Date de sortie 04/05/2016
Durée (01:38:00)
Titre original Krampus
Genre Comedie, Horreur
Avec Adam Scott, Toni Collette, Allison Tolman, David Koechner, Emjay Anthony, Stefania LaVie Owen, Queenie Samuel
Réalisé...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Date de sortie 26/11/2025
Durée(02:25)
Titre original Wake Up Dead Man: A Knives Out Mystery
Genre Policier
Avec Daniel Craig, Josh O'Connor, Glenn Close, Josh Brolin, Mila Kunis,...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Date de sortie 04/05/2016
Durée (01:38:00)
Titre original Krampus
Genre Comedie, Horreur
Avec Adam Scott, Toni Collette, Allison Tolman, David Koechner, Emjay Anthony, Stefania LaVie Owen, Queenie Samuel
Réalisé...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Date de sortie 26/11/2025
Durée(02:25)
Titre original Wake Up Dead Man: A Knives Out Mystery
Genre Policier
Avec Daniel Craig, Josh O'Connor, Glenn Close, Josh Brolin, Mila Kunis,...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef)
Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori
Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré
Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films
comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky
sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les
oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .
Date de sortie 24/12/2021 Sur Netflix Durée (02h18) Titre original Don’t Look Up Réalisé par Adam McKay Avec Jennifer Lawrence , Leonardo DiCaprio , Meryl Streep , Cate Blanchett , Rob Morgan , Jonah Hill , Mark Rylance , Tyler Perry , Timothée Chalamet , Ron Perlman , Ariana Grande , Scott Mescudi , Himesh Patel , Melanie Lynskey , Michael Chiklis , Tomer Sisley Genre Comédie Nationalité États-Unis
Attention pépite cosmique et comique
Synopsis
Deux piètres astronomes s’embarquent dans une gigantesque tournée médiatique pour prévenir l’humanité qu’une comète se dirige vers la Terre et s’apprête à la détruire.
Pour noël voilà qu’Adam McKay nous sort un film, sur la fin du monde alors pas un blockbuster genre Armageddon non loin de là, c’est d’ailleurs tout le contraire. Si vous connaissez Adam McKay, et que vous aimez son humour alors vous aimerez son dernier long-métrage. Après Vice avec un Christian Bale méconnaissable, ou il interprétait le vice-président des Etats-Unis. Il avait aussi réalisé The Big Short : le casse du siècle, trois ans après Vice, il est de retour pour un film sur Netflix, avec un sacré casting. Oui, car le casting, c’est quand même quelque chose, un Léonardo DiCaprio surprenant dans cette comédie, mais aussi une Jennifer Lawrence qui fait son come-back, mais alors quel come-back ! Même Jonah Hill ainsi que Meryl Streepson au casting, et Cate Blanchett qu’il est difficile de reconnaître. Don’t Look Up, c’est l’histoire d’un astronome qui découvre une comète, qui va s’écraser droit sur la terre, tout de suite la jeune femme et son collègue doivent prévenir la présidente, qui ne s’inquiète pas des conséquences alors que dans 6 mois ça sera la fin de ce monde. Le film d’Adam McKay est une farce, sur l’Amérique qui dénonce cette société, représenté par une Meryl Streep drôle mais détestable.
L’astronome Kate Dibiasky, fait la découverte d’une comète alors qu’elle fête ça avec ses collègues, l’un de ses collègues le Dr Randall Mindy, après des calculs découvre que cette dernière va détruire notre planète. En effet, cette comète d’une dizaine de Km, dans 6 mois entrera en collision avec la terre mettant fin à l’humanité. La fête est donc de courte durée, Kate et Randall savent qu’ils doivent immédiatement prévenir le gouvernement et précisément la présidente des Etats-Unis. Cette découverte va amener les deux astronomes, alors a Washington pour prévenir la présidente, puis ensuite effectuer une tournée médiatique au sein d’une grande émission. C’est avec un stress immense que Randall annonce, a la présidente qu’une comète détruira la terre. C’est alors que cette dernière ne s’en souci guère, comme sil s’agissait d’une vulgaire blague, le fils de cette dernière Jason ne prend pas tout ça au sérieux. Lors de l’émission Kate dont la comète porte son nom de famille, pète un plomb en hurlant par rapport à la gravité de la situation, dont les présentateurs prennent aussi tout ça pour une blague. Kate et Randall sont rejoint alors par le Dr Teddy Oglethorpe, qui travaille pour la défense spatiale qui va apporter son aide et ne sera pas plus prit au sérieux.
Pour avoir déclaré qu’une comète se dirigeait sur terre au public, Kate est mise à l’écart. La présidente étant a mi-mandat, préfère ne pas entendre parler de cette comète pour se concentrer sur son élection. Mais au fil des jours, les chances s’amenuisent et les chances de s’en sortir sont minimes. C’est alors dans son propre intérêt que la présidente, décide d’agir ou ses décisions ramène des électeurs supplémentaires ou elle et son fils sont prêt à mentir. Quand Peter Isherwell PDG fondateur de BASH cellular, constructeur de téléphone mobile découvre que la comète possède des métaux précieux, il décide d’envoyer des appareils qu’il a conçus qui détruirons la comète en prenant les métaux par la même occasion. Une fois de plus, la présidente y voit du profit et préfère cette solution plutôt que celle des deux astronomes. Randall entraîné dans la tempête médiatique, se laissera entraîner dans une relation sulfureuse avec Brie Evantee la présentatrice d’un show télé, ou Randall est régulièrement l’invité. Pour Kate, sa carrière est fichue, et se retrouve caissière, dans un petit magasin. S’inspirant du changement climatique actuel, dont le gouvernement ne s’inquiète pas, Adam McKay caricature ces événements avec une comète et ça fonctionne parfaitement. Don’t Look Upest une gigantesque farce politique, ou Adam McKay se moque avec une vision assez réaliste du gouvernement et de la société actuelle. La mise en scène, du réalisateur est soignée et tout est parfaitement orchestré, car on reste captivé durant tout le film.
Pour un scénario pareil, ça ne pouvait qu’être Adam McKay qui prouve que quand Netflix distribue des films ce n’est pas forcément mauvais. Le réalisateur n’hésite pas à dénoncer, la politique américaine et ses écarts et à travers cette écriture, on ressent la même chose, que ce qui se passe actuellement, comme le « je m’en foutisme » du changement climatique des politiciens, car si c’est une comète dans le film le « je m’en foutisme » est du même niveau. Forcément, Adam McKay fait ça avec humour et c’est génial. Des dialogues qui font mouche, mais aussi un traitement des personnages très bien écrit comme l’évolution du personnage de Randall qui ira jusqu’à tromper sa femme, en couchant avec la présentatrice télé. Meryl Streep représente parfaitement bien, la politique américaine dans toute son horreur bien qu’on ne soit bien loin, en France. C’est osé, culotté, mais tellement vrai, cette farce politique, est efficace et elle n’est pas sans rappeler le film Idiocracy, car certains personnages sont aussi idiots voir très con. Malgré cet humour absurde et vrai, le réalisateur arrive à intégrer de l’émotion sur la fin du film et c’est très réussi. On aura le droit à deux scènes post-générique, dont une absurde, mais tellement drôle. Léonardo DiCaprio, rare dans le registre de la comédie est très drôle, Jennifer Lawrence rare aussi dans ce registre est très convaincante. Les prestations de Cate Blanchett, Jonah Hillet Meryl Streep sont inoubliables. Don’t Look Up : Déni cosmique, est la surprise de cette fin d’année sur Netflix, et c’est une pépite cosmique à ne pas louper.
Pour ce Podcast nous parlons de The Witch de Robert Eggers son premier long-métrage, puis également du premier film de Romain Quirot le dernier voyage. Pour finir nous parlerons de Roman Polanski un réalisateur qui fait beaucoup débat. Bonne écoute …
I Feel Good (le 1er janvier)
A star is born (le 1er janvier)
L’échange (le 1er janvier)
Proud Mary (le 2 janvier)
Undercover : une histoire vraie (le 6 janvier)
Mother / Android (le 7 janvier)
On se connait… ou pas (le 13 janvier)
La maison (le 14 janvier)
The front runner (le 16 janvier)
The puppet master : leçons de manipulation (le 18 janvier)
Absolument royal ! (le 20 janvier)
L’étau de Munich (le 21 janvier)
Massacre au pensionnat (le 22 janvier)
Neymar : le chaos parfait (le 25 janvier)
Hôtel Transylvanie 3 : des vacances monstrueuses (le 28 janvier)
Getting curious with Jonathan Van Ness (le 28 janvier)
Star Trek sans limites (le 31 janvier)
Les Séries, Emissions & Anime :
Plan Coeur, saison 3 (le 1er janvier)
Undercover, saison 3 (le 10 janvier)
Shaman King (le 13 janvier)
After life, saison 3 (le 14 janvier)
Archive 81 (le 14 janvier)
Dota : dragon’s blood, livre 2 (le 18 janvier)
Séduction haute tension, saison 3 (le 19 janvier)
Ozark, saison 4, partie 1 (le 21 janvier)
Snowpiercer, saison 3 (à partir du 25 janvier)
La femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre (le 28 janvier)
Notre jeunesse en orbite (le 28 janvier)
Date de sortie 11/12/1991 Durée (01h26) Titre original Critters 3 Réalisé par Kristine Peterson Avec John Calvin , Don Keith Opper , Terrence Mann , Leonardo DiCaprio , Frances Bay , Geoffrey Blake … Genre Science-fiction, Comédie, Horreur Nationalité États-Unis
Les Critters ont encore la dalle
Synopsis
Après avoir dévasté un petit village du Kansas, les horribles monstres venus de l’espace partent à la conquête d’une grande ville et envahissent un immeuble de Los Angeles. Un adolescent se lance dans un combat désespéré pour refouler les envahisseurs et sauver la planète.
Après Mick Garris dans Critters 2, c’est une réalisatrice qui prend les commandes pour la suite Kristine Peterson, dont on n’entendra que très peu parler après Critters 3. Cette fois, l’intrigue se déroule à Los-Angeles, puis Charlie l’un des personnages du premier et deuxième film, est à l’affiche et va devoir affronter les critters une fois de plus. Contrairement aux autres films, ce dernier amènera à une fin ouverte et pour connaître la suite, il faudra regarder alors le 4. Comme beaucoup de suite de films, la saga Critters ne s’arrange pas au fil des épisodes, mais Critters 3 ne reste pas mauvais pour autant il est juste moins bien que ses prédécesseurs. Le film est aussi une occasion, de découvrir le premier rôle de Léonardo DiCaprio qui interprète Josh, un jeune garçon qui apportera son aide à une famille qui fait face au Critters. Moins bien que les précédents films, Critters 3, reste un volet amusant qui se laisse regarder avec plaisir.
Clifford un père de famille, qui vient de perdre sa femme, il est sur la route avec ses deux enfants Annie et Johnny, quand le pneu de ce dernier éclate, il s’arrête sur une aire de repos afin de changer le pneu. Alors que ses enfants jouent, ils font la rencontre de Josh un jeune garçon qui fait la route avec sa mère et son beau-père. En lançant le frisbee, un peu trop, loin, celui-ci atterrit dans un contre-bas, les enfants décident d’aller le chercher. Quand ils y sont un homme étrange surgit du sol, il s’agit de Charlie qui traque des créatures les enfants le prennent pour un fou et reprennent la route. Seulement voilà, des œufs de Critters sont accroché, a la voiture de Clifford. Leur destination est Los-Angeles, et ils traversent la petite ville de Grovers Band, que les Critters avaient déjà attaqué, cela intrigue Annie, car Charlie avait parlé de cette ville avant leur départ. Clifford et ses enfants vivent dans un petit appartement de Los-Angeles, mais le nouveau propriétaire compte bien faire virer tous les locataires. Les Critters quant à eux ont investi les lieux, et commencent à attaquer des locataires en commençant par en dévorer un dans la cave. Le massacre ne fait que commencer, car les bestioles comptent s’en prendre à l’immeuble entier. Le nouveau propriétaire n’est autre que le beau-père de Josh, à qui il montre les ficelles de son métier des méthodes qui ne plaise guère au jeune garçon. Les attaques des créatures deviennent de plus en plus violentes, Clifford, ses enfants, Josh et le reste des locataires doivent se battre pour rester en vie, et ça ne sera pas chose facile. On ne vous cachera que ce Critters 3, décline dans sa qualité, à la réalisation Kristine Peterson une cinéaste peu expérimentée, a du mal avec sa mise en scène qui reste sans grande surprise si elle n’a pas eu une grande carrière par la suite, ce n’est pas étonnant. La recette reste cependant la même, sauf que là, le film place son intrigue à Los-Angeles, dans un petit immeuble. On a toujours ces créatures, dévoreuses avec cet humour qui fonctionne encore certes moins, mais toujours. Moins intéressant que ces prédécesseurs, on sent bien qu’il aurait fallu s’arrêter là.
À l’écriture Rupert Harvey, Barry Opperet David J. Schowlivrent un scénario simple, ou cette fois-ci un père et ses deux enfants sont au cœur du récit. Ils ne s’attardent pas sur la mort, de la mère, mais se concentrent davantage sur la précarité dans laquelle ils se trouvent, face à un nouveau propriétaire sans scrupule. Tout ça est quand même, peu développer, mais après tout ça n’a pas grande importance. On aura quand même le plaisir de voir Léonardo DiCaprio, qui ici tient son premier rôle, dans celui de Josh. John Calvinjoue Clifford, le père d’Annie et Johnny qui vivent dans cet immeuble qui se retrouve en plein chaos à cause de ces créatures. Critters 3 n’aura certes pas connu le succès des précédents volets, une réalisation simpliste, mais c’est un volet qui reste amusant malgré ses nombreux défauts.
The King’s Man : Première Mission
29 décembre 2021 / Action, Espionnage
De Matthew Vaughn
Avec Ralph Fiennes, Gemma Arterton, Rhys Ifans
Lorsque les pires tyrans et les plus grands génies criminels de l’Histoire se réunissent pour planifier l’élimination de millions d’innocents, un homme se lance dans une course contre la montre pour contrecarrer leurs plans.
Nos plus belles années
29 décembre 2021 / Comédie, Comédie dramatique, Drame
De Gabriele Muccino
Avec Pierfrancesco Favino, Micaela Ramazzotti, Kim Rossi Stuart
C’est l’histoire de quatre amis, racontée sur quarante ans, en Italie, des années 1980 à aujourd’hui. La chronique de leurs espoirs, de leurs désillusions, de leurs amours, et surtout, de leur amitié.
Belle
29 décembre 2021 / Aventure, Animation, Science Fiction
De Mamoru Hosoda
Avec Louane Emera, Kaho Nakamura, Koji Yakusho
À PARTIR DE 8 ANS
L’histoire d’une adolescente de 17 ans, Suzu, dont le quotidien se partage entre le petit village où elle vit avec son père et « U », un monde virtuel aux cinq milliards d’abonnés dont elle est l’une des icônes, la chanteuse Belle.
Lamb
29 décembre 2021 / Drame, Fantastique
De Valdimar Jóhannsson
Avec Noomi Rapace, Hilmir Snær Guðnason, Björn Hlynur Haraldsson
María et Ingvar vivent reclus avec leur troupeau de moutons dans une ferme en Islande. Lorsqu’ils découvrent un mystérieux nouveau-né, ils décident de le garder et de l’élever comme leur enfant.
The Card Counter
29 décembre 2021 / Drame, Thriller
De Paul Schrader
Avec Oscar Isaac, Tye Sheridan, Tiffany Haddish
Mutique et solitaire, William Tell, ancien militaire devenu joueur de poker, sillonne les casinos, fuyant un passé qui le hante. Il croise alors la route de Cirk, jeune homme instable obsédé par l’idée de se venger d’un haut gradé avec qui Tell a eu autrefois des démêlés.
Le Test
29 décembre 2021 / Comédie
De Emmanuel Poulain-Arnaud
Avec Alexandra Lamy, Philippe Katerine, Matteo Perez
Annie Castillon est heureuse. Sa vie conjugale avec Laurent est un exemple d’harmonie. Ses deux grands, Maximilien et César sont des garçons brillants et sensibles. Et Poupi, sa jeune ado, l’épaule sans jamais se plaindre dans l’éducation d’Antoine, le petit dernier. Un week-end comme tous les autres, la découverte d’un test de grossesse.
Tromperie
29 décembre 2021 / Drame, Romance
De Arnaud Desplechin
Avec Denis Podalydès, Léa Seydoux, Anouk Grinberg
Londres – 1987. Philip est un écrivain américain célèbre exilé à Londres. Sa maîtresse vient régulièrement le retrouver dans son bureau, qui est le refuge des deux amants.
A Perfect Enemy
29 décembre 2021 / Thriller
De Kike Maillo
Avec Tomasz Kot, Athena Strates, Marta Nieto
Un célèbre architecte est interpellé par une mystérieuse jeune femme dans un aéroport parisien. Elle est si envahissante qu’elle lui fait rater son vol. Il va réaliser, au fil des heures, que leur rencontre n’est pas due au hasard…
Goodbye Mister Wong
29 décembre 2021 / Drame
De Luang Kiyé-Simon
Avec Nini Phonesavanh Vilivong, Marc Barbé, Soulasath Saul
Au bord du lac Nam Ngum, au nord du Laos, les destins croisés de France, une jeune femme convoitée par deux hommes venant de deux mondes très différents, et de Hugo un français à la recherche de la femme qui l’a quitté un an plus tôt.
Next Door
29 décembre 2021 / Comédie
De Daniel Brühl
Avec Daniel Brühl, Peter Kurth, Rike Eckermann
Daniel est un acteur célèbre qui vit dans un bel appartement. Il s’apprête à décoller pour Londres où l’attend le casting d’un film de superhéros. En attendant son chauffeur, Daniel se rend au bar du coin sans savoir qu’il est suivi par son mystérieux voisin…
Les Enfants du soleil
29 décembre 2021 / Drame
De Majid Majidi
Avec Rouhollah Zamani, Ali Nassirian, Javad Ezati
A Téhéran, Ali, 12 ans, et ses amis, sont embauchés par un criminel dangereux pour trouver un trésor enfoui caché à proximité d’une école. Pour y accéder, les enfants doivent s’inscrire à l’école et grâce à l’éducation, ils commencent à découvrir un trésor différent : celui présent en eux.
Date de sortie 22/12/2021 Au cinéma Durée(02h28) Titre original The Matrix Resurrections Réalisé par Lana Wachowski Avec Keanu Reeves , Carrie-Anne Moss , Yahya Abdul-Mateen II , Neil Patrick Harris , Jessica Henwick , Jonathan Groff , Priyanka Chopra Jonas , Max Riemelt , Eréndira Ibarra , Toby Onwumere , Jada Pinkett Smith Genre Science-fiction, Action, Matrix Nationalité États-Unis Musique Johnny Klimek et Tom Tykwer
Synopsis
MATRIX RESURRECTIONS nous replonge dans deux réalités parallèles – celle de notre quotidien et celle du monde qui s’y dissimule. Pour savoir avec certitude si sa réalité propre est une construction physique ou mentale, et pour véritablement se connaître lui-même, M. Anderson devra de nouveau suivre le lapin blanc. Et si Thomas… Neo… a bien appris quelque chose, c’est qu’une telle décision, quoique illusoire, est la seule manière de s’extraire de la Matrice – ou d’y entrer… Bien entendu, Neo sait déjà ce qui lui reste à faire. Ce qu’il ignore en revanche, c’est que la Matrice est plus puissante, plus sécurisée et plus redoutable que jamais. Comme un air de déjà vu…
L’Avis d’Orel
Lana Wachowski revient, mais seule, cette fois-ci pour ce quatrième volet de Matrix. La trilogie qui eut tant de succès lancé en 1999, revient cette année 22 ans après le premier film. Le premier opus avait surtout été une révolution cinématographique à son époque, tant dans son scénario que les procédés techniques qui en font encore le charme des films. Les suites eurent moins de reconnaissance pourtant, surtout Révolutions qui pourtant est vraiment loin d’être mauvais. Faire revenir tout le monde …Ou presque 22 ans après, et les plus importants comme Néo et Trinity ceux qui avaient sauvé le peuple de Zion de loin. Lana Wachowski, fait donc cavalier seul, et elle s’en tire à merveille. Les grands fans de Matrix n’apprécieront pas cette suite, même si certains apprécieront tout même le travail de Lana Wachowski. Car dans son nouveau long-métrage, Lana Wachowski n’offre pas aux fans le Matrix ce qu’ils espéraient, et d’ailleurs qu’espéraient-ils vraiment ? Une redite comme les derniers Stars Wars ou Jurassic World, justement il n’en est rien avec Matrix Résurrections, même que Lana Wachowski dénonce le système hollywoodien, en pointant du doigt la Warner qui produit encore le film. Rien que ça, fallait le faire, et on ne peut être que ravi en voyant ça. Matrix Résurrection est le blockbuster, qui nous fallait cette année pour finir l’année en beauté.
M. Andersen vit dans un monde, ou il ne sait plus vraiment qui il est, il est concepteur de jeux-vidéos, il est à l’origine de Matrix trilogie à succès de jeux-vidéos. Il voit régulièrement un psychiatre, car Thomas doit se retrouver et savoir vraiment qui il est. Dans le café qu’il fréquente régulièrement, il y a cette femme qui lui rappelle quelqu’un, elle s’appelle Tiffany, mais elle ne semble pas connaître Thomas tandis que pour lui, elle est quelque part dans des souvenirs profondément enfoui. Se jeter du haut d’un immeuble, semble être la solution pour en finir quand il est prêt, il est interrompu par une jeune femme nommait « Bugs », elle sait qui est Thomas elle sait qu’en réalité, il est Néo. Elle connaît son histoire et celle de Trinity, elle a pu observer à travers une réalité autre, comment cette dernière s’est battu. Néo rencontre alors Morpheus, mais un autre plus jeune qui lui propose la pilule rouge ou bleu, et Néo repart dans le monde réel et renaît. Il fait la rencontre de l’équipage du vaisseau, ceux qui l’ont sauvé quand il est arrivé. Ensemble, ils aideront Néo, a livré un combat dans une matrice, qui semble plus redoutable que jamais. Ce qui compte le plus pour Néo, c’est de revoir celle qu’il aime Trinity, et qu’elle l’accompagne dans son nouveau combat. Pourquoi et comment Néo et Trinity sont donc ressuscité ? Tout est dit, et ça, vous le saurez en regardant le film, mais tout reste cohérent. Lana Wachowskirégale visuellement, on n’en prend plein les yeux durant 2 h 30 et on ne boude pas son plaisir. Même seule Lana Wachowski, maîtrise sa mise en scène, il est certain que le film divise et c’est bien normal au vu des risques que prend la réalisatrice. Mais ce qui est sûr aussi, c’est que le film mérite plusieurs visionnages tant il est riche il y a encore beaucoup de découvertes à faire en le regardant. Lana Wachowskin’a pas fini de nous surprendre.
Matrix Résurrections est un film à suivre avec attention, il reste complexe sur bien des points tout en restant cohérent dans ce qu’il raconte. Lana Wachowski est a l’écriture du scénario, elle est accompagnée d’Aleksandar Hemon et David Mitchell. C’est une écriture très riche, qui prend différentes directions, de quoi parfois nous perdre. Mais on voit la maîtrise évidente dans l’écriture, de plus le film dénonce le système hollywoodien et ses dérives, ou la Warner même est pointé du doigt dès le début du film. Étonnant que le studio est accepté de se faire troller, ou alors ils ignoraient totalement ce qu’allait faire les scénaristes. Ce passage est amusant certes, mais dénonce exactement la démarche des studios, avec tout ce qui est reboot et suites. Bien qu’étant une suite, Matrix Résurrections est fait intelligemment en évitant les erreurs qu’une suite peut faire, et c’est justement ce que dit le film « faire tout le contraire, de ce que les fans veulent ». Forcément la sauce ne prend pas avec tout le monde, car ce quatrième Matrix prend des risques et s’éloigne de ses prédécesseurs, et ce qui fallait. Keanu Reeves reprend le rôle de Néo, avec une telle classe différent de la trilogie originale, mais très bien écrit. Car il faut dire, que le traitement des personnages, sont très bien développer tout comme Trinity qu’interprète à nouveau Carrie-Anne Moss, dont l’alchimie avec Néo est toujours plus présente, et même plus présente qu’avant, on le remarque dans la dernière partie du film surtout. Néo et Trinity ont besoin l’un de l’autre, pour que tout fonctionne et c’est toujours intéressant de voir quel point leurs personnages sont aussi bien travailler. Le nouveau Morpheus bien différent, se présentera sous différentes formes, c’est Yahya Abdul-Mateen II, qui l’interprète cette fois-ci. Jada Pinkett-Smith, reprend le rôle de Niobe, qui a bien vieilli. Jonathan Groff reprend le rôle de Smith, dans une nouvelle version qui combattra à nouveau Néo, mais le charme de Hugo Weaving manque. La courte présente de Christina Ricci, marque t’elle le retour de la comédienne au cinéma ? Neil Patrick Harris est celui qu’on remarquera dans les nouveaux, il est l’analyste et son personnage est bien plus mystérieux qu’il n’y paraît. Reste a savoir si maintenant si Lana Wachowki souhaite faire une nouvelle trilogie, car la fin est ouverte a toute possibilité.
L’Avis de Nicolas
Matrix Resurrections est un film complétement inespéré dans une industrie américaine du blockbuster sclérosée par le cynisme. Le film de Lana Wachowski aurait pu verser dans la commercialité des icônes fictionnelles puisqu’il s’agit de la suite d’une grande trilogie.
Serait-ce un geste qui tente de capitaliser sur la nostalgie du spectateur pour lui fournir son petit moment « popcorn » qu’il oubliera au plus vite ?
Non, ce Matrix est au contraire un véritable commentaire de l’industrie de la fiction et de son époque. Il réactualise la matrice pour prouver que les thématiques dépeintes par les précédents films sont encore d’actualité.
La résurrection est belle et justifiée. Elle mélange un propos sacrément acerbe avec une ode à l’amour, celle de la fiction, celle du cinéma.
C’est en cela que la première partie est un véritable pamphlet qui mute vers un amour des personnages, de l’univers et d’une croyance profonde en celui-ci de la part de sa cinéaste.
Néo et Trinity forme le plus beau couple vu au cinéma cette année. Un couple d’élus contre la moquerie, le mépris. Deux personnages pour le cinéma….
L’Avis de Brian
Matrix, Matrix Reloaded et Matrix Revolutionsde Lilly et Lana Wachowski formaient une trilogie complète, entière et indivisible. L’idée d’un retour après tant d’années avait de quoi intriguer, voir de faire peur vu les nombreux retours loupés de grandes sagas ces dernières années. Pourtant, avec la certitude que l’un des deux cerveaux à l’origine de la saga serait à la barre,et avec les deux enthousiasmantes bande-annonce qui nous promettaient un véritable moment de cinéma, l’excitation autour de ce film n’a fait qu’augmenter jusqu’au grand jour.
N’y allons pas par quatre chemin, Ce nouvel opus est une pure réussite, un véritable objet cinématographique. Matrix Resurrections n’est pas une bête suite, ou un faux reboot, mais une œuvre qui a des choses à dire sur son industrie et qui porte aussi, et surtout, une forme de frustration émanante de la créatrice de la saga Matrix. Rarement un blockbuster aura accepté de questionner sa condition de produit de consommation avec autant de brio. J’irais même jusqu’à dire que, dans sa première heure, le film est une forme de psychanalyse qui permet à Lana Wachowski d’extérioriser le fait que sa saga est souvent adulée pour de mauvaises raisons, ou, en tout cas, pour ses aspects les moins riches. Imaginez la tristesse pour un auteur de voir que les gens ne retiennent pas nécessairement son dense et beau récit philosophique, mais uniquement les tenues en cuir et autres péripéties en bullet-time.
C’est d’ailleurs le film lui-même qui le dit, en intégrant cette donnée dans un vaste dispositif méta-textuel qui remet en perspective la réception de la saga et de ses suites. Thomas Anderson, durant la première heure, est littéralement l’incarnation de Lana Wachowski. Je suis d’ailleurs surpris par l’honnêteté du studio Warner Brosqui se prête au jeu, acceptant de se faire décrire comme une industrie calculatrice, totalement déconnectée du processus créatif et artistique. Lana Wachowskisemble s’amuser à dire : « vous vouliez un Matrix 4, le studio voulait un Matrix 4, le public réclamait un Matrix 4… Mais pourquoi faire ? ». Ce faisant, elle questionne directement le rapport nostalgique du spectateur aux œuvres aimées. Pourquoi avons-nous tant besoin de revenir à ces films, à ces personnages, ou aux divers univers et histoires qui nous ont marqué ? En bref, Matrix Resurrections réussit là où Star Wars 7 où Jurassic World échouaient lamentablement. Cette ingénieuse mise en abime sert d’auto-bilan, pour montrer comment Matrix a été essoré par l’impitoyable tambour de la machine immonde qu’est devenu le cinéma hollywoodien. C’est une réflexion profonde et perturbante sur le cycle de vie d’une œuvre et d’un phénomène qui finit toujours par échapper à ses créateurs, pour se faire approprier et souiller par tout le monde.
Matrix Resurrections assume parfaitement son héritage et ne rechigne jamais à l’arborer fièrement pour nourrir ses thématiques mais également pour marquer ses différences. Car, oui, ce nouvel opus de la saga a sa propre identité. Moins iconique, moins clinquant, moins ostentatoire, mais surtout plus intimiste. La caméra est au cœur de nos personnages, avec un côté prise de vue à l’épaule qui participe à la mise en avant de l’humain. Lana Wachowski filme Neo et Trinity comme pour la première fois, arrivant à retranscrire le passage du temps dans leurs yeux et sur leur visage avec une tendresse absolue et saisissante. Dans la lignée de Reloaded et Revolutions, Resurrections rappelle que l’action n’a jamais été le véritable moteur de la saga. L’amour, dans tout ce qu’il a de plus beau et de plus pure, est le centre de tout car, au final, ce sentiment qui transcende tout est tout ce qui compte. Certains se plaindront de ne pas recevoir du film ce qu’ils étaient venu chercher, comme si un film se devait de répondre avant tout aux attentes des spectateurs. Le film comporte finalement peu d’action, ce qui n’est pas un mal tant les bastons, fusillades et autres courses poursuites sont très classiques et ne révolutionnent rien, même si la maîtrise technique de la réalisatrice offre une poignée d’images mémorables. Cela n’est fondamentalement pas grave car ce n’est pas ce que le film a à nous dire. Matrix Resurrections suit son propre paradigme.
Au final, Matrix Resurrections ressemble bel et bien au ciel ensoleillé que l’on apercevait en conclusion de son prédécesseur il y a presque 20 ans. Le film n’est pas parfait, on peut lui reprocher des scènes d’actions moins iconiques et révolutionnaires que dans les trois premiers, mais quel pied de voir un blockbuster de ce type pouvoir sortir encore en 2021. Lana revendique haut et fort que le combat n’est jamais terminé, confirmant au passage que sa saga n’a rien perdu de sa fibre philosophique. Ce film s’inscrit parfaitement dans la saga mais également dans l’ensemble de l’héritage des Wachowski. L’idée d’âmes sœurs aux destins entremêlés continue à s’écrire autour de Neo et Trinity, au sein d’une plus grande réflexion sur un monde moderne rongé par le désir et la peur où chacun se replie sur lui même, dans sa propre bulle matricielle. Le replis sur soi de Thomas Anderson, les questionnements qu’il peut avoir sur son passé, sur l’héritage qu’il a engendré fait particulièrement écho à la situation de la réalisatrice. Peu importe ce qu’ils feront, ils seront toujours ramenés à la trilogie Matrix. L’un dans notre monde, l’autre dans la diésège du film, avec la terrible angoisse de ne jamais réussir à être plus que ce qu’ils ont été. Cela renvoie inlassablement à la question du temps qui passe pour un artiste et à l’image à laquelle il doit se conforter pour son public. Il est fascinant de voir la facilité avec laquelle Lana Wachowskiarrive à fusionner cette thérapie personnelle sur sa vie à la thématique de l’éternel retour de Matrix. Nous avons là un vrai blockbuster signé par un auteur.
À une heure où l’industrie des films à gros budget n’a de cesse de se caricaturer en prenant soin de ne surtout pas faire de remous et en n’ayant d’autres préoccupations que de faire « plaisir » aux gens, ce Matrix Resurrections est un coup de pied dans la fourmilière bienvenue. Matrix Resurrectionsest un acte de foi à tous les niveaux : entre ses personnages, ains qu’entre le studio et sa réalisatrice. Lana Wachowskisigne un film habité par la tristesse, le poids du passé, mais surtout l’amour, chose devenue excessivement rare dans les blockbusters d’aujourd’hui. À l’instar de Neo qui était une anomalie dans la matrice, ce film est une véritable anomalie hollywoodienne. Reste à savoir si nous serons nombreux à prendre la pilule rouge pour suivre l’élu de l’autre côté du miroir.
Date de sortie 01/12/2021 Au cinéma Durée (02h04) Titre original Ghostbusters: Afterlife Réalisé par Jason Reitman Avec Finn Wolfhard , Mckenna Grace , Paul Rudd , Carrie Coon , Logan Kim , Celeste O’Connor , Bill Murray , Dan Aykroyd , Ernie Hudson … Genre Comédie, Fantastique Nationalité États-Unis Musique Rob Simonsen
Les nouveaux chasseurs de fantômes
Synopsis
Une mère célibataire et ses deux enfants s’installent dans une petite ville et découvrent peu à peu leur relation avec les chasseurs de fantômes et l’héritage légué par leur grand-père.
Jason Reitman succède à son père Ivan Reitman, pour la franchise S.O.S. Fantômes après la version féminine désastreuse cette fois-ci, le réalisateur s’intéresse à l’héritage. En effet, Spengler est décédé, dans des mystérieuses circonstances et laisse sa maison dans un trou perdu, quand sa fille et ses enfants viennent y habiter, ils découvriront les secrets qu’avait le père de cette dernière. C’est avec beaucoup d’émotion que Jason Reitman, rend hommage à la franchise et surtout a Harold Ramis dans une très belle séquence. Un film qui n’est autre qu’une suite, qui n’est pas sans défaut, mais Jason Reitman, arrive a apporter une touche d’émotion. Le réalisateur se met à la réalisation d’un film fantastique, avec S.O.S Fantômesce qui est intéressant puisqu’on le voit d’habitude a la réalisation de comédies dramatiques. Après Tully, Juno ou encore Men, Woman and Children, le réalisateur livre une suite de la célèbre franchise plutôt convaincante. À l’affiche des jeunes comédiens principalement, qui jouent les chasseurs de fantômes.
Callie est une femme célibataire, elle vit avec ses deux enfants Trevor et Phoebe, mais comme elle ne paye pas le loyer elle est exclu. Elle déménage, alors dans une petite ville, et s’installe dans la maison ou son père vivait qui est décédé il y a peu de temps. Cette dernière en a toujours voulu à son père, de l’avoir abandonné elle et sa mère quand elle était petite, car son travail était trop important. Mais dans cette maison, il y a des secrets et des choses étranges. Phoebe trouve caché dans le sol, un étrange appareil, qui appartenait a son grand-père elle découvrira alors que cet appareil renferme des fantômes et un en particulier, que son grand-père avait capturé avant sa mort. Ceci ne sera pas la seule découverte que la jeune fille fera, car le sous-sol renferme bien des secrets et l’esprit de son grand-père semble la guider dans ses recherches.
En fouillant, elle découvrira également que ce dernier était un chasseur de fantômes, qui avait mené il y a une vingtaine d’année une chasse aux fantômes a New-York. Des vidéos montrent d’ailleurs les exploits, menés avec son équipe. Quand le professeur Grooberson, le professeur de Phoebe s’intéresse à cet appareil, il décide de le tester et libère une créature extrêmement menaçante. Ils vont devoir s’unir, pour que cette créature retourne d’où elle vient, tandis que la ville commence à sombrer dans le chaos, et que même des petits marshmallow prennent vie. S.O.S. Fantômes, l’héritage dispose d’une mise en scène amusante, avec des scènes nostalgique, mais néanmoins, le film n’est pas sans défauts. Tout d’abord, parlons de sa durée, qui est beaucoup trop longue beaucoup trop de bavardage pour rien, et à cause de ça le film met un temps fou a démarrer. C’est intéressant de découvrir ce que Jason Reitman, a fait de l’univers, de la franchise qu’avait lancé son père, et même si l’a compris, il prend trop son temps. La réalisation est propre, car on prend vraiment plaisir à redécouvrir cet univers, avec de nouveaux personnages dans une histoire pleine de promesses.
Le film surfe sur la nostalgie, et ça, on ne lui en voudra pas et en même temps, on ne pouvait y échapper. Revoir les marshmallow en version mini et méchant, c’est très amusant dans la scène du centre commercial. Ou le film est intéressant dans son écriture, c’est dans le traitement de ses personnages, ou cette mère de famille doit difficilement gérer sa vie avec ses enfants. Une femme célibataire, qui n’arrive plus à payer le loyer, et qui vit avec la blessure d’un père qui l’a abandonné quand elle était petite. Cette partie de l’écriture est d’ailleurs importante au récit, car nous apprendrons de qui elle est la fille, même si on s’en doute. Le traitement d’écriture des enfants est aussi bien maîtrisé, et la première partie du film est intéressante avec des idées.
Dans sa dernière partie le film se laisse aller, dans une facilité déconcertante, avec une écriture fainéante, car ce n’est plus ni moins qu’un remake du premier, a la différence que les personnages ne sont pas les mêmes. Jason Reitman et Gil Kenan, qui sont les scénaristes du film, reprennent donc les éléments du premier film dans la dernière partie, et c’est décevant. Cependant, la nostalgie est présente, sans forcément en abuser ou nous aurons un très bel hommage à Harold Ramis avec une séquence magnifique, ou s’affiche les mots : « a Harold », qui n’est au final bien plus qu’un simple hommage de par la beauté de la courte séquence. Car si le film emprunte une telle facilité sur sa fin, il n’en laisse pas moins un empreinte émotionnelle forte. Le deuil et l’abandon d’un père, sont des thèmes abordés discrètement certes, mais plutôt bien. Histoire qu’on en prenne un coup de vieux, Jason Reitman fait revenir les anciens : Bill Murray, Dan Aykroydet Ernie Hudson et c’est agréables de les revoirs. Dans ce casting, rajeunit-on n’y trouve : Paul Rudd, jouant le professeur Grooberson, Carrie Coon jouant Callie la mère de Trévor et Phoebe. Finn Wolfhard, découvert dans Stranger Things, interprète Trévor, la jeune Mckenna Grace joue Phoebe qui est très talentueuse. Long a démarré, et facile dans sa deuxième partie S.O.S. Fantômes l’héritage, reste néanmoins un divertissement jouant sur la nostalgie avec beaucoup d’émotion.
Tous en scène 2
22 décembre 2021 / Animation, Famille, Comédie musicale
De Garth Jennings, Christophe Lourdelet
Avec Matthew McConaughey, Jenifer Bartoli, Reese Witherspoon
À PARTIR DE 6 ANS
Buster Moon et sa troupe de bêtes de scène voient encore plus grand avec un spectacle complètement fou. Mais cette fois, ils sont bien décidés à aller briller sous les feux des projecteurs de la capitale du show-biz. Ils n’ont qu’un seul problème : persuader la star la plus anti sociale que le monde ait jamais connu de remonter sur scène avec eux.
Matrix Resurrections
22 décembre 2021 / Action, Science Fiction
De Lana Wachowski
Avec Keanu Reeves, Carrie-Anne Moss, Yahya Abdul-Mateen II
Quatrième volet de la saga « Matrix », lancée en 1999.
Mince alors 2 !
22 décembre 2021 / Comédie
De Charlotte De Turckheim
Avec Catherine Hosmalin, Lola Dewaere, Charlotte De Turckheim
Isabelle et sa nièce Nina ouvrent une cure « jeûne et détox » au cœur de la Provence, avec l’aide de Baptiste, yogi et homme à tout faire, Jessica, masseuse tantrique, et Maxime, séduisant équithérapeute.
Madeleine Collins
22 décembre 2021 / Drame
De Antoine Barraud
Avec Virginie Efira, Bruno Salomone, Quim Gutiérrez
Judith mène une double vie entre la Suisse et la France. D’un côté Abdel, avec qui elle élève une petite fille, de l’autre Melvil, avec qui elle a deux garçons plus âgés. Peu à peu, cet équilibre fragile fait de mensonges, de secrets et d’allers-retours se fissure dangereusement…
C’est toi que j’attendais
22 décembre 2021 / Documentaire
De Stéphanie Pillonca
C’est toi que j’attendais nous plonge dans l’intimité de couples qui souhaitent adopter un enfant et attendent impatiemment l’appel qui fera basculer leurs vies. Des parcours de vie riches en émotion qui nous interrogent sur la quête d’identité et sur l’amour…
La Croisade
22 décembre 2021 / Comédie
De Louis Garrel
Avec Lionel Dray, Laetitia Casta, Joseph Engel
Abel et Marianne découvrent que leur fils Joseph, 13 ans, a vendu en douce leurs objets les plus précieux. Ils comprennent rapidement que Joseph n’est pas le seul, ils sont des centaines d’enfants à travers le monde associés pour financer un mystérieux projet.
My Kid
22 décembre 2021 / Drame
De Nir Bergman
Avec Shai Avivi, Noam Imber, Smadi Wolfman
Aaron a consacré sa vie à élever son fils autiste Uri. Ensemble, ils vivent dans une routine coupée du monde réel. Mais Uri est à présent un jeune adulte, avec de nouveaux désirs et de nouveaux besoins.
White Building
22 décembre 2021 / Drame
De Neang Kavich
Avec Chhun Piseth, Soem Chinnaro, Jany Min
Samnang, 20 ans, doit faire face à la démolition de la maison qu’il a toujours habitée à Phnom Penh, le » White Building « , et aux pressions de la famille, des amis et des voisins qui surgissent et se croisent alors que sonne la démolition du bâtiment.
The Cloud in Her Room
22 décembre 2021 / Drame
De Xinyuan Zheng Lu
Avec Zhou Chen, Ye Hongming, Jin Jing
C’est un hiver humide à Hangzhou, Muzi rentre pour le nouvel an lunaire. L’ancien appartement de ses parents est toujours là. Un lit, une chaise abandonnée, une fenêtre abimée – les restes d’une relation qui a évolué. Son père a fondé une nouvelle famille, sa mère est en couple avec un étranger ; Muzi replonge dans ses souvenirs …
Date de sortie 04/01/2021 En VOD/DVD/Blu-ray Durée(01h38) Titre original The Man Who Killed Hitler and Then the Bigfoot Réalisé par Robert D. Krzykowski Avec Sam Elliott , Aidan Turner , Ron Livingston , Caitlin Fitzgerald , Larry Miller , Rizwan Manji Genre Drame Nationalité Etats-Unis, Canada
Un homme et des monstres
Synopsis
Calvin Barr était autrefois un tueur à la solde du gouvernement américain. Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors membre des forces spéciales, Barr avait participé à l’assassinat de Hitler. Aujourd’hui, vieillard solitaire et amer, il mène une vie paisible. Le gouvernement fait à nouveau appel à lui pour une mission secrète…
Il faut clairement donner la chance, a des cinéastes qui ont des propositions cinématographiques intéressantes. Ce qu’on retiendra tout d’abord de ce film, c’est son titre « l’homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot » titre aussi long qu’improbable, on se demanderait même si le réalisateur n’avait pas d’autres titres en tête que ce dernier. Un titre comme ça, il faut dire que ça a un côté assez humoristique, ça démontre deux choses bien différentes : Hitler et le Bigfoot encore que … Dans le long-métrage, le Bigfoot, est loin d’être un animal gentil, il est sauvage et extrêmement violent. A la réalisation Robert D.Krzykowski qui signe son tout premier film, et il est aussi a l’écriture du scénario. Une sortie VOD assez surprenante, car il est certain que c’est un film qui ne plaira pas a tout le monde, et c’est assez compréhensible. Le rythme est assez lent et particulier, car au final Hitler et le Bigfoot, ne sont qu’une toile de fond pour raconter ce qu’est l’homme derrière tout ça. Sam Elliott tient le rôle de ce vieil homme, qui n’a pu saisir la chance du grand amour alors qu’il aurait pu. Le personnage de Sam Elliott est touchant, c’est un homme seul qui vit avec les regrets du passé, car dans ce présent, il vit avec la culpabilité d’avoir tué un homme. Aussi surprenant, dans son titre, soit-il, Robert D.Krzykowski signe avec son premier film une œuvre a l’approche intéressante qui mérite qu’on s’y attarde.
Durant le Seconde Guerre mondial, Calvin Barr a la mission difficile qui consiste a assassiner Hitler. Il doit se rendre ou il réside, et avant doit se présenter aux gardes qui surveillent les lieux. Même si ce n’est pas de cette manière que le dictateur est décédé, dans le long-métrage, Calvin Barr sera l’assassin d’Hitler mettant ainsi fin au règne du plus redoutable des dictateurs. Maintenant, Calvin Barr est vieux et vit seul, dans une petite ville, son seul contact est son frère qui est coiffeur et qu’il voit très peu. À la sortie d’un bar la nuit, en rejoignant sa voiture, un groupe de jeunes l’agresse voulant lui voler sa voiture et son argent. Dans le passé, le vieil homme a assassiné Hitler, et même s’il est vieux, il pourra en finir facilement avec ce groupe de jeunes. Car en effet, il sait se défendre, il leur met rapidement une raclée les laissant au sol et casse le revolver de l’un d’eux. Calvin Barr est un homme solitaire qui vit avec son chien, il suit un traitement médicamenteux pour on ne sais trop quoi. L’homme vit avec le poids du passé, avec la culpabilité qui le ronge celui d’avoir tué un homme, même s’il s’agissait d’Hitler, c’est le fait d’avoir tué qui le ronge. Il y a aussi le fait que ce qui aurait pu être l’amour de sa vie soit parti, car à son retour de guerre après avoir tué Hitler, il ne voulait plus la voir. Il se débarrasse donc, avec douleur des lettres que cette dernière lui envoyait. Calvin Barr est malheureux, et mourir serait un soulagement pour lui, car il ne doit plus rien a ce monde. C’est alors qu’un jour, deux agents du FBI se présente chez Calvin, Flag Pin sait que Calvin est l’homme qui a tué Hitler.
Aujourd’hui, dans la petite ville où il réside, des meurtres ont eu lieu, le coupable serait « le Bigfoot » l’animal légendaire. Calvin Barr a donc pour mission, de tué la bête, s’il refuse au début, il finit par accepter et commence a traquer la créature, qui s’avère être dangereuse et imprévisible. Il deviendra alors aussi l’homme qui a tué « le Bigfoot », et cette mission ne sera pas une chose facile. Tués, Hitler et le Bigfoot, sont en réalité qu’une toile de fond, du long-métrage de Robert D.Krzykowski on découvre en grande partie le passé de Calvin, dans de nombreuses séquences. On le voit tuer Hitler, mais on découvre son histoire d’amour avec Maxine, un amour perdu après la guerre. Assassiné, un homme a eu un impact, sur lui qui est bien plus que de la culpabilité, puisque à cause de ça, il était impossible pour lui de revoir celle qu’il aime. Avec sa mise en scène soignée, on croirait presque vrai les faits relater dans le passé. Il développe parfaitement bien la rencontre entre Calvin et Maxine, et quand lui partira, elle devra attendre son retour.
Le film parle de solitude, de culpabilité, des regrets et du trauma et Robert D.Krzykowskimaîtrise ces thèmes parfaitement bien. Il développe ses personnages avec intérêt, on s’attache au vieux Calvin, car il est seul, et vit avec ses regrets. Et si tué le Bigfoot, était la meilleure façon d’en finir au final ? On découvrira la créature, a la toute fin du long-métrage moins grand qu’on aurait pu l’imaginer, mais il est effrayant, son visage représente la peur et il est rusé, comme quand il fait semblant d’être mort pour piéger Calvin. Les attaques sont violentes, il est difficile pour Calvin d’en venir à bout. Après avoir tué le mal, dans le passé, il le combat à nouveau même si ce n’est pas le même, car ce dernier et sous une autre forme et il est extrêmement brutal. C’est aussi là, qu’on voit qu’il y a des qualités évidentes dans l’écriture du scénario. Il retranscrit parfaitement bien la solitude de Calvin, quand ce dernier seul chez lui avec une séquence où il pleure. Robert D.Krzykowski change une partie de l’histoire, ou la mort d’Hitler est causée par Calvin, c’est toujours intéressant de changé même si ce n’est pas comme ça, que ça, c’est passer Tarantino l’avait bien fait avec Inglorious Basterds. Sam Elliott joue le vieux Calvin Barr, et il est admirable, quant à Aidan Turner il interprète Calvin jeune. Ron Livingston joue Flag Pin, l’agent du FBI, qui demande a Calvin de l’aide afin de tuer le Bigfoot. On retiendra également a l’affiche : Caitlin Fitzgerald interprétant Maxine, mais aussi Larry Miller qui joue le frère de Calvin. Admirablement mise en scène, mais aussi admirablement écrit « lh’omme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot » est loin d’être à quoi on n’aurait pu s’attendre. Le film parle d’un amour perdu, par un homme malheureux, le film se classe facilement dans le registre dramatique et non dans l’épouvante-horreur, ou il est classé par certains médias. Pour un premier film Robert D.Krzykowski, signe une œuvre originale, avec des comédiens investis. En tout cas, le film est une découverte à mettre sous vos yeux, car c’est une expérience cinématographique unique.
Date de sortie 29/04/1988 (01h26) Titre original Critters 2 Réalisé par Mick Garris Avec Scott Grimes , Liane Curtis , Barry Corbin , Don Keith Opper , Lin Shaye , Eddie Deezen … Genre Science-fiction, Comédie, Horreur Nationalité États-Unis
Les bêbêtes ont de retour
Synopsis
Deux ans après la venue des Krites à Grovers Bend, Brad Brown est de retour en ville… et juste à temps ! Des œufs de Krites sont confondus avec des œufs de Pâques par les habitants. Les créatures poilues et affamées envahissent à nouveau les rues.
Si vous connaissez Mick Garris, c’est un réalisateur qui a adapté quelques œuvres de Stephen King, sauf que ce n’est pas vraiment des réussites. De toute façon, Mick Garris n’a jamais était considéré comme un grand réalisateur, Critters 2 est son deuxième long-métrage, puis après, il y a eu la nuit déchirée, la série le fléau ou encore Shining : les couloirs de la peur. Reste a savoir si Critters 2 est son meilleur film, et bien c’est probablement le cas. Cette suite se déroule deux ans après les événements du premier film, Brad revient en ville pour rendre visite à sa grand-mère lors des fêtes de Pâques. Le jeune garçon va devoir de nouveau faire face, a ces créatures horribles qui dévorent tout sur leur passage. Au menu humour, épouvante un savoureux mélange qui fonctionne, une fois de plus.
Il y a deux ans Brad et sa famille, ont subit l’attaque des krites ces petites créatures poilues aux dents acérées qui dévorait tout sur leur passage. Après les avoir vaincus, grâce aux chasseurs de primes Brad et sa famille, pouvait enfin être tranquille. Brad revient en ville deux ans plus tard, a Grovers Band, ou la petite ville se prépare à célébrer une grande fête de Pâques. Quand un habitant de la ville trouve des œufs bien étranges, dans une grange, il décide de les revendre, a une sorte de vieux revendeur qui revend une partie de ses œufs, a la grand-mère de Brad. C’est d’ailleurs pour rendre visite à sa grand-mère, que Brad est de retour. Ces œufs sont en réalité, des œufs de Krites qui ne tarderons pas à éclore. Les chasseurs de primes de l’espace, sont alors appelés à nouveau afin de s’en débarrasser, ils doivent donc retourner sur terre. C’est alors que les krites sortent de leurs œufs, et commence a semer la pagaille en ville, et dévorent tout ce qui s’y trouve même des humains en font les frais. Brad s’allie avec les chasseurs de primes, et le retour sur terre de Charlie afin de s’en débarrasser. Tous les habitants de la ville bien que terrifiés, sont prêts à défendre leur petite ville, Brad fera la rencontre de Megan fille de M. Morgan qui tient le journal de Grovers Band. Pour cette petite population, il ne sera pas chose facile, de venir à bout de ces créatures. Il n’est pas souvent évident de faire des suites de qualités, cependant Critters 2arrive a très bien captivé de par son humour, mais aussi les quelques touches horrifiques dont il dispose. Mick Garris livre une mise en scène, vraiment drôle ou les séquences horrifiques sont très convaincantes.
Mick Garris et David Twohy sont a l’écriture du scénario, ce n’est pas grandiose, mais ce n’est pas ce qu’on demande avec Critters. Le développement des personnages, reste basique, mais on est ravi de revoir Brad personnage du premier film qui a évolué quand même. On découvrira dans cette suite des nouveaux personnages, comme la jolie Megan, dont Brad semble être tombé sous le charme. Les scénaristes sinon se font plaisir, dans les attaques que font ces horribles créatures. Les scènes horrifiques sont un peu plus présentes, que dans le premier, mais on remarque bien que c’est surtout de l’humour que veulent nous montrer les scénaristes, bien évidemment à travers ces créatures. À savoir que la ville de Grovers Band, ou se déroule l’intrigue existe vraiment et cette dernière servait donc de décor pour le film. Le premier film se déroulait là-bas, mais on n’y voyait que la ferme des Brown quasiment. Il est intéressant aussi que l’invasion des critters, se passe dans la ville et non dans un endroit bien spécifique comme dans le premier. Le terrain de jeu, est plus vaste et plus de choses peuvent arriver. Scott Grimes reprend le rôle de Brad, Don Keith Opper interprète à nouveau Charlie. Liane Alexandra Curtis, quant à elle, interprète Megan. Mick Garrissigne avec Critters 2, un film divertissant ou la recette fonctionne plutôt bien, mais pour combien de temps ?