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Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

I Care A Lot de J. Blakeson

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Sortie 18 février 2021 sur Netflix
Durée 1h 58min
Genre Thriller, Comédie
De J Blakeson
Avec Rosamund Pike, Eiza Gonzalez, Dianne Wiest, Peter Dinklage, Chris Messina, Macon Blair, Alicia Witt…
Nationalité Américain
Musique Marc Canham

 

Une tutrice et un mafieux

 

 

Synopsis

Marla Grayson est une tutrice réputée spécialisée auprès d’individus âgés et riches. Aux dépens de ces derniers, elle mène une vie de luxe. Mais sa prochaine victime s’avère avoir de dangereux secrets. Marla va devoir utiliser son esprit et sa ruse si elle souhaite rester en vie…

Le réalisateur J. Blakeson signe son troisième film, si vous ne connaissez pas le réalisateur c’est lui qui a signé le film La 5éme vague, au passage très mauvais film. En tout, le réalisateur dans sa nouvelle réalisation relève le niveau, a l’affiche Rosamund Pike absolument détestable. La comédienne aime d’ailleurs être détestable, il suffit de voir Gone Girl de David Fincher pour s’en rendre compte. A Care i Lot, part d’un sujet vraiment intéressant ou une femme devient tutrice de personnes âgées, alors que ces derniers sont encore indépendants. Tout est question de manipulation, elle réussit tout ce qu’elle désire. La proposition est vraiment intéressante, et le personnage de Rosamund Pike surprenant. Avec ce film, le réalisateur, prouve qu’il peut faire de très bons films.

 

Marla Grayson est tutrice pour personnes âgées qui sont fortunée, en général. Mais en plus d’être tutrice c’est une manipulatrice, qui arrive à être tutrice de personnes âgées qui en on pas besoin. Grâce à ses capacités de manipulatrice, elle arrive, à être tutrice de qui elle veut et se fait beaucoup d’argent. Elle est chef, dans une agence spécialisé ou les employés son tuteur également, mais Marla est la meilleure de toute. C’est alors qu’elle trouve sa nouvelle futur personne âgée, elle a l’air fortunée et indépendante, et pour Marla ça ne sera qu’une question de temps avant que cette personne âgée finisse en maison de retraite. Elle rencontre tout d’abord le médecin, de la personne âgée qui s’arrange pour que cette dernière soit déclarer inapte à vivre seule. Comme d’habitude, le plan de Marla fonctionne, Jennifer Petersen (la personne âgée) ne comprend pas ce qui se passe, mais n’a pas d’autres choix. Sauf que cette dernière est la mère, d’une sorte de mafieux très influent. Le nom du mafieux : Roman Lunyov, et encore ce n’est pas son vrai nom. Il ne supporte pas que sa mère soit enfermée, et qu’elle était piégé et son but est de faire payé Marla Grayson et pour commencer, il enquête sur elle. Marla ne se doute pas, que la personne âgée porte également un faux nom et que cette fois, elle a mit les pieds dans une affaire ou elle risque la mort. Autant la 5éme vague, n’étais pas intéressant, mais ce dernier l’est bien plus, le genre est bien différent, mais rien qu’en terme de mise en scène, on voit qu’il y a des efforts. Ce n’est pas toujours subtil, car le film n’est pas sans défaut. J. Blakeson reste un débutant, dans le domaine et cela se remarque, mais le film reste intéressant, aussi bien dans la mise en scène que des efforts dans l’écriture.

C’est le réalisateur qui est a l’écriture du scénario, il fait du personnage de Marla Grayson quelqu’un de détestable. C’est d’ailleurs grâce au traitement de ce personnage, si particulier et réussi qu’on la déteste autant. Jamais cette femme ne se remettra en question, sur les méthodes qu’elle utilise pour piéger ces personnes âgées. Elle n’a aucune culpabilité, car c’est son job peut-être, toujours est-il que ça reste injuste. On pense que la mafia, pourra peut-être la faire réfléchir, mais pas forcément, car c’est une femme rusée. C’est une critique sur la société américaine que décrit, le réalisateur et on n’y voit du dégoût à cause de ce personnage qui est Marla Grayson. Rosamund Pike est une fois de plus impressionnante, elle rend son personnage si détestable grâce à son talent d’actrice. Quant à Peter Dinklage, il interprète un mafieux dont sa mère se retrouve sous l’emprise de Marla Grayson. Alicia Witt est aussi a l’affiche, dans le rôle d’un médecin pas très honnête. I Care A Lot reçoit pas mal de mauvaises critiques, de toute part pourtant ça reste un film de chez Netflix, qui s’en sort très bien.

Bande annonce

Mortal de André Øvredal

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Sortie 27 août 2020 en VOD
Durée 1h 40min
Genre Action, Aventure, Fantastique
De André Øvredal
Avec Nat Wolff, Iben Akerlie, Priyanka Bose, Arthur Hakalathi, Ania Nova, Per Egil Aske, Per Frisch…
Nationalités norvégien, américain, britannique

 

A la découverte de soi-même…

 

 

Synopsis

Eric, un jeune américano-norvégien, s’est réfugié, seul, au cœur de la forêt, après avoir causé l’incendie d’une ferme, tuant 5 personnes, puis provoqué la mort accidentelle d’une sixième personne. Arrêté par la police, il rencontre une psychologue, Christine, qui semble pouvoir l’aider. Ensemble, ils découvrent vite qu’Eric a en réalité des pouvoirs surnaturels, qu’il ne maîtrise pas…

Le réalisateur André Øvredal, reviens avec un nouveau long-métrage totalement passé inaperçu et c’est bien dommage. Le réalisateur pourtant n’est pas méconnu, c’est lui qui a réalisé Troll Hunter et le très sympathique Scary Stories dont on attend la suite. Pour Mortal André Øvredal, reviens dans son pays d’origine La Norvège pour son nouveau long-métrage où il dirige le comédien Nat Wolff, comédien américain qu’on a pu voir déjà dans plusieurs productions américaines. Le reste du casting est norvégien, le film s’inspire du mythe de Thor le héros au marteau venu tout droit de Norvège, car non, ce n’est pas Marvel qui l’a inventé. Le personnage principal du film s’appelle Eric, c’est un jeune qui devra apprendre qui il est vraiment et qui apprendra beaucoup sur ses origines. Mortal n’est pas un film de super-héros, car il n’y a rien de super héroïque même si Thor a sa part d’importance concernant le jeune homme. C’est un film avant tout, sur le droit d’exister, d’aimer de se faire accepter par les autres quand on est différent. Pas un grand film, mais un film tout de même important dont il était important de parler.

Un jeune homme Eric erre dans les bois, a la recherche probablement d’une certaine liberté qu’il ne connaîtra jamais, car il est recherché par les autorités. Eric est américano-norvégien, il a causé un incendie dans une ferme causant la mort de cinq personnes. Une ferme qui d’ailleurs semble renfermée ce qu’il est, ses origines et bien plus encore. Eric se décide alors à sortir des bois, et des jeunes en voiture s’arrête à sa rencontre et l’un d’eux le provoque et Eric le tue accidentellement. Eric a des pouvoirs, il brûle quand il en est colère ou contrarié et tout autour de lui peut se transformer en brasier. Aussitôt la mort du jeune homme est signalé, Eric est immédiatement rechercher quand ce dernier est neutralisé la police fait appel à une jeune psychologue. Christine, le psychologue, doit se remettre tout juste de la mort, de l’un de ses patients qui s’est suicidé et dont elle se sent responsable. Quand elle commence avec Eric, il est hors de question pour elle d’échouer. Alors que ce denier doit être conduit aux Etats-Unis par l’ambassade américaine, la jeune psychologue tente de comprendre qui il est. Puis quand ce dernier part en hélico, il doit être endormi à cause de ses pouvoirs, mais il finit par se réveiller et provoque le crash de l’appareil. Tout de suite prévenues, les autorités norvégiennes se mettent à sa recherche, dont la survivante du crash responsable de rapatrier Eric aux Etats-Unis. Eric va a la rencontre de Christine, car elle est la seule en qui le jeune homme a confiance, il trouve auprès d’elle une amie, qui l’aidera a contrôler au mieux ses pouvoirs. André Øvredal livre un film intéressant au final, et pas un simple film sur un jeune homme à la découverte de ses pouvoirs. On pourra de plus retenir des scènes importantes, comme celle sur le pont qui marque un point important dans l’évolution les pouvoirs d’Eric. Car c’est à partir de là, que le jeune homme prendra vraiment conscience de l’importance de ses pouvoirs. La mise en scène d’André Øvredal, est impressionnante, car même si ce n’est pas toujours subtil, le réalisateur arrive à nous tenir en haleine, dans cette réalisation plutôt brillante.

On pourra saluer dans ce long-métrage le traitement des personnages surtout sur Eric et Christine, dont le jeune homme s’attachera vraiment, car il retrouve en elle une amie et le réconfort et pour elle également. Un scénario que l’on doit a André Øvredal, Norman Lesperance et Geoff Bussetil. En plus du traitement des personnages intéressant, on n’y retrouve des thématiques importante comme la rédemption, en ce qui concerne Eric. Il y a aussi, ce dont Eric désire : celui d’aimer ou exister puis connaître ses origines. Il y a d’ailleurs bien des sentiments que ce dernier ressent envers Christine, ou c’est intéressant, c’est qu’Eric est un descendant de Thor, on le voit par les éclairs (la scène sur le pont) par exemple. On y parle d’Asgard, et de tout ce qui est en rapport avec Thor. On verra même le célèbre marteau, l’un des éléments les plus importants du mythe. Nat Wolff livre une prestation vraiment appréciable, il campe un personnage mystérieux à la recherche de ce qu’il est. On notera aussi la prestation de la charmante Iben Akerlie, elle forme un duo attachant avec Nat Wolff. Avec Mortal, André Øvredal signe une œuvre aux thématiques intéressantes, ou la fin du film se transforme en drame inattendu ou l’on découvre une fois de plus que l’homme ne cesse de commettre des erreurs.

Bande annonce

En mars sur Netflix

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Une série animée Pacific Rim débarque ce mois-ci, il y aura aussi la troisième saison de Paradise Police. Du côté des ajouts de films, il y a des nouveautés intéressantes comme Call me be your name, ou même les affranchis. Qu’allez vous choisir.

 

 

Séries

Pacific Rim : The Black – 4 mars
Sky Rojo – 13 mars
Formula 1 : Pilote de leur destin – 19 mars
Les irréguliers de Baker Street – 26 mars
Paradise Police (partie 3) – 12 mars
The One – 12 mars
Soupçons, les dessous de l’affaire Wesphael – 17 mars
Qui a tué Sara ? – 24 mars
Love Alarm (saison 2) – 12 mars
Gaufrette et Mochi – 16 mars
La Country-Sitter – 19 mars
Alien TV (saison 2) – 19 mars
Hansel et Gretel, agents secrets – 25 mars
L’attaque des titans (saison 3 partie 1) – 1er mars
Kingdom (saison 2) – 1er mars
Chappelle’s Show (saison 1 et 2) – 1er mars
B: The Beginning (saison 2) – 18 mars
Dota : Dragon’s Blood – 25 mars

Films

Moxie– 3 mars
Sentinelle – 5 mars
Yes Day – 12 mars
Bad Trip – 26 mars
The Ying Yang Master – bientôt
Dogwashers – 5 mars
Des vies froissées – 12 mars
Cabras de Peste – 18 mars
Un petit problème – 19 mars
Notre été – 25 mars
A week away – 26 mars
Les affranchis – 1 er mars
Call me by your name – 4 mars
Coup de torchon – 1 mars
La vie et rien d’autre – 1 mars
The Stepford Wives – 1 mars
Jour J – 1 mars

Documentaires

Last chance U : Basketball – 10 mars
Biggie : i got a story to tell – 1er mars
Varsity Blues : le scandale des admissions universitaires – 17 mars
Trahison chez les Mormons : le faussaire assassin – 3 mars
Nevenka Fernandez brise le silence – 5 mars
Sespiracy : la pêche en question – 24 mars

Traque à Boston de Peter Berg

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Dank der koordinierten Arbeit von FBI, Bostons Polizei und zahlreichen Hinweisen aus der Bevölerkung gelingt es Sgt. Tommy Saunders (Mark Wahlberg) und seinen Kollegen, die Spur der Täter aufzunehmen.

Sortie 8 mars 2017
Durée 2h 09min
Genre Drame, Thriller
De Peter Berg
Avec Mark Wahlberg, Kevin Bacon, John Goodman, J.K Simmons, Michelle Monaghan, Jake Picking, Jimmy O.Yang, Alex Wolff…
Nationalité américain
Musique Trent Reznor & Atticus Ross

 

Ce-jour là le 15 avril 2013

 

 

Synopsis

Interdit aux moins de 12 ans
Alors que la ville de Boston est sous le choc de multiples explosions, le sergent de police Tommy Saunders rejoint les enquêteurs sur le terrain dans une course contre la montre pour traquer et arrêter les auteurs avant qu’ils ne frappent à nouveau. Croisant les parcours de l’agent spécial Richard Deslauriers, du commissaire Ed Davis, du sergent Jeffrey Pugliese et de l’infirmière Carol Saunders, ce récit sans concession évoque la chasse à l’homme la plus complexe jamais mise en œuvre par la police américaine – et rend un vibrant hommage aux héros du quotidien.

Peter Berg signe avec Traque à Boston son meilleur film, et cela, sans aucune hésitation. Le réalisateur a pourtant signé des œuvres assez marquante comme du sang et des larmes, le royaume ou encore Friday night light. Mais ces dernières années, on va dire que le réalisateur signe des films nettement moins intéressant comme 22 miles ou encore Spenser Confidential son dernier film pour Netflix. Quel dommage, car ce réalisateur a vraiment du potentiel, mais ne l’exploite pas toujours comme il faut. Le réalisateur et Mark Wahlberg, c’est une grande histoire d’amitié, il dirige le comédien depuis de nombreuses années et ce n’est pas près de finir. Dans traque à Boston, c’est donc Mark Wahlberg qu’il dirige dans le rôle d’un policier face à un attentat lors du marathon de Boston. Le film s’inspire des attentats de Boston, survenu le 15 avril 2013 un drame extrêmement marquant. Le meilleur film de Peter Berg, pour plusieurs raisons, ou il ici, il prouve vraiment le talent qu’il possède et l’exploite comme il faut.

L’agent Tommy Saunders travail pour la police de Boston, et ses méthodes lui ont valu une suspension mais malgré ça il continue à travailler. Après l’arrestation d’un homme, son chef le met sous la surveillance du marathon de Boston et doit ainsi assurer la sécurité. Le marathon de Boston est chaque année un événement suivi par des millions d’habitants, de la ville et les participants sont nombreux. Ceux qui y assistent sont également très nombreux, mais ce jour-là, deux bombes explosent provoquant un énorme mouvement de panique. Il y aura des blessés mais aussi des morts, le film suit donc ce policier face a ce drame et qui tente de secourir les personnes, Peter Berg tente de rendre le tout le plus réaliste possible ou sans doute des images ont étaient prises a des vidéos amateur. Car la scène de l’attentat est assez terrifiante, il y a les hurlements des gens effrayé et blessé et puis Saunders aide, mais reste terrifié sans trop comprendre ce qui vient de se produire. Il passe des heures au cœur du drame, ou des spectateurs on perdu des jambes lors du drame, ou même un pied, il y a aussi des visages en sang. La scène ou Saunders rentre chez lui, et se met pleuré dans les bras de sa femme en lui disant que ces images le hante, et que jamais il n’oubliera est poignante.

 

Le film suit aussi les terroristes, et donc ainsi les actes qu’ils commettent, on les voit déposer les sacs contenant les explosifs, mais aussi, on les voit aussi préparer leur plan. Quelques heures après les attentats, l’agent du FBI Richard DesLauriers débarque avec ses hommes, ainsi que le gouverneur. Un bâtiment de la ville est choisi, afin de commencer rapidement l’enquête et traquer les terroristes. Peter Berg nous conduit également auprès des victimes, ou un couple se voit amputer une jambe. On voit aussi ce père de famille, qui avait était séparé de son fils lors du drame. Des personnages qu’on avait vus, avant les attentats et découvert grâce à des séquences. On suivra aussi la fuite des deux terroristes, qui commettent des crimes afin d’arriver à fuir jusqu’à tuer un policier. Les deux terroristes ont une cible suivante : un attentat a New-York, et donc il est urgent de les stopper. L’enquête est très captivante, grâce à une mise en scène extrêmement maîtrisée d’une main de maître de Peter Berg.

Ce que l’on pourra retenir de Traque à Boston, c’est aussi son écriture ou les scénaristes ne s’attarde pas que sur les policiers tout le monde est concernés. Peter Berg, Matt Cook et Joshua Zetumer sont les trois scénaristes du film on suivra les enquêteurs de près, mais aussi les victimes après l’attentat ou ces derniers sont hospitalisés. On suivra également les terroristes, et leur fuite ou ces derniers ont le projet de commettre une autre attaque a New-York, et ils doivent être stoppés à tout prix. Tommy Saunders est le personnage principal, c’est un policier dont ce jour le hantera jusqu’à la fin de ses jours, et les scénaristes décrivent très bien le traumatisme que le sergent ressent. Déterminé à stoppé les terroristes, Tommy rejoindra l’équipe des enquêteurs ou son aide sera précieuse. Quand le récit se rapproche du point de vue des terroristes, c’est extrêmement intéressant, on voit toute leur intention et leur état psychologique. Le film, bien évidemment, rend hommage, a ses héros qui ont neutraliser les terroristes, mais aussi aux victimes.

Le réalisateur Peter Berg, adapte souvent des histoires vraies, ou fait réels dans ses long-métrages comme du sang et des larmes, ou bien Deepwater et pour Traque à Boston, c’est bien le réalisateur qu’il fallait. Son approche réaliste dans le long-métrage, a vraiment quelque chose de tétanisant. Ce jour-là, ce n’est pas une bombe, mais deux qui explosèrent. La toute du fin du film, nous montera les réelles personnes qui furent confronté a l’attaque terroriste, les victimes puis les héros. Mark Wahlberg, l’acteur fétiche de Peter Berg, tient le rôle principal celui de Tommy Saunders le policier. En plus de Wahlberg, le film possède un sacré casting : Kevin Bacon qui tient le rôle de Richard DesLauriers l’agent du FBI. Mais aussi à l’affiche John Goodman, J.K Simmons qui joue le sergent Jeffrey Puglies, qui s’est retrouvé dans une attaque en pleine rue. Des prestations vraiment appréciable, ou chaque comédien est vraiment investi et c’est important dans ce film, et ce, dont il traite. Même si ce n’est pas un sans-faute, Peter Berg signe tout de même son meilleur film.

Bande annonce

Jeunesse Sauvage de Frédéric Carpentier

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Sortie 22 juin 2020
Durée 1h 20min
Genre Drame
De Frédéric Carpentier
Avec Pablo Cobo, Darren Muselet, Léone François, Jerôme Bideau, Abdelkader Bouallaga, Sandor Funtek, Nacime Uhlman, Antoine Piccarreta…
Nationalités français, belge
Musique Pablo Pico

 

Synopsis

Raphaël, le chef d’une bande de jeunes voleurs de rues, voit son autorité menacée par Kevin, son fidèle lieutenant. Pour garder le pouvoir, il doit affronter la trahison et un univers de plus en plus violent, où les armes remplacent les poings.

L’Avis d’Orel

Premier film du cinéaste Frédéric Carpentier? ou l’intrigue se déroule dans le sud de la France. Raphaël est un jeune délinquant, qui dirige une bande c’est un petit gang. Leur vie se résume à voler, les gens dans la rue pick-pocket ou vole à la tir. Certaine fois la bande se retrouve en confrontation avec des bandes rivales, ce qui provoque des bagarres entre eux. Pour son premier film Frédéric Carpentier prouve que le cinéma français, n’a pas fini de nous surprendre dans pas mal de genre. Jeunesse Sauvage parle de jeunes sans attache, ou l’absence des parents les pousse à être dans la rue et commettre des crimes. Le film n’est certes pas parfait, surtout qu’il s’agit d’un premier film mais il dispose de nombreuses qualités.

Raphaël est un jeune délinquant, il dirige une petite bande ou il leur apprend à commettre des vols. Le film débute sur l’apprentissage de l’art du pick-pocket, où Raphaël leur apprend toutes les ficelles de ce délit. Lui et sa bande commettent des vols en pleine rue, puis Raphaël aussi vol des voitures qu’il livre chez un revendeur. Le père du jeune homme est un SDF, et lui apporte comme il peut l’aide qu’il peut. Sortie chez Rimini Éditions en janvier dernier, Jeunesse Sauvage est plutôt réaliste, quand il aborde son sujet sur une jeunesse délaissée sans aucune attache. Frédéric Carpentier maîtrise sa mise en scène, c’est un film percutant et intéressant.

 

L’Avis de Nicolas

Raphaël est un jeune délinquant à la tête d’un groupe de voleurs dans le sud de la France. Tentant de s’occuper de son père devenu SDF, il aspire à une autre vie.

Ce qui frappe dans ce premier long-métrage de Frédéric Carpentier est la rage qui en découle.
Malgré des approximations et petits défauts liés au fait que ce soit un premier film, Jeunesse Sauvage met en scène une jeunesse sacrifiée qui revient à l’état sauvage.

Ce qui est ici frappant est le fait de voir des jeunes adolescents voler, se battre et tuer. La ville apparaît alors comme une jungle dans laquelle ces jeunes tentent de survivre.
Le cinéaste arrive alors à créer un attachement pour ses personnages en passant par la détresse de leur situation tout en évitant de tomber dans le misérabilisme.

Le film est disponible chez Rimini depuis le 19 janvier 2021 en DVD.

Jeunesse sauvage est un sacré film qui n’est pas dénué de fragilité. Cependant il arrive à traiter avec une certaine justesse de son sujet.

 

 

 

Détails du DVD

Classé : Tous publics
Dimensions du colis : 19.1 x 13.8 x 1.8 cm; 100 grammes
Réalisateur : Frédéric Carpentier
Format : Couleur, Cinémascope, PAL
Durée : 1 heure et 20 minutes
Date de sortie : 19 janvier 2021
Acteurs : Pablo Cobo, Darren Muselet, Léone François-Janssens, Jerome Bidaux, Kader Bouallaga
Langue : Français (Dolby Digital 2.0)
Studio : Rimini Editions

Archive de Gavin Rothery

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Sortie 3 février 2021 en VOD
Durée 1h 49min Genre Science fiction
De Gavin Rothery
Avec Theo James, Stacy Martin, Rhona Mitra,Pter Ferdinando, Toby Jones, Richard Glover, Hans Peterson…
Nationalités Britannique, Hongrois, Américain
Musique Steven Price

 

 

L’amour et les robots…

 

 

Synopsis

George Almore est un roboticien sur le point de faire une découverte capitale. Dans un laboratoire secret, il élabore un robot humanoïde dont le dernier prototype, J3, est presque terminé. Chaque modèle est une réplique de plus en plus avancée de sa femme Jules, décédée lors d’un brutal accident de la route. Porté par son amour pour elle toujours vivace, George a volontairement omis de divulguer le véritable but de ses recherches : créer un clone parfait de son épouse…

On pensait avoir fait le tour sur les films traitant de l’intelligence artificielle, surtout après Ex-Machina d’Alex Garland, car on a pas fait mieux depuis. C’est le réalisateur Gavin Rothery qui avec son tout premier film, traite de ce sujet et il le fait bien. Ce film aurait pu être un plantage, mais ce jeune réalisateur est également le scénariste de son propre film issu d’une petite boîte de production. À l’affiche le comédien Théo James, qui sort son épingle du jeu, ainsi que la jolie Stacy Martin. Il n’est pas toujours évident de faire un faire un film sur l’IA, car il y en a beaucoup dont certains sont ratés. Mais quand un réalisateur comme Gavin Rothery, qui en est à son premier réalise une œuvre comme Archive, on ne peut-être que surpris. Le film n’aura pas connu de sortie dans les salles, mais une sortie VOD qui a eu quand même l’occasion d’être présenté au dernier festival de Gérardmer mais hors compétition. Dans l’ensemble, le film, est plutôt bien reçu, ce n’est guère étonnant quand on voit les qualités nombreuses qu’il a. Le film de plus traite de deux thèmes fort l’amour et le deuil, un film qui en tout cas ne cesse de surprendre.

Au fin fond du Japon dans une forêt, George Almore un roboticien travail dans un laboratoire secret. Il vit dans un complexe gigantesque seul, ou il possède un appartement. Il travaille en secret sur un projet personnel, dans l’entreprise qui l’emploie qui ignore tout de ses activités. George ne s’est jamais vraiment remis de la mort de sa femme, et son nouveau projet consiste à transférer la conscience de sa femme, dans son projet qui n’est autre qu’un robot humanoïde qui ressemblera à sa femme une fois finie. Cette conscience se trouve dans un appareil, dans cet appareil fourni par l’entreprise Archive, qui permet aux veuves ou veuf de communiquer avec leur défunt durant 200 heures. Afin de mener son projet a bien, il a déjà conçu des prototypes le J1 et J2 mais il compte élaborer le parfait clone de sa femme. Le projet J3 est encore plus avancée, et sera la finalité de son projet. Elle ressemble à sa femme, mais ne l’est pas, mais la phase de son projet doit être achevée definitivement, mais est-il prêt a affronter ce qui l’attend ? Avec Archive, on n’est pas surpris par la mise en scène, l’ambiance est surprenante et c’est souvent contemplatif et cela donne beaucoup de charme au film. La photographie de Laurie Rose offre des plans, d’une grande beauté. Archive dans le film est une entreprise, qui stock les consciences des personnes décédées c’est un prolongement de la vie pour ceux qui doivent faire leur deuil. Mais tout ça a une date d’expiration, car ils ont environ 200 heures pour parler au défunt puis passer ce délai ça sera fini. George Almore, transfert la conscience de sa femme de l’archive a son matériel informatique, ce qui est formellement interdit. Gavin Rothery qui travailler dans le domaine du jeu-vidéo, dans le passé réalise ici son premier film inspiré par son expérience cinéma sur Moon au côté de Duncan Jones. Le réalisateur puise ses inspirations dans des films de science-fiction, surtout dans le design du film. Dans Archive on est clairement plus dans un huis-clos, peu de scène en extérieur et quand il y en elle sont très contemplative.

Gavin Rothery a quelques expériences, dans le domaine de la science-fiction, grâce a Moon. Pour Archive, il est également au scénario, l’idée du concept est une trouvaille de Gavin Rothery. Le prolongement de la vie par transfert de conscience où il est possible de parler avec son défunt seulement pour quelques heures. Le film parle du deuil, ici, c’est George qui pour avoir sa femme jusqu’à la fin de ses jours fabrique des robots en plusieurs versions, le modèle J3 est le modèle final qui est le plus proche de sa femme. Ou le film surprend c’est qu’il arrive à nous attacher a ces robots J1 ou J2, qui sont des robots en apparences mais qui ont des sentiments. Le personnage de George est bien écrit, on peut y voir un homme seul et peu sympathique, car la solitude l’a rendu ainsi. Les seules conversations qu’il a sont avec ses robots, et ses travaux lui prennent beaucoup de temps. ARM est l’entreprise pour laquelle il travaille, et Archive veulent engager des poursuites contre eux, car George a transféré la conscience sur son matériel informatique. Durant le film, on aura une courte scène, qui se déroule en ville où on y voit bien le côté futuriste du film, car rappelons que le film se déroule en 2049, et dans cette scène George rencontre un homme étrange qui est un évaluateur de risques. L’écriture nous en apprendra un peu plus sur Jules, la femme de George décédé dans un accident de voiture, il était avec elle et c’est lui qui était au volant. Il se sent coupable, de la mort de cette dernière. L’amour est aussi un des thèmes abordé, dans le film, car la romance est bien amené car George et Jules étaient fou amoureux et ils avaient des projets, et dans le passé, ils avaient parlé des transferts de conscience on le découvre a travers des flash-back. Dans son côté thriller le film est vraiment réussi, surtout sur la fin du film. Le film renvoi parfois, un aspect poétique grâce a ses plans. Il n’y a rien d’inutile, l’univers est parfaitement cohérent avec l’histoire traitée et chaque scène a son importance. Les qualités techniques du film sont indéniables, ça, c’est certain pour en revenir par exemple a la photographie splendide. La caméra offre des plans fixe, ou beaucoup d’émotions y passe.

Il est dommage, voir regrettable que le film de Gavin Rothery, n’est pas connu de sortie en salles au vu de la situation actuelle, car il est rare d’avoir des films indépendants de ce genre. Puis il ne faut pas oublier la musique de Steven Price, qui mélange l’électro et le classique parfaitement. On notera aussi le twist, du film qui arrive a la toute fin et qui donne encore plus de crédit au long-métrage. Théo James que je ne connaissais que très peu, est surprenant dans le rôle de George Almore ingénieur robotique. Stacy Martin joue Jules la défunte femme de George, elle joue J3, mais prête aussi sa voix à J2 puisque c’est une version précédente de Jules. Archive était présenté pour le festival de Gérardmer cette année, il était hors compétition. Gavin Rothery n’est pas prêt de quitter, la science-fiction, car le réalisateur a des projets ambitieux. Cependant, Archive est plus qu’un bon début, pour sa carrière de réalisateur.

Bande annonce

 

Madre de De Rodrigo Sorogoyen

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Sortie 2 juillet 2020
Durée 2h 09min
Genre Drame, Thriller
De Rodrigo Sorogoyen
Avec Marta Nieto, Jules Porier, Alex Brendemühl
Nationalités Espagnol, Français
Musique Olivier Arson

 

Une mère a la mer

Synopsis

Dix ans se sont écoulés depuis que le fils d’Elena, alors âgé de 6 ans, a disparu. Dix ans depuis ce coup de téléphone où seul et perdu sur une plage des Landes, il lui disait qu’il ne trouvait plus son père. Aujourd’hui, Elena y vit et y travaille dans un restaurant de bord de mer. Dévastée depuis ce tragique épisode, sa vie suit son cours tant bien que mal. Jusqu’à ce jour où elle rencontre un adolescent qui lui rappelle furieusement son fils disparu…

Le réalisateur espagnol Rodrigo Sorogoyen, signe avec Madre son quatrième film vous avez peut-être vu ses précédents longs-métrages Que Dios Nos Perdone, puis il eut El Reino en 2018. Puis en 2020 deux ans, après, il sort Madre, adaptation de son propre court-métrage sortie en 2016. Le film se déroule principalement en France dans Les Landes, mais aussi dans le Pays Basque. Marta Nieto est la comédienne principale du film, elle est accompagnée de comédiens français comme le jeune Jules Poirier, ou encore Anne Consigny et Frédéric Pierrot. Madre raconte l’histoire d’une femme, dont son fils de 6 ans, a disparu et dix ans plus tard alors qu’elle vit en France, elle fait la rencontre d’un jeune homme ou elle voit son fils plus grand en lui. Madre est la tentative de la reconstruction d’une femme, qui ne s’est jamais remise de la disparition de son fils, et ce jeune garçon sur la plage lui fait penser à son fils disparu. C’est avec une caméra intimiste que le réalisateur, nous fait suivre cette femme mal dans sa peau qui n’oubliera jamais ce qui s’est passé il y a déjà 10 ans.

Elena est une mère d’un petit garçon de 6 ans, elle est divorcée et ce jour-là, sa vie va basculer lorsque qu’elle est dans son appartement en Espagne avec sa mère. Son petit garçon est en vacances en France dans les Landes, elle reçoit alors un appel de son garçon qui lui dit que son père est parti et qu’il est seul. Il n’a plus beaucoup de batterie sur son téléphone, il n’aura pas le temps de dire a sa mère où il se trouve exactement. Son père l’a abandonner sur une plage, il se retrouve ainsi livrer a lui-même. Le garçon est seul sur cette plage en pleine nuit, quand il raconte tout a sa mère comme un homme, qui l’observe bizarrement et se met a le suivre et la communication sera couper et a partir de là elle ne reverra jamais et n’entendra plus jamais son fils. Dix années, plus tard, Elena vit à Vieux-Boucau dans les Landes, elle travaille en tant que responsable dans un restaurant sur la plage. Ses journées se résument à travailler dans ce restaurant et à faire de longues balades sur la plage, un jour elle croise un jeune garçon qui est sur la plage et se met a le suivre quand ce dernier rentre chez lui elle l’observe et s’en va. Le lendemain, le jeune garçon vient boire un café où elle travaille, il sait que cette dernière la suivit et elle se sent gênée. Le jeune homme : Jean qui a environ 16 ans, se rapproche d’Elena, elle voit en lui son fils disparu il y a dix ans, tandis que lui voit une figure maternelle et une amie, car les relations avec ses parents sont parfois compliquées. Elena, quant à elle, est en couple avec Jôseba, qui possède une maison dans le Pays Basques, et dans quelques semaines Elena doit quitter son appartement à Vieux-Boucau pour vivre avec lui. Mais elle se rapproche de Jean chaque jour, si bien que les parents de ce dernier se méfient d’elle. Madre est un film poétique, qui dans sa mise en scène est très contemplative on le voit dans beaucoup de plans. La scène d’ouverture du film, dispose d’un plan-séquence, ou Elena est au téléphone avec son garçon une scène bouleversante ou le plan-séquence renforce encore plus l’intensité de cette scène. Il est difficile de voir cette mère impuissante qui assiste par téléphone a la disparition de son enfant. La rencontre avec Jean, cet adolescent lui rappelle son jeune garçon et cette relation dérange Jôseba le compagnon d’Elena, mais aussi les parents de Jean. Comment les proches d’Elena et Jean, pourraient-ils comprendre ce qui les rapproche?

La reconstruction ou le deuil  sont quelque sorte,  les thématiques abordés dans le film. Rodrigo Sorogoyen et Isabel Pena, sont a l’écriture du film, ils y abordent parfaitement bien les thématiques du film et d’une façon très poignante. Le personnage d’Elena dispose d’un traitement intéressant, c’est une mère mal dans sa peau qui tente de se reconstruire, elle voit en Jean son fils plus, mais plus âgé. C’est un rapprochement étrange, qui se passe entre elle et lui. Le compagnon d’Elena n’aime pas le comportement qu’elle a avec Jean, on ne saura jamais ce qu’est devenu le fils d’Elena, on peut en déduire que depuis toutes ces années il est peut-être mort. Pour Elena, elle se sent proche de Jean, comme si c’était son fils. Le réalisateur est proche de ses personnages, avec parfois des courts plan-séquence efficace. La fin du film est aussi bouleversante, et on ne peut rester insensible. Martia Nieto est fabuleuse dans le rôle d’Elena, Jules Poirier est impressionnant dans le rôle de Jean. Anne Consigny et Frédéric Pierrot livrent de très bonnes prestations, dans les rôles des parents de Jean. Madre est sans doute, l’un des films les plus intimiste de 2020 et aussi le plus percutant et émouvant.

 

Bande annonce

Freaky de Christopher Landon

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Sortie Prochainement
Durée 1h 42min
Genre Thriller, Epouvante-horreur, Comédie
De Christopher Landon
Avec Kathryn Newton, Vince Vaughn, Celeste O’Connor, Misha Osherovich, Emily Holder, Nicholas Stargel…
Nationalité Américain
Musique Bear McCreary

 

Dans la peau d’un tueur

 

Synopsis

Millie Kessler, une adolescente de 17 ans, occupée à faire bonne figure dans son très élitiste lycée, Blissfield High, devient la nouvelle cible du Boucher, un tueur en série tristement notoire. Son année de Terminale va alors devenir le cadet de ses soucis.
Lorsque, sous l’effet du poignard antique du Boucher ils se réveillent dans le corps de l’autre, Millie n’a alors que 24 heures pour retrouver son corps afin de ne pas rester coincée pour le restant de ses jours dans la peau d’un tueur en série d’une cinquantaine d’années. Tâche délicate étant donné qu’elle ressemble désormais à une armoire à glace psychopathe, recherché par la police et cible d’une chasse à l’homme locale… alors que le Boucher, lui, dans la peau de la jeune fille, est bien décidé à célébrer un retour en fanfare dans un bain de sang.


Bon il est pas super connu, ce Christopher Landon, mais faut dire qu’il a fait des films quand même plutôt cool. Happy Birthdead les deux volets sont de lui et c’était vraiment sympa, il y a le moins connu Manuel de survie à l’apocalypse zombie, qui était vraiment fun. Puis Freaky est un peu comme Happy Birthdead, on est dans la comédie horrifique avec Vince Vaughn. On retrouve cet humour, présent dans ses deux précédents films, sauf que le pitch est différent ici c’est une fille qui se retrouve dans le corps d’un tueur en série et vice-versa. En tout cas, ça donne envie ça peut donner quelque chose de bien, et bonne nouvelle ça l’est. Revoir Vince Vaughn, c’est super, puis intéressant de découvrir cette jeune comédienne talentueuse Kathryn Newton qui joue deux personnalités comme Vince Vaughn. Ce n’est certes pas un grand film, mais le délire fonctionne bien.

La légende dit qu’un tueur sévit dans la petite ville de Blissfield High, mais si tout cela n’était pas qu’une simple légende. En tout cas un soir un groupe de jeune sont en soirée, dans une belle demeure, mais ils ignorent que le boucher le célèbre tueur est dans cette maison. Quand il apparaît il, commence à les assassinés en commençant par un jeune homme en lui enfonçant une bouteille de vin dans le gosier, et quand je dis la bouteille, c’est LA bouteille. Puis ensuite, il assassine le reste de la bande, Ie tueur quitte alors les lieux en emportant avec lui une dague mystérieuse. Bien plus tard la jeune Millie Kessler, vit avec sa mère alcoolique qui tente de le cacher depuis la mort de son mari, puis il y a aussi la sœur de Millie qui est policière puis un jour Millie tombe sur le boucher. Ce qui devait être un soir, comme tous les soirs se transforme en cauchemar, la jeune fille est poursuivie par le tueur qui finit par la plaquer au sol et lui enfonce la dague dans l’épaule. Sa sœur fait fuir le tueur, mais il est déjà trop tard, a minuit son esprit ira dans le corps du tueur et vise versa. C’est au matin qu’ils se rendront compte chacun de cet échange, le boucher dans le corps de la jeune fille va continuer a commettre des meurtres sur l’un des professeurs de Millie. Tandis que Millie, dans le corps du boucher va devoir persuadé ses amis que c’est bien elle. Millie qui était une jeune fille dont on se moquait, le boucher va lui donner une autre image. La mise en scène de Christopher Landon est amusante, les meurtres sont commis de façon invraisemblable, que parfois, c’est vraiment comique, c’est le but en même temps. Le film est gore, pour en mettre plein la vue aux amateurs. Car ce film est un hommage au slasher, on le remarquera par le masque du tueur qui ressemble à celui de Jason dans vendredi 13. Les scènes de meurtres, sont aussi parfois des hommages à ces films.

 

À l’écriture Christopher Landon le réalisateur et Michael Kennedy, qui ont du s’amuser car on part dans du grand n’importe quoi quelque fois. Cependant, le traitement des personnages est appliqué, il faut le reconnaître, car Millie est une jeune fille timide et on se moque assez facilement d’elle au lycée. Elle aussi du mal a surmonter la mort de son père, sa mère qui boit en cachette n’aide pas tout ça. La sœur de Millie, est policière elle en veut à sa mère de boire. On n’en saura peu sur le boucher, car c’est surtout sur Millie que les scénaristes s’intéressent. On ressent dans cette écriture, qu’ils ont voulu rendre hommage aux slashers et ça fonctionne bien. Il y a cependant des choses qui ne colle pas, car des meurtres son commis dans le lycée et personne ne les voit ou ne donne l’alerte comme si cela n’avait jamais eu lieu. Vince Vaughn en tueur est dans la peau d’une adolescente, c’est hilarant, puis la jeune Kathryn Newton joue bien la psychopathe. Freaky est la petite comédie horrifique, qui fait du bien en ces temps morose.

Bande annonce

Zack Snyder’s Justice League | Bande annonce Officielle | HBO Max

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Titre original Zack Snyder’s Justice League – États-Unis Sur HBO Max (2021)
Genre Super-héros , DC Comics , Superman , Batman
Avec Ben Affleck , Henry Cavill , Gal Gadot , Ezra Miller , Jason Momoa , Ray Fisher , Jeremy Irons , Ciarán Hinds , Ray Porter , Peter Guinness
Créé par Zack Snyder , Chris Terrio
Réalisé par Zack Snyder
Produit parnCharles Roven , Wesley Coller , Jim Rowe , Curt Kanemot

 

 

 

Synopsis

Quelque temps après la mort de Superman, Batman et Wonder Woman commencent à recruter de nouveaux héros surhumains pour faire face à la prochaine menace. Parmi eux, Flash, Aquaman et Cyborg. Réunis tous les cinq, ils forment la Justice League pour protéger le monde des assauts de Steppenwolf, envoyé par le terrible Darkseid, et accompagné de son armée de Parademons. Ces derniers recherchent trois mystérieuses boîtes contenant de grands pouvoirs.

Un premier teaser pour Old de M.Night Shyamalan

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(from left) Prisca (Vicky Krieps), Maddox (Thomasin McKenzie), Guy (Gael García Bernal) and Trent (Luca Faustino Rodriguez) in Old, written and directed by M. Night Shyamalan.

Sortie 21 juillet 2021
Genre Thriller, Epouvante-horreur, Fantastique
De M. Night Shyamalan
Avec Gael García Bernal, Vicky Krieps, Rufus Sewell
Nationalité Américain

 

Synopsis

Adaptation de Château de Sable de Pierre Oscar Levy et Frederik Peeters.

En vacances dans les tropiques, une famille s’arrête pour quelques heures sur un atoll isolé où ils découvrent avec effroi que leur vieillissement y est drastiquement accéléré et que leur vie entière va se retrouver réduite à cette ultime journée.