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Orel

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Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

5 Ans du site: Quelle aventure!

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Fifth Year Golden Laurel Wreath

Que le temps passe! Cinq années du coin des critiques ciné, créé en avril 2015 le 25 exactement. Car le coin des critiques ciné, c’est une petite aventure qui est devenue grande. Cela à débuter sur Facebook en 2011, avec la création d’un groupe, réservé a un cercle fermé qui s’est ensuite ouvert à un plus large public. Ce groupe compte presque 3000 membres aujourd’hui, ils partagent leur passion du septième art avec des liens vers des articles la plupart du temps. La création ne fut pas facile, au début surtout au peu de connaissances que j’avais mais avec le temps on n’apprend à s’améliorer. Le site a connu une nouvelle version, il y a quelques semaines car l’ancienne version a connu des problèmes techniques, ce qui nous a obligés à l’abandonner. J’espère que cette dernière version, vous conviens? Le coin des critiques ciné ce sont des rédacteurs, avec leur plume personnelle qui fournisse avec passion des articles pertinents, il y a peu de temps encore nous avons acceuili de nouveaux arrivants avec leur plume. Des regards différents sur les films, c’est cela aussi. Puis quelle équipe géniale! des collaborateurs incroyables, avec qui je collabore depuis longtemps maintenant comme Valentin mon corédacteur en chef, Maxime, Liam ou encore Lionel et je les remercie. Merci également à Brian, qui nous a rejoint l’an dernier. Je remercie aussi Emmanuel de s’investir autant, ou Pierre qui vient de nous rejoindre tout comme Manon. Même si elle n’est pas souvent là, Anne-Laure a su nous fournir un tas d’articles intéressant. Je remercie tous les rédacteurs, pour leur travail, leur implication sur le site. Vous êtes une super équipe ne changer rien, et nos échanges sont toujours agréables. Le site a connu des bas souvent, ça était dur mais aujourd’hui nous sommes en hausse et c’est grâce vous et nos fidèles lecteurs que je tiens à remercier, du fond du coeur. L’année dernière j’ai eu l’occasion, de voir la séance d’Once Upon à Time in Hollywood, avec deux de nos rédacteurs Liam notre rédacteur Belge et Emmanuel et nous avons passé une très bonne journée (voir la photo ci-dessous) Merci à tous! tous ceux qui nous lisent et restez chez vous pour finir. Orel

Liam, Emmanuel et Orel

Je me joins à toute l’équipe pour remercier chaque lecteur ayant apprécié par quelque manière notre site et son contenu depuis son ouverture, il y a cinq ans déjà. Si tout le monde n’est pas pareillement productif, si certains écrivent à la pelle et à l’envi quand d’autres font preuve d’une ponctualité infaillible, si quelques rédacteurs vantent inlassablement le dernier film de Snyder là où d’autres préfèrent les nouveautés bariolées du cinéma indépendant, notre équipe – diverse donc – s’est toujours mobilisée pour vous proposer une ligne rédactionnelle cohérente, plurielle, sincère et irénique. Plus personnellement, j’y ai rencontré des êtres débordants de passion et au dialogue aussi débonnaire que respectueux ; le genre de types qui redonneraient le sourire à un malickien en pleine déréliction et pourvoyant à de belles déconnades dans nos moments les plus simples ; et qu’ils sont précieux, eux aussi, ces moments, simples… Merci – encore – à eux comme à vous. Ne perdez jamais de vue le cinématographe qui nous fait tous vibrer. A très bientôt. Maxime.

 

Près de deux ans que j’ai rejoint l’équipe pour partager ma vision du cinéma en mettant en ligne des critiques plus ou moins détaillées agrémentées d’images et de vidéos pour une lecture agréable. Très hétérogène dans mes envies de films (blockbuster, série B, nanar, auteur, animation), je cherche toujours à en extraire du positif et à peser la balance pour des critiques les plus bienveillantes possibles. Très actif par moment, beaucoup moins quand cela m’est plus difficile, je me laisse également aller à des critiques de jeux vidéo, ou dernièrement à des articles relatant des anniversaires. L’équipe évolue régulièrement et c’est toujours un plaisir d’accueillir de nouveaux rédacteurs pour alimenter les discussions et des débats respectueux des avis de chacun. Merci à tous les lecteurs et notamment aux retours sur investissement que j’ai pu voir sur des articles chronophages comme mon dossier sur Le Roi Lion qui additionne les vues chaque semaine ! Emmanuel

Je suis arrivé très tôt sur ce site. Je n’avais aucune expérience de rédacteur mais je fut accepté de manière très courtoise et sympathique.
Ce que je retiens du Coin des Critiques Ciné c’est avant tout le fort esprit de camaraderie qui se dégage au sein des rédacteurs.
La passion nous anime et nous la transmettons par le biais de ce projet qui apparaît comme le plus beau auquel j’ai pu contribuer avec mes modestes articles.
Pour conclure, il y a une chose qui est certaine c’est que je ne suis pas prêt de quitter cette formidable aventure ! Nicolas

Je n’étais pas là à la création du site mais je suis content de participer au 5 ans, voilà seulement 2 mois que j’ai rejoint le coindescritiques, parmi les derniers arrivés c’est avec joie que j’ai découvert une belle équipe.
Une belle ambiance où l’on peut discuter et conversationner de notre sujet favori à tous : le cinéma.
Nous avons l’opportunité de contribuer à l’évolution, en participant à la rédaction de critiques, dossiers etc… sans notion de temps et de pression de la part du rédacteur en chef.
C’est très plaisant de pouvoir rédiger sur notre passion et exprimer notre ressenti sur divers films et le faire partager aux autres via le site, et évidement toujours dans la bonne humeur et dans une bonne ambiance.
En espérant pouvoir être toujours là pour les 6ans, 7 ans etc.. Pierre

 

Cinq années, c’est si peu et si long en même temps ! Et pourtant, le Coin des Critiques Ciné fête bien ses cinq ans d’existence avec la joie d’avoir une équipe aussi variée et un public assez fidèle à nos écrits. Cela fait quatre ans pour ma part que je suis arrivé en tant que rédacteur sur le site et il faut bien avouer que je n’ai pas vu le temps passer. En tant qu’habitant du plat pays qui est le mien, il faut bien reconnaître que c’est compliqué de rencontrer mes camarades mais je ne désespère pas un jour que toute l’équipe puisse se retrouver avec vous, de préférence avec un bon repas et une bonne conversation sur le cinéma. De quoi peut-être donner une idée pour un futur anniversaire ? Seul le temps le dira. Mais si l’on peut déjà affirmer quelque chose, c’est la fierté de rédiger sur le site, à un rythme assez aléatoire certes, mais avec des retours qui sont généralement bienveillants et ouverts à la discussion. Quand je rédige une critique, c’est pour essayer de partager mon regard sur une œuvre afin que vous puissiez l’appréhender avec mes yeux, sans nécessairement vous imposer mon opinion mais vous permettre d’en découvrir une qui n’était peut-être pas en accord avec votre avis. C’est donc assez content que je souhaite un joyeux anniversaire au site et vous remercie pour votre fidélité et votre sympathie ! Allez, je vous tiendrai au courant si j’arrive à convaincre Orel d’organiser un bon restaurant pour une future célébration (cela tombe bien, je connais d’excellents endroits… en Belgique 😉). Sur ce, je vous remercie à nouveau de votre présence et vous propose de fêter cette cinquième année d’existence en continuant à dialoguer sur le septième art, celui qui nous divise sur certains titres, nous rapproche sur d’autres mais surtout nous lie dans notre passion commune. Liam

Bien que cela fait 4 ans que je suis sur le site, c’est un honneur de faire partie de cette fabuleuse troupe et de vivre avec eux les 5 ans du site. Bien que durant ses 4 ans je n’ai fait que peu d’article contrairement à mes confrères, il se pourrait qu’à l’avenir cela change et cet événement exceptionnel pourrait bien être synonyme de changement pour moi en vous livrant des articles sur le cinéma que j’affectionne à travers divers films qui ont marqué ma cinéphilie à leurs manières et j’ai hâte de me mettre au travail. Un joyeux anniversaire au Coin des critiques ciné dont j’ai la chance de faire partie ! Lionel

5 ans que le site existe, comme le temps passe vite. J’ai pu rentrer sur le site grâce à Orel qui m’a donné ma chance et je ne l’ai pas regretté. Étant timide de nature, écrire a pu m’affirmer et être sur de se que j’écris. Tant de bons moments que je retiens notamment lors des lives YouTube où l’ont a bien rigolé et surtout débattre avec des personnes que je considère être mes amis. Donc Happy Birthday Le Coin des critiques ciné. Valentin

E.T L’Extraterrestre de Steven Spielberg

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Date de reprise 3 avril 2002 (2h 00min)
Date de sortie 1 décembre 1982 (2h 00min)
De Steven Spielberg
Avec Henry Thomas, Drew Barrymore, Dee Wallace, Peter Coyote, Robert MacNaughton…
Genres Science fiction, Famille, Aventure
Nationalité Américain
Musique John Williams

 

Téléphone maison

Synopsis

Une soucoupe volante atterrit en pleine nuit près de Los Angeles. Quelques extraterrestres, envoyés sur Terre en mission d’exploration botanique, sortent de l’engin, mais un des leurs s’aventure au-delà de la clairière où se trouve la navette. Celui-ci se dirige alors vers la ville. C’est sa première découverte de la civilisation humaine. Bientôt traquée par des militaires et abandonnée par les siens, cette petite créature apeurée se nommant E.T. se réfugie dans une résidence de banlieue.

Elliot, un garçon de dix ans, le découvre et lui construit un abri dans son armoire. Rapprochés par un échange télépathique, les deux êtres ne tardent pas à devenir amis. Aidé par sa soeur Gertie et son frère aîné Michael, Elliot va alors tenter de garder la présence d’E.T. secrète.

Steven Spielberg et les extraterrestres, c’est quelque chose il eut Rencontre du troisième type qui était une approche très intéressante des extraterrestres sur notre planète. Puis il eut E.T L’Extraterrestre en 1982, un de ses plus gros succès, mais ça ne sera pas son dernier film mettant en scène des extraterrestres puisqu’en 2005 il eut La Guerre des mondes adaptation moderne du livre de d’H. G. Wells, où il filme une invasion extraterrestre destructrice. De toute façon est-il utile de présenter Steven Spielberg? Lui qui a signé des films les plus grands des années 90, comme Jurassic Park ou bien La liste de Schindler. Même aujourd’hui il surprend encore avec Pentagone Papers et Ready Player One. En 2002 E.T L’extraterrestre, eut le droit à une nouvelle sortie a l’occasion des 20 ans, et il fut même remastérisé et ce ne fut pas forcément une bonne chose. Maintanant le film a 38 ans, et sa version 4K est un remarquable travail avec une image des plus fluides et une résolution des plus impressionnantes. E.T L’extraterrestre est un grand film, celui qui m’a vraiment fait aimer le cinéma parce que dedans il y a tout ce qui peut me faire rêver. En 38 ans le film, a toujours le même impact celui d’émouvoir et faire rêver.

Une nuit une soucoupe volante se pose, sur terre a côté de Los Angeles des extraterrestres sortent de la soucoupe et explore la clairière où ils ont atterri, puis ils doivent partir. Ils quittent alors notre planète oubliant un petit extraterrestre, qui c’était un peu trop éloigné. C’est alors que débarque des militaires, et fouille toute la zone a la recherche des extraterrestres, c’est alors que le petit extraterrestre est effrayé par les recherches des militaires et fuit la zone. Elliot a dix ans, et vit avec son frère, sa petite soeur et sa mère dont le mari l’a quitté, elle et ses enfants. En allant chercher les pizzas du livreur Elliot entend un bruit, dans le cabanon de jardin il balance une balle qui lui revient. Il laisse tomber la pizza car il est effrayé, et va chercher sa mère qui ne le croit pas. Il décide d’y retourner quand tout le monde dort, en mettant des bonbons afin de l’attirer et quand ce dernier vient à lui il n’arrive plus à prononcer un seul mot. La créature effrayée par un bruit, fuit à toute vitesse. Le lendemain Elliot décide de partir à sa recherche, en semant des bonbons, dans la clairière où il s’est réfugié. Elliot finira pas retrouvé cette créature, et la cache en dans sa chambre, décidant dans un premier temps de ne rien dire à son frère et sa soeur. Il nomme cette petite créature E. T, très vite ils deviennent amis et Elliot décide d’en parler à son grand frère et sa petite soeur. C’est le début entre Elliot et E.T de l’une des plus grandes histoires d’amitié. Car E. T c’est ça, c’est une histoire qui traite de l’amitié entre un petit garçon, et une petite créature venue d’ailleurs. Bien qu’il soit ami, la petite créature doit retourner d’où elle vient. Dans sa mise en scène, Steven Spielberg procure de grand moment, en matière d’émotion car cette histoire d’amitié est très touchante. Au fil du temps Elliot et E.T ont un lien, ce que fait la créature le jeune garçon le fait comme la scène ou E. T et chez Elliot et lui a l’école. Une scène comique, qui en plus montre le fort lien qui unis la créature et Elliot.

Le film de Steven Spielberg, n’est pas devenu un classique pour rien, il y a de grande qualité dans la réalisation mais aussi dans le scénario. Un scénario que signe Melissa Mathison, ou le traitement des personnages et maîtrisé mais le traitement des liens qui unis le garçon et E.T est admirable également. Comment un jeune garçon de dix, se lie d’amitié avec une créature venue d’ailleurs? C’est justement tout l’intérêt, que porte le film ils ont aussi un lien mental qui s’est construit entre eux. La scène ou les militaires débarquent, chez Elliot est saisissante et m’effrayer même étant plus jeune elle est réellement impressionnante, quand on voit ses hommes en combinaisons d’astronautes. À ce moment-là, il y a un climat de peur. Puis il y a ce plan, avec le coucher de soleil ou les militaires roulent le grand tube avec cette musique qui fait aussi tout le charme. Car ce film, c’est un tas de plan, celui avec le vélo passant devant la lune, le plus connu ou on lui a rendu hommage à plusieurs reprises au cinéma, ou dans les séries. Steven Spielberg fait aussi des clins d’oeil à Star Wars, lors de la scène d’halloween Elliot, son frère et E.T croise un gamin déguisé en Yoda. Quand on reviens dans l’ensemble de l’écriture du scénario, on s’aperçoit que Melissa Mathison aborde l’amitié, mais aussi l’abandon d’un père. Quant aux aux militaires, ils sont représentés comme une forme de peur, et sont là pour E.T. La scène finale du film, est la scène des adieux entre Elliot et E. T autant vous dire que les larmes coulent a chaque fois. La puissance émotionnelle de cette scène, avec en plus la musique de John Williams c’est un mélange parfait. Les adieux sont poignants, une séparation forte en émotion. Dans le rôle d’Elliot c’est Henry Thomas, une prestation fabuleuse, Drew Barrymore joue Gertie la petite soeur d’Elliot. Peter Coyote, est l’homme à la recherche d’E.T. Dee Walace interprète la mère d’Elliot. Il y aurait tellement de mots pour qualifié, ce film que même chef-d’oeuvre ne serait pas assez pour le décrire.

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Invisible Man de Leigh Whannell

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Sortie 6 février 2020
Durée 2h 05min
Genre Fantastique, Epouvante-horreur, Thriller
De Leigh Whannell
Avec Elisabeth Moss, Oliver Jackson-Cohen, Harriet Dyer, Aldis Hodge, Storm Reid, Michael Dorman…
Nationalité Américain
Musique Benjamin Wallfisch

 

Invisible mais toujours là!

Synopsis

Cecilia Kass est en couple avec un brillant et riche scientifique. Ne supportant plus son comportement violent et tyrannique, elle prend la fuite une nuit et se réfugie auprès de sa sœur, leur ami d’enfance et sa fille adolescente.
Mais quand l’homme se suicide en laissant à Cecilia une part importante de son immense fortune, celle-ci commence à se demander s’il est réellement mort. Tandis qu’une série de coïncidences inquiétantes menace la vie des êtres qu’elle aime, Cecilia cherche désespérément à prouver qu’elle est traquée par un homme que nul ne peut voir. Peu à peu, elle a le sentiment que sa raison vacille…

Le premier film de Leigh Whannel c’était Upgrade, une vraie réussite un film d’anticipation ou on découvrait que ce réalisateur avait vraiment du potentiel. Le réalisateur prouve qu’il peut faire de grandes choses, cette année sort The Invisible Man, produit par Jason Blum. Le producteur qui produit a tour de bras, des films d’horreur pour certains aux rabais. Pour certains films il produit de bonnes choses, comme le dernier Halloween, Split et Glass et même si quelques films restent discutables comme la franchise Américan Nightmare qui n’est pas si mauvaise. Bref pour dire que cette production de Blum, s’éloigne un peu du reste comme Split ou Glass, dans cette nouvelle production il y a vraiment quelque chose. Il serait exagéré de dire, que ce film est l’adaptation de H. G. Wells, qui a connu plusieurs adaptations car le titre est le même mais on est loin des adaptations précédentes. Cependant l’oeuvre reste sans doute, une source d’inspiration, mais ne se base pas sur le récit du livre. L’invisibilité a fasciné souvent le cinéma et les séries, et c’est plus ou moins bien mais on n’en abuse pas donc ça peut créer la surprise. Leigh Whannel adapte à sa façon le mythe de l’homme invisible, et n’en fais pas un film d’horreur basique car il y a un vrai potentiel qu’il exploite a sa juste valeur.

Cecilia Kass vit avec Adrian Griffin, un homme riche qui travaille, dans le domaine de l’optique il en est le leader. Mais Cecilia n’est pas heureuse, Adrian a une emprise sur elle dont elle ne peut se détacher, c’est pour ça qu’un soir elle décide de fuir tandis que ce dernier est endormi elle prépare son plan d’évasion minutieusement, et arrive à fuir de cette gigantesque maison. Elle débouche sur une route, après avoir marché et une voiture qui n’est autre que sa soeur s’arrête et la prend tandis, qu’Adrian arrive et casse la vitre mais elle arrive à fuir malgré ça. Quelques semaines plus tard, elle s’est installé chez un ami de sa soeur James qui vit avec sa fille Sydney le traumatisme de l’emprise de son compagnon la hante encore. James l’aide au mieux à surmonter ça, c’est alors que sa soeur lui apprend, qu’Adrian s’est suicidé, mais elle a du mal à y croire car, il n’avait aucune raison de faire ça. Elle s’entretient avec Tom le frère de ce dernier, qui lui assure qu’il est mort et elle hérite même de la fortune de son conjoint. Mais elle a l’impression d’être observée sans arrêt, des choses inexplicables se produisent et si Adrian était en vie. James la prend pour une folle, ainsi que sa soeur mais ses doutes se confirme quand elle se fait violemment frapper par une force invisible. Quand cette dernière avait fui la maison, elle avait aperçu un étrange appareil qu’Adrian avait mis au point et c’est peut-être grâce à cette chose que ce dernier est invisible. Mais plus Cecilia veut prouver qu’il est vivant, plus elle se met en danger car son mari invisible, veut la faire passer pour une folle et son plan semble fonctionner. The Invisible Man dispose d’une approche qui ne peut qu’être intéressante, loin de Hollow Man également de Paul Verhoeven qui a sa façon exploré le mythe de l’homme invisible avec brio, ici la technique est la chose qui rend possible l’invisibilité. On est loin d’une mise en scène classique, car Leigh Whannel joue avec les nerfs car on ne sait pas si l’homme invisible est là ou pas. La réalisation est donc efficace, et arrive à instaurer un climat plutôt angoissant. Pas de jump-scare inutile, mais juste une tension qui fonctionne.

En plus d’être un bon réalisateur Leigh Whannel fait également un très bon scénariste, il le prouve encore avec son second long-métrage. Le réalisateur fait de l’homme invisible, quelque chose de plus moderne car pour que ce dernier soit invisible il doit enfiler une combinaison qui le rend invisible. Une technologie qu’a créée Adrian, en donnant cette touche d’originalité à son long-métrage Leigh Whannel, prouve qu’il a de bonne idées. Le film aborde en quelque sorte, les violences que subissent les femmes car cette dernière avouent à James qu’il l’a frappé, et qui en plus était un pervers narcissique. Leigh Whannel décrit très bien la peur que ressent Cecilia, sous l’emprise qu’a son mari sur elle ce qui n’est plus supportable c’est pour cette raison qu’elle fuit. Le film débutera sur le départ, de Cecilia de son domicile, où l’on entend que le bruit de la mer, une scène d’ouverture silencieuse, ou le climat d’angoisse est déjà instauré. Elisabeth Moss est convaincante, et livre une prestation vraiment sincère elle est en proie à une peur constante de son conjoint qui a une eu une emprise elle depuis beaucoup trop longtemps. Aldis Hodge joue James, qui héberge Cecilia et qui essaie de comprendre ce qu’elle ressent. Michael Dorman joue Tom, le frère d’Adrian qui lui est interprété par Olivier Jackson-Cohen. The Invisible Man est un film de genre, qui n’exagère pas dans des scènes gores ou des jumps-scares pathétiques, Leigh Whannel livre une mise en scène intelligente ou l’ambiance fait le charme du long-métrage principalement.

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Shutter Island de Martin Scorsese

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Chuck Aule (Mark Ruffalo, left) and Teddy Daniels (Leonardo DiCaprio, right) are two detectives sent from the mainland to investigate a mysterious disappearance on an island prison for the criminally insane in the thriller ?Shutter Island.?

Sortie 24 février 2010
Durée 2h 17min
Genre Thriller
De Martin Scorsese
Avec Leonardo DiCaprio, Mark Ruffalo, Ben Kingsley, Michelle Williams, Max von Sydow, Ted Levine, Emily Mortimer…
Nationalité Américain

 

L’île aux cinglés

 

Synopsis

En 1954, le marshal Teddy Daniels et son coéquipier Chuck Aule sont envoyés enquêter sur l’île de Shutter Island, dans un hôpital psychiatrique où sont internés de dangereux criminels. L’une des patientes, Rachel Solando, a inexplicablement disparu. Comment la meurtrière a-t-elle pu sortir d’une cellule fermée de l’extérieur ? Le seul indice retrouvé dans la pièce est une feuille de papier sur laquelle on peut lire une suite de chiffres et de lettres sans signification apparente. Oeuvre cohérente d’une malade, ou cryptogramme ?

Depuis 2010 sortie du film Shutter Island, Martin Scorsese a fait quelques films c’est pour dire que le réalisateur ne chôme pas. Dernier en date The Irishman, où il mettait en scène deux grands acteurs Al Pacino et Robert De Niro qui s’était déjà côtoyé plusieurs fois derrière les caméras. Mais Martin Scorsese a son acteur fétiche depuis longtemps maintenant Leonardo Dicaprio, qu’il a dirigé dans Aviator, Les infiltrés, le loup de Wall-Street puis Shutter Island. Un film aussi énigmatique que surprenant, sauf si l’on a lu le livre ou la bande dessinée de Dennis Lehane. Parce que oui Shutter Island est basé sur un livre de Dennis Lehane, qui existe en bande dessinée aussi mais qui fut publié un peu plus tard que le livre. Les dessins sont magnifiques les textes tout autant, tout ça adaptait par Christian de Metter. Quand on connaît déjà la fin, peut-on apprécier le film? Bien sûr que oui, si l’on apprécie le travail de Martin Scorsese on ne peut qu’adhérer à l’oeuvre qu’adapte le réalisateur. Puis avec un tel casting on ne peut qu’être séduit. Il est vrai, que ce film sort un peu du lot de ce que fait le réalisateur, puisqu’on est vraiment dans un thriller assez glauque et mind-fuck mais ça lui réussi plutôt bien. Le film a déjà dix ans, mais reste une oeuvre intéressante qui aborde avec une approche particulière l’esprit humain et ce dont il est capable.


Sur l’île de Shutter Island, il y a un hôpital psychiatrique et c’est ici qu’une patiente du nom Rachel Solando a mystérieusement disparu. C’est alors que le marshal Teddy Daniels et son coéquipier Chuck Aule, se rendent sur les lieux afin d’enquêter. Depuis le bateau Teddy, ne se sent pas bien et met ça sur le compte du mal de mer. Shutter Island n’est pas vraiment une île accueillante , c’est sinistre et dans cet hôpital encore plus. Le Dr Cawler le psychiatre en chef, apporte son aide concernant la disparition de Rachel, mais quand Teddy lui demande les dossiers des patients afin d’en savoir il refuse. Teddy pense qu’il ne veut pas coopérer, tandis que son mal de tête prend de l’ampleur. Les deux marshals sont dans l’obligation de rester sur l’île, car une violente tempête est en approche. Après ça Teddy sait que cet établissement cache des choses, et veut découvrir à tout prix ce qui ce cache. Pourquoi a-t-on fait appel à eux, si c’est pour cacher la moitié des choses? Difficile de ne pas dire tout ce qui se passe, sans tout révéler car énormément de détails que possède film concorde avec la fin. À travers des flash-back, cependant on apprendra le soi-disant passé de Teddy Daniels en tant qu’ancien héros de la guerre, ayant tué des Allemands. On apprendra également que sa femme est morte, dans un incendie chez elle mais tout ça a une importance capitale. Martin Scorsese avec son talent, signe une mise en scène magistrale en instaurant une ambiance inquiétante. Le directeur de la photographie Robert Richardson offre un travail remarquable, qui grâce à ses plans immerge le spectateur dans cette ambiance inquiétante. Martin Scorsese, s’essaye à un nouvel exercice de style dans sa longue carrière, et ça lui réussi plutôt bien. Sa réalisation est brillante, en adaptant comme il faut l’oeuvre de Dennis Lehane.

Il existe comme dit plus haut deux adaptations de Shutter Island le livre et la bande dessinée, pour le scénario du film il s’agit de Laeta Kalogridis. N’ayant lu que la bande dessinée, je peux dire que c’est fidèlement adapté même au niveau des dialogues. Le personnage le plus développer est celui de Teddy Daniels, car on n’en apprendra sur son passé. Tandis que sur les autres personnages, même si leur traitement est honorable, ils n’ont pas autant de développement que Teddy et au final c’est normal. Parce que si on ne connaît pas la fin, c’est une surprise et les autres ayant lu le livre et la bande dessinée ça l’est moins. Cependant le film reste quand même intéressant, car l’ambiance est présente et elle est très bien retranscrite du papier a l’écran. Une écriture qui se penche, sur l’esprit humain et la psychologie, tout ça dans une approche très intéressante. Leonardo Dicaprio est saisissant, Mark Ruffalo livre une belle prestation. Mais aussi on retiendra Ben Kingsley, et le regretter Max von Sydow. Shutter Island est certainement une oeuvre intéressante, dans la carrière de Martin Scorsese parce que ce film lui permet de s’atteler à un nouveau genre. De plus ce n’était pas forcément, simple une adaptation de Shutter Island mais Scorsese réussi cette adaptation haut la main.

Bande annonce

L’Armée des morts de Zack Snyder

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Sortie 30 juin 2004
Durée 1h 40min
Genre Epouvante-horreur
De Zack Snyder
Avec Sarah Polley, Ving Rhames, Jake Weber, Mekhi Phifer, Ty Burrell, Michael Kelly, Kevin Zegers, Lindy Booth…
Nationalité Américain
Musique Tyler Bates

 

Zack Snyder et les zombies

Synopsis

Personne ne peut expliquer comment tout cela est arrivé, mais ce matin, le monde n’est plus qu’un immense cauchemar. La population de la planète se résume désormais à une horde de morts vivants assoiffés de sang et lancés à la poursuite des derniers êtres humains encore en vie. Après avoir miraculeusement réussi à s’échapper de son quartier, Ana Clark se barricade avec un petit groupe de survivants dans un centre commercial. André et sa femme enceinte, Michael et Kenneth, officiers de police, vont tout faire pour rester vivants. Alors que dehors, la situation est de pire en pire, à l’intérieur, il faut aussi faire face aux peurs et aux démons de chacun.

Ce que l’on pourrait dire, c’est que Zack Snyder est un réalisateur très ambitieux. Son premier film est de 2004, c’est L’armée des morts, si vous connaissez ce film c’est donc sa première réalisation et il commence fort. Faut dire que le réalisateur maintenant, et plutôt bien connu, il est à l’origine de Watchmen, Man of Steel, 300, Sucker Punch ou encore Batman v Superman. On évitera de trop parlé de son dernier film Justice League, qui est une catastrophe. Pour l’armée des morts, Zack Snyder se trouve bien entouré puisque James Gunn s’occupe du scénario avec George.A.Romero, car à noter que c’est le remake du film de Romero. Pour son premier film, c’est un défi pour Zack Snyder car il s’occupe du remake d’un film du légendaire de Romero. Et donc le résultat est plutôt satisfaisant, et l’ambiance est mortelle.

Ana est une infirmière, elle vit avec son fiancé dans une banlieue américaine. Le lendemain matin, une petite fille s’est introduit dans leur maison, et cette dernière est un zombie. Durant la nuit, quelque chose s’est passé, qui a transformé une partie, de la population en zombie, et quand une victime se fait mordre elle se transforme à son tour. La cause de tout ça est inconnu, mais c’est une catastrophe c’est le chaos, la banlieue ou vit Ana et sans dessus dessous, c’est l’apocalypse. Le fiancée d’Ana est mort, attaqué par la petite fille et il s’est ensuite transformé en zombie. Ana fuit son domicile en panique, puis plus loin elle a un accident avec son véhicule qui l’oblige à continuer à pied, elle fait la rencontre de Kenneth un policier et fait la route avec lui. Ils rencontrent rapidement d’autres survivants, qui ont comme projet de ce réfugié dans le centre commercial ils décident d’aller avec eux. Le centre commercial, n’est seulement qu’à quelques mètres et ils doivent faire vite car les zombies arrivent assez rapidement. Malgré tout ils arrivent à entrer à l’intérieur du centre commercial, ou pour certains cet endroit sera leur dernier refuge. Le film de Zack Snyder, dispose de personnages caricaturaux pour certains, comme le flic par exemple. Mais le film tient sa force, dans ses personnages quand même car cela rend parfois le film plutôt drôle. La mise en scène de Zack Snyder est captivante, et on ne s’ennuie pas une seconde. L’environnement où se déroule le film est intéressant car le terrain de jeu permet aux personnages de se divertir. Ce qui est sur, ces qu’ils n’ont pas le temps de faire les boutiques.

James Gunn et George.A.Romero sont au scénario du film, rien que ça oui! Qui de mieux que Romero d’ailleurs pouvait participer, a l’écriture du scénario puisqu’il s’agit du remake de son propre film. James Gunn apporte sa touche également lui aussi débute dans le cinéma, même si le récit est souvent simpliste il apporte des scènes mémorables. Et comme tout bon film de zombies, c’est gore et jouissif. Pour l’humour on remarquera que quelques personnages sont caricaturaux, avec des scènes assez prévisibles comme Ana qui tombe sous le charme du beau gosse du groupe Michael, qui est aussi le plus intelligent du groupe. L’écriture s’intéresse à ses personnages, face à cette situation mais pas a leur passé, du moins pas assez. Mais ne pas développé les personnages, plus que ça n’est pas un problème puisque les voir face à cette invasion zombie est soit amusant. Tous agissent de manière différente, et aussi tous doivent s’adapter à cette invasion zombie qui leur tombe dessus du jour au lendemain. Le film respecte les codes du film de zombie, et avec Romero a l’écriture encore plus. Zack Snyder marquera les esprits, avec ce premier film, avec quelques scènes comme ce bébé zombie scène assez malaisante. Sarah Polley, tient le rôle d’Ana, Ving Rhames joue le flic, Mekhi Phifer et un futur père de famille. Tant de personnages, qui apportent beaucoup de choses au film. Pour un premier film, Zack Snyder assure et signe un film de zombies avec toutes les références et codes qui vont avec.

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Leave No Trace de Debra Granik

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Sortie 19 septembre 2018
Durée 1h49min
Genre Drame
De Debra Granik
Avec Thomasin McKenzie, Ben Foster, Jeff Kober, Isaiah Stone, Dale Dickey, Dana Millican…
Nationalité Américain
Musique Dickon Hinchliffe

 

La vie dans les bois

Synopsis

Tom a 15 ans. Elle habite clandestinement avec son père dans la forêt qui borde Portland, Oregon. Limitant au maximum leurs contacts avec le monde moderne, ils forment une famille atypique et fusionnelle.
Expulsés soudainement de leur refuge, les deux solitaires se voient offrir un toit, une scolarité et un travail. Alors que son père éprouve des difficultés à s’adapter, Tom découvre avec curiosité cette nouvelle vie.
Le temps est-il venu pour elle de choisir entre l’amour filial et ce monde qui l’appelle ?

La réalisatrice Debra Granik réalise son quatrième film, c’est pour moi une découverte je ne connais pas son cinéma. Je n’ai même pas vu Winter’s Bone, qui est son plus connu. Leave No Trace est sorti en 2018, donc déjà presque deux ans. Ce que l’on pourrait déjà dire, c’est que la réalisatrice a énormément de talent et qu’elle a sa place dans le cinéma indépendant américain. Debra Granik, livre un récit qui raconte l’histoire d’un père et sa fille de 15 ans vivant dans les bois d’un parc. Ce choix de vie, vient évidemment de son père, sa fille le suit mais ça n’a pas l’air de la gêner c’est une habitude. Sauf que ce choix de vie, leur est interdit. Ben Foster dans le rôle du père est fabuleux. C’est un comédien qui ces dernières années, enchaîne les bons rôles comme Comancheria ou encore Galveston. Leave No Trace, est une oeuvre indépendante, ou la réalisatrice Debra Granik maîtrise parfaitement sa réalisation ainsi que l’écriture.

Will vit avec sa fille Tom dans les bois, qui appartient à un parc. Un mode vie qui leur convient parfaitement, c’est un choix de vie qu’à faire Will et sa fille de 15 ans qui n’a plus de mère. Toutefois ils n’ont aucun droit de vivre ou ils sont, ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils soient expulsés. Non loin d’où ils vivent, il y a des ouvriers qui se rapproche et ils ont peur d’être découvert. C’est alors qu’un jour la police arrive, avec un chien, ils repèrent les lieux ainsi que Will et Tom qui sont emmenés par des services sociaux, ils trouvent un travail pour Will une scolarité pour la jeune fille qui jusque-là, était scolarisée par son père. Ils bénéficient même d’un toit, mais pour Will ce n’est pas possible il ne peut pas vivre de cette façon il faut qu’il parte. Il quitte l’endroit avec sa fille, la jeune fille regrette car elle commencer à apprécier cette nouvelle vie, mais elle doit suivre son père. Ils récupèrent les affaires qu’il y avait, dans leur ancienne vie, et quitte l’Oregon pour un ailleurs. Ils trouveront un chauffeur routier, qui les conduira à un endroit et les déposera au bord d’une forêt. Mais le froid les surprend, la jeune fille a les pieds gelés et ils sont contraints de dormir, dans le froid glacial des bois. Le lendemain ils trouveront, un refugue qui leur permettra de ce réfugié afin de se nourrir et se réchauffer. La mise en scène de Debra Granik offre de très bons moments, entre ce père et sa fille il y a une relation fusionelle elle accepte le choix de vie de son père et s’y habitue. Mais seulement quand ils sont contraints de changer de vie, la jeune fille y prend goût pour elle c’est l’occasion d’avoir un toit un vrai. Son père n’est bien que loin de la société, on peut y ressentir une forme d’égoïsme envers sa fille car au final il lui impose de dur choix de vie. La jeune fille grandit, et elle veut prendre ses décisions et ne veut plus être obligée de suivre son père.

Le scénario est de Debra Granik et Anne Rosellini, qui adapte l’oeuvre de Peter Rock. On y voit une famille, un père et sa famille évoluant, dans les bois ils dorment, mange et font leur vie dans les bois. Une vie non imposée, mais qu’a voulue Will, l’écriture s’intéresse surtout à cette relation père/fille, ce père qui enseigne à sa fille tout ce qu’il faut savoir. Le traitement des personnages est passionnant, leur développement est vraiment bien maîtrisé que ce soit Will ou la jeune fille. Le récit décrit très bien leur façon de vivre, et on ressent l’importance qu’a tout ça pour Will. Les liens qui unissent, ce père et sa fille sont également très bien décrit. On s’attache à ces deux personnages, au lien fusionelle qu’ils ont, ils vivent loin d’une société qui veut les contrôler. Mais cette vie qu’impose Will, à sa fille n’est peut-être qu’un enseignement sur les véritables valeurs sans être obligé de vivre par cette société, qui impose beaucoup trop de choses. Une réalisation au message important, avec un regard sur ce père et sa fille, mais aussi sur la société mais par-dessus tout c’est cette complicité entre le père et sa fille. Très belle complicité retranscrite de la part des comédiens comme Ben Foster, puis la jeune Thomasin McKenzie absolument éblouissante. Leave No Trace est une découverte importante, dans le cinéma indépendant preuve que c’est ce genre de cinéma que l’on doit encourager à être produit.

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La Plage de Danny Boyle

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Sortie 16 février 2000
Durée 1h 59min
Genre Aventure, Thriller
De Danny Boyle
Avec Leonardo DiCaprio, Virginie Ledoyen, Guillaume Canet, Tilda Swinton, Robert Carlyle, Patterson Joseph…
Nationalités Britannique, Américain
Musique Angelo Badalamnti

Léo a la plage

 

Synopsis

Richard, jeune Américain, amateur de sensations inédites a choisi l’Asie comme terrain d’élection, dans l’espoir d’y vivre des aventures fortes et exaltantes. Dans un hôtel miteux de Bangkok boudé par les touristes, il fait la connaissance d’un couple de Francais, Françoise et Etienne. Dans la nuit, un homme au regard halluciné fait irruption dans sa chambre et évoque une île secrète, une plage paradisiaque, où il aurait vécu plusieurs années au sein d’une petite communauté d’esprits libres. Le lendemain, Richard retrouve une carte de l’île et le cadavre de Daffy.

La plage est sans doute le film qui aura fait le plus débat, dans la carrière de Danny Boyle. Un trio de comédiens assez inattendu quand même, avec Leonardo Dicaprio, Guillaume Canet et la charmante Virginie Ledoyen. Un film adapté de l’oeuvre d’Alex Garland, qui travaille beaucoup avec le réalisateur mais qui est aussi réalisateur d’Ex-Machina et Annihilation. La Plage sort trois ans après, Une vie moins ordinaire, ce que l’on pourra tirer de son film c’est qui reste le plus original de sa carrière, mais qui fut aussi le plus critiqué à sa sortie. Le réalisateur de Trainspotting, ne cesse d’étonner avec sa filmographie proposant des genres différents à chaque fois. Puis mettre en scène Leonardo Dicaprio est pour Danny Boyle, une chance inouïe ce dernier ayant brillé quelques années auparavant dans Titanic a toujours la cote. La Plage est pour Danny Boyle, une expérience qui lui a valu des critiques négatives à sa sortie qu’il ne mérite certainement pas, pourtant le film a d’énormes qualités qui font de lui un film unique dans sa carrière mais aussi l’un des meilleurs films de sa carrière, quoi qu’on puisse en dire. Petite anecdote, la plage où fut tourné le film est fermée désormais, jusqu’en 2021 puisque cette dernière fut saccagée par les touristes qui venaient en masse après la sortie du film.

Richard un jeune Américain arrive à Bangkok, sans but précis il s’installe dans un hôtel et fait la rencontre de Daffy un homme étrange. Ce dernier a l’air aussi d’avoir une case en moins, puis il lui parle d’un endroit une plage où il vivait avant avec un sable blanc et si fin et une eau tellement bleue, un vrai coin de paradis d’après ses dires. Mais Richard reste septique, sur ce que raconte ce Daffy. Puis il trouve une lettre le lendemain à sa porte d’hôtel, cette lettre contient une carte. Cette carte qui le conduira à cette plage, il décide d’aller voir Daffy dans sa chambre a côté de la sienne et découvre le corps de ce dernier. Il s’est suicidé en s’ouvrant les veines, pour Richard c’est un signe il doit y aller mais pas tout seul. Il demande à un jeune couple français de l’accompagner Étienne et Françoise, ils acceptent alors de le suivre et la route sera longue car la plage est en Thaïlande, marche et voyage en bus pour le paradis ou l’enfer. Alors qu’ils ne sont plus très loin, afin d’aller sur l’île où se trouve la plage, ils doivent traverser à la nage durant quelques kilomètres. Quand ils arrivent sur l’île ils débarquent dans un champ de cannabis, puis Richard se rend compte que ce champ est gardé par des soldats. Ils se cachent tous les trois afin, de ne pas se faire repérer. Mais ils arriveront sur cette plage, une véritable communauté dirigée par Sal, une femme qui donne sa confiance à Richard et ses amis. Richard et subjugué par cet endroit, la beauté qu’il dégage aussi c’est le paradis Daffy disait vrai. Cet équilibre si parfait, ne durera pas car ce n’est qu’une question de temps car Richard a commis une erreur. On pourrait presque parler de film expérimental en parlant de La plage, tellement ce film possède des choses puis il est loin d’être un simple film. La réalisation de Danny Boyle peut surprendre, car ses idées de mise en scène sont loin d’être mauvaise. Il se risque, tente des choses que peut-être certains n’auraient pas osées. Il y a dans son long-métrage, une mise en scène assumée où tout peut arriver.

Alex Garland est à l’origine du livre, et c’est un collaborateur de Danny Boyle donc il n’eut pas de mal à obtenir les droits. Le livre sortie en 1999, eu son adaptation cinéma l’année d’après. John Hodge est au scénario du film, avec de grandes qualités dans l’écriture. On notera une maîtrise, dans le traitement des personnages comme Richard le personnage principal, qui entraînera avec lui deux touristes français qui sont en couple. La jeune française se nomme Françoise, et Richard a une attirance pour elle, elle aussi en couple avec Étienne ressentira quelque chose pour Richard au fil des jours. La plage est un coin paradisiaque, ou une communauté y vit, ils ont un pacte avec les soldats qui garde le champ de cannabis ils ne doivent ramener personne d’autre. Mais quand Richard fait la copie de la carte à des inconnus, avant de s’y rendre il provoque l’irréparable. Richard accro a cet endroit, va peu à peu sombrer dans une folie où il a pour but d’empêcher les autres de rejoindre l’île. Car jusqu’où nous serions prêts à aller, pour garder un endroit secret? La séquence où l’on voit Richard, comme dans un jeu vidéo prouve un peu plus la folie dans laquelle sombre Richard. L’écriture prend son temps, avant d’arriver à la plage car on n’y voit Richard, Françoise et Étienne entreprendre le voyage pour s’y rendre et on découvre les galères qu’ils rencontrent. Tout ce que désire Sal, qui dirige la communauté c’est préserver ce mode de vie. Le rêve de tous, se rendre sur un endroit si paradisiaque on y voit d’ailleurs que ce rêve est atteint, mais qu’il faut en profiter car les rêves ne sont pas éternels. On ne peut aussi oublier cette bande originale, ou Moby, All Saints, Underworld ou encore Unkle sont agréable a l’écoute et des thèmes signer Angelo Badalamenti rien que ça! Leonardo Dicaprio brille dans son rôle, Virginie Ledoyen est magnifique et Guillaume Canet est très bon. Robert Carlyle aussi est à l’affiche, ainsi que Tilda Swinton. La plage est un film brillant, pas sans défaut mais qui possède des qualités indéniables où Danny Boyle livre une mise en scène unique en son genre.

 

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[Sortie Blu-ray] Le Mans 66 de James Mangold

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Synopsis

Basé sur une histoire vraie, Le Mans 66 relate l’incroyable aventure humaine et sportive qui a conduit l’ingénieur automobile visionnaire américain Caroll Shelby à faire équipe avec le pilote de course britannique surdoué Ken Miles. Bravant l’ordre établi, défiant les lois de la physique et luttant contre leurs propres démons, les deux hommes n’avaient qu’un seul but : construire pour le compte de Ford Motor Company un bolide révolutionnaire capable de renverser la suprématie de l’écurie d’Enzo Ferrari sur le mythique circuit des 24 heures du Mans en 1966…

Description du produit
Contient :
– l’Ultra HD Blu-ray 4K du film (en HDR10+ et HDR10)
– le Blu-ray du film + les bonus

Détails du produit

Acteurs : Matt Damon, Christian Bale, Jon Bernthal, Caitriona Balfe, Tracy Letts
Réalisateurs : James Mangold
Audio : Français (DTS 5.1), Anglais
Audio description : Anglais
Sous-titres : Français
Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
Région : Région B/2 (Plus d’informations sur les formats DVD/Blu-ray.)
Nombre de disques : 2
Studio : 20th Century Fox
Date de sortie du DVD : 18 mars 2020
Durée : 152 minutes

Bonus du Blu-ray :

Près d’une heure de bonus exclusifs :
Faire revivre la rivalité (VOST)

 

Critique Le Mans 66 

Spider-Man 3 de Sam Raimi

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Sortie 1er mai 2007
Durée 2h 19min
Genre Fantastique, Action
De Sam Raimi
Avec Tobey Maguire, Kirsten Dunst, James Franco, Topher Grace, Thomas Haden Church, Bryce Dallas Howard, James Comwell…
Nationalité Américain
Musique Christopher Young

 

Peter du côté obscure

 

Synopsis

Peter Parker a enfin réussi à concilier son amour pour Mary-Jane et ses devoirs de super-héros. Mais l’horizon s’obscurcit. La brutale mutation de son costume, qui devient noir, décuple ses pouvoirs et transforme également sa personnalité pour laisser ressortir l’aspect sombre et vengeur que Peter s’efforce de contrôler.
Sous l’influence de son costume, Peter devient trop sûr de lui et commence à négliger ses proches. Contraint de choisir entre le pouvoir si séduisant de ce nouveau costume et la compassion qui le caractérisait avant, Peter va faire face à ses démons lorsqu’il affrontera deux des pires méchants de l’histoire, l’Homme-sable et Vénom, dont l’extraordinaire puissance et la soif de vengeance menacent Peter et tous ceux qui lui sont chers.

Treize ans déjà que ce dernier volet de la trilogie Spider-Man est sortie, pour clôturer tout ça c’est une fois de plus Sam Raimi qui s’y remet. Après le succès du deuxième volet, il sera difficile de faire mieux, en effet ce troisième film n’eut pas le même succès que son prédécesseur. Il fut énormément critiqué, pour des raisons diverses mais pourtant il n’est pas si mauvais. Trois super-vilains, dans ce dernier volet dont un Venom rajouté, a la dernière minute. Car c’est la production qui a voulu rajouter, le vilain, Sam Raimi n’était pas vraiment pour qu’il apparaisse. Si bien qu’il le dit lui-même que ce personnage n’est pas Venom, mais pourtant ça l’est bien. D’ailleurs Venom est bien l’un des problèmes de ce film pour beaucoup, son développement mais aussi son design son remis en cause. C’est aussi son interprète Topher Grace, loin d’être un mauvais comédien et peu bankable, il n’avait pas la carrure pour un tel rôle. Surtout quand l’on sait que Venom, reste quand même l’un des plus grands méchants qu’à du affronter l’homme araignée. Cependant ce dernier opus, n’est pas si catastrophique comme on l’entend beaucoup il y a même de très bonnes choses.

 

Peter Parker est le plus heureux des hommes, il est en couple avec Mary-Jane Watson, jusqu’à ce que son meilleur ami Harry désormais le nouveau bouffon vert décide de l’éliminer car il tient Peter pour responsable de la mort de son père. Un combat s’engage entre les deux amis, lors de leur confrontation Harry fait une lourde chute il se réveille à l’hôpital et a de toute évidence perdu la mémoire. Il ne se souvient pas de s’être battu, avec Peter et a même oublié être en froid avec lui. Pour Peter c’est l’occasion de bâtir, à nouveau leur amitié. Pour Marie-Jane sa carrière ne fonctionne pas tellement, pour son dernier spectacle ils ont changé d’actrice. Quand elle parle de ses soucis à Peter, ce dernier revient toujours sur Spider-Man et la gloire qu’il connaît auprès des New-Yorkais. Marie-Jane supporte de plus en plus mal l’égoïsme, de Peter. Lors d’une balade auparavant, Peter a embarqué avec lui un symbiote, qui n’est autre qu’une substance extraterrestre cette dernière entre en contact avec son costume lui faisant subir une mutation et il devient noir. Cette mutation change le comportement de Peter, et devient quelqu’un de différent et devient même agressive. Il apprend alors que Flint Marko, est le responsable de la mort de son Oncle. Ce dernier est devenu l’homme-sable, à cause d’un accident, Peter décide de l’éliminer afin d’obtenir vengeance. Sam Raimi signe une mise en scène, pleine de virtuosité avec toujours autant de passion et cela se remarque. Même si pour le réalisateur, le tournage ne fut pas si facile à cause d’une production assez compliquée. Mettre en scène trois vilains, n’était pas forcément quelque chose de simple, surtout que Venom n’était pas prévu au départ et que Raimi a dû l’introduire. Cependant le plaisir est toujours là, et Sam Raimi nous en met encore pleins les yeux.

 

Le scénario de ce troisième opus, peut paraître parfois bancal, puis on notera le peu de présence de Venom ce qui prouve que ce dernier a était rajouté a la dernière minute. Donc un développement trop peu exploité, mais comme le symbiote était la cause de la mutation du costume de Peter la production a jugé bon, d’intégrer Venom. On aurait voulu un traitement plus travaillait sur Éddie Brock/Venom, qui est quand même un personnage qui méritait beaucoup plus de développement. On notera aussi que le traitement sur l’homme sable, est assez expéditif. La façon dont agit le symbiote sur Peter, est plutôt bien utiliser mais peu exploité hélas. L’amitié entre Peter et Harry, est au coeur du récit comme les précédents volets. Une amitié qui s’est bien entendue dégrader, car Harry tient Peter comme responsable de la mort de son père, Harry devra prendre une décision soit rompre son amitié avec Peter où lui pardonner et ainsi écouter la vérité comme quoi Peter n’est en aucun cas responsable. Pour en revenir à Venom, son design n’est pas si mal que ça, en tout cas plus réussi que le dernier avec Tom Hardy. Car même s’il manque de développement, il a quand même de la gueule même quand Éddie se transforme c’est plutôt réussi. Le développement de Peter, et aussi bien maîtrisée même si quelquefois des passages ridicules aurait pu être évité. Le scénario est d‘Alvin Sergent, Ivan Raimi et aussi Sam Raimi, car il eut quand même son mot à dire sur l’écriture même s’il n’était pas d’accord sur tout. Tobey Maguire reprend son rôle, de Peter Parker/Spider-Man, Kirsten Dunst interprète toujours Mary Jane et James Franco joue toujours Harry. Pour le rôle de Venom/Éddie Brock, il s’agit de Topher Grace il n’est certes pas mauvais mais il n’était pas le bon choix pour être Venom, un rôle important mais en plus trop peu présent. Thomas Hayden Church est convaincant en homme sable, et les scènes sont impressionnantes. Toujours visuellement spectaculaire, Sam Raimi maîtrise toujours sa franchise, où seul son scénario fait parfois défaut mais il n’en est pas vraiment fautif.

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Tales From The Loop: Une grande Série

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Depuis 2020
Format 50min
Genre Drame, Science fiction
De Nathaniel Halpern
Avec Rebecca Hall, Paul Schneider, Daniel Zolghadri, Duncan Joiner, Jontahan Pryce…
Nationalité U.S.A.
Musique Phlipp Glass

 

 

Synopsis

Un petit village se trouve à proximité d’une machine nommée « The Loop » (« La Boucle »), dont la fonction est d’explorer les plus grands mystères de l’univers. Un récit fantastique, profond et poignant sur la condition humaine…

Basé sur les peintures de l’artiste suédois Simon Stålenhag.

Une série originale Amazon vient de débarquer, on peut dire que cette série est une sacrée surprise. Elle ne comporte que huit épisodes, cette saison sera sans doute la seule vue comment cela se termine. Tales from The Loop, est une série qui s’inspire d’un auteur Suédois Simon Stålenhag, mais s’inspire également d’un jeu de rôles de Nils Hintze, Matt Forbeck, Tomas Härenstam, Björn Hellqvist et Nils Karlén. Amazon a lancé la production de cette série en 2018, et la série se voit attitré des noms assez connus comme le dernier épisode réalisé par Jodie Foster. À la production Matt Reeves, ou encore Mark Romanek (Never let me go) qui officie en tant que scénariste et réalisateur. Important de signaler, qu’a la musique on n’y entend Philip Glass. Cette série en tout cas, a de grandes chances d’être la série de l’année et elle le mérite.

La petite Loretta, vit avec sa mère Alma dans une ville, Juste a côté de l’entreprise où elle travaille où des grandes tours s’élèvent. À l’intérieur de cette entreprise, se trouve une machine « The loop » la boucle, qui a pour but de résoudre les grands mystères de l’univers. Un jour en revenant de l’école, sa tante a disparu ainsi que sa maison elle trouve à la place un mystérieux objet. Puis elle fait la rencontre d’un petit garçon Cole, qui va l’aider à chercher sa mère. Dès le premier épisode, on est surpris par les rebondissements. Cette ville regorge de mystères, des choses cachées qui nous dépasse. Comme Danny et Jakob qui trouve dans les bois, une étrange coque en métal qui en entrant dedans fait un échange de corps, ce qui provoquera des répercussions irréversibles. Puis une ado amoureuse fabrique un appareil, capable de stopper le temps. Chaque épisode s’attarde sur un des personnages, qu’on n’a rencontrés dans des épisodes auparavant, même si ce n’est que vaguement pour certains. Les premières minutes de la série sont éblouissantes, il y a une telle maîtrise dans la réalisation. Le rythme est lent, mais c’est cela qui fait le charme de la série. La mise en scène livre de la poésie, mais aussi de la tendresse c’est une série de science-fiction qui parmi tous ces mystères surprend, mais arrive aussi à émouvoir.

On pourra être surpris aussi par le scénario de cette série avec tellement d’idées, mais également un traitement des personnages très travaillé. Nathaniel Halpern et Mark Romanek, font partie des scénaristes en autres qui participe à l’écriture du scénario. Des thèmes importants y sont abordés comme le deuil, l’amour, deux des thèmes les plus importants qu’aborde la série. Mais l’écriture regorge aussi de grands mystères, dont tout sera révélé au fur et à mesure. On s’attache aux personnages, qui sont très bien développés. Le scénario est très original et possède de très bonnes idées, ou chaque épisode est passionnant. Pas de lutte du bien contre le mal, juste des personnages qui font des choix de vies. On notera les compositions magnifiques, du compositeur Philip Glass. À noter au casting la ravissante Rebecca Hall, dans le rôle de Loretta, Paul Schneider joue George le mari de Loretta. Jonathan Pryce le père de George est aussi le créateur, de cette entreprise. Disposant d’une réalisation soignée, Tales From The Loop est une grande série de qualité, proposant tellement de choses qu’on ne peut que devenir accro.

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