ces films n’ont jamais pu faire mieux que Steven Spielberg, on l’oublie souvent, mais le film est l’adaptation d’un livre de Peter Benchley qui fait même un caméo durant le film. Avec ce film, Steven Spielberg déclencha la peur du requin sur les plages. Alors que le réalisateur en est encore à ses débuts, on voit que le réalisateur maîtrise le genre horrifique avec une scène d’ouverture ou une jeune femme se fait dévorer. Steven Spielberg parvient à instaurer la terreur provoquée par ce requin et c’est une réussite. La mise en scène offre des scènes mémorables et terrifiantes comme celle de ce jeune garçon dévoré sous les yeux des baigneurs. Une vraie séquence horrifique qui était osée, car Spielberg filmé ici la mise à mort d’un enfant. Une scène horrifique efficace ou des flots de sang jaillirent lors de l’attaque. Puis la mort de Quint est aussi horrible où il se fait lentement dévorer alors qu’il est encore en vie. Les dents de la mer a inspiré le cinéma de genre et reste aujourd’hui une leçon de cinéma.

Au scénario du film, nous avons Carl Gottlieb et John Milius mais aussi Peter Benchley l’auteur du livre. On n’y suit principalement Brody le policier de la ville qui doit gérer une crise déclenchée par un requin. Il est marié a Ellen Brody et a deux jeunes garçons. Si le film maîtrise le traitement des personnages, il aborde aussi des thèmes importants comme la peur ou cette dernière est représentée par un requin et l’impact qu’il a est parfaitement retranscrit. Il y a aussi le maire de la ville qui ne pense qu’au profit, car les vacanciers rapportent beaucoup d’argent et ce dernier est prêt à risquer des vies pour l’argent. Tandis que Brody veut fermer les plages, le maire de la ville s’y oppose. Ou les scénaristes arrivent aussi à maîtriser leur écriture, c’est lors des scènes d’attaques qui sont parfois brutales mais aussi terrifiantes. Grâce à des scénaristes investis l’écriture est l’une des grandes qualités de ce film.

Au casting, nous avons toute une palette de personnages avec pour commencer le personnage principal qui est le chef Martin Brody que joue Roy Scheider, chef de la police d’Amity qui doit faire face à l’attaque du requin, un personnage très intéressant mais aussi touchant. Il vit avec sa femme Ellen que joue Lorraine Gary, et ses deux enfants. Pour compléter ce casting aussi, Richard Dreyfuss jouant Matt Hooper spécialiste des requins, comédien qui sera dans le film Rencontre du 3éme type un peu plus tard. Nous avons aussi Robert Shaw dans le rôle Quint un personnage désagréable, que Hooper a du mal à supporter un personnage qu’il interprète à merveille. Quant à Murray Hamilton il est le maire d’Amity, un maire qui ne veut fermer sa plage pour rien au monde, avec l’afflux des touristes, mais le requin rôde. Le thème de John Williams en guise d’ouverture du long-métrage nous donne le ton, avec la caméra qui avance dans l’océan ou la menace est prête à faire surface. Dans deux ans, le film fêtera déjà ses 50 ans, mais il reste cependant, une référence du genre et même bien plus que ça.

Bande annonce

Date de sortie 31 octobre 2008 (1h 40min)
De Marc Forster
Avec Daniel Craig, Olga Kurylenko, Mathieu Amalric, Judi Dench, Gemma Aterton, Jeffrey Wright, David Harbour…
Genres Action, Espionnage, Aventure
Nationalités Américain, Britannique
Musique David Arnold

Un Bond pas si  Bond

Synopsis

Même s’il lutte pour ne pas faire de sa dernière mission une affaire personnelle, James Bond est décidé à traquer ceux qui ont forcé Vesper à le trahir. En interrogeant Mr White, 007 et M apprennent que l’organisation à laquelle il appartient est bien plus complexe et dangereuse que tout ce qu’ils avaient imaginé…
Bond croise alors la route de la belle et pugnace Camille, qui cherche à se venger elle aussi. Elle le conduit sur la piste de Dominic Greene, un homme d’affaires impitoyable et un des piliers de la mystérieuse organisation. Au cours d’une mission qui l’entraîne en Autriche, en Italie et en Amérique du Sud, Bond découvre que Greene manoeuvre pour prendre le contrôle de l’une des ressources naturelles les plus importantes au monde en utilisant la puissance de l’organisation et en manipulant la CIA et le gouvernement britannique…
Pris dans un labyrinthe de traîtrises et de meurtres, alors qu’il s’approche du vrai responsable de la trahison de Vesper, 007 doit absolument garder de l’avance sur la CIA, les terroristes
et même sur M, afin de déjouer le sinistre plan de Greene et stopper l’organisation…

Marc Forster n’est pas un mauvais réalisateur, mais n’est pas un réalisateur parfait. Dans sa filmographie, tout de même bien rempli on retiendra le thriller Stay, un film avec en tête d’affiche Ryan Gosling et Ewan McGregor. En 2013 il adapte World War Z qui déplu a beaucoup de fans du livre. Ce film ne reste, qu’un simple divertissement avec des zombies n’ayant rien à voir avec le bouquin de Max Brooks. Le réalisateur reviendra cette année avec le film »Je ne vois que toi« , un film dramatique avec Blake Lively et Jason Clarke. C’est en 2008, qu’il réalise Quantum of Solace suite de Casino Royale. Le film n’est hélas, pas aussi bien que son prédécesseur, un scénario et une réalisation foutraque. Daniel Craig reprend le rôle de James Bond, et si le film est moyen il n’est pas en cause. Car Daniel Craig, est toujours aussi fidèle à son personnage, ce deuxième James Bond avec Craig est un fiasco un plantage pas totale mais presque. Si le film fait aussi défaut, c’est sa durée seulement 1h40 beaucoup trop court pour un James Bond, surtout quand l’on voit le scénario de ce dernier. Ce James Bond avait du potentiel, clairement mais en voulant faire trop bien on fait mal parfois. Cet épisode a-t-il au moins des qualités? Peut-être quelques unes. Mais qu’est-ce qui ne va pas exactement dans ce film?

Après une poursuite en voiture efficace, qui fait office de scène d’ouverture ce James Bond réalisé par Marc Forster, montrera par la suite son nouveau méchant. Un méchant du nom de Dominic Greene, qui s’avère à être plus un méchant en carton. Au début du film, James à réussi à neutraliser Mr White ce qui lui permet de l’interroger. Cette mission pousse aussi Bond, à en faire une affaire personnelle, afin de trouver ceux qui ont persuadé Vesper de le trahir. M va même jusqu’à lui retirer l’affaire, mais ce dernier n’en fera qu’à sa tête. Lors de sa mission, il fait la rencontre de Camille, qui comme lui est en quête de vengeance.  Même si ce Dominic Greene, est un pilier de l’organisation il est loin d’être seul. L’après Casino Royale, n’est pas un bon James Bond, on aurait espéré quelque chose de bien avec Marc Forster derrière mais non. Que ce soit dans la réalisation ou le scénario, c’est un bordel, où on ne sait pas exactement ou le film veut en venir. Le film rate là, où Casino Royale avez réussi en termes de réalisation. La mise en scène n’offre aucune surprise, quelques scènes d’action avec de belles images mais pas assez pour qu’on s’y intéresse d’avantage. On se perd assez facilement, dans le film car beaucoup trop de choses, entre Bond qui en fait une affaire personnelle et ce méchant très mal écrit. Quantum of Solace est carrément l’opposé, de son prédécesseur puis en termes de durée le film est beaucoup trop court. A savoir, si  c’est le plus mauvais James Bond? Mais sans doute, au vu de ce dernier.

Pourtant au scénario les mêmes que Casino Royale, c’est-à-dire Paul Haggis, Neal Purvis et Robert Wade. L’histoire est bordélique, ou tout se mélange difficile d’accrocher à ce récit. Le traitement des personnages, est très moyen à part James Bond qui passe  encore. Mais ce nouveau méchant,  est très mal écrit très difficile de savoir quel est  vraiment son but, car même si il en a un il n’est pas bien exploité. C’est un James Bond donc très décevant, il déçoit aussi beaucoup par sa durée car 1h40, c’est beaucoup  trop court c’est quand même un James Bond. Sa durée n’est pas adapté au scénario, si ce dernier avait été plus long, peut-être aurions-nous eu le droit à un meilleur film. Le casting n’est pas mauvais pourtant, Daniel Craig reprend son rôle de James Bond parfaitement bien. Mathieu Amalric est le méchant du film, l’acteur Français se débrouille bien hélas  il n’est pas assez convaincant. Egalement à l’affiche Olga Kurylenko, une jolie James Bond Girl, mais mal exploité qui laisse une prestation moyenne. Quantum of Solace, est un James Bond médiocre souffrant d’un scénario bancal, et très mal fichu partant dans tous les sens. Heureusement le meilleur, est à venir avec Skyfall.

Bande annonce