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Une passion depuis tout petit, qui a grandi avec les films de De Funès et Bourvil que ma grand-mère me faisait découvrir. J’ai toujours aimé cet univers... Leonardo Dicaprio ou Tom Hanks ont contribué à me faire rêver année après année. J’ai écrit au lycée un court-métrage dans le cadre de l'option "audio-visuel", puis on s’est attelé à le réaliser. Je suis passé par la caméra - devant ou derrière, du casque-son à la perche. Toutes les étapes étaient plaisantes à faire et cela a confirmé que je voulais continuer dans cet univers car c’est le mien tout simplement, c’est la ou je me sens bien. Le futur je ne le vois que dans le cinéma. J’ai toujours voulu être acteur, quand je vois un film, il y a toujours un rôle ou je me dis : "tiens, j’aurais aimé être ce personnage !" Ce sont bizarrement rarement les 1er rôles que je trouve les plus intéressants. J’ai écris un scénario pour un jour, si je perce, pouvoir le réaliser... après avoir passé quelques années à apprendre avant bien évidement ! J'ai tourné dans un court métrage du réalisateur Florian Hessique qui avait pour titre "je ne dirai plus jamais je t'aime" dont la photo est d'ailleurs tirée. J'ai figuré dans la web série"Germains germaines" dont les réalisateurs sont maintenant des amis... Et je suis preneur de tous projets ! Le cinéma, il n’y a pas une journée sans que j’en parle ; ça fait tout simplement partie de moi ! une citation de Marin Scorcese m'aide à avancer chaque jour "Je faisais mon chemin mais le cinéma était une obsession".

Le Labyrinthe: La terre brûlée

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Dans ce second volet de la saga épique LE LABYRINTHE, Thomas et les autres Blocards vont devoir faire face à leur plus grand défi, rechercher des indices à propos de la mystérieuse et puissante organisation connue sous le nom de WICKED. Or le monde qu’ils découvrent à l’extérieur du Labyrinthe a été ravagé par l’Apocalypse. Leur périple les amène à la Terre Brûlée, un paysage de désolation rempli d’obstacles inimaginables. Plus de gouvernement, plus d’ordre… et des hordes de gens en proie à une folie meurtrière qui errent dans les villes en ruine. Les Blocards vont devoir unir leurs forces avec d’autres combattants pour pouvoir affronter WICKED et tenter de défier son immense pouvoir. De: Wes Ball Avec: Dylan O’Brien, Ki Hong Lee, Kaya Scodelario Genre: Aventure, Science fiction (2h15)

Alors que le premier épisode m’avait laissé sur ma fin avec une note d’inachevée voulu, mais encore d’un résultat bien maigre par un jeu d’acteur totalement inégal ou voir totalement absent face à une bande d’adolescents bien pauvre dont un leader à mourir de rire absolument pas convaincant dans sa tâche. Sa disparition dans cette suite a été je ne vous le cache pas une bénédiction pour moi, et pour cette suite il y a du mieux, du moins un divertissement de bon niveau ce que l’on peut espérer attendre tout du moins. Un point essentiel qui a provoqué mon intérêt vers cette suite: ce sont ces recrues de séries célèbres comme Breaking Bad ou Game of Thrones mais celui que j’attendais le plus vient de cette dernière Game of Thrones. Il est l’un des seconds rôles les plus emblématiques et tout aussi stratégique que machiavélique je parle bien sur de notre Petyr Baelish incarné par Aidan Gillen qui fait un travail remarquable sur son personnage ou encore un acteur de Breaking Bad pour ne citer que lui qui si vous avez ou suivez actuellement la série a un rôle marquant et que le n’on est pas prêt d’oublier d’aussi tôt.

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Un casting qui va chercher dans les séries les plus populaires afin de réunir un plus grand public, ce qui est compréhensible. La réalisation quant à elle n’en reste pas plus classique digne des blockbusters d’aujourd’hui, ne laissant de patte propre à elle mais qui reste un travail satisfaisant. Le fait qu’on ne soit pas confiné dans un seul lieu restreint comme dans le premier film a également a également aidé à l’enrichissement de l’oeuvre. Est ce fidèle au roman de base je ne pourrai pas vous le dire, je ne les ai pas lu et je ne me suis absolument pas renseigné sur la question et j’en ai pas l’intention. Personnellement de ce que j’en ai vu, le résultat est bien loin devant son premier épisode tout a fait oubliable en tout point de vue, à par son final. Le problème des blockbusters d’aujourd’hui comme celui ci c’est que ce ne sont pas des films « propres » et qu’ils ont finit par reprendre beaucoup des codes de la télé, des séries télé, à l’exemple des films Marvel qui n’ont pas un film, une aventure avec un début et une fin concluant son histoire. Non, le film n’a pas vraiment de fin et se termine généraklement après bien des épisodes. Un réel danger en terme de rythme et de réalisation incluant évidement les scénarios, sachant qu’il est souvent le cas maintenant de films qui changent de réalisateur au fur et à mesure on peut avoir de très grosses surprises et désintéréssé le spectateur exemple type pour moi (Thor II). Dans ce nouvel épisode du Labyrinthe le danger extérieur est omniprésent et très bien amené, voir flippant par moment. Evidement pas de grosses surprises niveau scénario qui reste très classique. Entre un Divergente que je trouve d’un banal affligeant à un Hunger Games qui se révèle plus fort par la symbolique et tous les messages que la saga aura su clôturer avec brio. Le labyrinthe se situe là entre deux reprenant beaucoup de codes qui ont déja fait leur preuve. En espérant qu’ils trouvent à se renouveler un minimum pour les suites à venir et je parle également des futurs sagas « star » à venir car autrement ils finiront vraiment par me lasser. Il n’empêche que cet épisode aura su me garder de tout son long et aura su me redonner espoir, il accomplit le job sans en faire plus, c’est bien calibré comme le public qui’il cible.  On a envie de voir la suite rien que par curiosité; Allez le voir.

Hitman: Agent 47

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Interdit aux moins de 12 ans L’histoire d’un assassin génétiquement modifié pour être la parfaite machine à tuer. Sa dernière cible est une multinationale dont l’objectif est d’obtenir le secret du passé d’Agent 47 pour créer une armée de tueurs dont les pouvoirs surpasseront même les siens. Faisant équipe avec une jeune femme qui détient peut-être un secret permettant d’affronter leurs puissants ennemis clandestins, 47 fait face à des révélations étonnantes concernant ses origines et se prépare à se battre avec son adversaire le plus redoutable. De: Aleksander Bach Avec: Rupert Friend, Hannah Ware, Zachary Quinto (1h25).

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Le chef d’oeuvre des blockbusters enfin sorti après sa première adaptation cinématographique réalisé par Xavier Gens voilà que l’on nous replonge dans un reboot sans intérêt ayant l’audace d’être pire que le film de base déja pas fantastique mais qui avait pour agent un Timothy Olyphant que je trouvais très charismatique et convaincant et la violence du jeu en ressortait bien et même avec ses défauts, j’aime beaucoup ce Hitman. J’ai juste prit conscience en grandissant n’étant que le film n’était pas aussi parfait que quand je l’avais vu plus jeune au moment de sa sortie cinéma notamment dû à une romance qui rester à déplorer.

Hitman c’est un célèbre jeu dont je suis réellement accro du moins je l’ai été ou l’on pouvait un agent appelé 47, une sorte de clone assassin aux capacités destructrices ou des missions étaient proposés, des cibles à assassiner. Le mode opératoire s’adaptant à chacun il était libre à celui qui voulait d’être un parfait espion, un parfait fantôme et éliminer sa cible sans avoir été vu ou d’être un parfait bourrin. On gagne plus de point évidement à être le fantôme parfait. Regarder ce que font les réalisateurs de Mission impossible rendait l’oeuvre bien plus sombre et sanglante enlever l’humour et vous tenez votre film. C’est pas un scénario compliqué et pourtant le film ne l’applique jamais c’est un film con et bourrin qui n’a vraiment aucun mais vraiment aucun intérêt, j’ai mis un temps fou à me décider d’écrire cette critique comme celle d’Aladin car parler de films que je n’ai pas aimé et trouvé à débattre dessus tellement le sujet est pauvre est réellement affligeant alors je m’efforce d’avoir un minimum à vous dire.

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Timothy Olyphant

Le premier film avait un début fidèle à sa musique, son univers le second ne rajoute rien et l’acteur qui l’incarne et je trouve sans jeu, alors d’accord pour incarner un tel personnage il faut être le moins expressif possible mais à comparer Timothy Olyphant qui je trouve trop peu présent dans le milieu du cinéma en tant qu’acteur,pour moi savait être brutal, menaçant en un regard et pourtant ne faisait pas plus que ce que l’on lui demandait, lui RIEN. Je vous parlerai pas du reste du casting.. Hormis Zachary Quinto que l’on voit sur la photo avec la veste grise jouant aussi dans Star trek les 2 films de J J Abrams et dont j’ai de la peine à retrouver là tant il n’y aucune excuse pour accepter un tel rôle à par le pognon, y’a rien si on cherche à avoir un peu d’estime de soi et de se faire une filmographie qui nous correspondent j’espère que ce film sera un faux pas qui lui servira de leçon. Ayant gagné ma place de cinéma comme pour Aladin je savais que je n’aimerai pas le film qui partait déja avec un handicap qui visiblement n’avait pas servi de leçon et était déja le cas du 1er film une durée d’une heure vingt pour raconter l’histoire d’un tel personnage c’est déjà le mettre droit dans le mur. J’allais donc le voir pour avoir le plaisir de le massacrer ou le plaisir d’être totalement surpris, ce qui bien avant d’arriver dans la salle je savais serait improbable. En 1h20 on bacle le film on va à l’essentiel c’est à dire de l’action qui n’a par moment mais vraiment aucun sens mais vraiment surtout pour le protagoniste ennemi qui devient un surhomme, meurt, ne meurt plus. J’aurai pu croire ça tiré d’un cartoon. La bande annonce y dévoiler déja tous les défauts que serait le film ce n’est même pas un divertissement satisfaisant c’est littéralement de la daube. Quand je pense que certains projets moins ambitieux voit jamais le jour et qu’on nous pond ça sur nos écrans laissez moi rire, si vous devez le voir téléchargez le ça vaut vraiment pas une place de cinéma de toute façon il n’est plus à l’affiche depuis longtemps et il n’aurait jamais du s’y trouver.

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Les 2 images montrent Timothy Olyphant en agent

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Les nouvelles aventures d’Aladin

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À la veille de Noël, Sam et son meilleur pote Khalid se déguisent en Père-Noël afin de dérober tout ce qu’ils peuvent aux Galeries Lafayette. Mais Sam est rapidement coincé par des enfants et doit leur raconter une histoire… l’histoire d’Aladin… enfin Sa version. Dans la peau d’Aladin, Sam commence alors un voyage au coeur de Bagdad, ville aux mille et une richesses… Hélas derrière le folklore, le peuple subit la tyrannie du terrible Vizir connu pour sa férocité et son haleine douteuse. Aladin le jeune voleur, aidé de son Génie, pourra-t il déjouer les plans diaboliques du Vizir, sauver Khalid et conquérir le coeur de la Princesse Shallia ? En fait oui, mais on ne va pas vous mentir, ça ne va pas être facile. De: Arthur Benzaquem Avec: Kev Adams, Vanessa Guide, Jean Paul Rouve, Michel Blanc, Audrey Lamy..Comédie: 1h47

Les Nouvelles aventures d'Aladin
Vanessa Guide, Jean Paul Rouve, Kev Adams, Arthur Benzaquem le réalisateur.

Je savais que les aventures de cet Aladin serait difficile pour moi a accepter en voyant le chemin que prenait les bandes annonces et le ton du film en général toute manière vu la promotion faites du film le public serait au rendez vous. Le casting transgénérationnel visait à ramener le plus grand monde même si la cible adolescente était la plus visée en tête d’affiche Kev Adams. En revanche ce qui m’intéressait de savoir, c’est ce que j’aimerai du film les qualités que je pourrai lui trouver s’il y en a.

 

C’est dans son ton que ce film m’a réellement perdu car il a autrement de bonnes idées si elle n’était pas plantée toutes les trente secondes par des blagues souvent ras le sol et qu’il faut reconnaître alourdissent remarquablement le rythme du film. Les coupures entre la fiction et la réalité amènent également une cassure, et c’est là qu’on accepte ou pas car ce retour à la réalité permet si un personnage meurt dans la fiction qu’il puisse totalement être remédier de façon à réapparaître dans l’oeuvre. Quand on peut faire totalement ce qu’on veut d’une oeuvre soit on trouve que c’est un génial procédé qui permet toujours de rebondir, soit on y voit un moyen d’y enlever tout enjeu du film ce qui est un véritable problème. image_portrait_w858Parlons casting Jean Paul Rouve en méchant vizir est un joli choix plutôt amusant et qui a globalement de belles scènes c’est pour moi le meilleur personnage meilleur est quand meme un bien grand mot. Vanessa Guide est une princesse très convaincante, bonne comédienne elle est également délicieuse à regarder il n’y a aucun problème, son compagnon de Soda est également de la partie et fait le job c’est également le cas pour Michel Blanc bien effacer et peu souvent présent et un Kev Adams plutôt bon acteur quand on ne cherche pas à le mettre dans la catégorie systématique: l’humour 12 ans.  Et merde pour un film parlant d’un prince du moyen orient bon pour Kev Adams en prince ça peut passer mais on aurait pas pu trouver un vrai casting de gens qui correspondent un minimum.. On a quand même des comédiens qui auraient pu donner une cohérence à ce casting car Audrey Lamy, Jean Paul Rouve ou en ne citant que Michel Blanc mais excusez moi on se fou un peu de notre gueule. Voilà un film fait pour l’argent, jouant sur l’influence qu’à ce jeune artiste Kev Adams pour y jouer la facilité, se permettant de salir la base même si le réalisateur a toujours avoué ne pas avoir cherché à représenter celle ci mais ça ne justifie pas tous les mauvais choix comme les musiques improvisées qui sont une catastrophes.

Globalement le film arrive à se regarder mais comparer Les nouvelles aventures d’Aladin à Astérix et Obélix mission cléopâtre c’est mettre le film très haut à un niveau qu’il est très loin d’égaler. Car là ou Alain Chabat avait ce sens de la répartie pour faire marrer il savait l’utiliser pour faire avancer l’histoire ou renforcer la personnalité d’un personnage ici rien du vent et les blagues ne font que déstabiliser l’oeuvre déja entrain de couler. Alors ok certaines m’ont fait marrer le combat entre Aladin et le Vizir était pas mal jusqu’à un moment ou la blague est retombée et à continuer à l’écran devenant lourde, on s’en saurait volontiers passé ou la manière qu’à Aladin pour utiliser le tapis roulant quand j’ai vu la scène c’est relativement con mais j’en ai souri. Je crois que c’est tout malheureusement. Le film a malheureusement déja gagné plus de 3 millions d’entrée dans le même ADN que les profs 2 de très mauvais gout et une suite est déja en préparation que dire de plus que ce cinéma français c’est sans moi.

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The Irrationnal Man

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Professeur de philosophie, Abe Lucas est un homme dévasté sur le plan affectif, qui a perdu toute joie de vivre. Il a le sentiment que quoi qu’il ait entrepris – militantisme politique ou enseignement – n’a servi à rien.Peu de temps après son arrivée dans l’université d’une petite ville, Abe entame deux liaisons. D’abord, avec Rita Richards, collègue en manque de compagnie qui compte sur lui pour lui faire oublier son mariage désastreux. Ensuite, avec Jill Pollard, sa meilleure étudiante, qui devient aussi sa meilleure amie. Si Jill est amoureuse de son petit copain Roy, elle trouve irrésistibles le tempérament torturé et fantasque d’Abe, comme son passé exotique. Et tandis que les troubles psychologiques de ce dernier s’intensifient, Jill est de plus en plus fascinée par lui. Mais quand elle commence à lui témoigner ses sentiments, il la rejette. C’est alors que le hasard le plus total bouscule le destin de nos personnages dès lors qu’Abe et Jill surprennent la conversation d’un étranger et s’y intéressent tout particulièrement. Après avoir pris une décision cruciale, Abe est de nouveau à même de jouir pleinement de la vie. Mais ce choix déclenche une série d’événements qui le marqueront, lui, Jill et Rita à tout jamais. De Woody Allen Avec: Joaquin Phoenix Emma stone..Genre: Drame Thriller Romance 1h35.

Woody Allen m’a réellement étonné après m’avoir quelque peu déçu avec Magic in the moonlight avec sa muse Emma Stone (Birdman) et le brillantissime et oscarisé Colin Firth (Le discours d’un roi, Kingsman). Woody Allen est un homme étonnant et fascinant devant écrire un film par an a peu près depuis maintenant quelques années mettant en scène ses propres scénarios il est toujours à court de nouvelles idées mais ses films ont une couleur qui lui sont propres. Mon préféré à ce jour étant Minuit à Parisminuit-a-paris-a36 avec la divine et non moins excellente actrice Rachele Mc Adams (Sherlock Holmes, True detective II bientot à l’affiche pour Marvel: Dr Strange) et le talentueux Owen Wilson ( Starsky & Hutch, la nuit au musée) film qui m’avait séduit par son lieu évidement Paris. Magnifiquement filmée Paris devient une personnalité à par entière du film regorgeant de mystères et de magies, lieu de tous les miracles ou évidement tout peut arriver.

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Ce film était Une déclaration d’amour de Woody Allen à Paris, ville magique ! Un conte de fées des temps modernes fantastique et surréaliste un ton totalement décalé mais qui lui est propre burlesque à bien des moments  ou la nostalgie, l’art, l’amour et le vide de l’existence, avec voyage dans le temps sont à la clé. D’une belle légèreté, intelligent. C’est une patte Woody Allen, une manière d’écrire des répliques pour qu’elles fassent écho. Tous ces films ont cette force, on le retrouve à chaque coup à sa manière d’éclairer ses films d’y inviter la lumière, la couleur..De les mettre en scène.

595346Magic in the moonlight était en dessous de ce que j’attends d’un Woody Allen, trop peut être car tout ce qui fait le charme d’un film Woody Allen était bien là: C’est joli, c’est bien écrit, une romance élégante pleine de grâce. Interprétation tout en retenue de Colin Firth ou Emma Stone en ressort radieuse. Un film délicieux pleins de magie dont un je ne sais quoi m’avait manqué pour le hisser au top de ses films, rassurez vous il est quand même dans mon top 3.

This image released by Sony Pictures Classics shows director Woody Allen, center, with actors Emma Stone, left, and Colin Firth on the set of "Magic in the Moonlight." (AP Photo/Sony Pictures Classics, Jack English)/NYET412/639205900593/AP PROVIDES ACCESS TO THIS HANDOUT PHOTO TO BE USED SOLELY TO ILLUSTRATE NEWS REPORTING OR COMMENTARY ON THE FACTS OR EVENTS DEPICTED IN THIS IMAGE. THIS IMAGE MAY ONLY BE USED FOR 14 DAYS FROM TIME OF TRANSMISSION; NO ARCHIVING; NO LICENSING./1407241913
Woody Allen au milieu dirigeant les acteurs

 

WA14_D24_0464Tout cela pour en revenir à L’homme Irrationnel comme je disais on retrouve tous les codes qui font du cinéma de Woody Allen si unique mais il rajoute une pointe d’humour noir encore plus dosée que ces précédents films et ses dialogues philosophiques m’ont réellement captivés. Un homme totalement insensible au bonheur de la vie ne l’a comprenant pas et donnant de la romance à la mort. Un prof de philosophie qui malgré tout cela serait prit pour un génie auprès de ceux qui le rencontrerait. Ce qui m’a surpris avec ce film c’est au final tout ce qu’il cache, ce qu’au final la bande annonce ne nous montre pas et c’est peut être cette surprise qui a fait que ce fut un réel coup de coeur plus que pour son précédent plus prévisible d’un certain côté. Moi qui croyait une romance des plus « déja vu » je ne pouvais pas plus me tromper que cela. Joaquin Phoenix ( Gladiator, Her, The master) y est saisissant on le voit ventre bien portant, son interprétation physique étant compréhensible au personnage qu’il incarne désabusé et déconnecté du monde qui l’entoure. Emma Stone sa muse comme je disais plus tôt a été décrite par W. Allen parfaite pour le cinéma et il pense qu’elle sera la plus grande star féminine aux Etats-Unis dans les prochaines années à venir. Sacré compliment. Il exploite celle ci sous tous ses angles tant il sait la pépite qu’il a sous la main. Des scènes magiques y ressortent comme celle de la roulette russe ou le professeur joué par Joaquin Phoenix prend le flingue pour réellement attenté à sa vie s’il tombe sous la balle à sa vie.. Il précise qu’il a une chance sur deux de vivre ou mourir, une chance que dans d’autres conditions bien des hommes n’ont pas. Ce qui lui redonne gout à la vie m’a énormément fait rire aussi, comme le dit très bien l’affiche « Brillant, Cynique, Intelligent » et c’est justement ce cynisme prononcé qui fait tout le charme du film. Mr Allen continuer le cinéma le plus longtemps possible, on ne se lasse jamais.

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Mon Roi

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Tony est admise dans un centre de rééducation après une grave chute de ski. Dépendante du personnel médical et des antidouleurs, elle prend le temps de se remémorer l’histoire tumultueuse qu’elle a vécue avec Georgio. Pourquoi se sont-ils aimés ? Qui est réellement l’homme qu’elle a adoré? Comment a-t-elle pu se soumettre à cette passion étouffante et destructrice ? Pour Tony c’est une difficile reconstruction qui commence désormais, un travail corporel qui lui permettra peut-être de définitivement se libérer … De: Maiwenn Avec: Vincent Cassel, Emmanuelle Bercot, Louis Garrel Genre: Drame romance (2h05).

Mon roi acclamé au festival de Cannes pendant huit bonnes minutes et qui remporta le prix de l’interprétation féminine par le jury pour Emmanuelle Bercot. Maiwenn qui avait déja fait sensation quelques années plus tôt avec son Polisse et remportait le prix du jury unanime cette fois ci. Depuis bien des années qu’on entendait parler de ce projet le voila enfin en salle et mettant en scène un couple se formant et les suivant pendant plus de dix ans entre amour fou et rupture permanente. Un jour je t’aime le lendemain je te déteste. Un amour incontrôlable qui se rajoute à l’arrivée d’un bébé. Un couple qui ne peut se passer l’un de l’autre malgré que l’on sait quoi qu’il arrive iront à leur perte. Une destruction psychologique et mental aussi bien pour lui que pour elle et aussi le suivi d’une destruction physique, celle ci étant en centre de rééducation pour son genou. C’est la passion qui nous tient en haleine tout le long du film la façon brut de filmer ses petits instants. C’est un sacré tour de force que de faire un film ne tenant que sur cette fragilité et pourtant qui marche à merveille. 54a3ffaeed8afOn passe par toutes les étapes du rire aux larmes sans jamais se lasser et cela évidement parce que les acteurs sont brillants à commencer par Monsieur Vincent Cassel en personne qui arrive à s’effacer de sa popularité ils ont tous ce talent là s’avoir s’éclipser pour devenir réellement ses personnages. Avec son personnage Vincent Cassel réussit à donner toutes les nuances de la complexité du personnage. Emmanuelle Bercot quant à elle dont je ne suis pas fan mais qui fait vraiment un travail remarquable celle ci déja présente dans le précédent film de Maiwenn Polisse ou elle avait avec la réalisatrice co écrit le scénario.

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On peut aussi parler de la présence de Louis Garrel la photo la plus à gauche l’autre montrant évidement Emmanuelle Bercot. La troisième montrant notre réalisatrice au milieu de ses acteurs. Pour est ce qui est Louis Garrel j’adore cet acteur il est très talentueux il a une gaucherie et un physique qui marque sans en être moins élégant.039340 Il était cette année à la réalisation de 2 amis avec Golshifteth Farahan et Vincent Mataigne film que je n’ai pas pu voir car il ne passait malheureusement pas par chez moi mais dont la bande annonce m’avait séduite mettant en scène une histoire à priori classique avec des acteurs totalement loufoques. Je vous invite à voir la bande annonce https://www.youtube.com/watch?v=67ItSekBC50 pour mon roi il a un rôle très humain et des répliques tout aussi jubilatoire. On saluera la présence de Norman Thavaud la star de youtube qui au départ apparait en arrière plan comme un clin d’oeil rigolo et petit à petit apparaissant comme un second role mineur mais qui m’a fait sourire surtout pour sa réplique de la haine dont Vincent Cassel était un personnage majeur.

On suit de tout son long un film à la fois violent dans ses rapports et à l’évolution de ses personnages devenant touchant face à l’amour qui triomphe toujours l’un de l’autre. Je pense que le titre Mon Roi fait référence à l’amour fou que porte Emmanuelle Bercot à Vincent Cassel qui finit toujours par obtenir ce qu’il veut d’elle. Mon roi pourrait aussi faire référence à l’amour que Vincent a pour son fils dans ce film qui lui vaut toute son admiration je pense que tout cela est lié. Un excellent film qui prouve que Maiwenn est décidement une brillante réalisatrice. Quoi qu’il arrive on souffre en amour et ça Maiwenn ne fait que le confirmer et en montrer toutes les facettes. Mon roi est un puissant film français. 113451.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx

 

 

Mémoires de jeunesse

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Printemps 1914. Jeune femme féministe à l’esprit frondeur, Vera Brittain est résolue à passer les examens d’admission à Oxford, malgré l’hostilité de ses parents particulièrement conservateurs. Décidée à devenir écrivain, elle est encouragée et soutenue par son frère et sa bande d’amis – et notamment par le brillant Roland Leighton dont elle s’éprend. Mais les rêves de Vera se brisent au moment où l’Angleterre entre en guerre et où tous les jeunes hommes s’engagent dans l’armée. Elle renonce alors à écrire pour devenir infirmière. Tandis que la jeune femme se rapproche de plus en plus du front, elle assiste avec désespoir à l’effondrement de son monde.

cdn-indiewire-comdVoila un film dont je vous ai bien souvent parlé, très attendu pour ma part, pour au final on peut le dire une promotion désastreuse et une distribution du film quasi inexistante pour ma part il ne passait à aucun cinéma à plus de 50km c’est pourtant pas le choix des cinémas qui manque.  Je l’ai donc vu hier sur le net en tombant sur une version originale sous titrée un privilège pour voir l’intensité de jeux des acteurs mais néanmoins n’a rien à voir quant à une immersion dans une salle de cinéma qui aurait rendu le tout tellement plus impressionnant. Ce film est d’une extrême beautée il y a une phrase qui résume extrêmement bien le film dîtes par notre personnage principal Vera Brittain  » Notre génération ne s’en remettra pas on nous a volé notre jeunesse » une génération brisée par la guerre, un film de guerre à l’écriture formidable et porté par une nouvelle génération d’acteurs tous plus charismatiques que les autres à commencer par Alicia Vikander vu dans Anna Karenine ou Ex Machina elle est fabuleuse, un Kit Harrington oubliant le temps d’un instant son personnage qui l’a rendu culte de Jon Snow dans la légendaire série Games of thrones qui prouve qu’il a encore beaucoup à montrer, à donner à ce milieu. Un film qui les met en avant tout comme Tared Edgerton vu dans Kingsman services secrets tout aussi bons et d’autres seconds rôles moins mis en avant mais tout aussi bon comme Colin Morgan. Un quatuor dont l’amitié reste indéfectible malgré les tourments militaires et sentimentaux. Les relations entre eux sont très bien retransmise Vera et son petit frère, Vera et son amoureux, Vera et Victor un quatuor dont elle appelle ses hommes, ses 3 mousquetaires qui montrent énormément la relation forte qui les animent.

ALICIA VIKANDER & KIT HARINGTON Character(s): Vera Brittain, Roland Leighton Film 'TESTAMENT OF YOUTH' (2014) Directed By JAMES KENT 14 October 2014 SAM50156 Allstar/BBC FILMS (UK 2014) **WARNING** This Photograph is for editorial use only and is the copyright of BBC FILMS and/or the Photographer assigned by the Film or Production Company & can only be reproduced by publications in conjunction with the promotion of the above Film. A Mandatory Credit To BBC FILMS is required. The Photographer should also be credited when known. No commercial use can be granted without written authority from the Film Company.

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Taron Egerton
Colin Morgan
Colin Morgan

soldiers-parade_3141507kUn film qui montre cette destruction, cette mort permanente, ses conséquences avec une musique en retrait souvent, mais néanmoins ancré avec l’émotion qu’essaie de transmettre le film de tout son long avec des plans magnifique pour un film qui se veut majestueux. Un film dont je regrette que la plupart d’entre vous n’auront pas pu le voir en salle tant l’oeuvre en vaut le coup. Cette réalisation, un grand film de guerre, beau et puissant et qui fait encore plus écho en nous quand nous savons qu’il s’agit d’une histoire vraie.

Pour ce film le réalisateur s’est inspiré des journaux intimes de Vera Brittain et des correspondances qu’elle a pu entretenir avec les hommes qui ont compté dans sa vie. Ainsi que la propre fille de Vera, qui a pu livrer des informations très personnelles sur sa mère à la production. James Kent a notamment accepté de mettre en scène Mémoires de jeunesse car il a toujours apprécié de réaliser des portraits de femmes fortes qui ont marqué l’histoire, il signe là son premier film étant un habitué du petit écran. Une oeuvre cinématographique unique, un chef d’oeuvre que vous ne pouvez pas louper.  Kit+Harington+Testament+Youth+New+York+Premiere+M_VDoQxGokVl

Black Mass

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Strictly-criminal

Le quartier de South Boston dans les années 70. L’agent du FBI John Connolly convainc le caïd irlandais James « Whitey » Bulger de collaborer avec l’agence fédérale afin d’éliminer un ennemi commun : la mafia italienne. Le film retrace l’histoire vraie de cette alliance contre nature qui a dégénéré et permis à Whitey d’échapper à la justice, de consolider son pouvoir et de s’imposer comme l’un des malfrats les plus redoutables de Boston et les plus puissants des États-Unis. De: Scoot Cooper Avec: Johnny Depp, Benedict Cumberbatch, Joel Edgerton, Dakota Johnson, Kevin Bacon, David Harbour.. Genre: Thriller, Policier (2h03)

Avant de parler du film on va s’intéresser à son réalisateur déja à l’oeuvre pour les films Crazy Heart et Les brasiers de la colère n’ayant vu que ce dernier je peux vous en parler. Les brasiers de la colère (Out of the furnace) étaient l’une de mes belles attentes de l’année 2013 il me semble que c’était de cette année la. Le résultat ne fut pas à la hauteur de la promesse car l’enjeu du film retombait bien trop rapidement pour nous captiver réellement malgré un casting relevant le film. Crazy Heart étant un film que j’ai toujours voulu découvrir en particulier pour Jeff Bridges je manquerai pas de vous donner rapidement mon avis.

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Black Mass de son vrai titre (Messe noire) devenu Strictly Criminal en France quitte à n’avoir aucun sens autant rajouter un autre titre anglais.. C’est du détail mais je trouve vraiment ça débile. Black Mass est un film de gangster qui n’a pas la hauteur de ce qu’aurait pu en faire un Scorcese (Les infiltrés)ou un Michael Mann (Public Ennemies) il n’élève pas vraiment son sujet, en lui donnant une narration des plus classiques et en plus un scénario comme on a déja pu en voir il nous donne une impression de déja vu. Là ou il se distingue c’est dans ce qu’il veut filmer, l’action contrairement à ce qu’on pourrait  penser ne représente pas la majorité du film, elle n’est pas le point essentiel, comme son traffic que ce soit dans la drogue, l’armement ou dans l’argent cela n’est jamais vu à l’écran cela nous est dit. Sans jamais qu’on s’y implique réellement ça m’a au départ perturbé et puis j’ai fini par apprécié. Avec ce film il amène une véritable photographie et une véritable figure de l’horreur de Johnny Depp en cet incarnation du mal. Figure qu’il montre bien plus souvent dans l’ombre pour renforcer ce côté et qu’il amène à la lumière d’une très belle façon. Une photographie très classieuse et des plans maîtrisés pour une réalisation digne du genre qui reste à souligner. 381741.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxxUn film qui se concentre bien plus sur cette collaboration des plus douteuses pour faire front à un ennemi commun et laissant donc une ville sous le pouvoir d’un type aux ambitions toujours plus grandes dont personne ne peut contrôler. C’est en cela qu’il se distingue, il mise sur une relation de confiance entre un agent du FBI, notre caïd irlandais et son frère sénateur qui se connaissent depuis l’enfance. 2 frères au chemins totalement opposés dont on se demande comment les choses ont pu tournées ainsi pour eux. Cette relation qui se doit d’être amplifier pour y amener par la suite ses conséquences est un des points forts de ce film, d’une alliance qui aura permit à ce caïd irlandais de s’élever tout en sachant au font que cette alliance les mèneraient dans le mur et aurait que pour profit personnel toujours l’aggrandissement de l’empire et de la terreur de cet homme. C’est remarquablement retransmit par l’intermédiaire évidente des acteurs tous plus bons les uns que les autres dans ce film. On met de côté Johnny Depp pour le moment pour s’intéresser aux seconds rôles de ce film et vu qu’ils sont nombreux je n’en citerai que les plus forts tous masculins, laissant peu de place à la femme.

377990.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxxAgent du FBI ami du gangster et son collègue 2 rôles charismatiques totalement corrompus. 2 brillants acteurs dont un trop peu vu en vedette David Harbour (Les noces rebelles) et Joel Edgerton (Gatsby le magnifique, Exodus) ami de James « Whitey » Bulger

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Benedict Cumberbatch sénateur et frère du gangster qui aurait à la base du être interprété par Guy Pearce.

cumberbatch guy-pearce-shortlist-300x0 L’excellent Benedict Cumberbatch (Sherlock, 12 years a slave) jouant un sénateur du nom de Bill Burger ne voulant pas être mêlé aux histoires de son frère et qui essaie de rester intègre. Une interprétation qui une fois de plus marque les esprits pour le peu de temps qu’il est à l’écran il dévore ses scènes les sublimant c’est vraiment un acteur que j’admire il impose et dans ce rôle il excelle. J’approuve cent fois plus ce choix a celui de Guy Pearce (Des hommes sans loi, The rover).

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Kevin Bacon (Xmen First Class) et Corey Stoll (Ant man) interprète tous deux des « patrons » du FBI. Le premier voulant s’imposer contre  le caïd irlandais James « Whitey » Bulger mais n’arrivant pas à s’imposer face à lui. Le second lui succédant bien décidé à ne plus blanchir cet homme et mettre le nez dans toutes les affaires que le FBI a enterré. Les deux acteurs s’en tirent à merveille.

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Dakota Johnson (50 nuances of Grey) apparaît là comme l’un des rares rôles féminins du film il faut donc souligner son importance sachant que sa prestation de taille lui donne beaucoup d’humanité, dommage cependant qu’elle ne soit que trop peu présente à l’écran.

 

 

 

La ville de Boston est là aussi un personnage central, elle est la ville natale de James « Whitey » Bulger dit Jimmy et est au centre du conflit entre lui et la mafia italienne qui compte bien reprendre cette ville et donc prendre le contrôle de tous les traffics de tout le business qui fait l’empire de cet homme. Ben affleck l’avait aussi filmé comme un personnage à par entière dans son film The town qui si vous ne l’avez pas vu je ne peux que vous conseiller. Elle est filmée de manière sombre, comme une ville froide et presque menaçante.

Pour en venir au personnage principal incarné par un acteur qui retrouve enfin le chemin des grands rôles après avoir interprété pour Tim Burton notamment tous les personnages loufoques les uns que les autres ou il reproduisait la même chose à chaque film et qui ont failli le perdre et le limiter à ce genre de rôle comme ça a pu être le cas avec Alice aux pays des merveilles, Edward aux mains d’argents, Charlie et la chocolaterie, Pirates des caraibes et j’en passe. Johnny Depp a eu une interminable ascension de rôles vers la facilité, des mauvais choix et ou il faut le dire on ne le retrouvait pas. ( Transcendance, The tourist..).

Johnny Depp nous montre avec ce Black Mass qu’il n’a pas dit son dernier mot et qu’il peut très bien revenir en haut de l’affiche c’est en tout cas tout l’espoir qu’il nous porte avec ce film ou plus que jamais il nous transporte via son interprétation exemplaire. Véritable caméléon comme il a su le prouver depuis plusieurs années se veut à la fois hypnotisant et totalement terrifiant en un regard et c’est dans une conversation des plus banales que dans l’action qu’il s’avère le plus effrayant et le plus imprévisible pouvant déraper à n’importe quel moment. C’est simple il est fascinant à suivre, il incarne le personnage et toutes ses idéologies, on ne retrouve pas le Johnny Depp d’avant d’ailleurs difficile de savoir ou ici est Johnny Depp, on ne peut lui donner que des éloges face à son jeu.

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Si je devais conclure je dirai que pour bien des choix ce film sans être original sur sa forme et sur son fond retransmet bien là l’essence qui a convaincu le réalisateur a prendre un main le projet. Cette alliance improbable pouvant amener le plus grand des chaos, brutal mais pas constamment porté sur l’action son film est avant tout un film sur les relations et le pouvoir. Un casting 5 étoiles portés par des acteurs tous avec l’envie d’élever le film. On assiste là peu à peu à la destruction d’un « empire » mais surtout d’un homme que rien arrêté et dont l’interprétation grandiose de Johnny Depp qui signe là son meilleur rôle. Scott Cooper ne signe pas là le meilleur film du genre mais un film qui trouverait sa place dans les plus grands sans aucun doute.

 

HungerGames Mockingjay part II

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De: Francis Lawrence Avec: Jenifer Lawrence, Woody Harrelson, Josh Hutcherson, Julianne Moore, Donald Sutherland.. Genre: aventure, guerre. (2h15)

Alors que Panem est ravagé par une guerre désormais totale, Katniss et le Président Snow vont s’affronter pour la dernière fois. Katniss et ses plus proches amis – Gale, Finnick, et Peeta – sont envoyés en mission pour le District 13 : ils vont risquer leur vie pour tenter d’assassiner le Président Snow, qui s’est juré de détruire Katniss. Les pièges mortels, les ennemis et les choix déchirants qui attendent Katniss seront des épreuves bien pires que tout ce qu’elle a déjà pu affronter dans l’arène…

Contrairement à mes craintes d’un blockbuster en 2 parties qui appauvrirait l’oeuvre cinématographique je suis rassuré de voir qu’il n’en est rien d’Hunger Games car son réalisateur a maitrisé son sujet jusqu’au bout, l’univers après arène beaucoup plus basé sur la stratégie politique. Avec ce dernier film, ce qui m’importait c’est qu’au final si l’envie prenait à quelqu’un de voir les 4 films à la suite on retrouverait une oeuvre qui se tienne dans son rythme, dans la cohérence de son histoire et de l’évolution de ses personnages qu’elle aura installée de son premier film et surtout jusqu’a son dernier, ainsi que de son ton. Pour moi c’est une réussite.

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J’avais eu un réel coup de coeur avec le premier film et j’avais également vu Battle Royal pour les rageux et force de constater que le sujet reprend beaucoup de celui ci mais lui installe aussi beaucoup d’autre chose. Les films Hunger Games ne sont pas non plus destinés à un même public, à une même cible. La première partie de la révolte se voulait plus lente, plus posée ce qui pour un blockbuster de ce style était plutôt culotté mais c’est justement ce qui m’avait plu le réalisateur ne précipitait pas son final au risque d’en déplaire certains il installait vraiment l’ambiance et les passages du livre lui restant fidèle d’un bout à l’autre j’ai moi même lu les bouquins pour pouvoir vous donner un avis le plus précis sur ces films. Ce que je craignais notamment c’est une première partie posée pour une deuxième juste dans l’action et qui aurait ainsi prouvé l’inutilité d’un film en 2 parties ce n’est pas le cas. Là, le film garde son rythme, noirci son ton et y rajoute cette guerre tant attendue et qui a pour but de tuer le redou­table président Snow pour mettre fin à l’op­pres­sion dont le peuple de Panem souffre. Une mission périlleuse qui trans­for­mera à jamais ceux qui y survi­vront tant physique­ment que psycho­lo­gique­ment. .

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Ce blockbuster ayant réussi à réunir de grands acteurs tels que Woody Harrelson l’excellent Haymitch, Elizabeth Banks l’incroyable et extravagante Effie, Philip Seymour Hoffman notre regretté oscarisé mort pendant le tournage obligeant une modification du scénario le mettant plus en arrière plan grâce à la technologie car il devait être un élément très important de ce dernier. Il jouait avec brio Plutarch Heavensbee,un regard ému sur sa dernière performance ainsi que notre présidente rebelle du district 13 la grande Julianne Moore pour conclure avec notre Donald Sutherland exquis en président tyrannique et puissant.

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Voilà bien des seconds rôles de force pour aider notre Katniss Everdeen porté par une Jenifer Lawrence brillante dans son interprétation et déjà douiblement oscarisée. Un Peeta Mellark porté par un Josh Hutcherson beaucoup dans l’émotivité, parfait.

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Ce dernier film permet enfin à la musique de s’embraser, de s’envoler tel le geai moqueur dans la rebellion visiblement plus inspiré que sur les précédents films, les morceaux étaient déjà très beaux mais effacés maintenant ils en ressortent puissants, épiques, somptueux pour le dernier acte, celui de la guerre. Une composition qui marche de son début à sa fin dont James Newton Howard en était le compositeur également à l’oeuvre sur Avatar, Titanic ou Braveheart. Mort il ya peu également et qui signe si je me trompe pas son dernier film, il était entrain de composer celle de la suite d’Avatar, on le regrettera lui aussi. Sa musique me fera toujours voyager.
Comme je le disais précedement on ne s’ennuie pas un moment, à l’image du précédent film le message politique reste toujours au coeur de tout. Ses scènes d’actions sont inspirées, bien trouvées, puissantes. Le final n’en est que plus grandiose sans jamais cherché à en faire trop. Le résultat n’en est que plus appréciable. Les personnages ne sont pas oubliés on a même le droit à un rappel de tous les morts de l’arène ou en défendant la liberté et qui était prêt à mourir pour elle. On leur dit tous au revoir. Francis Lawrence a fait un travail remarquable qui apaise à merveille le feu qu’elle avait embrasée tout en émotion. Allez le voir.

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Aurevoir Philip Seymour Hoffman
Aurevoir Philip Seymour Hoffman

 

L’étudiante et monsieur Henri

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De: Ivan Calbérac avec: Claude  Brasseur, Noemie Schmidt, Guillaume de Tonquenec, Fréderic Bel.. (1h38) comédie. A cause de sa santé vacillante, Monsieur Henri ne peut plus vivre seul dans son appartement parisien. Particulièrement bougon, il finit néanmoins par accepter la proposition de son fils Paul de louer une chambre à une jeune étudiante. Loin de tomber sous le charme, Henri va se servir d’elle pour créer un véritable chaos familial…

PORTRAIT-CLAUDE-BRASSEUR-COMEDIEN-©-Christophe-Pit-All-Rights-Reserved-01-960x960Il y a des jours difficiles et à chaque fois le cinéma m’a relevé, ce fut le cas avec ce film vu hier soir. En allant voir une comédie que j’attendais depuis un petit moment sans m’imaginer être véritablement conquit de bout en bout, j’ai nommé: L’étudiante et monsieur Henri, film du réalisateur Ivan Calbérac notamment vu à l’oeuvre dans Une semaine sur deux et la moitié des vacances scolaires avec Mathilde Seigner et Bernard Campan signe là un petit chef d’oeuvre du genre. 3 raisons qui me donnaient envie de voir ce film c’était: 1. Claude Brasseur 2: Guillaume de Tonquenec 2 grands acteurs. On commence par Claude Brasseur, tout d’abord pour sa carrière, c’est un timbre de voix c’est un personnage à lui seul et un acteur extraordinaire qui n’a plus rien à prouver à personne. Guillaume de Tonquenec c’est un nouveau dans le milieu de cinéma mais qui a vite prit ses aises et qui a prit sa place, un acteur généreux et talentueux. Ses deux grands acteurs portent la sympathie en eux et l’amour du jeu, de leur métier.  3ème raison la bande annonce par elle même qui respirait la fraicheur et c’est bien ce qui en émane de ce film et on est loin du résultat final, on passe par toutes les émotions: humour, subtilité, beautée dans les paroles, et les thèmes qu’il aborde juste avec la vraie vie et qui vous feront probablement souvent écho. L’alchimie entre les acteurs est délicieuse, le réalisateur a fait un film remarquablement touchant, drôle et émouvant au point de me happer de tout son long.guillaume-le-conquerant,M176404

Il y a beaucoup de musique dans ce film, de la belle musique, de la musique qui porte qu’on est du piano en fond ou un titre de chanson choisit nous n’entendrons plus nos personnages, la musique parlant pour et ou l’image en fait écho. Ce film utilise plusieurs fois ce procédé et c’est quelque chose que j’adore dans un film j’adore ça je trouve que quand c’est bien choisit ça donne un charme fou en plus au film, avec ce film il le fait à merveille. Comme je le disais également on rit beaucoup dans ce film car le scénario très habile sait avec subtilité utilisé les mots et les doser. Claude Brasseur rejoue un rôle bougon comme il sait tant les faire qui on le devine facilement à un grand coeur. Cela se joue à une petite phrase « n’attrape pas froid ».  » N’attrape pas froid » voilà après avoir lancé tout un tas de saloperies une phrase qui montre tout l’amour qu’il ne montre pas et garde au fond de lui. Guillaume de Tonquenec joue les simplets enfin c’est comme ça que dans le film son père le décrirait. C’est un rôle qu’on lui colle souvent mais il le joue divinement bien, il est vrai, il est touchant mais le plus gros coup de coeur de ce film porte bien un tout autre nom.

1937213-noemie-schmidt-enregistrement-de-950x0-1Elle se nomme Noémie Schmidt elle fait ses premiers pas au cinéma et est également au casting de la série Versailles qu’elle me donne envie de découvrir car elle est tout simplement fabuleuse. Je l’a découvre avec ce film, elle m’a hypnotisée nul doute qu’une grande carrière l’attend et je lui souhaite de tout coeur tant le talent brut est là devant nous et je crois qu’elle peut largement être une candidate très sérieuse pour le césar du meilleur espoir féminin, elle le mériterait amplement, elle me fait penser à Emma Watson, elle a un charme fou. Elle ne fait pas tout le film bien évidement et c’est bien parce que le film est d’une incroyable poésie qu’elle n’est qu’embellie dans ce rôle. Jusqu’à son final dont je m’attendais, beau, bien joué, une comédie belle et intelligente à l’image de sa bande annonce. Le cinéma français refleurit avec ce film j’en suis ressorti ému et encore plus déterminée d’y trouver ma place. Foncez le voir.!

 

THE MARTIAN

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Réalisé par Ridley Scott Avec Matt Damon, Jessica Chastain, Kristen Wiig, Jeff Daniels.. Genre : Science fiction (2h25)

Lors d’une expédition sur Mars, une tempête oblige les astronautes à quitter d’urgence la planète et d’abandonner l’un des leurs Mark Whatney, laissé pour mort lors de l’incident. Contre toute attente, l’astronaute a survécut et est désormais seul sur la planète, sans aucun moyen de la quitter. Il devra faire appelle à son intelligence pour tenter de survivre sur cette planète hostile et trouver un moyen d’entrer en communication avec la Terre avec le matériel restant sur Mars. De leur cotés, sur Terre, les dirigeants de la Nasa, prennent connaissance de la survie de l’astronaute et devront tenter le tout pour le tout afin de lui porter secours. Une organisation d’une grande envergure se prépare alors.

Seul sur Mars ou de son vrai titre qui en jette bien plus The Martian qui montre avec ce titre l’homme qui occupe cette planète est le dernier film de Ridley Scott qui ne m’aura au final que peu marqué (si vous voulez une critique approfondie qui rejoind mon avis et plus détaillé je ne voudrai pas reprendre tout ce qu’il dit malgré que je crains n’avoir le même avis sur la globalité. Je vais donc essayer de faire plus court: http://lecoindescritiquescine.com/les-critiques/seul-sur-mars-de-ridley-scott/)On est loin du chef d’oeuvre de Christopher Nolan, Interstellar. Interstellar, qui m’avait bouleversé, qui me bouleverse encore quand je le visionne, car au final de ce film ce qui en ressort c’est au final son histoire de famille qui derrière cette histoire de découverte de d’autres planètes et le fondement du film. ceux sur lequel toute l’émotion était connectée et ou la musique se trouvait elle, brutal pour montrer la nature, d’une délicatesse rare pour les moments de famille et hypnotisante dans sa totalité.

ridley-scott-seul-sur-mars-choix-realisationLe film ne ment cependant pas à travers sa bande annonce, il montre exactement le décalage qui émane de tout son long de ce film mais j’ai été déçu après son exodus gods and kings qui malgré des décors plus qu’époustouflant ainsi que les costumes en oublier le fondement, cette famille royale divisée et en baclant cette histoire leurs liens à montrer à l’écran ne serait que plus difficile. Il est bien loin le réalisateur de Gladiator qui avait permit à Ridley Scott une ascension vers la reconnaissance et une critique saluée pour ce qui restera comme son chef d’oeuvre brut car depuis il n’a plus eu de grandeur dans ses projet.

Seul sur Mars n’en est pas pour autant un mauvais film, Seul sur Mars divertit. Le ton du film est léger, ponctué de beaucoup d’humour et d’un ton plus sérieux quand on revient sur Terre et des grands dirigeants NASA ect.. Un ton léger plutôt culotté face au sujet qu’il aborde et c’est bien dans ce ton que vient pour moi tout le problème car on en oublie, la tension, la souffrance que vit notre personnage principal abandonné et attendant d’être secouru. Une tension qui ne prend que peu souvent car trop peu exploitée mais qui, quand elle est traitée le fait très bien. Matt Damon y fait son taff mais son personnage n’est que trop peu écrit et il n’évolue quasiment pas sur la totalité du film. Parce que le gros problème du film se situe dans ses coupures entre Mars et la Terre. Le ton léger qui intervient le plus souvent sur Mars et le ton très sérieux des scientifiques préparant le retour de notre homme fait une cassure qui rend le tout inégal. Il y a trop de débats pour trop peu de moments avec notre personnage principal, on est pas assez avec lui ça m’a vraiment frustré et ça donne une impression d’inachevée. On ne peut pas se donner une idée plus importante de ce qu’il endure et donc on est que trop peu dans l’émotion avec lui, même dans son final. La musique disco mise a amené un moment sympathique à l’image de ce que le film voulait dans son ton mais il m’a manqué un vrai thème, un vrai compositeur.
la-mission-des-astronautes-de-seul-sur-mars-de-ridley-scottLe casting du film avait pourtant été un régal à suivre tant il avait d’acteurs d’envergures à commencer par mon actrice favorite Jessica Chastain déja à l’écran pour Interstellar occupant le rôle de commandant ou encore Michael Pena ou Kate Mara et Chiwetel Ejiofor pour ce qui est de l’équipe de base qui s’était posé sur Mars avec Matt Damon et repartit sans. Les personnages ne sont pas traités et manque de profondeur et d’importance toute cette équipe n’apparait que trop peu à l’écran par rapport à la place capitale qu’elle occupe et là aussi leur temps à l’écran n’en est qu’inégal. Ils sont trop peu mit en avant.  Les autres acteurs secondaires comme Jeff Daniels (dumb & dumber), Sean Bean (Game of thrones, seigneur des anneaux) ou encore pour ne citer qu’elle Kristen Wiig (Les cerveaux, Dragons 2) tous ses acteurs secondaires occupant de gros postes au niveau de la Nasa ne vous marqueront pas c’est à l’image de tous les personnages malheureusement..

The-Martian-Matt-Damon-Hamilton-Watch-5De ce qui est de Mars il en dégage, une image sublime, filmée comme rarement, elle deviendra un personnage a par entière et c’est évidement voulu. Un orange opressant, étoufflant mais dont on ne se lasserait pas, un habitat que l’on ne pourrait montrer tel qu’il est dans le film être un habitat pour l’homme tant il est menaçant, rocheux, hostile en restant fascinant ainsi que le prépare le début du film notamment.

On pourrait croire avec tout cela que je n’en ai pas aimé le film ce n’est pas le cas c’est que j’en attendais beaucoup trop comme sur la plupart des films que je vais voir d’ailleurs, j’imaginais le ton léger que pour de rares moments, privilégiant l’axe dramatique et les moments de notre botaniste qui captivent mine de rien. Malgré que les personnages soient peu traités il n’en est pas moins que l’on est ravi de retrouver tous ces bons acteurs et qu’ils font leur boulot, ils sont investis on ne peut pas en dire le contraire. L’instinct de survie trop peu mit en avant vous en ressortirez cependant sans peine car le film passe assez vite et pour ceux qui étaient venus avec moi à la séance ils ont tous aimé le film bien plus que moi je ne l’ai été. Tout cela pour dire que vous devez avant tout vous faire votre propre avis et c’est pourquoi il est indispensable que vous voyiez ce film ;).