Home Auteurs Publication de Orel

Orel

Orel
2662 PUBLICATION 17 COMMENTAIRES
Orel Durden (Créateur du site ,rédacteur en chef) Passionné ,cinéphile ,cinévore depuis petit ma passion pour le cinéma est immense mon réalisateur favori Steven Spielberg mon film culte de sa filmo E.T je ne m’en lasse pas ainsi que Jaws .Mon film culte préféré Fight Club de Fincher mon deuxuième réalisateur favori ,dont Zodiac s’ajoute a mes favoris de sa filmographie .Les films comme Alien de Ridley Scott ,Elephant de Gus Van Sant ,Into the Wild de Sean Penn ou encore Requiem for a dream de Aronofsky sont les oeuvres auquel je ne me lasse pas .Sinon si je devais ,dire deux film de Hitchcock ça serait « Psychose »et « les oiseaux » tout simplement des chef d’oeuvres .J’espère que ce site vous satisfait ,merci a vous et vive le cinéma .

Jumbo: Bande annonce du film de Zoé Wittock

0

Sortie 1 juillet 2020
Durée 1h 33min
Genre Drame
De Zoé Wittock
Avec Noémie Merlant, Emmanuelle Bercot, Bastien Bouillon
Nationalités Belge, Français, Luxembourgeois

Synopsis

Jeanne, une jeune femme timide, travaille comme gardienne de nuit dans un parc d’attraction. Elle vit une relation fusionnelle avec sa mère, l’extravertie Margarette. Alors qu’aucun homme n’arrive à trouver sa place au sein du duo que tout oppose, Jeanne développe d’étranges sentiments envers Jumbo, l’attraction phare du parc.

Ava une bande annonce pour le film avec Jessica Chastain

0

Date de sortie Non communiquée Prochainement
Titre original Ava
Réalisé par Tate Taylor
Avec Jessica Chastain, John Malkovich, Common, Geena Davis, Colin Farrell, Ioan Gruffudd, Joan Chen, Jess Weixler, Diana Silvers, Falk Hentschel
Genre Drame, Action, Thriller, Crime, Mystère
Nationalité États-Unis

 

 

 

Synopsis

Une femme assasin du nom de Eve travaille pour une importante organisation secrète. Elle parcourt le monde. Une de ses missions se passe mal, elle va être contrainte de lutter pour sa propre survie.

Les Sorties cinéma de la semaine

0

Petite semaine, peu de sorties mais c’est tout juste la reprise donc c’est normal. Cependant The Hunt, The invisible man ou encore Vivarium on droit a une nouvelle sortie, car peu d’exploitation en salle a cause du covid-19. Une occasion pour découvrir, ou bien redécouvrir ces films. La semaine prochaine, un peu plus de sorties mais ça reste calme. Bonne semaine quand même…

 

Midnight Runner
24 juin 2020 / 1h 32min / Biopic, Drame
De Hannes Baumgartner
Avec Max Hubacher, Annina Euling, Sylvie Rohrer
Jonas Widmer est l’un des meilleurs coureurs de fond en Suisse. Sa grande ambition est de courir le marathon aux Jeux Olympiques. En parallèle, il est cuisinier et s’apprête à emménager avec sa petite amie, Simone. Mais cette vie bien normée, Jonas la conduit méticuleusement et au prix d’efforts surhumains pour ne pas céder aux pulsions meurtrières qui l’envahissent. Incapable d’exprimer sa souffrance émotionnelle, la vie de Jonas se transforme progressivement en un parcours d’endurance pour ne pas sombrer.

Voyage en Kabylie
24 juin 2020 / 1h 20min / Drame
De Hace Mess, Mathieu Tuffreau
Avec Lamia Zerioul, Dahbia Hammache, Zahir Messaoudène
Zahir, qui vit dans un petit village de Kabylie, découvre à la mort de son père l’existence d’un frère en France, Mathieu. Il l’invite dans son pays où il lui demande de ne rien dire à leur soeur Lamia, qui cherche à en savoir plus.

Parkour(s)
24 juin 2020 / 1h 21min / Comédie dramatique
De Fatma Zohra Zamoum
Avec Adila Bendimered, Nazim Halladja, Houda Hachemi
Un matin, un vendeur à la sauvette, Youcef, une aide cuisinière, Salima, une chanteuse, Sonia se dirigent tous vers une salle de mariage pour le mariage de Kamila et Khaled. Une journée extraordinaire pour tous.

Critique The invisible Man

Critique Vivarium

The King’s Man: Nouvelle bande annonce

0

Sortie 16 septembre 2020
Genre Action, Espionnage
De Matthew Vaughn
Avec Ralph Fiennes, Gemma Arterton, Rhys Ifans
Nationalité Britannique

Synopsis

Lorsque les pires tyrans et génies criminels de l’Histoire se réunissent pour planifier l’élimination de millions d’innocents, un homme se lance dans une course contre la montre pour contrecarrer leurs plans. Découvrez les origines de la toute première agence de renseignement indépendante.

Kick-Ass 2 de Jeff Wadlow

0

Sortie 21 août 2013
Durée 1h 43min
Genre Action, Comédie
De Jeff Wadlow
Avec Aaron Taylor-Johnson, Chloë Grace Moretz, Christopher Mintz-Plasse, Jim Carrey, John Leguizamo, Clarke Duke…
Nationalités Américain, Britannique
Musique Henry Jackman et Matthew Margeson

 

Kick-Ass is back!

Synopsis

Kick-Ass, Hit Girl et Red Mist sont de retour pour le second volet de l’irrévérencieux pastiche de film de super-héros Kick-Ass 2. L’audace insensée de Kick-Ass a inspiré une pléthore de vengeurs masqués autodidactes, le Colonel Stars & Stripes en tête, auxquels notre héros va s’allier pour patrouiller les rues de la ville et assurer la sécurité générale. Mais quand Red Mist, réincarné en Motherfucker, décide de s’attaquer à ces super-héros amateurs, seuls les sabres acérés de Hit Girl sauront les sauver de la destruction.

Bon allons droit au but, Jeff Wadlow n’est pas un très bon réalisateur, mais il est probablement sûr que Kick-Ass 2 est son meilleur film. Car son action ou Vérité c’était franchement mauvais soyons honnête, Lucy Hale est qui plus est une actrice déplorable. Mémoire d’un assassin, pour Netflix n’était pas non plus un film de grande qualité, loin d’être marquant. Kick-Ass était un succès à sa sortie, et faire une suite sans Matthew Vaughn derrière la caméra était un risque. Cependant il reste producteur, une suite franchement réussi où l’on retrouve les ingrédients du premier avec des personnages qui évoluent et des moments forts. Red Mist est donc de retour, et veut sa vengeance sur Kick-Ass, qui a tué son père, et il se nomme maintenant Motherfucker. Il constitue une équipe de vilains, pour éliminer Kick-Ass et ses amis. Ainsi l’humour est présent, avec toujours cette folie qui fait le charme de cette petite franchise, car il n’y aura au final que deux épisodes. Wadlow pose sa caméra, et maîtrise vraiment bien cette suite.

Alors que Hit Girl a fait son entrée au lycée, son intégration est difficile son tuteur qui était un ami de son père veille sur elle. Il découvre alors qu’elle est Hit-Girl, et elle est contrainte de raccrocher. Elle doit se faire des amies, ce qui n’est pas choses faciles pour elle mais elle doit se faire à sa nouvelle vie. Pendant ce temps, Dave découvre qu’il n’est plus le seul super-héros de la ville, même son meilleur ami à intégrer un groupe de super-héros fondé par le Colonel Stars & Stripes. Ce colonel ancien militaire, est assez barge et farfelu. Ces héros seront les alliés de Dave, pour surveiller la ville et sauver les personnes en danger. Red Mist lui n’a pas oublié que Kick-Ass a tué son père, et quand il tue sa mère sans vraiment le vouloir il est le chef désormais il change de nom pour se faire appeler Motherfucker. Son projet et de se faire rejoindre par des super-vilains, pour tuer Kick-Ass et ses proches. L’équipe de ce dernier, s’avère être des adversaires de taille, où les conséquences seront lourdes et même dramatiques. Car même si Motherfucker (Chris D’Amico) n’est pas très intelligent, il a su constituer une équipe redoutable. Mise en scène qui reste dans l’esprit du premier, où l’on remarque parfois que ce n’est plus Matthew Vaughn. Mais ça reste appréciable l’humour a la kick-ass est présent, et le style trash qui fait le charme aussi. Le film livre des rebondissements, où nos personnages seront touchés personnellement. Un peu plus gore, que le premier mais aussi brutal.

Jeff Wadlow est à l’écriture du film, il faudra admettre que ce dernier maîtrise plutôt le scénario surtout sur le traitement de ses personnages. Car en effet ils gardent leur authenticité, qui faisait le charme du premier film. Pour Dave qui devra au début se battre sans Hit-Girl, il sera rejoint par un groupe de super-héros. Il est d’ailleurs important de souligner, que tous ces super-héros ont des blessures en eux ce qui les pousse a protégé la ville où ils seront accusés ensuite d’être un danger pour la ville. Ce groupe permet pour certains, de se reconstruire après une épreuve difficile. L’évolution de Dave aussi a une part importante, dans le film, ainsi que Mindy (Hit-Girl). Les codes du super-héros sont toujours très bien abordé, tout comme le premier ainsi que l’humour décalé qui va avec. Aaron Taylor-Johnson reprend son costume de Kick-Ass, Chloe Grace Moretz en Hit-Girl assure toujours autant. Jim Carrey en Colonel Stars & Stripes est surprenant. Christopher Mintz-Plasse est de retour en méchant, il n’est plus Red Mist mais Motherfucker nom décalé je vous l’accorde. Kick-Ass 2 est une suite honorable, pleine d’idée où nos personnages affrontent un destin qui ne sera pas sans conséquence.

Bande annonce

Psychose de Alfred Hitchcock

0

Date de sortie 2 novembre 1960 (1h 49min)
De Alfred Hitchcock
Avec Anthony Perkins, Janet Leigh, John Gavin, Vera Miles, Martin Balsam, John McIntire, Simon Oakland, Vaughn Taylor …
Genres Thriller, Epouvante-horreur
Nationalité Américain
Musique : Bernard Herrmann

L’une des plus grande référence du cinéma

Synopsis

Marion Crane en a assez de ne pouvoir mener sa vie comme elle l’entend. Son travail ne la passionne plus, son amant ne peut l’épouser car il doit verser une énorme pension alimentaire le laissant sans le sou… Mais un beau jour, son patron lui demande de déposer 40 000 dollars à la banque. La tentation est trop grande, et Marion s’enfuit avec l’argent.
Très vite la panique commence à se faire sentir. Partagée entre l’angoisse de se faire prendre et l’excitation de mener une nouvelle vie, Marion roule vers une destination qu’elle n’atteindra jamais. La pluie est battante, la jeune femme s’arrête près d’un motel, tenu par un sympathique gérant nommé Norman Bates, mais qui doit supporter le caractère possessif de sa mère.
Après un copieux repas avec Norman, Marion prend toutes ses précautions afin de dissimuler l’argent. Pour se délasser de cette journée, elle prend une douche…

Aujourd’hui on revisite un de mes classiques préféré, un film du grand Alfred Hitchcock : je parle bien-sûr de Psychose qui, encore aujourd’hui, inspire des réalisateurs. Le maître du suspense, qui nous avait déjà surpris avec Les Oiseaux ou La mort aux trousses ou encore Fenêtre sur cours, livre ici un film au suspense extraordinaire avec Psychose en mettant en scène Anthony Perkins dans le rôle de l’inquiétant Norman Bates, gérant d’un motel mais aussi un meurtrier qui cache bien son jeu. On retiendra, dès le début du film, son générique inoubliable avec une musique que compose Bernard Herrmann, ce qui met le spectateur rapidement dans l’ambiance. D’ailleurs il y a plein de choses qui font de ce film un grand classique : son protagoniste principal, sa maison angoissante et l’ambiance que le film dégage. Au premier abord Norman paraît être quelqu’un de normal, mais il y a quelque chose qui cloche quand même. Que se passe-t-il au Bate’s Motel ?

Norman Bates vit avec sa mère, enfin c’est ce qu’il dit mais on l’entend sans la voir ou presque. On l’aperçoit devant sa fenêtre quand Marion arrive au Motel. Comme toute personne devrait avoir vu ce film, je vais spoiler je vous avertit. Tout d’abord commençons par le début, car le film débute à Phoenix où Marion Crane est avec son amant dans un hôtel. Marion Crane est le personnage du film qui va tout déclencher. Marion n’aime plus son travail mais un jour, son patron lui confie 40 000$ pour qu’elle les dépose à la banque, mais elle préfère les garder pour elle et fuir la ville pour mener une nouvelle vie. Avec l’angoisse de se faire prendre et l’excitation de mener une nouvelle vie, Marion roule vers l’inconnu et vers une mort certaine lorsque cette dernière fait halte au Bates Motel. Le motel est tenu par le serviable Norman Bates, sa maison sur la colline domine le motel, une demeure inquiétante qui ne rassure pas. Norman y vit avec sa mère qui ne semble pas ravi de l’arrivée de la jeune fille, et Marion peut y entendre la dispute entre la mère et le fils. Norman offre un repas à Marion car les restaurants sont assez loin du motel. Après elle décide de se détendre et de prendre une douche, un moment de détente qui sera de courte durée car derrière le rideau de douche, une silhouette apparaît armée d’un couteau et assassine Marion de plusieurs coups de couteaux. On est à une époque où c’est encore soft : pas d’excès de violence et donc très peu de sang et peu visible en noir et blanc, mais on le devine. De son bureau, avant le meurtre, Norman observait la jeune femme dans sa chambre grâce à une ouverture faite par lui dans le mur pour épier les clients. A Phoenix, les proches de Marion commencent à sérieusement s’inquiéter de la disparition de la jeune femme. La sœur de Marion charge le détective Arbogast d’enquêter sur cette disparition mais le cauchemar ne fait que commencer.

Psychose n’est pas qu’un simple film mais un grand film, une référence dans le genre. La mise en scène d’Alfred Hitchcock est exemplaire et chaque scène est maîtrisée. On retiendra évidemment la scène de la douche, devenue culte dont beaucoup se sont inspirés. C’est d’ailleurs grâce cette scène mythique que Hitchcock eut le statut de maître, un travail qui ne fut pas de tout repos car sept jours de tournage ont été nécessaires pour la scène de la douche, avec 70 prises différentes quand même. Autant de jours pour une scène qui, au final, ne dure que 45 secondes mais bon quelle scène aussi. Certains considère Psychose comme un film d’horreur, mais ce n’en ai pas un pas pour moi. Il s’agit d’un thriller avec une intrigue policière, car il y a toute une enquête sur la disparition de Marion Crane. Pour ce qui est de Norman Bates, il s’agit d’un homme discret qui est aussi un meurtrier minutieux doté d’une double personnalité, cette dernière nous est parfaitement expliquée à la fin du film d’ailleurs. On doit le scénario du film à Joseph Stefano, un jeune scénariste qui, avec Psychose, n’en est qu’à son troisième scénario. Il a donc peu d’expérience mais loin d’être mauvais, au contraire le talent du jeune scénariste est indéniable. Un scénario du livre de Robert Bloch où le jeune scénariste de son talent d’écriture livre une enquête policière sur la recherche de Marion, puis tente de nous cacher que Norman Bates est le tueur, histoire de nous embrouiller. La réaction de Norman lors de la mort de Marion est ambiguë : on aurait pu croire qu’il est innocent mais au moment du meurtre de Marion, il était sa mère et découvre le corps de Marion avec étonnement en tant que Norman. Au casting du film on retrouve Anthony Perkins en Norman Bates, Janet Leigh en Marion Crane, Vera Miles est Lila Crane soeur de Marion ainsi que Martin Balsam dans le rôle d’Arbogast. Aujourd’hui le film reste encore une référence du genre, un modèle de mise en scène et un film qui est juste indémodable.

Bande annonce

The Island de Michael Bay

0

Sortie 17 août 2005
Durée 2h 12min
Genre Science fiction, Action
De Michael Bay
Avec Ewan McGregor, Scarlett Johansson, Djimon Hounsou, Michael Clarke Duncan, Sean Penn, Steve Buscemi…
Nationalité Américain
Musique Steve Jablonsky

Michael Bay et le clonage

Synopsis

D’ici quelques décennies…
Lincoln Six-Echo et sa camarade Jordan Two-Delta font partie des centaines de Produits d’une immense colonie souterraine où la vie est étroitement surveillée et régie par des codes très stricts. Le seul espoir d’échapper à cet univers stérile est d’être sélectionné pour un transfert sur « l’Île ». A en croire les dirigeants de la colonie, l’Île serait le dernier territoire à avoir échappé à la catastrophe écologique qui ravagea notre planète quelques années auparavant et en rendit l’atmosphère à jamais irrespirable…
Lincoln, comme la totalité de ses congénères, a longtemps cru à ce paradis. Mais depuis quelque temps, des cauchemars récurrents troublent ses nuits, et le jeune homme commence à s’interroger sur le sens de sa vie et les restrictions faites à sa liberté.
Poussé par une curiosité tenace, Lincoln découvre bientôt l’atroce vérité…

18438270

18440096

Ce bon vieux Michael Bay, une filmographie contenant beaucoup de mauvais films et pourtant quelques uns s’en sortent plutôt bien… mais oui! Depuis son premier long métrage Rock en 1995, le cinéaste a parcouru du chemin. Il enchaîne beaucoup beaucoup les blockbusters, passant de Bad Boys et sa suite, Armageddon ou encore Pearl Harbor. The Island sortie en 2004, à cette année ,déjà 16 ans ! …comme le temps passe mais cela dit le film n’a pas pris une ride. Qu’est-ce qui fonctionne bien dans ce film de Mr Bay plutôt qu’un autre ? Tout plein de choses: l’action bien évidemment ,mais ça ce n’est pas une surprise, mais des touches d’humour réussi ,voilà un blockbuster qui mérite qu’on parle de lui.

The island 2005 RŽal : Michael Bay Ewan McGregor Collection Christophel

18440090

L’île n’est qu’un mensonge, oui elle n’existe pas. On donne cette illusion à ces hommes et femmes…qu’ils seront sélectionnés pour partir sur l’île .On leur dit que dehors l’air est irrespirable, depuis qu’une soi-disant catastrophe écologique a ravagé la planète. Tout ça est faux, ces hommes et femmes enfermés dans une colonie souterraine, sont en réalité des clones. Des clones conçus pour mourir. Seuls les gens très riches dans ce futur,peuvent se payer ce luxe montant à 5 millions de $, au cas où un humain aurait besoin d’un organe ,s’il est malade le clone est là ,et lui remet son organe. Conçu donc pour mourir, et l’illusion de cette île et en fait la mort. A travers de jolies images, on les manipule .Aux commandes de cette entreprise , le cruel Merrick. Lincoln Six-Echo découvre la vérité, fuit ,entraînant avec lui Jordan Two-Delta. Immédiatement une course poursuite s’engage. Merrick ne lâchera rien. L’humour présent fonctionne plutôt bien, et offre de très bons moments, notamment la scène dans le bar où les deux clones font face à la vraie vie. Bien que ça soit étonnant ,Michael Bay n’en fait pas trop. On a droit à des explosions, mais pas autant que maintenant. La qualité de la mise en scène est étonnante, quand on sait de quoi le réalisateur est capable. De très bonnes images, des plans impresssionants. On retiendra la scène de l’autoroute ,particulièrement spectaculaire: on jubile, on se régale en regardant ces images. Le sujet quant à lui est bien traité, et ferait presque peur quand on voit le traitement que subissent ces produits, comme les nomme cette entreprise. N’évitant pas les clichés de base, Michael Bay livre un blockbuster convaincant dans une réalisation très bien gérée. Voilà un vrai sujet que Michael Bay a eu l’intelligence de mettre en scène, original en son genre Michael Bay signe son meilleur Blockbuster.

The island 2005 RŽal : Michael Bay Sean Bean Collection Christophel

 

Qui ne connaît pas Alex Kurtzman et Roberto Orci ? Ils sont au scénario, et c’est un travail remarquable. Ces deux derniers ont beaucoup travaillé, avec J.J Abrams ces dernières années. Ils sont accompagnés de Caspian Tredwell-Owen pour un scénario survitaminé. Même si le film contient des défauts, le scénario est assez riche dans son ensemble, que ce soit dans l’écriture des personnages, ou dans l’histoire. Un scénario divertissant, très bien retranscrit dans la réalisation de Bay qui ne livre pas une mise en scène « foutoir », comme il en fait beaucoup dans ses derniers films. Un divertissement intelligent, étonnant pour un film de Bay ,même si ça relève pas du génie non plus… mais ,comparé au reste de sa filmographie on aperçoit un très bon travail. Que dire du casting ? Tout simplement génial, a commencer par Ewan McGregor qui joue comme il faut avec des répliques drôles de sa part, ou encore Scarlett Johansson belle comme tout, qui elle aussi nous fait rire. On retiendra aussi Steve Buscemi, Sean Bean (meurt-il ou pas?), Djimon Hounsou et la courte participation de Michael Clarke Duncan, tous livrant d’excellentes prestations; où bien sûr Sean Penn excelle en méchant. Mais le duo Johansson/McGregor est très convaincant :On les suit avec plaisir dans leur périple, pour fuir cette entreprise. Pour la musique du film: elle est composée par Steve Jablonsky, entraînante avec des thèmes très bien composés, agréables à écouter. Pour conclure, The Island est sans nul doute, le divertissement le plus réussi de Michael Bay et il est intéressant de le découvrir si ce n’est déjà fait.

Bande annonce

[Sortie Blu-ray] The Gentlemen de Guy Ritchie

0

Synopsis

Quand Mickey Pearson, baron de la drogue à Londres, laisse entendre qu’il pourrait se retirer du marché, il déclenche une guerre explosive : la capitale anglaise devient le théâtre de tous les chantages, complots, trahisons, corruptions et enlèvements… Dans cette jungle où l’on ne distingue plus ses alliés de ses ennemis, il n’y a de la place que pour un seul roi !

Détails du blu-ray

Acteurs : Matthew McConaughey, Charlie Hunnam, Michelle Dockery, Jeremy Strong, Lyne Renée
Réalisateurs : Guy Ritchie
Audio : Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS-HD 5.1)
Sous-titres : Français
Rapport de forme : 2.39:1
Nombre de disques : 1
Studio : M6 Vidéo
Date de sortie du DVD : 10 juin 2020
Durée : 113 minutes

Bonus

Coulisses du film
L’humour “Gentlemenesque”
Le lexique du Cannabis

Critique du film

Burning de Lee Chang-Dong

0

Sortie 2 juin 2018
Durée 2h 28min
Genre Drame, Thriller
De Lee Chang-Dong
Avec Yoo Ah-In, Steven Yeun, Jeon Jong-seo, Seong-kun Mun…
Nationalité Sud-Coréen
Musique Mowg

 

Un fabuleux triangle amoureux

 

 

Synopsis

Lors d’une livraison, Jongsu, un jeune coursier, retrouve par hasard son ancienne voisine, Haemi, qui le séduit immédiatement. De retour d’un voyage à l’étranger, celle-ci revient cependant avec Ben, un garçon fortuné et mystérieux. Alors que s’instaure entre eux un troublant triangle amoureux, Ben révèle à Jongsu son étrange secret. Peu de temps après, Haemi disparaît…

Le cinéma Coréen cesse de surprendre, dans tous les genres. Ces dernières années, de très bons crus déboule l’année dernière Parasite qui en plus remporte la palme d’or à Cannes entièrement mérité. Burning lui n’est pas du même réalisateur, il s’agit de Lee Chang-Dong qui en est à son sixième film quand même donc loin d’être un novice. En 2018 il a même présenté son film à Cannes, dans l’espoir d’une palme d’or, hélas il repartira bredouille. Le film a pourtant beaucoup de choses pour plaire, on y voit a l’écran Steven Yeun de la série Walking Dead ou il quitte les États-Unis pour son pays le temps d’un film. Un film maîtrisé, avec forcément une brillante réalisation mais aussi des comédiens fantastiques. Un triangle amoureux surprenant, sur trois personnages habilement écrit. Le réalisateur a un talent c’est certain, a travers sa caméra intimiste on découvre ses personnages parfois énigmatiques. Burning est une adaptation du livre d’Haruki Marakami, mais ce qui est sût c’est que le film est une oeuvre qui prouve que le cinéma Coréen n’a pas fini de nous surprendre.

Jongsoo est coursier, puis alors qu’il participe à une tombola dans la rue il tombe sur Haemi, une ancienne camarade de classe. Autrefois laide, celle-ci est devenu une belle femme, qui séduit immédiatement Jongsoo qui tombe sous le charme. Il commence à la voir régulièrement, puis il finit par couché avec, elle lui annonce qu’elle doit s’absenter quelque temps et si Jongsoo pourrait nourrir son chat durant son absence. Quelques semaines plus tard, elle lui annonce son retour et il vient la chercher à l’aéroport mais elle n’est pas seule. Elle est accompagné d’un jeune homme « Ben », ce dernier est fortuné mais assez énigmatique. L’arrivée de cet homme, dans la vie de Jongsoo le dérange car il est amoureux de Haemi. C’est alors qu’un jour Haemi disparaît, le dernier contact qu’a eu Jongsoo avec elle était au téléphone et c’était assez étrange. Sa disparition inquiète beaucoup le jeune homme, mais le comportement de Ben l’amène à croire que ce dernier y est pour quelque chose dans la disparition de la jeune femme. Un soir Ben ‘invite chez lui où il organise une soirée, avec des amis une soirée ou le jeune homme va découvrir l’effroyable vérité. Pour Jongsoo il est temps, de prendre une décision ou l’issue pour l’un des deux sera la mort. Burning est certainement l’un des films Coréens les plus éblouissants de ces dernières années, une mise en scène lente mais très poétique et intimiste. Poétique dans les images que le film, renvoi mais aussi parfois contemplatif ainsi que des plans fixe qui accentue le ressenti des personnages. Le rythme lent, que dégage le film est une qualité, car on peut ainsi découvrir les personnages ainsi que leurs intentions jusqu’à un final puissant.

On doit le scénario à Lee Chang-Dong, qui est le réalisateur du film il est accompagné d’Oh Jung-Mi. On pourra vraiment saluer la maîtrise dans l’écriture, car le traitement des personnages est admirable. Ils y décrivent des personnages, qu’on suit avec plaisir. Jongsoo est un personnage timide, qui se laisse séduire par Haemi, dont il finit par tomber amoureux. C’est l’arrivée de Ben, cet homme que ramène Haemi en revenant d’un voyage qui bouscule sa vie. Il y a vraiment quelque chose de mystérieux chez cet homme, et il y est quelque chose dans la disparition étrange de Haemi. Tout est parfaitement retranscrit a l’écran, le ressenti des personnages mais aussi cette poésie qui s’en dégage quelquefois. On ne peut qu’être séduit, par tant de maîtrises. Yoo Ah-In interprète Jongsoo, Steven Yun joue Ben puis Haemi est interprété par Jeon Jong-Seo, un trio d’acteurs fantastiques dans cette histoire d’amour formant un triangle amoureux, dont l’issue est brutale. Burning aurait mérité une palme d’or, Lee Chang-Dong signe une belle oeuvre ou une certaine forme de jalousie est mise en scène, mais aussi une forme de vengeance sur la fin du long-métrage. Tout est abordé intelligement, et le long-métrage ne cesse d’être surprenant. Un film Coréen comme Burning, doit être vu car tout est parfaitement retranscrit de façon magistrale.

 

Bande annonce

Passengers de Morten Tyldum

0

Sortie 28 décembre 2016
Durée 1h 57min
Genre Science fiction, Romance, Action
De Morten Tyldum
Avec Jennifer Lawrence, Chris Pratt, Michael Sheen, Laurence Fishburne, Andy Garcia, Vince Foster, Julee Cerda…
Nationalité Américain
Musique Thomas Newman

 

Une romance dans l’espace

 

Synopsis

Alors que 5000 passagers endormis pour longtemps voyagent dans l’espace vers une nouvelle planète, deux d’entre eux sont accidentellement tirés de leur sommeil artificiel 90 ans trop tôt. Jim et Aurora doivent désormais accepter l’idée de passer le reste de leur existence à bord du vaisseau spatial. Alors qu’ils éprouvent peu à peu une indéniable attirance, ils découvrent que le vaisseau court un grave danger. La vie des milliers de passagers endormis est entre leurs mains…

002-passengers

111937-jpg-r_1280_720-f_jpg-q_x-xxyxx

Morten Tyldum, que je ne connaissais pas, ce qui est désormais chose faite, est le réalisateur d’Imitation Game qu’il faudra que je regarde rapidement. Cependant le réalisateur s’attèle à la science-fiction, avec un pitch assez intéressant. Le film est surtout une romance spatiale, donc ne vous attendez pas non plus à un truc du genre Alien, car ce n’est pas le cas. Alors que 5000 passagers sont en vol pour la planète Homestead II à bord du vaisseau Avalon pour encore 90 ans de voyage, Jim Preston se réveille 90 ans trop tôt après un bug de son pod où il dormait. Pendant 1 an Jim vivra seul dans le vaisseau, au bord de la déprime, un jour il découvre dans un Pod la jolie Aurora Lane. Pour éviter d’être seul il décide de la réveiller en sabotant son pod, et de lui cacher cela. A son réveil elle panique, mais elle finit par s’y faire. Au fil des jours, Jim et elle ont une attirance l’un envers l’autre.

passengers_0

passengers-620x349

En direction d’Homstead II, l’Avalon, en pilotage automatique. conduit les 5000 passagers pour encore 90 ans de voyage : tous sont en sommeil artificiel, ils ne vieillissent pas durant le sommeil artificiel à bord d’un Pod. Lors d’une pluie de météorite, le vaisseau est endommagé et se répare automatiquement sauf qu’un Pod n’a pu être réparé et réveille un passager du nom de Jim Preston. Durant un an, il est le seul réveillé, n’aura des discussions qu’avec Arthur, un androide qui est le barman du vaisseau. Se laissant pousser la barbe, déambulant dans le vaisseau tel un zombie, Jim n’est pas loin de la dépression. Ne supportant plus d’être seul, il sabote le Pod de la jolie Aurora pour la sortir de son sommeil artificiel. Au fur et à mesure les deux passagers vont tomber amoureux, mais Jim doit lui avouer que c’est lui qui l’a sortie de son sommeil artificiel. Avec Passengers, le réalisateur nous offre de beaux décors du vaisseau Avalon, un transport plutôt luxueux. L’histoire d’amour est bien amenée, avec un duo Pratt/Lawrence qui fonctionne parfaitement. Le film manque d’une bonne et réelle intrigue, ce qui est assez dommage pour un film du genre. Seul la fin offre quelques moments d’action, avec quelques scènes un peu exagérées. On notera aussi la présence de Laurence Fishburne, pour un rôle qui n’aura que très peu d’importance. On retiendra de ce film, une mise en scène réussi, ou Mortem Tyldum sait gérer au mieux avec cette histoire d’amour convaincante entre Jim et Aurora. Hormis cette histoire d’amour, le film ne possède pas de réels enjeux mais ne reste pas mauvais pour autant.

passengers-photo-57e137a747755

passengers-trailer-001-1280x535

Une bonne partie du film ne se déroule qu’avec Jim à l’écran, il est intéressant de découvrir le personnage seul qui évolue en mal à bord de ce vaisseau. La partie où arrive Aurora est celle où débute l’idylle entre les deux passagers. Un passage intéressant sur leur histoire qui se complique quand elle est au courant de ce qu’a fait Jim, une colère de la part de Aurora très bien retranscrite à l’écran. La fin du film nous livrera des scènes intéressantes avec la défaillance du vaisseau. Le scénario de Jon Spaiths, n’est pas extraordinaire, il se concentre sur l’histoire d’amour car c’est le pitch du départ de cette histoire, mais,autour de cette idylle, il y a peu de choses dans son écriture. Spaiths ne semble pas s’intéresser à ce qui entoure le film. En incluant une intrigue prenante, le film aurait gagné en qualité, mais il s’arrête à cette histoire d’amour sans aller beaucoup plus loin. On l’aura compris, Pratt et Lawrence tiennent le film à eux seul, et c’est aussi ce qui donne tout l’intérêt à ce film : deux stars ultra-bankables de Hollywood, c’est un duo convaincant dans ce long métrage. Le passage de Laurence Fishburne est trop bref et c’est dommage de même pour Andy Gracia. A la musique Thomas Newman, qui livre des scores très bons. N’attendant pas trop du film, je suis plutôt satisfait du résultat finalement, on passe un bon moment malgré ses défauts qu’on ne peut nier.

Relecture : David

Bande annonce