Date de sortie 04/05/2016
Durée (01:38:00)
Titre original Krampus
Genre Comedie, Horreur
Avec Adam Scott, Toni Collette, Allison Tolman, David Koechner, Emjay Anthony, Stefania LaVie Owen, Queenie Samuel
Réalisé...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Date de sortie 26/11/2025
Durée(02:25)
Titre original Wake Up Dead Man: A Knives Out Mystery
Genre Policier
Avec Daniel Craig, Josh O'Connor, Glenn Close, Josh Brolin, Mila Kunis,...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Date de sortie 04/05/2016
Durée (01:38:00)
Titre original Krampus
Genre Comedie, Horreur
Avec Adam Scott, Toni Collette, Allison Tolman, David Koechner, Emjay Anthony, Stefania LaVie Owen, Queenie Samuel
Réalisé...
Depuis 2016 - 2025
Format 55 min
Genre Drame, Epouvante-horreur, Fantastique, Science Fiction, Thriller
Créée par Matt Duffer, Ross Duffer
Avec Winona Ryder, David Harbour, Millie Bobby Brown,...
Date de sortie 26/11/2025
Durée(02:25)
Titre original Wake Up Dead Man: A Knives Out Mystery
Genre Policier
Avec Daniel Craig, Josh O'Connor, Glenn Close, Josh Brolin, Mila Kunis,...
Date de sortie : 22 novembre 2005 (Amérique du Nord), 2 décembre 2005 (Europe), 10 décembre 2005 (Japon)
Fabricant : Microsoft
Concepteurs : Jay Allard et...
Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef)
Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori
Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré
Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films
comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky
sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les
oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .
Philadelphie. Il y a trente ans, la famille de Michael a recueilli Peter à la mort de son père, dans des circonstances opaques. Aujourd’hui, Peter et Michael sont deux petits malfrats aux tempéraments opposés. L’un est aussi violent et exubérant que l’autre est taciturne. Quand Michael est désigné comme « gênant » par la mafia italienne », le passé trouble de la famille ressurgit…
Détails du blu-ray
Rapport de forme : 2.35:1
Classé : 12 ans et plus
Dimensions du colis : 17.1 x 13.8 x 1.4 cm; 80 grammes
Réalisateur : Jérémie Guez
Format : Couleur, Cinémascope
Durée : 1 heure et 45 minutes
Date de sortie : 26 août 2021
Acteurs : Matthias Schoenaerts, Joel Kinnaman, Maika Monroe, Ryan Phillippe, Paul Schneider
Doublé : : Anglais, Français
Sous-titres : : Français
Langue : Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS-HD 5.1)
Studio : The Jokers
Editeur(s) / Développeur(s) TT Games Sortie France 1er trimestre 2022 Genre(s) Action Aventure
Synopsis
LEGO Star Wars : The Skywalker Saga est un jeu d’aventure développé par TT Games. Il rassemble les aventures LEGO de tous les films Star Wars, avec la trilogie originale, la prélogie et la nouvelle trilogie.
Date de sortie 04/06/2021 Au cinéma Durée(01h45) Titre original Every Breath You Take Réalisé par Vaughn Stein Avec Casey Affleck , Michelle Monaghan , Sam Claflin , Emily Alyn Lind , India Eisley , Hiro Kanagawa , Veronica Ferres , Lilly Krug , I Vincent Gale , Brenden Sunderland Genre Thriller Nationalité États-Unis, Allemagne Musique Marlon Espino
Quand tout bascule
Synopsis
Philip, psychiatre, voit sa vie bouleversée par le suicide soudain d’une de ses patientes. Lorsque le frère de celle-ci s’invite chez lui et rencontre sa femme et sa fille, la vie de famille et la carrière de Philip semblent voler en éclats.
Troisième long-métrage pour Vaughn Stein après Terminal avec Margot Robbie, qui était plutôt intéressant sur bien des aspects. Son dernier film a eu le droit à une sortie cinéma, mais pour lui donner plus de visibilité, il est aussi disponible sur Prime Vidéo. Un film qui mérite qu’on s’y intéresse, par son casting déjà avec Casey Affleck en psychiatre, mais aussi Sam Clafin dans un rôle encore détestable, mais également Michelle Monaghan. Un thriller dont la tension monte crescendo, une famille confrontée a un homme qui s’immisce dans leur vie pour obtenir vengeance. Every Breath You Take, est un film à petit budget qui reste surprenant surtout dans sa mise en scène portée par un casting très convaincant.
Philip et Grace sont mariés ils ont une fille Lucy, une adolescente assez difficile qui doit intégrer un nouveau lycée après avoir était renvoyé pour avoir pris de la drogue. Grace n’est pas la vraie mère de Lucy, car elle est la nouvelle femme de son père. Le couple est en deuil depuis longtemps, car leur jeune fils est décédé dans un accident de voiture. Lors de cet accident, Grace était avec son fils, mais lui n’a pas survécu. Depuis cet accident brutal, le couple ne se parle que très peu et s’éloigne l’un de l’autre. Philip est psychiatre et depuis quelques années, il s’occupe de Daphné, une patiente qui avait tenté de se suicider à plusieurs reprises. Mais Philip l’a aidé, en racontant ses problèmes une méthode qui semble fonctionné. Un jour, il reçoit un coup lui annonçant la mort, de la jeune femme surpris, il se rend sur les lieux et on lui annonce qu’elle s’est suicidée. Dans la journée, elle l’avait appelée en pleurs et lui raconter que sa meilleure amie était décédé, dans un accident. Philip, qui était proche de sa patiente, vit difficilement la mort de sa patiente. Il fait alors la rencontre de James, qui est le frère de Daphné, il fait appel à la femme de Philip pour vendre la maison de sa sœur. Lors d’un dîner chez Philip et Grace, pour les connaître, il s’approchera les jours suivants de la fille de Philip et Grace en cachette des parents. Dans le même temps, Philip reçoit des menaces anonymes à son cabinet, ce qui met sa carrière en péril. Il se pourrait que James, soit derrière tout ça et que la famille a Philip soit en danger, mais a-t-il le pouvoir de faire quelque chose ?
Film à petit budget, Every Breath You Take possède une mise en scène efficace, une première partie assez lente, ce qui en fait le charme la deuxième partie du film nous montre peu à peu la vraie nature du personnage de James. Dès que le personnage de James apparaît, le ton change une inquiétude s’installe, on voit d’ailleurs que Philip n’a que très peu confiance en lui. Le twist un peu prévisible, fonctionne malgré tout. David Murray est le scénariste du film, on y découvre Philip et sa famille lui a beaucoup de mal à communiquer avec sa fille, ainsi que Grace sa femme. Sa femme et lui surmontent très mal, la mort de leur jeune fils tandis que leur fille une ado virée de son ancien lycée, vit dans un climat ou les parents ne sont plus les mêmes. En plus de surmonter ce drame, qui mène le couple à la dérive, l’arrivée de James va tout faire basculer. Le deuil et sa difficulté à la surmonter, et un des thèmes aborder dans le film, et le manque de dialogue dans le couple va pousser Grace à commettre une faute. L’histoire est prenante, elle cesse de nous questionner sur le personnage de James, qui reste énigmatique et qui se révèle assez imprévisible. On remarque avec Philip, Grace et James que David Murray maîtrise très bien le développement de ses personnages. Philip et Grace, qui ne communique plus, vivent chacun leur blessure. Quant à James, bien qu’il soit énigmatique une forme de deuil l’habite concernant, la mort de sa sœur. Casey Affleck interprète Philip, le père de famille qui est également psychiatre. Michelle Monaghan, interprète Grace la femme de Philip, Sam Clafin joue l’inquiétant James qui s’approche un peu trop de cette famille. Casey Affleck est également producteur du film, de VaughnStein. Every Breath You Take est un film qui mérite qu’on n’y prête attention, puis Vaugh Stein prouve qu’il a un certain talent en si peu de films.
Date de sortie 15/12/2021 Au cinéma Titre original Spider-Man: No Way Home Réalisé par Jon Watts Avec Tom Holland , Zendaya , Benedict Cumberbatch , Marisa Tomei , J.K. Simmons , Jamie Foxx , Alfred Molina , Jacob Batalon , Tony Revolori , Angourie Rice , Hannibal Buress , Harry Holland , Christopher Cocke , Luke Aitchison , José Alfredo Fernandez , Juan Szilagyi , Robert Tinsley , Marvin E. West Genre Action, Aventure, Marvel, Spider-Man Nationalité États-Unis
Synopsis
Après Spider-Man : Homecoming et Spider-Man : Far from Home, et ses aventures aux côtés des Avengers dans Avengers : Infinity War et Avengers : Endgame, Peter Parker revient pour sa troisième aventure solo.
Et il devrait découvrir le multivers, déjà teasé dans WandaVision et Loki. Spider-Man, incarné par Tom Holland, va donc croiser quelques visages bien connus : Electro (Jamie Foxx de The Amazing Spider-Man : Le Destin d’un héros), Doctor Octopus (Alfred Molina de Spider-Man 2), et surtout Tobey Maguire et Andrew Garfield, les précédentes versions du super-héros Marvel.
Date de sortie 18/08/2021 Durée Au cinéma (01h47) Titre original The Boss Baby: Family Business Réalisé par Tom McGrath Avec Alec Baldwin , James Marsden , Amy Sedaris , Jeff Goldblum , Eva Longoria , Lisa Kudrow , Jimmy Kimmel … Genre Animation, Famille Nationalité États-Unis
Les affaires reprennent
Synopsis
Tim Templeton et son petit frère Ted, le fameux Baby Boss sont devenus adultes, ils vivent chacun de leur côté, Tim est devenu un père de famille rangé et Ted est à la tête d’un important fond spéculatif. Mais l’arrivée d’un nouveau Baby Boss, avec une toute nouvelle approche et une stratégie innovante, est sur le point de rassembler les frères ennemis… et inspirer un nouveau modèle dans les affaires familiales. Tim et sa femme Carole vivent en banlieue où il s’occupe du foyer pendant qu’elle fait bouillir la marmite. Ils ont deux enfants : Tabitha, une petite fille de 7 ans à l’intelligence remarquable et Tina, leur adorable nouveau-née. Tabitha, première de sa classe dans une école pour surdoués, adule son oncle Ted et rêve de marcher sur ses pas, ce qui inquiète beaucoup Tim qui craint qu’elle ne passe à côté de son enfance à force de travailler si dur.
Le succès du premier film Baby Boss, est tel qu’une suite était inévitable. Sortie en 2017 le premier film, connu une suite sous-forme de série d’animation, mais cette année, c’est un deuxième long-métrage qui fait son apparition. Pas de changement de réalisateur puisque c’est le même, c’est-à-dire Tom McGrath, et cette fois, on se retrouve 30 ans plus tard après le premier film autant dire que les années ont défilée, car maintenant, les petits sont grands. Tim et Ted sont des adultes et ont chacun des responsabilités, mais ils ne se parlent quasiment plus. Un second film qui s’avère important, car une fois de plus, il aborde, les liens fraternels entre Tim et Ted, mais de manière différente. C’est un film aussi extrêmement touchant parfois, Tom Grath surprendra avec cette nouvelle réalisation, et c’est un réel plaisir. Puis le réalisateur est un habituer des films d’animation, il n’a fait que ça comme par exemple la trilogie des films Madagascar, le chat Potté, Megamind d’ailleurs Madagascar a était son premier film. En 2017 Baby Boss, fut un nouveau succès, pour le réalisateur et donc cette année pourquoi ne pas sortir une suite ? C’est chose faite.
Trente années ont passé Tim est devenu adulte ainsi que Ted ex Baby-boss, Tim est un père de famille, il a deux filles Tabitha âgée de 7 ans une petite fille très intelligente. Puis il y a Tina un adorable nouveau-née, Tim est aussi marié à Carole. C’est un père de famille comblé qui croule sous le bonheur, toujours dans les souvenirs des aventures avec son petit frère. Ted et lui se sont éloignés, lui vit loin et il est réellement un boss dans une entreprise, un avenir qui lui était destiné. C’est alors que Tina la dernière de la famille, révèle à son père qu’elle parle comme Ted étant bébé, et qu’elle fait partie de l’entreprise Babycorp et qu’elle est en charge d’une mission. En effet, elle a pour mission de stopper, le directeur de la soi-disant prestigieuse école ou est scolarisé Tabitha, la fille de Tim. Ce dernier a un projet diabolique, destiné à faire des parents des sortes d’esclaves. Grâce à une boisson conçue par Babycorp, Tim et Ted vont pouvoir redevenir comme il y a 30 ans, un effet qui durera 48 heures. Une fois transformés, ils pourront intégrer l’école, afin d’enquêter sur ce que le directeur prépare au sein de l’établissement. Une mission qui ne sera pas simple, car Tim et Ted, qui ne s’entendent plus vraiment, et ils doivent à nouveau faire équipe, pour le meilleur et pour le pire. Fabuleuse idée de nous conduire 30 ans plus tard, car en effet, on découvre Ted et Tim adultes avec chacun des responsabilités, Tim père de famille et Ted un boss a la tête d’une entreprise. L’animation est agréable à suivre et survitaminée, il faut dire qu’on ne s’ennuie jamais. On voit qu’adulte Ted ne se souvient pas d’avoir été un baby boss, tous les deux, ont bien changer, mais Tim est celui qui a conservé le plus son âme d’enfant.
Le scénariste est le même que le premier : Michael McCullers. Une adaptation du livre de Marla Frazee comme le premier, ou cette fois il aborde d’une manière différente les liens fraternels c’est-à-dire que cette fois ces derniers sont éloignés. Chacun a évolué, Ted n’était même pas présent lors du mariage de Tim, une relation qui s’est dégradée alors qu’ils ont vécu des palpitantes aventures étant jeunes. Le scénariste aborde également le temps qui passe, et le fait que chacun évolue au fil du temps, et ici tout cela a un impact sur les deux frères. Faire équipe à nouveau, vont les rapprocher à nouveau. Le film aborde aussi l’âme d’enfant que nous avons au fond de nous, Tim est celui-là conservé tandis que sa fille s’en sépare peu à peu et l’école ou elle est, en est la cause. Ted lui la perdue, et ne jure que par son travail, mais la retrouvera le temps d’une dernière mission. Le film séduit avec des scènes vraiment touchantes, notamment sur la fin. Pour le casting vocal, on n’y retrouve : Jérôme Commandeur, qui donne sa voix au Dr Armstrong le directeur de l’école de Tabitha, a la tête d’un plan diabolique. Stefan Godin, Damien Witecka ou encore Juliette Poissonnier sont les autres voix françaises du long-métrage. Des voix qui colle très bien aux personnages, quant aux voix VO, il s’agit de Jeff Goldblum, James Marsden, Alec Balwin et Lisa Kudrow. Baby Boss 2 : Une affaire de famille, séduit par son animation réussie, mais surtout par ses thématiques, on retiendra aussi son casting vocal français bien trouvé. Tom McGrath arrive à nous convaincre, avec cette nouvelle animation ou une part de lui fait partie de ce long-métrage, car il y a une part de vécu.
Date de sortie 04/08/2021 en VOD Durée (01h31) Titre original Werewolves Within Réalisé par Josh Ruben Avec Sam Richardson, Milana Vayntrub, Glenn Fleshler, Michael Chernus, Michaela Watkins, Cheyenne Jackson … Genre Comédie, Fantastique, Horreur Nationalité Américain Musique Anna Drubich
Gare au loup
Synopsis
Qui est le loup-garou ? Vous aussi menez l’enquête et découvrez lequel des suspects hauts en couleurs se transforme la nuit venue en lycanthrope. Une adaptation inventive du célèbre jeu, dans une comédie horrifique où se mêlent mystère, humour… et loups-garous !
C’est un film dont n’attendait pas trop la venue, et pourtant, il est bien là, mais en VOD. En effet, le film ne se contentera que d’une sortie VOD, et a la réalisation, il s’agit de Josh Ruben un jeune réalisateur, qui en est a sa deuxième réalisation. Le jeune homme s’est illustré dans des rôles, dans des séries télé, dans loups-garous, ça sera peut-être la chance de se faire un nom. À savoir que le film est une adaptation du jeu-vidéo Werewolves Within, dont le but était de trouver un loup-garou, dans un village médiéval. Jeu vidéo qui lui-même s’inspirer du célèbre jeu Loups-Garous de Thiercelieux, un jeu se jouant avec des cartes idéal dans les colonies de vacances. Là le film lui s’inspire du jeu-vidéo de chez Ubisoft, c’est le studio lui-même qui produit en partie le long-métrage. Le film ne se déroule pas durant le moyen-âge, mais à notre époque dans une petite ville bien tranquille ou une bête féroce se met a tuer les habitants un par un. On se demande même si a un moment il y a vraiment un loup-garou, car on ne le voit pas, en plus grande partie, le film est un huis-clos, qui se termine par la suite ailleurs, que cette petite auberge. Loups-garous est une comédie surtout, horrifique peut-être un peu, mais pas trop, car ça reste soft, on aura que très peu de scènes gore. Je ne pourrais faire de comparaison avec le jeu, car je n’y ai jamais joué, mais si on ne reste que sur le film, c’est un petit divertissement drôle ou l’on passe un bon moment.
Finn Wheeler est un ranger, qui débarque dans une petite ville des Etats-Unis, ayant laissé sa petite amie Charlotte de côté pour faire un essai dans cette ville. Il loge dans une petite auberge, que gère Jeanine, elle loge également Cecily Moore une jeune femme postière qui est arrivée il y a peu de temps. Histoire que Finn prenne ses marques, elle lui demande de livrer un colis chez un homme qui possède des fourrures illégalement menacées par cet homme Finn fuit en courant. Le nouveau ranger est un homme gentil, même trop, il n’est même pas sûr d’être encore avec Charlotte. Un soir, il commence à se rapprocher de Cecily la jolie postière, mais un coup de fil de Charlotte le détourne ce que n’apprécie pas la jeune femme. Le soir, le chien de l’une des habitantes de la ville, semble avoir été dévoré par une créature. Une partie des habitants de la ville se réfugie chez Jeanine lorsque une tempête est annoncée, et surtout parce que la menace d’une bête sauvage rôde en ville. Des étranges éléments, sont alors repérés par Finn. Dans l’auberge, il y a une scientifique, qui prélève des échantillons afin de savoir de quoi il s’agit. Puis le corps du mari de Jeanine est retrouvé mutilé, alors qu’elle pensait comme les autres habitants qu’il était parti avec sa maîtresse, car ce dernier l’a trompée. Après une partie de la nuit terrifiante, dans l’auberge, une partie des habitants décident de partir, ayant trop peur, car la bête semble être parmi eux.
Qui est-donc le loup-garou ? On doute même à un moment, à savoir s’il y a vraiment un loup-garou, car on découvre que bon nombre des habitants sont dangereux et deviennent fou. Trish la femme qui a perdu son chien, ira jusqu’à commettre un meurtre, tous pète plus ou moins les plombs, et c’est d’ailleurs jouissif. Une mise en scène décalée, qui aurait pu se permettre d’aller plus loin, car ça aurait été encore plus amusant. Une grande partie du film, est en huis-clos se déroulant dans l’auberge, ou une partie des habitants se sont retranchée. Le côté horrifique reste assez gentillet, mais certaines scènes reste efficace quand même dans le genre, en faisant rire le plus souvent. Mishna Wolff est la scénariste du film, qui adapte le jeu-vidéo, elle créait des personnages amusant, comme Finn personnage principal qui débarque dans cette petite ville et qui doit faire face à une menace qui est un loup-garou. Un homme un peu trop gentil, ce qui agace la jolie postière Cecily qui comme lui est arrivé il y a peu de temps. Il y a le couple gay Devon et Joachim, qui sont amusants. Gwen et Marcus sont un couple de cassos, complètement barré, et puis il y a Sam Parker qui veut construire son exploitation de gaz en rachetant des terrains. Des personnages plutôt bien développer, qui amuse dans de nombreuses situations. Ou le film fait défauts, c’est dans quelque longueur évidente surtout dans les séquences à l’auberge. On constatera que la menace de l’être humain, et bien plus grande que celle que le loup-garou, et que la peur peut conduire à commettre des actes irréparables. Cependant, le film reste une comédie, avec des personnages caricaturaux, ce qui est d’ailleurs fait exprès, car c’est voulu et ça se voit. Loups-garous reste une comédie horrifique, qui veut avant tout faire rire avec son côté horreur, et Josh Ruben y parvient assez bien dans cette adaptation vidéo ludique.
Date de sortie 04/07/2012 Au cinéma Durée(01h55) Titre original Holy Motors Réalisé par Leos Carax AvecDenis Lavant , Eva Mendes , Kylie Minogue , Michel Piccoli , Edith Scob , Big John , Elise Lhomeau… Genre Drame, Fantasy Nationalité France, Allemagne
L’homme aux costumes
Synopsis
De l’aube à la nuit, quelques heures dans l’existence de Monsieur Oscar, un être qui voyage de vie en vie. Tour à tour grand patron, meurtrier, mendiante, créature monstrueuse, père de famille… M. Oscar semble jouer des rôles, plongeant en chacun tout entier – mais où sont les caméras ? Il est seul, uniquement accompagné de Céline, longue dame blonde aux commandes de l’immense machine qui le transporte dans Paris et autour. Tel un tueur consciencieux allant de gage en gage. À la poursuite de la beauté du geste. Du moteur de l’action. Des femmes et des fantômes de sa vie. Mais où est sa maison, sa famille, son repos ?
Quand on ne connaît pas Leos Carax, on ne peut qu’être surpris, par sa filmographie et ce fut mon cas en découvrant cet O.F.N.I. (objet filmique non-identifié) encore que pour certains ce ne soit pas le cas. Car en effet ceux qui connaîtrons le réalisateur, ne serons probablement pas surpris par ses long-métrages, dans les plus connus il y a les amants du Pont-neuf ou encore Pola X. Puis cette année le réalisateur est revenu avec une nouvelle réalisation, le film Annette qui était présenté lors du Festival de Cannes. Holy Motors tient son film essentiellement avec un seul comédien, qui endosse plusieurs costumes, ce comédien est Denis Lavant et il faut dire qu’il est incroyable. Chef d’œuvre pour certains, pour d’autres non, Holy Motors aura divisé à sa sortie, et même encore aujourd’hui. Le film aura 10 ans l’année prochaine, et reste un film dans le cinéma français important, c’est un trip expérimental, qui reste une expérience des plus intéressante.
Qui est-donc vraiment Monsieur Oscar ? Tout ce que l’on sait sur lui, c’est qu’il entre dans une limousine, et endosse plusieurs costumes. Il part le matin pour finir, on ne sait quand. Il joue des rôles, pour qui ? Pour quoi ? C’est un homme qui semble fatigué, par les rôles. Il semble jouer pour lui, ou pour les gens autour de lui, car dans ce monde, il n’y a pas de caméras. Dans cette limousine blanche, qui le conduit, c’est Céline qui pilote le véhicule une grande dame blonde. Durant ce jour-là, il interprète les rôles d’une mendiante, un banquier, un employé de la Motion-Capture et Mr Merde. Des personnages tout aussi étranges les uns que les autres, celui qui marque le plus est probablement Mr Merde. Vêtu d’un costume vert, et des oncles crochu et une barbe et des cheveux roux emmêlé, il mange des fleurs qu’il trouve sur des tombes. Il enlève un modèle d’un photographe en plein shot, et l’emmène avec lui sur son dos devant un tas de personnes. La scène où il est en costume pour la Motion-Capture, est assez malsaine c’est vraiment très particulier de regarder cette scène. Holy Motors ressemble à un film à sketchs, qui forme un tout, pour finalement nous montrer un personnage seul fatigué, qui fait un travail qu’il aime et qui continue comme il le dit lui-même : pour la beauté du geste. Il est vrai qu’il est difficile de se plonger, dans cet univers de Leos Carax, car c’est vraiment particulier. Le film débutera sur un homme aveugle qu’interprète d’ailleurs Leos Carax, il est à la recherche d’une issue, puis un de ses doigts est une clé qui ouvre une serrure. Une scène d’ouverture, qui donne déjà le ton, de l’étrangeté de ce long-métrage.
Il y aurait beaucoup à dire, sur la mise en scène de Leos Carax, car elle est clairement étonnante encore que le mot est faible, car il y a tant de mots pour la décrire, mais difficile de les trouver. On pourrait dire déjà que c’est surréaliste, et dès les premières minutes du long-métrage, cette mise en scène nous conduit a différents endroits ou se rend Monsieur Oscar, puis il y interprète des personnages jusqu’au bout. Le scénario est également de Leos Carax, et il nous emmène dans son trip avec différents personnages créer par lui-même, tout aussi étranges les uns que les autres. Certains de ces personnages renvoi des images malsaines, comme celui ou il se retrouve dans un costume Motion-Capture, puis il y a Mr Merde, le personnage le plus étrange. On se posera des questions sur ce Monsieur Oscar, la jeune ado qu’il vient chercher à une fête, est-ce vraiment sa fille ? Car peut-être joue-t-il encore un rôle, à ce moment-là. Denis Lavantest intriguant, bouleversant ou encore énigmatique, surtout quand il endosse tous les costumes, il livre une incroyable performance. Eva Mendes, est très peu présente, et n’a aucun dialogue, on l’entendra juste un peu chanter. Kylie Minogue quand elle joue, ce qui semble être une vielle connaissance de Monsieur Oscar, ou du moins joue-t-elle un rôle ça reste aussi énigmatique. Edith Scob qui interprète la conductrice de la Limousine, qui se nomme Céline elle conduit Oscar aux contrats qu’il doit effectuer dans la journée. Holy Motors est une œuvre inclassable, ou il est difficile au final d’en parler, mais c’est une expérience à vivre pleinement.
Date de sortie 28/07/2021 Au cinéma Durée(02h12) Titre original The Suicide Squad Réalisé par James Gunn Avec Margot Robbie , Idris Elba , John Cena , Joel Kinnaman , Sylvester Stallone , Viola Davis , Jai Courtney , Peter Capaldi , David Dastmalchian , Daniela Melchior , Michael Rooker , Alice Braga… Genre Action, Fantastique, Super-héros, DC Comics Nationalité États-Unis Musique John Murphy
Synopsis
Bienvenue en enfer – aka Belle Reve, la prison dotée du taux de mortalité le plus élevé des États-Unis d’Amérique. Là où sont détenus les pires super-vilains, qui feront tout pour en sortir – y compris rejoindre la super secrète et la super louche Task Force X. La mission mortelle du jour ? Assemblez une belle collection d’escrocs, et notamment Bloodsport, Peacemaker, Captain Boomerang, Ratcatcher 2, Savant, King Shark, Blackguard, Javelin et la psychopathe préférée de tous : Harley Quinn. Armez-les lourdement et jetez-les (littéralement) sur l’île lointaine et bourrée d’ennemis de Corto Maltese. Traversant une jungle qui grouille d’adversaires et de guerilleros à chaque tournant, l’Escouade est lancée dans une mission de recherche et de destruction, avec le seul Colonel Rick Flag pour les encadrer sur le terrain… et la technologie du gouvernement dans leurs oreilles, afin qu’Amanda Waller puisse suivre le moindre de leurs mouvements. Comme toujours, un faux pas est synonyme de mort (que ce soit des mains de leurs opposants, d’un coéquipier ou de Waller elle-même). Si quelqu’un veut parier, mieux vaut miser contre eux – et contre eux tous.
Viré de chez Marvel, le réalisateur James Gunn ne lâche pas pour autant les super-héros, car il est désormais chez DC, pour la réalisation de The Suicide Squad. La dernière adaptation de David Ayer, on s’en souvient était catastrophique, toutes les promesses n’était pas tenu, mais peut-on vraiment en vouloir à son réalisateur ? Toujours est-il qu’il fallait corriger le tir, avec ce qui semble plus être un reboot avec le retour de certains acteurs comme Harley Quinn, ou encore Boomerang. Il ne fallait pas mieux espérer que James Gunn, pour qu’il se rattache au projet sous certaines conditions. En effet, James Gunn veut être libre, pour cette adaptation surtout quand on sait comment sont la Warner. Le réalisateur des Gardiens de la Galaxie 1 et 2, sais ce qu’il veut et comment il va adapter tout ça. Un film R-Rated c’est-à-dire complètement à l’opposé de la version de David Ayer, et on est servi dès le début avec de belles giclées de sang, des têtes éclatée bref c’est l’éclate. La mission Suicide pour les membres, est de se rendre sur l’île de Corto Maltese afin d’assassiner, un homme dont son projet est monstrueux. Avec ce nouveau Suicide Squad, nous avons enfin droit à une version digne de ce nom.
Une bande de super-vilains est envoyé sur l’île de Corto Maltese, une mission suicide mais après tout les missions suicide c’est leur boulot. Une mission que dirige de loin Amanda Waller, quiconque tentera de se défiler se fera exploser la tête. La mission est explosive, un grand nombre des suicide squad partent en fumée, c’est un massacre seul Harley Quinn survie, mais elle est capturée par l’ennemi. Plus loin de l’autre côté sur la plage de l’île débarque une autre escouade formée, également par Amanda Waller. Il y a Bloodsport, un mauvais père qui pour faire échapper la prison a sa fille, doit effectuer cette mission. Peacemaker fait aussi partie de cette mission, qui ne s’entend pas vraiment bien avec Bloodsport. Ratcatcher 2 et son rat de compagnie accompagnent l’escouade, ainsi qu’Abner Krill qu’on surnomme Polka Dot-Man. King Shark un requin, qui marche et parle, sera de la partie. Plus loin Harley Quinn sur l’île prisonnière, leur sera un atout précieux. Avant de se rendre vers la ville, ils doivent traversé la jungle et ils tombent sur le colonel Rick Flag qui a survécu au massacre, de l’autre escouade. Sol Sonia apportera son aide, dans leur mission, car elle est pour la liberté en faisant tomber le président en place. Bloodsport et son équipe doivent en premier lieu neutraliser Thinker, l’homme qui dirige les expériences ignobles dans la tour, c’est un bâtiment qui renferme aussi une gigantesque créature qui ne cesse d’évoluer. Cette créature venue de l’espace rapporter par les Américains, et dont les expériences se déroulent sur l’île pour la cacher dans le plus grand des secrets. Le général Matéo Suarez, à qui appartient la tour à des projets bien sombre. Explosive et bien plus encore, voilà ce que l’on peut dire de la version Gunn, de Suicide Squad, tout ce qui pouvait manquer dans la version d’Ayer est là ! Des visages déchiré en lambeaux, des corps déchiré en deux, des têtes qui explosent et j’en passe. James Gunnsemble vraiment prendre du plaisir, dans sa mise en scène démesuré il se fait plaisir comme un gamin il a des libertés alors les utilises même si parfois la Warner, a dû tenter de lui dire d’y aller molo. On ne tombe jamais dans l’humour lourd, c’est juste ce qu’il faut, comme il faut.
Pour le scénario, c’est aussi James Gunn, qui également a les cartes en main, il y décrit des personnages drôles et attachants. Harley Quinn est toujours aussi dingue, et James Gunn la développe à sa façon et de manière très intéressante. On remarquera aussi qu’il apporte beaucoup d’importance a Bloodsport, un mauvais père qui donne des mauvais conseils a sa fille alors que cette dernière a commis un vol. Mais ce dernier, est un homme bon au fond. King Shark est hilarant peut-être bien le personnage le plus drôle du film, le colonel Rick Flag est carrément différent de la version d’Ayer, le même comédien, mais avec un traitement sous un autre angle bien plus intéressant. On notera aussi la présence de Peacemaker, un personnage bien plus instable qu’on ne le pense. Ce sont bien les personnages, qui ont le plus d’importance, mais l’histoire a une part importante car les Américains et leurs erreurs du passé sont pointé du doigt et Gunn, ne manque pas de le préciser a plusieurs reprise. On y voit des politiciens et chef d’armée corrompu, et tout ce qu’ils sont capables de faire. Idris Elba est l’un des nouveaux venu, dans le rôle de Bloodsport un rôle qui lui convient parfaitement. John Cena en Peacemaker se débouillent plutôt bien, ainsi que David Dastmalchian en Polka Dot-Man. Puis il est agréable de revoir Margot Robbie, reprendre son rôle d’Harley Quinn. On y voit vaguement aussi quelques super-vilains, Boomrang interprété par Jai Courtney ne sera que très peu a l’écran, contrairement à la version d’Ayer. On verra aussi TDK, que Nathan Fillion interprète, mais aussi Blackguard que joue Pete Davidson. Largement, supérieur a la version de David Ayer, The Suicide Squad version James Gunn est la version trash qu’on a toujours voulue. Ce n’est pas toujours parfait, mais c’est jouissif de voir enfin un film de cette envergure ou cette fois le réalisateur a eu des libertés.
Date de sortie Prochainement Titre original Pig Réalisé par Michael Sarnoski Avec Nicolas Cage , Alex Wolff , David Knell Genre Drame, Thriller Nationalité États-Unis Musique Philip Klein
L’homme et son cochon
Synopsis
Un chasseur de truffes qui vit seul dans la nature sauvage de l’Oregon doit retourner à son passé à Portland à la recherche de son cochon butin bien-aimé après son enlèvement.
Voilà que Nicolas Cage, nous surprend encore cette année après le très bon Color Out of Space l’année dernière. Pig est un film de Michael Sarnoski, un jeune réalisateur qui signe ainsi son tout premier long-métrage. Les premières critiques du film, sont très enthousiastes et ce n’est pas étonnant vu la qualité du film. Car si le synopsis du film est certes court, le film est plein de bonne choses. Ne vous attendez pas à une sorte de John Wick, si c’est le cas alors passé votre chemin. Dans ce film, comme le dit le synopsis Nicolas Cage est un chasseur de truffe, accompagné comme fidèle compagnon un cochon qui lui déniche les plus belles truffes. Quand ce dernier en pleine nuit se fait voler son cochon, il décide de se rendre en ville afin de le retrouver. Dès les premières minutes film, on sait que l’on est loin d’un film d’action, Michael Sarnoski commence à nous faire suivre un personnage, qui vit dans les bois seul avec son cochon. Un film intimiste, ou en ressort beaucoup d’émotion, ou Nicolas Cage prouve qu’il n’a pas fini de nous étonner, puis on se dit que Michael Sarnoski est un réalisateur à suivre.
Rob est un homme, qui vit dans une petite maison dans les bois, il est chasseur de truffes accompagné de son cochon. De temps en temps, un jeune homme d’affaires vient chez lui chercher les truffes pour les ramener dans des restaurants et leur vendre. On voit que Rob n’apprécie que très peu ce jeune homme, avec qui il collabore depuis un certain temps. Une nuit le cochon de Rob semble agité, c’est alors que des malfaiteurs débarquent chez lui assomme Rob et embarque son cochon. Trop sonné Rob, ne pourra rien faire pour venir en aide à son animal. C’est alors que Rob ne compte pas en rester là, il décide de se rendre en ville afin d’aller chercher son cochon. Il demande à Amir, le jeune homme avec qui il fait affaire, de venir le chercher pour l’emmener en ville. Rob prend contact avec une vieille connaissance, mais ce dernier ne veut pas lui apporter son aide. On apprend que Rob, est le diminutif de Robin et son nom de famille est Feld. Il y a quinze de ça, il était un grand chef cuisinier réputé en ville, mais un drame la poussé a tout arrêter et à se retrancher dans les bois.
Cet ancien chef cuisinier fera tout, pour retrouver son cochon et il sera accompagné d’Amir. Le père du jeune homme est à la tête d’un empire, ou il dirige les plus grands chefs cuisiniers de cette ville et ce n’est pas quelqu’un de bien. Par son titre « Pig » le film ne parle pas que de cochon, c’est un homme qui cherche à le retrouver car cet animal est un être cher, c’est un compagnon de tous les jours. Rob est un homme qui renferme des blessures du passé, il y a un deuil qu’il n’a pas fait, c’est pour cette raison qu’il ne vit plus en ville. Puis il y a ce jeune homme, qui est Amir qui a plus d’intérêt qu’il n’y paraît. Si Pig laissait paraître un film d’action sur fond de vengeance, il n’en est rien c’est bien plus profond est intéressant. La mise en scène, nous prend dès le début, car Michael Sarnoski sait comment filmer avec une grande importance son personnage, il en fait ressortir beaucoup de choses. Que ce soit, dans la réalisation ou le scénario, le film est vraiment brillant de qualité.
Michael Sarnoski et Vanessa Curtis Block, sont au scénario du long-métrage. Ils y développent des personnages très intéressants, a commencé par Robin Feld un homme oublié en ville, car il était en proie à la douleur de la perte d’un être cher. Le film, ainsi, aborde la difficulté de surmonter cela, et le personnage de Rob le montre très bien à travers son personnage. Il parle peu, et ne sourit jamais, son seul compagnon est un cochon et on le lui a enlevé. Rob sera accompagné durant le récit par Amir, on pense au début que ce dernier n’a qu’un simple second rôle, alors qu’en fait, c’est loin d’être le cas. Amir vit avec les blessures du passé, concernant ses parents, il apprend à Rob lors d’une discussion que sa mère s’est suicidé, il lui apprend également que Rob a servi ses parents lorsque celui-ci était chef cuisinier. Amir entretien une relation difficile avec son père, qui est homme influent en ville, tandis que lui est un jeune homme d’affaires qui a du mal à s’affirmer. Le jeune homme découvrira, que Rob est un homme brisé et ce pourquoi son cochon a tant d’importance pour lui. Nicolas Cage livre une prestation épatante, dans ce rôle d’homme détruit. Alex Wolff, jeune comédien qui ne cesse de monter, interprète Amir personnage qui devient finalement attachant. Adam Arkin quant à lui interprète le père d’Amir, un homme influent qui malgré son statut, a les blessures du passé. Pig n’est donc pas qu’une simple histoire de cochon, c’est une histoire sur le deuil et les douleurs du passé, un film poignant à retenir cette année, car il marque un rôle important pour Nicolas Cage. Un film également qui nous permet de découvrir, le premier long-métrage de Michael Sarnoski un cinéaste à suivre avec intérêt.
Date de sortie 12/12/1984 Durée (01h47) Titre original Ghostbusters Réalisé par Ivan Reitman Avec Bill Murray , Dan Aykroyd , Sigourney Weaver , Harold Ramis , Rick Moranis , Annie Potts … Genre Science-fiction Nationalité États-Unis
C’est l’ouverture de la chasse
Synopsis
Peter, Raymond et Egon effectuent des recherches sur la parapsychologie. Virés par le Doyen de la faculté, ils décident de fonder une société destinée à chasser les revenants. Son nom : S.O.S. Fantômes. Le succès frappe tant et si bien à leur porte qu’ils en sont bientôt à travailler à la chaîne.
Surtout reconnu dans les années 80/90, Ivan Reitman, c’est surtout S.O.S Fantômes. Dans les plus connus, il y a Junior, un flic a la maternelle ou encore le très fun Évolution avec David Duchovny et Julianne Moore. Son film le plus intéressant reste néanmoins S.O.S Fantômes, qui est un classique. Au fil des années, c’est un film qui séduit encore, si bien que des reboots ont vu le jour, comme celui au casting féminins qui fut très mal reçu. Mais cette année ça sera une suite plutôt qui verra le jour au mois de novembre, S.O.S Fantômes L’héritage qui surfera sur la nostalgie du premier film, la bande annonce en tout cas est prometteuse. À la réalisation deux réalisateurs dont Jason Reitman, le fils de Ivan Reitman, qui a quand même de l’expérience en tant que réalisateur. Mais revenons avant tout, sur ce film sans quoi il n’y aurait pas tout ça, le premier film avec un casting brillant une comédie brillante avec des drôles de fantômes.
Comme ses amis et collègues, Peter effectue des recherches, sur la parapsychologie ou il tente plus de séduire ses expériences féminines. Raymond lui est obsédé par les fantômes, et quand une vielle dame est témoin d’une force surnaturelle provenant d’une bibliothèque, il se rend sur place avec ses collègues. Tous les trois n’apprennent pas grand-chose, puis ne sont pas pris au sérieux. C’est alors qu’ils sont renvoyés par le doyen de l’université, ou ils effectuent leurs recherches, car il ne croit pas en leurs expériences. Les trois amis doivent trouver un nouveau travail, c’est alors que Raymond a dans l’idée de les faire devenir chasseur de fantômes. Ils visitent un bâtiment qu’ils achètent, et retapent une voiture qui servira de véhicule d’intervention. Les premiers jours sont difficiles, personne ne semble avoir besoin de leur service. Sauf qu’un jour, un grand hôtel de la ville de New-York, les appels enfin. Une chasse aux fantômes s’engage alors, ou ils sément la zizanie, et en viennent a bout tout de même. Quelque part dans New-York, une femme Dana Barrett est victimes de phénomènes surnaturels dans sa cuisine un démon semble habiter dans son frigo. Elle se rend directement alors où se trouve S.O.S Fantômes, et demande de l’aide. Peter commence à prendre l’affaire en main, mais les trois collègues rejoint par un quatrième membre vont devoir affronter bien plus que des simples fantômes. Drôle et inventif, le film de Ivan Reitman est une référence, dont on ne se lasse pas encore aujourd’hui. Des effets-spéciaux impressionnants même si certains passe moins bien ça reste quand même un travail plus que correct pour l’époque. Ivan Reitman ne cherche pas à faire peur, mais à faire rire avant tout car c’est une comédie. La mise en scène est amusante et regorge de bonnes idées, puis la scène finale avec le bibendum chamallow est devenu tellement culte.
On doit le scénario à Harold Ramis et Dan Akyroyd, qui en plus de nous faire rire avec des histoires de fantômes développe leurs personnages avec intérêt. Trois amis, qui se retrouvent renvoyer de la faculté où ils travaillent, car le doyen ne prend pas leurs travaux au sérieux, puis ils ouvrent leur propre entreprise de chasse aux fantômes. Il y a Peter qui tombe sous le charme, de la charmante Dana, ce dernier, qui est un dragueur, tentera de la séduire tandis qu’elle se retrouve avec des forces maléfiques dans son appartement. Raymond Stantz aime son boulot plus que tout, et il est fasciné par les fantômes, un peu trop même. Egon Spengler est un scientifique, il est plus dans la recherche tout aussi passionné par les fantômes. Des personnages qu’on prend plaisir à suivre, car ils sont drôles et attachants. Bill Murray interprète Peter, est peut-être bien le personnage le plus drôle du film. Harold Ramis joue Egon Spengler, il est également scénariste du film, avec Dan Aykroyd qui lui joue Raymond Stantz. Rick Moranis joue Louis Tully, un voisin un peu collant de Dana qu’interprète Sigourney Weaver. Le film a déjà 37 ans cette année, et il reste un des plus grands classiques dont on ne se lasse pas de voir et revoir.